Affaires de mœurs de personnalités publiques et cyber-vindicte contemporaine: Haro sur BATIFOLE

YSENGRIMUS —    This article is available in 5 languages on this webmagazine: 16.12.2022-ysengrimus-Leoni-anarchiste-Bouzonnie-Bibeau-Bhachakumar-Hudson-English-Italiano-Spanish

Nous nommerons le personnage en cause ici, un homme ou une femme peu importe, BATIFOLE. Et qui donc est BATIFOLE? Vous allez reconnaître la bête bien vite, allez. BATIFOLE, c’est une personnalité publique des arts, du spectacle, du sport professionnel ou de la politique. Il/Elle fait sa petite tambouille sans trompette, son petit spectacle, ses petits millions, jusqu’au jour ou, paf, on le ou la pince en train de BATIFOLER avec une personne autre que celle à laquelle le conformisme hyper-maladif de notre temps l’associe maritalement. BATIFOLE vient de s’empêtrer dans le vieux gluau narcotique et onctueux d’une affaire de mœurs. Cris et hurlements des Tartuffes et des Tartuffettes. Atermoiements de vétille, dans tous les sens. Préjugés et cyber-vindicte en mondovision. On se croirait subitement, en l’espace de quelques clics, revenus, vite fait bien fait, au haut Moyen-âge. Haro sur BATIFOLE. Toute la presse locale et/ou planétaire en parle. BATIFOLE est sur la touche. Rien ne vas plus, pour BATIFOLE. Ses camarillards et camarillardes font des papillotes et des montages douteux de ses photos suspectes. On YouTubardise BATIFOLE tous azimuts. Les médias des pays où ce genre de potinage fait l’objet d’une répression pénale se font déborder sur la bande par les médias, moins jacobins, des états lascifs limitrophes. Y a plus de frontière en BATIFOLE. La blogosphère, ce sempiternel super-télex à rallonge, bourdonne à la tonalité de BATIFOLE. On scrute son passé à la foreuse venimeuse. Chaque éclat vénéneux qui revole alors en flammèches produit une nouvelle cascade de cyber-primeurs. Ses commanditaires, commerciaux ou politiques, fuient ventre à terre et déchirent ses contrats à tous les diables. Rien ne compte plus, pour quelques heures, jours, semaines, mois. L’affaire BATIFOLE pourra s’étaler sur ces quelques jours, quelques semaines ou quelques mois, ce qui n’est pas un tort en soi. Après tout, une information ne tombe pas subitement en obsolescence sous prétexte qu’on en papote depuis soixante-douze heures, sur Twitter, ou ailleurs. Il s’agit de s’informer et de commenter, pas de «scooper». En un mot, BATIFOLE fait «Buzz!» et tout notre petit cyber-monde en vibre. Mais alors, justement, les implicites aux ras des mottes que cela soulève, comme une lie gluante et fétide, montant subitement en cône de tornade quand cela perdure, ouille, ouille, je ne vous dis juste pas. Le fascisme ordinaire cardinal se remet en branle, tout d’un bloc dans le même sens, bourbier de panurge compact et tenace. C’est que nous en sommes là, dans notre univers social post-progressiste. Le retour en force du moralisme de vindicte s’étale partout, poisse tout, noie la cause BATIFOLE de ses flots brunâtres et submerge l’entier de l’univers de BATIFOLE ainsi que ses pourtours divers. Hypocrisie collective sur des millions d’écrans d’ordis et réponses biaiseuses et niaiseuses du troupeau veule. Pourriture des valeurs familiales absurdes sur leur pied de crypto-débauche. Façade. Vide. Mensonge. Fadaise fadasse. Traditionalisme fétide. Conformisme puant. Certitudes intransigeantes, fulgurantes, rigides et roides. Cloaque idéologique empoisonné. Électoralisme creux de suiveux cyniques suivant d’autres suiveux, strictement étroits, ceux-là. Réflexes conditionnés de vindicte jouant au quart de tour. Notre époque pseudo-moderne de faux jetons unidimensionnels vient de s’exprimer en criant de nouveau Haro sur BATIFOLE… Or, en fait, BATIFOLE, tu nous incarnes tous un peu, va…

LE FAIT DIVERS BATIFOLE S’ÉRIGE EN FAIT (TOUT COURT). Voici donc que cette affaire de mœurs de BATIFOLE, subitement, oui, tout le monde en parle. Elle se précipite, se solidifie dans les consciences, devient conséquemment cosmologiquement incontournable. Or, comme dans le cas de toutes ces étoiles blindées de platine et d’or du gratin contemporain, ce qui tuera BATIFOLE ce n’est certainement pas le potinage ad hoc sur ses affaires de mœurs de bric et de broc mais bien son succès commercial ou électoral de masse effectif. Et une célébrité comme BATIFOLE. ne verra pas son succès de masse diminuer abruptement pour une simple histoire de batifolage. BATIFOLE verra son succès de masse descendre graduellement un de ces jours, un bon jour, quand les sensibilités humoristiques, artistiques, sportives, politiques et/ou culturelles de ses contemporains s’altéreront d’elles mêmes, à leur rythme et selon leur logique. Mais, au jour d’aujourd’hui, BATIFOLE est dans la caca mondaine, sinon ethnoculturelle, mais sans plus. Ça va finir par passer, en fait. C’est superficiel, comme disent les esprits métaphysiques… Mais il reste qu’on se polarise bel et bien autour de BATIFOLE quand même, comme si l’entier du sort de la société civile en dépendait subitement. Quelques un(e)s de ses ami(e)s du gratin l’appuient mollement. C’est que BATIFOLE, et les célébrités qui l’épaulent encore dans la tempête s’aiment bien, peut-être. C’est des gens riches et baveux qui s’aiment bien entre eux et qu’on enquiquine jusqu’au trognon dans le giron du nouveau jeu de la pression ordinaire contemporaine et de l’insatiable soif aux scandales… D’autres trèfles télévisuels, pour se faire mousser et profiter de la manne en vogue, chahutent un peu BATIFOLE. Dans la logique paradoxale des clowns télévisuels contemporains, le pantalon qui fait tourner BATIFOLE en bourrique exprime en fait son soutien de BATIFOLE, par ses pantalonnades. C’est un silence opaque de ses pairs qui aurait exprimé une réprobation implicite envers BATIFOLE. Or de silence, point. Parfois, souvent, par-dessus le tas, la ou les personnes parfaitement ordinaires avec lesquelles BATIFOLE batifola sortent passablement plus salies que BATIFOLE même, de toute l’aventure scabreuse en cours. Car ce ou cette partenaire occasionnel(le) de BATIFOLE, qui n’est en rien une victime de BATIFOLE, risque bien de devenir, par contre, une victime directe de la cyber-vindicte planétaire visant et ciblant BATIFOLE. Mettons nous à la place de cette personne non-célèbre, subitement bien éclaboussée, une toute petite minute. Elle doit rager, en ces moments, de voir sa vie privée batifolante claironnée ainsi au tout venant de la goujaterie populacière universelle… On s’en fiche bien, en fait, de cette petite personne là, tant qu’on se divertit, hein. Vraiment puant, ce nouveau pilori-spectacle…

DANS CERTAINS CAS BIEN ATTESTÉS, BATIFOLE FAIT MÊME L’OBJET D’UN CHANTAGE. Au fait, en aparté pour la bonne bouche, ceux qui ont vu la couverture, souvent fort barbante au demeurant, que les français font de certaines des croustillantes histoires de BATIFOLE de notre temps, auront découvert ou redécouvert que nos bons cousins de la mère patrie appellent un maître-chanteur un CORBEAU. Cette fort jolie désignation est en fait une référence cinématographique. Vous me permettrez de l’adopter ici car je trouve cela bien plus imagé dans le minus, le noirâtre et le malodorant que maître-cossin-chanteur-crosse… Un corbeau, donc, cherche ici à faire chanter notre BATIFOLE mais, riche et influent(e), BATIFOLE ne s’en laisse pas montrer par ce charognard minus, qui fait le printemps au Canada en lieu et place des hirondelles. BATIFOLE dénonce frontalement son corbeau aux autorités. Excellent, j’approuve. C’est la seule façon de faire face au chantage. Je pousse alors mon cri de loup dans le tintamarre moral, à mon tour. Mon cri, le voici: J’approuve, j’approuve, j’approuve toute parade de BATIFOLE contre son corbeau. Enfin bon, ceci dit, cet autre épisode contrariant bu et consommé, calmons-nous, ressaisissons-nous maintenant. BATIFOLE et ses idylles occasionnelles ont bien droit à leurs vies privées, comme vous et moi, enfin, quoi! On vire vraiment au voyeurisme sur ces affaires de moeurs du gratin… On régresse au bon vieux temps des petits journaux jaunes, ma parole… Pendant ce temps de susdite régression collective panoramique à laquelle je viens de joindre mon cri de loup, justement, le corbeau plaide non coupable en douce et s’esquive, lui, de la vindicte ouverte. Le sens du geste criminel ou, pour reprendre le mot d’un humoriste américain bien connu, de la “chose terrible”, est vraiment totalement distordu, dans cette civilisation. En effet, BATIFOLE se prend la vindicte en pleine gueule et son corbeau est épargné… Ah, dans ses hauts comme dans ses bas, BATIFOLE est bien voué à le faire tinter, en notes justes comme en fausses notes, le diapason de ladite civilisation aux valeurs torves… Les corbeaux perfides de ce monde utilisent incidemment d’ailleurs fort souvent la cause des femmes pour se graisser cyniquement. Ceci, bien ferme et bien raide, dans les plumes de ceux qui prétendraient que quelque ancienne flamme faisait (in)justement chanter BATIFOLE. Il mérite bel et bien de tauler un moment, ce maître-chanteur là… le vrai corbeau de BATIFOLE, presque toujours un homme… Brûlons-le donc en effigie, rôtissons-le donc, lui, le volatile méconnu, puisqu’il faut tellement faire cramer quelqu’un… Dans toutes ces histoires de chantage d’affaires de mœurs de vedettes foutues batifolesques que leur présent ou leur passé reviennent hanter, ne cherchez pas la femme, cherchez l’homme… Bref, BATIFOLE ne cède pas au chantage, fait face, assume, s’excuse, brûle un cierge, se roule par terre, se fait fesser sur la carrosserie à coup de bâtons de golf, renonce à se porter candidat, perd du pognon à pleins jets, divorce, reconnaît sa progéniture secrète, admet avoir fait le folâtre dans des chiottes d’aéroport, reconnaît avoir fait le folâtre dans les douches du palais gouvernemental, avoue ne pas avoir avoué s’être twitté l’entrejambe pour le bénéfice d’une demi-douzaine de copines frivoles, dit aimer le chanteur populaire, affirme désirer la karatéka, se remémore (amèrement) cette baignade adolescente vieille d’un quart de siècle, se mortifie sur l’agora, braille, démissionne, garde son emploi de justesse, rend ou donne à des oeuvres l’argent de l’enveloppe brune physique ou abstraite, fait une moue contrites sur photos fixes, et la cyber-vindicte de continuer de croître et de se diversifier. Nous en arrivons enfin, fin du fin, à ce qui me captive et m’afflige le plus dans l’affaire de mœurs de BATIFOLE : vous et moi.

SI UN HOMME COMMENTE L’AFFAIRE DE MŒURS DE BATIFOLE. Il le fera dans la paranoïa sexiste sectaire la plus maladive en citant ses «expériences» bidons aux prises avec un lot foutaisier de Mata Hari oniroïdes. Lesdites “expériences” machiques, semi-fictives, semi-fantasmées, invérifiables et érigées en axiomes, de l’anonyme beuglant ses vues fumeuses et chieuses sur l’affaire BATIFOLE sont de bien faibles cadres mentaux pour une compréhension de la réalité en cause ici. On parle pourtant du réel. Bon, on touille du potin malodorant, certes, mais on cherche des faits. Autrement dit, ouste, ouste, les petites vapeurs bati-fofolles à la Arthur Miller… L’analyse machiavélique-machique du topo batifolesque me révulse au possible. La Théorie du Complot des Cœurs m’écoeure. Il y a vraiment des types qui voient toute femme comme une saboteuse, une coureuse de dot ou une voleuse à la tire. Personnellement, je crois encore bien fort à l’innocence et à la spontanéité du geste et du frisson entre deux personnes, y compris en batifole. Si des folliculaires mal avisés n’avait pas voulu y faire leur beurre, on n’en parlerait pas, mais donc pas…. C’est passablement navrant, surtout ce bout là. Mais mon petit macho commentateur nous sert le tout de sa paranoïa misogyne mal réchauffée, en inversant les rôles corbeau/corneille. Il fantasme, au quart de tour, quelque femme arriviste en déshabillé noir qui prend son manche, ou celui de la guitare de BATIFOLE, pour un échelon social. Retardataires, ces fantasmes à la papa font errer mon petit macho sur la susdite question BATIFOLE, si tristement indicative et révélatrice de nos pensées les plus glauques. Tu te plantes l’échelon dans le faux, mon petit macho même pas beau. C’est surtout ça qui est bien triste. Il faudrait que les détracteurs-salisseurs de la personne séductrice et perfide qui fit basculer BATIFOLE me la citent défendant ouvertement l’adultère, ou la double vie, ou l’extorsion, ou le chantage, ou l’arrivisme à scandale, ou la crypto-prostitution ou quoi encore? Je ne pense pas que le mépris fascisant, implicite et tout naturel qu’on cultive de nos jours pour la présomption d’innocence fasse partie de l’évolution légitime de l’humanité… Bondance de mes pieds, BATIFOLE et sa flamme se sont peut-être tout simplement aimés.

SI UNE FEMME COMMENTE L’AFFAIRE DE MŒURS DE BATIFOLE. Révélant son indécrottable fond de potineuse sans envergure, elle poussera imperturbablement ses hauts cris de déesse Némésis de bas calibre. “Ils se sont peut-être tout simplement aimés, tant que vous voudrez. Cela n’enlève rien au fait que c’est une trahison.”   Je ne sais pas, Madame. Vous dites: sa trahison. Je dis: notre intrusion. Avis aux éventuels Monsieur BATIFOLE, cette dame ne voit rien de mal à vous condamner sans la moindre preuve et, ne vous y trompez pas, le «bon droit» implicite est de son bord à elle. “Je ne sais pas si le/la partenaire de BATIFOLE l’a fait dormir sur le sofa cette semaine, mais cet incident a dû jeter un petit froid dans le couple”. Mais pourquoi, pourquoi donc, Madame, postuler compulsivement le mariage bourgeois hystérico-jaloux type au sein du ménage BATIFOLE. Ils sont peut-être en union libre et ouverte, comme au bon vieux temps pur et joyeux de Janis Joplin et de Bobby McGee. Notre héritage de libération sexuelle laisse de plus en plus la libération maritale au bord du chemin… Tous ces aprioris matrimoniaux surannés, ces automatismes rétrogrades que l’on charrie, sans aucune vérification. Un peu de sens relatif, pour faveur… Essayons de bien ranger nos frustrations dans le bon carquois et de les décocher à ceux qui les méritent, sans moins, mais sans plus. Vous prétendez, Madame de Cyber-Vindicte, empocher une hypothèque totalement non fondée sur la nature des ententes maritales de Monsieur et de Madame BATIFOLE et sur la teneur de leur vision de la question, depuis leur toute première rencontre. Je regrette mais aucun des postulats de ce jugement lapidaire n’est fondé. Absolument aucun. “Certaines personnes ont un besoin maladif de charmer et de plaire, qu’il ne faut pas confondre avec un intérêt sincère pour autrui. C’est très superficiel et égoïste que de batifoler.” Ouf, le jugement, maman… Rien ne prouve que ceci s’applique au susdit cas BATIFOLE. Affirmations parfaitement non étayées. Du préjugé pur. Du fantasme hargneux. De la crispation maladivement uniformisante. Des réflexes conformistes incontrôlés et de l’auto-identification empathique vraiment mal appliquée. Tourner le dos si crûment à l’héritage intellectuel du féminisme ne vous a pas très bien servi, ma pauvre.

MES VUES PERSONNELLES SUR LE CAS BATIFOLE ET SUR CE QU’IL NOUS POUSSE IMPLACABLEMENT À RÉVÉLER DE NOUS-MÊMES ET DE LA PETITESSE DE NOTRE TEMPS. Simple, net, lapidaire. Je suis archi-écœuré que la petite cyber-populace planétaire stupide et étroite utilise ces causes notoires parfaitement bidons pour implicitement-compulsivement dicter aux gens comment ils doivent vivre leur vie privée ou… exprimer leurs idées critiques (incluant leurs cadres moraux, leurs visions du monde, leurs conceptions politiques, leurs options sociales, leurs votes). Les tonnes de faits de la vie ordinaire qu’on pourrait citer ici, en porte-à-faux de tous ces faux scandales de croquignole. On n’a toujours pas le droit d’être homosexuel(le) ou divorcé(e) si on entend travailler dans une école catholique au Canada, mais Haro sur BATIFOLE. Une copine juive ayant fait un contrat de suppléance dans une école catho de Toronto, s’est fait dire, à la fin dudit contrat, qu’elle ne serait tout simplement pas payée, n’étant pas catholique. Et elle ne fut effectivement pas payée pour un travail pourtant fait et bien fait… Sauf que, Au poteau, BATIFOLE. Des trous béants dans la Charte des Droits, des instances qui l’ignorent ouvertement, il y en a un peu partout (le cas de mes têtes de cathos de turcs ici n’en est qu’un entre mille!) et ce, pas juste dans la vie maritale et extra-maritale de ce fantoche foutaisier, de cette poupée anodine de BATIFOLE… Mais… mais… qui s’en soucie, qui en parle? Canada, Terre de Caïn l’Hypocrite, vite, vite, Supplicie BATIFOLE et oublie allègrement le reste. Finalement, 100,000 morts en Irak par notre faute exclusive, 5,000,000 (cinq millions) de morts dans le grands conflit congolais du début du siècle, dans un silence médiatique opaque, et on grelotte dans le froc pour une escapade ou une foucade de BATIFOLE. Cela me répugne au plus haut point. Je me fiche souverainement de BATIFOLE et de ses gratino-congénères foutus dans leur fric et leur gloriole de toc… mais la santé sociologique de la masse compacte et fruste de leurs détracteurs et détracteuses épisodiques me cause, ma foi, bien du dépit.

Batifole

9 réflexions sur “Affaires de mœurs de personnalités publiques et cyber-vindicte contemporaine: Haro sur BATIFOLE

  • 29 mars 2019 à 1 h 36 min
    Permalien

    Parait que « vous » avez légalisé l’amour entre humains et animaux!? Pauv’ caribou bou bou…

    Répondre
    • 29 mars 2019 à 6 h 44 min
      Permalien

      Vous pourriez préciser votre pensée? Ce commentaire est un peu informe…

      Répondre
  • Ping : Affaires de mœurs de personnalités publiques et cyber-vindicte contemporaine: Haro sur BATIFOLE « Le Carnet d'Ysengrimus

  • 16 décembre 2022 à 8 h 31 min
    Permalien

    C’est fou comme cette histoire ressemble à celle de Quatennens. Dommage que les pimprenelles de Me Too ne soient pas davantage identifiées. Ciblées. Dénoncées comme elles le méritent. Et que le rôle de ces pseudo féministes visant à décaniller tel ou tel adversaire politique de macron, au nom de la morale, -une gifle pensez-vous : c’est pire que les crimes commis par Landru !! Donc que leur instrumentation à des fins de basse politique au service du pouvoir en place ne soit pas davantage mise en valeur dans cet article, au demeurant lucide et bien renseigné.

    Répondre
    • 16 décembre 2022 à 8 h 45 min
      Permalien

      Il y a le dire du dire dit et le dire du dire sans dire…

      Il y a aussi un élémentaire soucis de généralité descriptive du propos… Voyons à ne pas restreindre la description de principe au Batifole 2.0. de notre temps… L’amplitude du phénomène analysé doit se livrer au regard dans son intégralité durable.

      Répondre
  • 16 décembre 2022 à 13 h 20 min
    Permalien

    Bien que je sois d’accord sur toute la ligne du billet sous l’angle que vous le soulevez…. et que j’ai un peu visualisé dans ma tête le genre d’affaires auxquelles vous faites allusion….je le vois aussi sous un autre angle plus large qui dépasse les vedettes ou les personnalités populaires, celui la cyber-vindicte…celui des médias ou d’internet…et qui nous concerne tous également ! puisque nous vivons depuis toujours dans des sociétés ou tout le monde surveille tout le monde, et tout le monde se mêle des affaires de tout le monde, et les médias sociaux n’existeraient même pas si c’était pas le cas ! Vous seriez étonné d’apprendre que même certains de vos voisins vous surveillent, et veulent tout savoir sur vous, sans jamais vous adresser la parole, mais pour parfaire leur  »catalogue », et meubler leur discussions familiales vides et celles avec leurs amis ou collègues… et le jour il se passera qq chose chez vous disons de pas très ordinaire, ils iront  »témoigner » avant même qu’on leur demande !

    Si vous dénoncez l’hypocrisie sociale et l’intrusion dans la vie privée… et tous les  »dictateurs » de nos comportements, ou choix ou batifolages …. vous ne faites que gratter la surface…puisque les règles dites  »sociales » vont bien au delà de tout ceci…et ne sont basées que sur ces mécanismes qui vous jugent, vous incriminent, vous  »dénoncent » et vous  »humilient » ou vous livre a la vindicte et au lynchage autant dans les sociétés sous-développées que les sociétés dites les plus civilisées ! A cela s’ajoute les règlements de compte qui eux relèvent d’une tout autre catégorie de vindicte, cette fois ciblée et selective… a la tête du client…sous prétexte qu’elle veuille protéger  »nos enfants » de probables pedophiles par exemple… et que ces derniers en effet ne font qu’agraver le tout et amplifier la psychose …comme exemple parmi d’autres… on a vu comment le défunt Michael Jackson fut poursuivi toute sa vie par ce genre de ragots, et que ce fut aussi la raison de sa mort ! car son amour candide pour les enfants de tout le monde, et vouloir trop s’en approcher pour leur offrir du rêve…s’est retourné contre lui et non seulement fut l’occasion de lui soutirer des millions, mais de trainer son nom par terre surtout et lui asséner un coup dont il ne se relèvera jamais !

    Savez-vous ce que dit un vieux dicton berbère cette fois ?  »les deux tiers de ceux qui reposent dans les cimetières, meurent du mauvais oeil, de vindicte et de ragots » ! :))) pour dire que ces gens il y a des siècles comprenaient déjà l’issue fatale de tout ceci ! en effet, ils avaient raison ! :)))

    Comme je l’ai dit quelques fois, nous pensons a tort que nous avons réellement beaucoup évolué comme sociétés depuis 3000 ans, et on croit que les dites  »révolutions » récentes nous ont libérés ! Il n’y a rien de plus faux ! car lorsque certains d’entre nous veulent en effet tirer profit de ces dites révolutions, et celles de mœurs par exemple, ils continuent de s’en prendre une bonne dans la tronche…même s’ils peuvent revendiquer tout haut leurs revendications, libertés, différences ou  »acquis » de quelque nature que ce soit, ceci ne fera que mettre les projecteurs sur eux encore pour très longtemps ! et même si on a pu obtenir des droits écrits et inscrits dans les lois…!

    et ce sera pire pour les vedettes, et tous ceux qui ont des ennemis de la  »réussite »… même si ce terme de réussite peut englober des psychopathes parfois, ou de médiocres énergumènes sur tous les plans… et a ce propos, on pourra toujours nous taxer nous aussi  »d’ennemis de la réussite » des autres… si on exprime notre raz le bol de nous imposer partout des lèche-culs, des opportunistes et des énergumènes très médiocres produits par la machine politique ou médiatique clientéliste et corrompue ! d’où le cercle vicieux cette fois… qu’on ne risque pas de pouvoir y échapper…!

    Bon Vendredi mon cher… et vivez votre vie en long et en large, et ne vous souciez-pas des autres… sinon vous n’en sortirez pas entier ou vivant…! ils sont capables de nous détruire tous, a tout moment, pour tout et rien… et si on y échappe encore, c’est déjà un miracle ! :)))

    Répondre
  • 16 décembre 2022 à 13 h 54 min
    Permalien

    Par ailleurs, le cul ou le sexe, c’est encore pire que tout… ! c’est l’obsession permanente du dit  »être humain » et l’occasion pour s’incruster dans la vie de tous le monde….Lorsque j’enménagais dans mon nouveau quartier il y a des lustres, moi un homme d’âge mûr, qui ve venait de se séparer de son ex et que personne n’est censé le savoir, on m’a surveillé, on m’a approché pour en savoir plus, on m’a dragué aussi :))), et ma voisine qui a le feu au cul a été jusqu’à reculer exprès en marche-arrière et taper légèrement mon parechoc lorsque je m’apprêtait a me garer, et lorsque je lui fit signe que ce n’est rien, elle insista pour descendre de son auto, m’obliger a faire de même et se confondre en excuses exagérées… et cerise sur le gâteau, elle me tendait un papier ou une carte de visite avec son numéro en insistant de pouvoir  »la rappeler a tout moment s’il y a le moindre problème ou si je devais réparer mon parechoc » alors qu’elle voyait bien qu’il n’yavait pas la moindre égratignure…! Poli et de bonne foi et très naïf comme j’étais, j’insistais pour ne pas le prendre so bout de papier, et lui disait gentiment que tout va bien ! Erreur fatale ! elle le prit très mal ! car le lendemain, alors que je déneigeait devant chez moi, lorsque je lui dit bonjour avec un grand sourire prédateur en plus, elle ne voulut pas me le retourner ! :))))) je ne l’oublierais jamais…et depuis, elle m’a surveillé et avec le voisinage aussi… j’ai dû être l’objet de rumeurs les plus folles pour un bon bout… »c’est sûrement un psychopathe, ou alors il a tué son ex, ou un  »PD » ou pire ! » :)))) surtout que je refusais exprès moi aussi de dépasser le cadre du bonjour comment allez-vous avec mes voisins ! voyant leurs indiscrétions envers d’autres et parfois leurs chaises et fauteuils sous les porches en fin d’après-midi a surveiller les allées et venues de tout le monde ! les choses se sont envenimées très vite lorsque je me suis plaint de bruits incessants pendant toute la journée les fins de semaines et la nuit aussi par des enfants non surveillés ! ils étaient donc prêts a appuyer sur la gâchette, et n’attedaient qu’une belle occasion se présente…! et si je vous disait que le même type d’histoires m’est arrivé aussi dans mon bled d’origine lorsque j’y travaillait, et que c’est une fois allé jusqu’aux menaces par des voisins (car je me plaignait de foot qui se jouait en bas de l’immeuble jusqu’à 4 heures du matin…)… vous ne verriez pas la moindre différence entre le Canada et mon bled ! et c’est lorsqu’ils vous voient accompagné cette fois par un belle paire de fesses, que les choses peuvent également tourner soit en votre faveur, soit en votre défaveur…encore…! et puis de toute façon, vous n’en échapperez jamais, quoique vous fassiez et peu importe qui vous êtes, votre âge, votre status social, votre status marital ou de familial, etc… car gare a vous si vous ne rentrez pas dans les  »normes »… ils vous diront ce quartier n’est pas pour vous…il y a des quartiers mal famés pour vous si vous sortez de cette norme, ou alors, il y a les quartiers de millionaires, plus discrets ! :))) et donc que vous vivez en appart ou dans une maison… il y a toujours quelques têtes brûlées qui vous chercheront des noises, parce que vous êtes  »quelqu’un d’autre »….:)))….(Et a propos de moi voisine, sans vouloir la surveiller de mon côté, j’ai du la surprendre sans le vouloir plusieurs fois et a chaque fois avec un mec…:))) car ma vue donne directement sur leur maison, et plus tard, c’est sa mère qui me faisait les yeux doux, ou une fois sa sœur et son mari…qui m’ont demandé la permission une fois de garer leur auto chez moi… et le lendemain ont sonné chez moi pour m’offrir un morceau de gâteau…car ils fêtaient chais pas quoi la veille…:)))… j’ai accepté gentiment et les ait remercié ! :)))

    Bref, il ne faut pas oublier qu’a propos de cyber-vindicte cette fois, il y a tout un business, et le plus gros business du monde derrière aussi… comme les médias sociaux… et qui dit business…. c’est mal parti pour commecer…et ça ne peut que perpétuer toutes ces mauvaises habitudes et amplifier le phénomène !

    Répondre
  • 16 décembre 2022 à 14 h 33 min
    Permalien

    C’est encore pire au boulot, et même au sein de votre propre famille et je sais de quoi je parle …. et pour vous donner un exemple extrême qui relie les deux cette fois, j’avais un cousin jaloux de tout ce qu’on a pu être ou représenter a ses yeux et qui était pourtant très bien placé et toute sa vie l’a eu  »facile » plutôt lui, et avec une cuillère en or ! …. dans mon tout premier boulot dans mon pays, après quelques mois, un jour le directeur me fit cette remarque ;  »Untel machin c’est votre cousin ou quoi ? »… je répond  »Oui ! » il me dit  »On a étudié ensemble (les études supérieures)… mais lui a jamais terminé… mais il arrête pas de m’appeler et me demander si vous travaillez bien ! » !!!!! j’en revenais pas, je venais d’apprendre que mon cousin n’a jamais eu son diplôme supérieur, et confirmer mes soupçons qu’il me déteste a ce point ! :))))

    Dans le boulot cette fois ici au Canada… les pires ragots circulent dans le dos de tout le monde et même a votre propos sans jamais le savoir vous-même ! et un jour lorsqu’on me présenta a des gestionnaires de l’ouest Canadien…enfin…alors qu’ils nous visitaient e groupe a Montréal, l’une d’eux s’écria  »Ah c’est toi machin untel….je peux enfin mettre un visage sur ton nom…dis donc je t’imaginais un peu plus grand que ça…(pour dire gentiment que je suis grand de taille)…et déclencher un fou rire généralisé… mais ça ne s’est pas arrêté la….un autre cette fois, un mec de l’Ouest, lâchera…  »Enfin, on peut voir le mec qui veut devenir notre CEO ou PDG »…déclenchant un autre fou rire général ! …:))) cette seconde remarque plutôt empoisonnée, visait cette fois de mettre en lumière mes aspirations a améliorer nos processus ou mes mésententes profondes sur certains sujets ! … je répliquait  »Je suis célèbre je le sais… mais c’est uniquement parce que je suis bel homme »….histoire de détendre l’atmosphère ! :)))…. tous ces Anglos de l’Ouest je vous assure, c’est pas des enfants de cœur, et ils sont capables de vous passer au hachoir car je l’ai expérimenté… et c’est pas pour rien qu’ils se rendent VP (vice présidents) et autres titres… c’est basé sur leur  »maitrise » du facteur humain …qui est au cœur de toute entreprise et son objet final et fondamental…sinon il e peut y avoir de business… des bouchers autrement dit, et des artistes en plus lorsqu’il s’agit de  »restructurations et mises a pied », un peu comme Hannibal Lecter prenait son pied a découper ses victimes ! :))

    Le contrôle total donc de l’aspect humain est au cœur de toute machine de pouvoir, d’argent, et de business… et c’est une raison suffisante pour que toute ceci ne fait que se perpétuer…et les ragots aussi !

    et dire qu’il y en a qui se suicident a cause de tout ça, en pagaille, c’est nos berbères du dicton qui avaient raison, et savaient très bien de quoi ils parlaient lorsqu’ils disaient encore que : »»les deux tiers de ceux qui reposent dans les cimetières, meurent du mauvais oeil, de vindicte et de ragots » ! :))) e effet ! car c’est en effet uniquement le tiers restant qui meurt lui de maladies, de guerres, de vieillesse, ou de mort subite prématurée …. statistiques a l’appui si on devait s’amuser a le prouver !

    Que la paix vous accompagne tous ici… et que je puisse la trouver un jour moi aussi… car en ce moment même, je sais que certains arrêtent pas de penser a moi, en espérant que je sois écrasé par un dix-huit roues, ou perdre l’usage de mes jambes… je touche du bois… et parmi eux il y en a qui me sont très  »proches » en plus ! :)))

    Répondre
  • 17 décembre 2022 à 14 h 49 min
    Permalien

    Ses commanditaires, commerciaux ou politiques, fuient ventre à terre et déchirent ses contrats à tous les diables.

    Exactement. Ces fumiers démagogues bourgeois n’ont aucune fidélité ou solidarité, d’aucune sorte. Ce sont des parasites, des sangsues, des morbacks. Ils mériteraient de crever… sur l’échafaud, de préférence.

    Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *