De la couverture journalistique d’une grève nord-américaine type: le conflit de travail des zipathographes de la Compagnie Parapublique Tertiaire Consolidée (essai-fiction)
(Peut-être plus peut-être moins
Ces choses là se voient après)
Gilles Vigneault, «Les projets», dans Balises, 1964.
Par Claudio Buttinelli cet article est disponible en anglais, en italien et en espagnole ici: Articles du 18 Aout 2023.
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YSENGRIMUS — La couverture-rengaine d’un conflit de travail continental, ainsi que le gestus social contraint, contrit, corseté et ligoté que ladite couverture-rengaine capte et régurgite, sont remarquablement codés de nos jours. Ils se déploient grosso modo comme suit. Les zipathographes de la Compagnie Parapublique Tertiaire Consolidée se sont prononcés le 31 janvier dernier en faveur de la grève générale illimitée, dans une proportion de 71%. Ils ont constaté que, depuis juillet de l’année antérieure, les négociations avec l’administration de la Compagnie Parapublique Tertiaire Consolidée avancent mal. Ils ont tout d’abord une première journée de grève tournante, le 15 février. Les 512 zipathographes d’un bled de province font une manifestation, ce jour là. Puis, le mercredi 24 février, l’intégralité des zipathographes nationaux déclenche la grève générale illimitée. Ils exigent un rattrapage salarial, un meilleur accès à la retraite et une diminution des engorgements dans la grande salle à cubicules. La dernière offre patronale, 3.8% d’augmentation et un accès cosmétiquement amélioré aux auxiliaires zipathopraticiens, a été rejetée par 86% des zipathographes. Autre point problématique: la sécurité d’emploi et le statut des accompagnateurs et accompagnatrices en zipathologie. Les clients du service consolidé, les zipa-consommateurs, ne veulent pas prendre parti mais cherchent à convaincre les deux instances en conflit de s’entendre. Fin mars, certains groupes de zipa-consommateurs vont exercer des pressions sur la capitale nationale en signalant que, sur un total transitoire de vingt-quatre jours de grève, il n’y a eu que six jours de négociations. L’appui des zipa-consommateurs au mouvement de grève est sporadique et mitigé. En effet, une clause réclamée par les zipathographes ne plait pas aux zipa-consommateurs. Quand la grande salle à cubicules est trop engorgée, les zipathographes voudraient SOIT un accès délocalisé à un auxiliaire zipathopraticien SOIT une prime salariale. Le poids en prestige symbolique de la grande salle à cubicules étant ce qu’il est, les zipa-consommateurs n’appuient pas l’idée de l’accès délocalisé à un auxiliaire zipathopraticien tandis que la Compagnie Parapublique reste hautement réfractaire à l’idée d’engager des avoirs financier supplémentaires pour perpétuer l’engorgement. Fin mars, devant la lenteur des négociations, les zipa-consommateurs envisagent de poursuivre la Compagnie Parapublique Tertiaire Consolidée en justice, si les activités cubiculaires assurés par les zipathographes sont prorogées. L’administration de la Compagnie Parapublique a menacé de procéder à cette prorogation dès le 5 avril si rien n’était réglé. Une manifestation de cent-dix-sept zipa-consommateurs a eu lieu sous une pluie battante et par un froid glacial, pour encourager les négociations, qui ont légèrement avancé. Au 7 avril, l’administration de la Compagnie Parapublique fait volte face sur sa menace de prorogation des activités cubiculaires et les négociations se poursuivent tandis que des zipa-consommateurs font une autre manifestation devant les bureaux citadins de la ministre des Ressources Zipathographiques, pour qu’elle force les deux parties à s’entendre. La ministre rappelle les deux parties à l’ordre et les enjoint de négocier, mais sans les forcer à le faire. Au 8 avril, vers quatre heure du matin, une entente de principe est finalement atteinte et, le lundi 12 avril, les 30,000 zipa-consommateurs affectés retournent se parquer en cubicules. Les activités cubiculaires sont diluées, étirées et tataouinées jusqu’au 9 mai. Les zipathographes obtiennent 6.55% d’augmentation (ils réclamaient 7.77%) et des seuils sur l’engorgement des coins et racoins de cubicules. Voilà, inutile de touiller. On ne vous en dira pas plus. Quoi? Les autres canards? L’internet? Forget it. Ils relaient grosso modo les mêmes fils de télex que nous ou alors, ils parlent d’autres choses. La couverture de la lutte des classes, c’est parox de l’intox en quadravox. Loi de fer. Loi du genre.
Et encore, hein, ici, ouf, la couverture journalistique de ce conflit de travail des zipathographes de la Compagnie Parapublique Tertiaire Consolidée n’est, l’un dans l’autre, vraiment pas trop mauvaise, si on la compare avec la couverture habituelle que les médias font des conflits de travail en province et au pays. Une fois n’est pas coutume, les principales revendications des syndiqués sont expliquées et le point de vue patronal n’est pas adopté d’emblée, comme si cela allait de soi. Les lamentations de la «clientèle», grand incontournable de la couverture de ce genre de conflit, sont bien là mais on s’efforce de rester factuel, sans en rajouter trop dans la couverture d’entretiens et les drames de vie des «pauvres victimes du conflit». La documentation photo des médias semble donner un aperçu vachement honnête des manifestations et du piquetage associés au conflit. Une fascination indue et réifiante semble cependant s’exercer envers les vastitudes blafardes de cubicules désertés. Ne nous illusionons pas. Les journaux bourgeois ne se referont pas. Le fétichisme de la marchandise, c’est ça aussi, que voulez-vous…
Dans la tyrannie du capital comme en toute tyrannie, le premier geste du relèvement, c’est de sortir de la peur et ensuite exterminer la haute bourgeoisie rentière et leurs larbins. Ceux qui ne sont pas d’accord avec ce programme ne sont que des larbins utiles à la haute bourgeoisie et mérite d’être exterminés. De ce bain de sang, une nouvelle humanité naitra. Il n’y a plus d’autres options malheureusement.
En tous cas, ces Zipathographes sont tellement chanceux d’avoir snobé une augmentation de plus de 3.6% et obtenu 6.55%, en plus de la mobilisation et la couverture médiatique, choses impensables pour le commun des syndiqués, et leurs cubicules flanqués de vieux ordi lents et peu performants qu’on leur demande d’ailleurs de forcer au bout de leur capacités et augmenter la productivité sans que cela soit techniquement possible !
Les très nombreux syndiqués autres que Zipathographes bien entendu, ne peuvent rêver d’augmentation de plus de 1.2 ou 1.3% dans le meilleur des cas, ils savent aussi que leur représentant syndical du local 428, pourri et vendu au Management et la direction, n’est qu’un la maillon dans la chaîne des autres représentants syndicaux des locaux 202 à 783, tout aussi pourris et trouillards, et que depuis que leur syndicat à fusionné avec celui des Zozocrates, celui des Zoukotistes et celui des Zinzinaristes et accompli tellement d’opérations et d’ententes suspectes et en connivence avec les patrons, le petit bouquin de la convention collective qu’on leur remet mis à jour à chaque année n’a pratiquement que peu de crédibilité ni effet sur la volonté des patrons de vouloir couper dans le gras, quand bon leur semble, et sous des prétextes de crise économique, ou de faible productivité, ou de mesures disciplinaires, le tout étant tellement aléatoire et à la tête du client comme on dit, et n’est que prétexte auquel le petit bouquin bible de la convention ne sert strictement à rien ! et c’est ainsi donc que les représentants syndicaux se transforment en entreprises de déménagement pour accompagner les malheureux candidats qui doivent quitter le navire et se jeter par dessus bord sous différends prétextes, et c’est ainsi qu’ils se transforment aussi en entreprise de nettoyage après sinistre une fois le cubicule est évacué de son locataire, afin d’y effacer toute trace de son ex occupant ! et ce n’est que le quotidien bien banal de ces pauvres syndiqués, car lorsque le syndicat les convoque tous dans un hôtel de luxe du coin tous pour voter la nouvelle convention collective négociée, et qu’on les assomme dans des salles de réunion comble qui puent les pieds et ou un bon quart ne trouve même pas de chaises et doive se farcir les discours debout, on les assomme donc de discours et de promesses et on leur demande d’applaudir le président national de tous les syndicats réunis présenté comme le sauveur du prolétariat et des classes moyennes, avant de découvrir au final qu’il a passé des deals avec la grosse direction pour faire passer cette fumeuse nouvelle convention coûte que coûte, et que toute la soirée des votes avec le décorum et les gens qui se marchent sur les pieds n’était en fait qu’une mise en scène pour faire croire au caractère démocratique de toute l’opération !
Et bien sûr, jamais ô jamais, ni les médias, ni les journaux, ni les gazettes ni quiconque se soucie de ce qui s’est réellement passé cette année là pour tous ces syndiqués, et comment on a fini par virer la moitié d’entre eux dans les deux ou trois années qui ont suivi par intervalles, à chaque trimestre, par petits nombres, pour ne jamais attirer l’attention de quiconque, en s’assurant de leur verser un package de départ dérisoire et leur faire croire avant que ils se sont sacrifié pour l’obtenir et dû batailler fort pour ça car il n’était pas garanti lui non plus !
et toute la supercherie apparaîtra bien plus tard lorsque sur son bilan financier rendu public, sa publicité aux investisseurs, et autres campagnes de relations publiques, la compagnie milliardaire se vante surtout d’avoir adopté le »lean management », avoir allégé ses charges d’exploitation de plusieurs points, a pu optimiser ses ratio productivité – rentabilité, et comme une prostituée devant les nouveaux investisseurs, se livre à un strip-tease alléchant ou l’on voit son cul sous tous les angles possibles et imaginables !:)))
Je suis passé par là il y a un bout maintenant… donc je sais de quoi je parle forcément ! :)))
Et J’ajouterai que secteur tertiaire ou pas, s’il y a un truc ou une expérience qui m’a personnellement marquée et forgé ma conviction que la »démocratie » Canadienne ou Québecoise n’est que pipeau ou poudre aux yeux et que le tiers monde n’a rien à lui envier au final, et me fait crâner et pester comme vous avez sans doute dû le remarquer ici sur les 7duQuébec depuis toujours, c’est bien ce monde professionnel, ses syndicats et ses lois… et ses fossés qu’on retrouve entre le secteur public ou semi-publique et le privée et son corporatisme d’un autre âge !
N’ayant jamais été syndiqué en tant que cadre dans mon pays d’origine et avant mon arrivée au Canada, je ne connaissait que trop bien nos syndicats calqués sur le model français, tout aussi pourris, mafieux, clientélistes, et surtout puissants et au point que le cadre que j’ai été n’a pas pu améliorer la condition des salariés syndiqués lorsque l’opportunité fut présentée, car on m’a dit que cela »créerait une disparité inacceptable dans le secteur » et »ouvrirait la porte à des revendications systématiques » et autres trouvailles bureaucratiques en plus de me faire l’ennemi de la direction des ressources humaines, et que même les gros patrons qui m’appuyaient initialement dans ma démarche innovante ont fini par faire tout de suite marche-arrière et me demander d’en faire autant ! il était donc mieux pour le syndicat que l’entreprise continue de fonctionner avec des saisonniers, des sans status fixe, des contractuels payés deux sous et sur appel, et qu’il était hors de question d’innover dans n’importe quel aspect de ces relations de travail, ne serait-ce que pour instituer des facilités et aides ou même des prêts pour des salariés syndiqués qui vivaient des circonstances aggravantes et familiales ! Qui êtes vous pour oser innover de la sorte me dit un jour le patron du syndicat ?!! si vous voulez aider, vous n’avez qu’à aider de votre propre poche Mr untel !!!! je n’en revenais pas ! et c’est donc avec des salariés syndiqués qui n’ont strictement rien pour les motiver alors que j’ai pu largement pu prouver le contraire, qu’il fallait continuer à mener le bateau… comme il fallait se contenter de se délecter de leur misère, et n’avoir le droit d’aborder le syndicat que lorsque c’est lui qui le décide, avec ses chantages minables, sur des cas précis, et ses codes même pas bureaucratiques mais culturels je dirais, comme celui de faire perdre à tout le monde un temps incroyable dans des palabres et des insultes et disputes avec les ressources humaines, qui sont leur interlocuteur et leurs meilleurs copains aussi !
Heureux donc d’avoir laissé derrière tout ceci entre autres en arrivant au Canada, je ne me doutais pas que ce qui m’attendait ici était encore pire que tout ce que j’aurais imaginé, à commencer par ma propre résignation et obligation à prendre un job de syndiqué si je voulais vivre et payer les factures… bref, et au bout de très nombreuses années d’expérience, finir par comprendre toute la patente et ses subtilités : Dans le secteur public et semi public, clientéliste à la base dans le recrutement, les syndicats sont un état dans l’état, un ministère à part presque, et le tout est fortement soumis aux aléas politiques gouvernementaux, et compartimenté de la sorte, afin que le train ne déraille jamais et que les petites combines syndicales avec les cadres se fassent pépères et souvent protégées mieux que le job du premier ministre ! Bref, toutes les réformes et restructurations qui se font au détriment des salariés syndiqués, sont menées et accomplies sans grande peine, réglées comme des horloges, et personne ni aucune loi ne peuvent les chahuter ou les déranger ! et qui fait donc comme à Québec ou Ottawa, vous retrouvez tout ce petit monde pépère et tranquille d’armées de fonctionnaires, ronrons, bourgeois, disciplinés, et parfois grassement payés pendant des lustres à ne rien faire, sont là à s’emmerder avec des vies monotones et sans surprises, sachant à l’avance de quoi seront faits les lendemains, calculant au cent près ce que sera leur pension à la retraite, et n’ayant jamais besoin d,aller chez la voyante pour prédire leur avenir !:)) on fait des enfants, on arrose et coupe le gazon, on traite le chien ou les chats comme des membres entiers de la famille avec courses hebdomadaires au magasin spécialisé, et on va aux même cinoches et aux mêmes restos, et on dort à 21 heures ou 22 heures max ! :))) les syndiqués comme les syndicalistes y sont si dociles que vous pourriez les adopter eux aussi et les installer dans votre salon ! :))
Mais alors dans le secteur privé là, c’est un autre monde ! bienvenu dans le corporatisme abjecte Canadien… et je ne développerai pas plus juste pour dire que les syndicalistes dans ce secteur sont une race à part, certains encore plus bourgeois que les cadres, ne vivent que pour »profiter » de tels ou tels opportunités, les copinages avec les boss et autres ressources humaines sont la règle s’ils veulent faire long feu dans leur carrière, et les coups bas sont de mise aussi ! les syndicalistes qui peuvent être vos collègues vivent en tous cas mieux que beaucoup de cadres, sont rompu à toutes les trahisons, les coups de couteaux dans le dos, l’hypocrisie est dans leur ADN, et la méprise de leurs clients syndiqués est une tradition ! Que voulez-vous, la sécurité d’emploi prime avant tout ! et les heures supplémentaires qu’ils s’accordent ou obtiennent et facturent à l’insu des syndiqués sont légion, autant que les heures faites pour les activités »syndicales » qui se résument à de la masturbation bureaucratique, et autres voyages de tourisme et d’agrément partout au Canada, tous frais payés, au point que ça frime au retour et ça raconte comment on s’est éclaté et visité tel ou tel endroit !
Mais en règle générale on dira pour résumer, les deux, secteur public ou semi-public et secteur privé, s’il y a un truc qui cloche grave au Canada, c’est la gouvernance ! Les Canadiens sont des champions incontestés du copiage sur papier de ce qui se fait ailleurs pour la forme et l’apparat, les règles d’éthique, les documents sur les conflits d’intérêts qu’on vous fait signer à chaque année, les codes de conduite à signer aussi, les discours, la frime, les jargon exemplaire…etc, mais dans les faits, c’est le tiers monde ! la jungle et la loi du plus fort ! et beaucoup d’incompétence en passant, trop de copinages, trop de duplicité, au point qu’il y’en tellement qui ne doivent leur ascension sociale que grâce à cela, sans qu’il y ait le moindre mérite dans leur parcours comme dans leurs personnes ! une culture de médiocrité qu’on ne trouvera même pas en france ou dans le tiers-monde ! car on ne fait même pas semblant d’être ou représenter mieux que cela ! et si vous avez le malheur de vous interposer ou seulement représenter autre chose que cela, vous devenez l’ennemi de tout le monde ! grands et petits, syndiqués ou pas ! et ce sont les syndicalistes qui se paient votre tronche du matin au soir et ne manquent pas une occasion de vous dire justement que vous êtes hors sujet, et on se demande ce que vous faites là dans ce système, au milieu de cette maladie ! :)))
Le Canada se bat justement depuis toujours, et fait des pieds et des mains pour que jamais les règles strictes américaines, anglaises, françaises ou allemandes et autres sur la bonne gouvernance, la transparence dans celle-ci et l’abolition même de certaines lois qui le permettrait, soient instituées ici ! On est pas concerné ! Nous avons déterminé depuis longtemps nos propres règles de gouvernance ! jugez-les si vous voulez comme vous voulez mais vous n’y changerez rien ! car au Canada les intérêts des particuliers et autres groupes pourris priment sur les intérêts de la communauté, ou ceux de la société et c,est ainsi ! à prendre ou à laisser ! tous nos politiciens d’ailleurs sont rôdés et rompu pour protéger cet état de fait ! et même s’il se trouve une société qui se désagrège à cause de cela, des travailleurs, des familles, et parfois même des entrepreneurs qui en souffrent et ne peuvent justement pas fonctionner dans un tel système, tant pis ! ils n’ont qu’à déménager du Canada !
Je pense avoir résumé un peu ce que beaucoup de canadiens pensent tout haut, et ne disent jamais ! et pour s,en convaincre il n’y a qu’a voir ces campagnes électorales comme celle de maintenant ! même les politiciens ou les candidats sont incapables de dire ces vérités ou peuvent y changer quoi que ce soit ! et faute de mieux, matraquent la population par le biais des médias par des slogans vides et des dépenses énormes pour célébrer ensemble la médiocrité du système ! et le Québec n’est pas mieux loti dans tout ça… c’est quasiment la même chose, mais en pire sur tellement d’aspects !
Et juste une petite anecdote en passant !
Dans un vieux job, mon boss de deux paliers (boss de mon boss), et proche dans la hiérarchie des VP et autres gros bonnets de la boîte, bref, un type beaucoup moins âgé que moi, ignare, pistonné et sur-pistonné, boosté aux fonctions de la direction opérationnelle, faux cul, tricheur, sournois, bien entouré, copain des boss sur des transactions douteuses qu’il leur fait passer, en plus d’être leur confident et homme de main pour d’autres tâches n’ayant rien à avoir avec son job, ayant pour toute formation son secondaire avec un certificat universitaire, et l’ancienneté, mais comme certains de ces immigrants de seconde génération anglicisés ou qui refusent de parler français, vous vendrait un bateau dans votre sommeil, affamé, rusé, branché et frimeur, bref, ce type me fera la guerre durant trois ans par sous-fifres interposés, il a tout tenté, tout essayé, lâché ses plus gros chiens, usé de la guerre bactériologique, les ragots, le harcèlement indirect, les pressions de mes boss directes, tout ça parce qu’il savait que je n’ignorait rien de ses combines et autres malversations, et que je faisait le con du matin au soir en faisant semblant que j’étais au courant de rien, en plus d’accepter de faire les tâches des autres, ses amis, juste pour qu’on me foute la paix, et ne pas créer de vagues… et surtout en leur tendant des perches pendant toutes ces années, tenter de me faire ami et envoyer des signaux pacifiques qu’ils ont tous ignoré ! mais au final, en bon procédurier et à force de coups bas, et rompu à l’art de la guerre avec ces gens là, je cultivais les amitiés autour de moi, je leur faisait face avec mon clan qui n’était pas des moindres en terme d’équipes, et lorsqu’ils ont cru pouvoir en découdre avec moi, avec l’aide directe d’au moins un VP, et surtout voyant l’ampleur de la chose si je décidais encore de continuer à me laisser faire, j’ai sorti le grand jeu et j’ai déstabilisé tout le pouvoir sur lequel ils étaient assis… j’ai fait une plainte à laquelle ils ne s’attendaient surtout pas et je me suis retrouvé assis avec les grands boss pour leur donner des leçons de gouvernance et leur expliquer pourquoi tout leur système est foireux de A à Z!
Bien entendu, tout ceci n’a servi qu’à m’éviter de devoir les subir encore, et comme dans un film américain, dans un programme de protection de témoin, j’ai eu droit à la paix et l’engagement de la compagnie à me fournir la protection totale de toute tentative de vengeance qui bouillonnait en eux, surtout, surtout et surtout que je les avait pris en pitié et sauvé leur job en demandant formellement à la compagnie dans ce processus de les garder et les »réformer » ou les éduquer étant des parents avec enfants, et que toute la frime dont ils faisaient preuve n’empêcherait pas leur vies de s’écrouler comme des chateaux de cartes… car comme tout le monde, vivant de paycheck à paycheck ! et le pire est qu’ils ont jamais rien su de tout ça, ils croyaient que c’est leur boss qui les ont sauvé ! C’est sûr que ça ne m’a surtout pas aidé vu le tremblement de terre que j’avais créer et dont les redondances pouvaient se ressentir au niveau national dans les branches de la compagnie sans que cela puisse être relié à moi, et donc au bout de ces années là, voyant qu’il était vain que je demande à me promouvoir aux postes de gestion vu la réputation qu’ils ont tenté de me faire à mon insu, je demandais une indemnité de départ lorsque l’occasion se présentait et foutait le camps ! on m’a tout de suite signé le chèque et souhaité bonne chance !
Et donc avec le recul, et non pas l’ironie ou l’amertume, j’ai tout de même un regret dans tout ceci, je ne sais pas pourquoi je leur ai fait cadeau avec les syndicalistes aussi de les blanchir ou couvrir ou les sauver, alors qu’ils étaient prêts à me sacrifier et me jeter dehors combien de fois ! j’ai donc contribué à garder et maintenir le le système intact pour une histoire de conscience humaine alors qu’ils ont en été dépourvu depuis toujours, et ont détruit combien de personnes devant moi ! et à cet instant, je ne sais toujours pas pourquoi est ce que les grandes entreprises canadiennes préfèrent encore utiliser des gens sous qualifié pour des postes à responsabilité et les payer moins bien sûr, alors que le coût qu’ils lui en font subir est bien plus élevé que les économies de salaire minable qu’elles tentent de réaliser ! rien que dans ce boulot, j’ai estimé à plusieurs millions les pertes subies à cause de ce genre d’énergumènes employé massivement en gestion alors que dans les équipes au bas de l’échelle, vous trouviez des gens qui ont des bac et des maîtrises et qui sont royalement ignorés ! et inutile de dire que ces profils sous éduqués et pistonnés sont souvent ceux qui se permettent des maisons cossues, des trains de vie d’avocats d’affaires, roulent en voitures de luxe, se la pètent du matin au soir, et pour couronner le tout, se dont entrepreneurs en immobilier dans leur temps libre, possèdent des logements à revenu à crédit et se font creuser des piscines de luxe chez eux pour épater la galerie !
Un jour, un client et vieil avocat pointu de Montréal m’a dit, si tu veux te faire ta place ici, il ne faut pas avoir d’état d’âmes, personne ici ne te fera le moindre cadeau, et tu ne dois en faire à personne ! et si tu savais jusqu’où les gens sont prêts à aller pour nuire aux autres ici, si tu savais comment les gens s’empoisonnent et empoisonnent la vie les autres, tu ferais probablement tes bagages et déciderai de quitter ce pays ! et il avait parfaitement raison ! corporatisme ou pas, syndicalisme ou pas, fonction publique ou pas, nous sommes dans l’antre du loup ! le capitalisme en Amérique du Nord à appris aux gens de s’envier, se détester et se hair malgré toute la mise en scène et les sourires jaunes, les copinages et autres clans et amitiés de facade, ici c’est chacun pour soi et le dollar pour qui sait aller le déterrer quit à commettre les pires crimes !
le syndicalisme canadien ne déroge pas à la règle, ni d’ailleurs les syndiqués entre eux qui passent leur journées à se fliquer entre collègues, à se passer des ragots, à se hair, à moucharder les uns les autres, à vendre la mèche ou autres scènes de lèche-culisme et léchage de bottes, en plus de maîtriser l’art de l’hypocrisie et des calculs en tous genre, comme si au fait, on était dans une espèce de scénario de survie ou les uns doivent obligatoirement nuire, voir éliminer les autres ! et le pire est que même les tous jeunes, à peine vous les incorporez dans ces systèmes, ils les adoptent par cœur, et vous voyez bien leur inconfort et leur mauvaise humeurs et le fait d’être mal dans leur peau pour devoir se taper ce genre de relations sociales !
Le tiers monde c’est la même chose en tous cas, et vous ne trouverez pas de prolétaire, ni de cadre qui a la paix au boulot ou chez lui, et après on se demande pourquoi les gens sont brûlé aussi jeunes qu’à 35 ou 40 ans ! c’est on dirait une tendance sociale ! et un destin auquel nous nous sommes tous condamné à l’avance hélas !
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Au fond, les économistes autant que les juristes savent bien que toutes ces lois syndicales, ce »Droit du travail » ou »Code du travail », ou ces négociations syndicales, grèves et sit-in et autres joyeusetés issues de cette culture dite »productiviste » que ce soit dans le monde bureaucratique et administratif ou celui du capitalisme en général prêtent a réfléchir avant de prêter a confusion…! sachant qu’a partir du moment que vous prenez la décision, sous contrainte certes…afin de travailler, manger, vous loger et payer vos factures, d’intégrer ces groupes et organisations en tant que salarié sous quelque titre et fonctions que ce soit, vous acceptez en réalité de vous soumettre aux règles du jeu, et pas que, car très souvent, vous acceptez et prenez l’engagement de servir, obeir et vous infeoder a une organisation quelconque dont la mission et les objectifs peuvent autant relever de l’utilitaire, du reglementaire, du social ou du nécessaire ou du pragmatisme »positif », que relever de l’arbitraire, de la pure excentricité, inutilité ou opportunisme quelconque comme c’est le cas de 80% des organisations et des entreprises ou corporations dans le capitalisme ambiant, puisque leur mission ou leur raison d’être est de créer des besoins, des produits et des services superflux et de faire prospérer leur modèle économique et leurs profits en prenant des risques considérables a cette fin ! …. Mais ceci est autre sujet qui relève de l’essence même du capitalisme et de l’utilité de ces organisations et entreprises depuis le début de la révolution industrielle a ce jour qu’on pourra aborder une autre fois ! …
Maintenant, que sont en réalité ces organismes ou entreprises parapubliques dont il est question ici, parfois appelés aussi offices, ou régies, ou entreprises semi-étatiques et similaires, ce sont comme chacun sait des organisations et entreprises dont le capital est détenu par l’état en totalité ou alors en ecrasante majorité lorsque l’état permet tout de même a des investisseurs institutionnels de prendre part au capital eux aussi qui peuvent être des banques, des fonds qui appartiennent autant au privé qu’a d’autres caisses ou organismes etatiques….bref (phénomène de plus en plus courant)… En somme, ces organisations et entreprises voient le jour par décisions politiques comme chacun sait et constituent aux yeux de l’appareil gouvernemental…en théorie… un moyen efficace pour administrer, gérer et générer des revenu probants a l’état dans des secteurs précis…or que dans la pratique et la réalité, et depuis l’invention de ce concept moderne d’entreprises semi-publiques, ces entreprises et organisations ne sont rien d’autre en même temps que d’extraordinaires mannes et mines d’or pour des »initiés » politiciens, leur familles, leur amis et leurs proches, auquel ont accès le plus souvent les plus rapprochés du système jouissants de passe-droits pour y accéder et pas la majorité ecrasante de candidats a l’emploi parmi la population ! Ce système est d’ailleurs de mise partout dans le monde et a côté des jobs de la fonction publique pour lesquels les gens sont prêts a tuer, il constitue un formidable crénau pour les opportunistes de tous poils, a tous les échelons, a partir des jobs au bas de l’échelle a ceux de cadres intermédiaires ou supérieurs…superviseurs et directeurs etc…Dans un environnement pareil, le revenu tout comme les profits sont garantis par l’interventionisme de l’état, ses monopoles ou ses diktats économiques, sont souvent conséquents et constituent des revenus solides a l’état et aux privilégiés qui en jouissent …et qui en retour, rétribue grassement les salariés et surtout les cadres… et en même temps, il n’y a pas meilleur endroit pour »faire carrière » tout comme l’administration publique, les jobs y sont assurés de durer toute la vie le plu souvent, sauf quelques malchanceux et sauf décision politique subite et innattendue de restructurer de fond en comble (qui arrive souvent) ou carrèment de dissoudre l’entreprise et devoir déplacer les salarié ailleurs ou les recycler ou alors les renvoyer moyenant indémité de départ et descendre le rideau !
Dans ce genre d’organisations et d’entreprises donc, bien que le poids syndical soit lourd, très fort et quasiment omniprésent, et autant la culture de l’Entreprise elle même… cette »sous-culture » syndicale en réalité induit que le tout le monde est totalement engagé a la base dans les orientations de l’état, inféodé aux politiciens au pouvoir et ce qu’ils décident d’en faire, soumis au diktat des règles bureaucratiques comme tout fonctionnaire et salarié et n’a en principe aucunn droit de questionner l’ensemble des aspects qui commandent une telle organisation quoi ! Bref, c’est un peu comme l’armée, ses codes hierarchiques et sa loi du silence pendant qu’en apparence on assure le contraire, on rassure et on promeut l’innovation, la valoristion du personnel, »l’esprit d’équipe » certes mais, les »initiatives personnelles » aussi etc…. le syndicat a ce titre, autre organisation dans l’orgaisation, lui, il est la pour policer et s’assurer que l’environnement du travail et les codes d’ethiques minimum soient respectes, en plus de servir de contrepoids aux cadres et chefs d’équipe afin de modérer leur pouvoir et agir en cas d’abus … en principe… mais en réalité, ces syndicats dans ce type d’organisations relèvent de politique syndicale toute tracée et esquissée par l’état et ses orietations politiques, ces syndicats dans ce secteur sont la pour réclamer une part du gâteau (a contrario du secteur privé), ils ont un poids considérable, ils ne visent aucunèment a améliorer les conditions du travail, promouvoir la bonne productivité, les bons processus de gestion ou se mêler de gestion, de compétences, ou d’équité, ils ont un rôle politique a jouer pour se promouvoir eux-mêmes et constituer avec les cadres supérieurs et les acteurs politiques du gouvernement d’excellents pouvoyeurs de privilèges pour tout ce beau monde au détriment de secteurs similaires du privé ou les pires massacres et mépris sot commis vis a vis des lois du travail et celles de la dignité humaine ! Bref, bienvenu dans le syndicat de l’appareil dictatorial qu’est l’état, ici tout le monde peut en profiter a condition de fermer sa gueule, et se contenter de faire semblant de travailler, ou alors accepter d’abattre une quantité injuste et phénoménale de travail et accépter que l’équipe a côté e fout rien du matin au soir, et si tout va bien, vous y serez affecté vou aussi en guise de remerciements pour avoir fermé votre gueule, et qui sait, vous pourriez même être promu au rang de cadre, si toutefois vous avez les bonnes connexions et les bonnes attitudes d’hypocrisie avec tout le monde et qu’en froid calculateur sans état d’âmes, vous êtes capâbles de traduire les désirs de la direction en réalités quit a commettre plusieurs infractions et crimes ordinaires envers les plus faibles tout en sachant garder ses entrées au syndicat ! :)))
Tout ce folklore de grèves des enseignants, des fonctionnaires, de travailleurs du parapublic ou semi-public figure ainsi en bonne place sur nos médias en effet, car il s’agit de montrer qu’il existe des pressions énormes dans »notre démocratie », même si ceci ne concerne en réalité que 1% de la population, ce genre de manchettes fera la une, le temps que durera le conflit, et sans résoudre quoique ce soit, ou alors de manière aléatoire, ou alors a travers la conclusion d’ententes spectaculaires comme ces hausses salariales significatives, qui se font le plus souvent au détriment d’autres postes budgétaires ou de dépenses nécessaires, ce cirque et ses codes mystérieux pour le citoye lambda continue ainsi, et les conflits s’enchainent les uns aprè les autres que ce soit dans les jobs de l’administration et du gouvernement, ceux des organisations professionnelles qui sont pays par l’état aussi, ou celles des entreprises parabubliques ou semi-étatiques, pendant que le secteur privé lui, qui emploie 80% des travailleurs n’est que très sommairement couvert ou suivi, sauf lorsqu’il s’agit de proches des milieux politiques encore…. comme lorsqu’ils viennent nous parler de la grève des travailleurs de l’usine a poulets industriels au nom pompeux et célèbre et dont les produits goûtent le caoutchouc et sont troi fois plus chers que ceux du marché ordinaires, et donc les médias sont devenu e réalité, l’outil suprême de propagande et de filtrage des infos au public afin de sensibiliser pour certaine causes clientélistes et pas les autres et la majorité et ainsi de suite jusqu’a la stagnation de cette médiocrité institutionnelle et étatique sur ce constat ! c’est toute la culture du pays qui en devient affecté et juste après le bulletin d’infos, c’est la publicité pour la même usine de poulet inmangeable et infecte qui repart de plus belle, ou alors, c’est des infos et des thèses contradictoires a tout ce qui fut promu sur le bulletin d’info qui vous tombe dessus, et l’animateur radio que vous écoutez dans votre auto en conduisant, enchaine tout de suite aprè sur le gros cul de kim Kardashian, sur les people, ou alors sur de phenomèes de faits divers accentués et prend les appels de gens outrés que de tels phénomènes existent, souvent de pauvres quidams qui n’ont rien a foutre et se jettent sur leur téléphone pour parler q l’animateur radio et passer a la radio ! :))))
A après tout ceci, tous ces fonctionnaires et salariés viennent se plaindre »j’ai regretté de faire carrière la-dedans, car le génie que j’étais aurait pu exploser son talent dans les sciences pures, la technnologie, ou chais pas quoi »…. »Je vis de paycheck a paycheck, je croule sous les dettes, et mon assureur veur pas couvrir les frais pour refaire mon toit », et vous de lui dire »Ah tiens, et pourquoi tu t’es acheté l’auto flambant neuve, et décidé de rénover la cuisine ou la salle de bain, tu aurais pu garder l’ancienne auto tout aussi neuve et économiser plus de la moitié de cette dépense, et reporter les rénos ou les faire bien plu modestement ..non ?! » et lui ou elle de répondre »oh mais tu n’a aucune idée ! l’ancienne auto avait de sérieux problèmes avec une garantie qui expire, et si je n’avais pas rénové la cuisine et la salle de bain, j’aurais eu un sinistre qui m’aurait coûté la maison ! »… bref…
Au fond, il y’en a un petit peu marre de croire ou se taper les lamentations du peuple qui consomme comme un fou depuis toujour d’ailleurs, et qui croit en tant que salarié, qu’il aurait pu et il aurait du, et il aurait accompli on ne sait quoi ! la grande majorité de gens sont des crâneurs, crosseurs qui pasent leur vie a lécher les bottes de leurs employeurs, leurs bourreaux et leur patrons ! un peu comme les consommateurs d’auto passionés de leur marques d’auto vous disent et vou assurent que leur auto ne consomme rien ou presque, alors qu’elle consomme comme un tank, et facilitent tout le temps le travail des constructeurs auto qui refourguent la marchandise et même eux n’osent pas vanter leurs produit autant que les idiots consommateurs les vantent ! A ce popos j’en rigole tout le temps avec un constructeur japonais comme Toyota, qui sur certains modèles luxueux et chers ils ont 4 ans de listes d’attentes tellement ils ne peuvent pas combler la demande, alors que leurs monstres consomment du carburant comme des avions mais jouissent d’une fause pub qui crève le plafond par des consommateurs en plus ! les constructeurs de SUV et de Pickups en général c’est le même phénomène, leur pub se fait par les consommateurs, pub mensongère autant que par les compagnies, et aprè on s’étonne que les milliardaires excentriques a l’origine de tels projets et industries ne considèrent pas le peuple comme des demeuré et des idiots faits pour leur lécher les bottes !
C’est toute l’histoire du capitalisme qui est faite ainsi, car depuis le début, c’est uniquement 20% de ce qui est produit qui répond a des beoins réels, ou alors remplit des fonctions nécessaires, le reste, ce sont des projets excentriques qui soient adopté par la populace et qui se soumet du coup a une culture de consommation des plus idiotes et des plus asservissantes pendant que les »nobles » les »milliardaires », et les décideurs politiques ou économiques se foutent du peuple et en rigolent tout le temps ! de la même mainère aujourd’hui, on vous refourgue que »faire carrière dans ceci ou cela » constitue le nec plu ultra, vous allez être heureux, riche et prospère…. alors que si vous ne jouez d’opportunisme entrepreneurial et commercial vous-mêmes vous erez toujours l’eclave de quelqu’un ! :)))
Bonne fin de semaine habibi ! (je n’ai commenté aujourd’hui que parce que je vois que vous aimez bien relancer les billets ou je vous ai tartiné de l’ampoulé a profusion :)))) )
(PS : A propos de Toyota, que je ne conseille a personne, j’ai longtemps (plus jeune) rêvé de m’offrir le modèle 4Runner flambant neuf, viril, gros utilitaire et 4×4 et chais pas quoi, et alors que les américains ne jurent que par ces produits Toyota et assurent qu’on le garde 30 ans sans la moindre réparation sauf la vidange et le changement de pneus…etc…. jusqu’au jour ou on m’a assuré que ce type de véhicule peut consommer facilement du 26% ou 30% en ville dans la réalité! et qu’il ne descend pas en dessous de 14% sur route ou sur autoroute !!!! que j’ai réalisé l’ampleur de la supercherie, Toyota annonce faussemet qu’il consomme entre 9% et 11%, et les consommateurs surtout mentent comme ils respirent sur la consommation et sur le reste ! en gros, ces industriels nous refourguent leurs projets excentriques et ce n’est qu’ainsi qu’ils s’erichissent, et ce, dans tous les produits et secteurs, et dans tout et n’importe quoi…! faut vraimet commencer par soigner le peuple avant de penser entreprendre quoique ce soit, car je suis formel, le peuple est fou, mais pas les capitalistes eux ! pas du tout ! les capitalistes sont des gens intelligents et presque raisonnables par rapport aux peuplex de merdouilleux qu’on a) …:)))) Yallah bye ! et si Toyota veulent me poursuivre, chuis dispo je les prend quand ils veulent…. ce serfa l’occasion pour le poursuivre et leur réclamer quelques millions des milliards de profits qu’ils ont tiré depuis des lustres, et de la pollution qu’ils ont occasionné, au point d’équiper les minières et l’état islamique daech aussi :))) quels salopards ces Toyotatistes japonais ):)))