Merde in France
Les ordonnances du docteur Macron, à peine validées, voilà que l’insécurité sociale revient sur le devant de la scène. La grippe a d’ un seul coup mis à jour toutes les contradictions de la crise sociale française. Le désert médical s’ étend maintenant aux grandes villes quant au monde rural il peut crever en silence, tout le flot des laissés pour compte reflux sur les Hôpitaux, les urgences ne font plus face et les grèves se déclenchent à des intervalles réguliers ; actuellement Lyon Sud, Chinon, Murat dans le Cantal ,CHU de Toulouse , Laval…sont en grève . Puis pour les vacanciers de la neige,ils ont été gâtés, de la neige il y en a, mais de trop alors interdiction d’aller sur les pistes les avalanches menaces, conséquences confinement sur place. Mais après la neige ce fut de la pluie incessante qui balaiera les départements, dans un premier temps ce fut la joie pour les agriculteurs qui voyaient les nappes phréatiques remonter, mais la joie fut de courtes durées, les inondations , les coulées de boue… allaient se répandre bloquant les routes, les trains, les entreprises, mettant des travailleurs en chômage technique et les écoles en bernes.
L’ État sécuritaire de Macron, n’ étant présent que sur les écrans de Télé mensonges, même les prisons sont devenues des lieux dangereux pour le personnel, les matons sont en grève dure et qui dure, mettant l’ appareil d’ état en difficulté celui ci devant envoyer les forces de l’ordre contre les matons. Il ne faut pas oublier la SNCF, régulièrement sous les feux de la rampe, pour ses retards et pannes informatiques, le message est clair la SNCF c’ est le bordel il faut poursuivre la privatisation. Mais ce discours ne prend plus parce qu’aujourd’hui à des degrés divers on se rend compte de l’ appauvrissement de la population et notamment des retraités qui subissent l’inflation, plus une amputation des retraites et pour eux les affres des déserts médicaux.
Ces événements naturels, ne vont pas arranger les caisses de l’ État ni celles des assurances, qui de toute manière procéderont des augmentations de primes tout en restreignant les indemnisations. Un rapport de l’ OCDE considèrent que les dommages vont se chiffrer à des milliards d’ euros , RFI déclarait
« On imagine une métropole comme Paris envahie par les eaux, comme lors de la grande inondation de 1910. Sauf qu’aujourd’hui, les sous-sols sont truffés de câbles électriques, de tuyaux en tous genres. Certains immeubles de la capitale sont confrontés à des remontées d’égouts, des systèmes de chauffage à l’arrêt, certains sont privés d’eau potable.
Il y a déjà des dégâts, qu’on ne pourra évaluer définitivement qu’après la décrue, qui peut être lente. Et des entreprises qui se préparent au pire. Des centaines de milliers d’emplois seraient en danger en cas de crue réellement majeure. Et si le métro est complètement inondé, c’est tout Paris qui est paralysé. »
Hier, la télévision nous faisait voir la remontée des rats, qui se répandent dans la capitale et notamment dans les jardins publics.
G.Bad le 27 janvier 2018
“Nous avons besoin d’une grande vision et la personne qui l’obtient doit la suivre comme l’aigle recherche le bleu le plus profond du ciel” ► Crazy Horse
Née à Paname mais demeurant en province depuis de 30 ans et avançant en âge la justesse de votre propos est remuante sur les déserts médicaux qui prennent l’eau de toute part actuellement et à un point encore bien pire que décrit pourtant fort justement par cet Œil de Faucon pourtant bien acéré…
L’impression qui me serre la gorge, et pour vivre avec plus vieux que moi et pourtant en meilleur forme physique, c’est qu’il faut qu’on débarrasse le plancher, et le plus vite sera le mieux…
Prenez bien soins de vous, qui que vous soyez car notre seule vraie richesse c’est notre santé.
JBL1960