LE SIONISME

Par  Mesloub Khider.  Le 13.02.2018.  Pour  www.les7duquebec.com
 
L’histoire fourmille de récits confectionnés pour les besoins de la cause. Souvent d’une cause perdue d’avance. Tant sa justification tout comme sa légitimité est historiquement infondée.  Les récits mythiques, souvent élaborés pour imposer une histoire rapiécée et épicée de mensonges, emplissent les livres d’histoire.
Malheureusement, souvent, les mythes s’incrustent comme des mites dans les mémoires collectives. Tout comme il est difficile de se débarrasser des mites qui colonisent une maison, il est malaisé de se défaire des mythes qui polluent l’histoire.  Et certains mythes ont la vie dure. Ils s’imposent comme vérité historique malgré la flagrance de leur caractère mensonger.
Il est vrai que, comme le disait le ministre de la propagande du régime nazi, Goebbels, « un mensonge, à force d’être répété, finit par devenir vérité« .  Et le mensonge une fois logé dans la mémoire collective, il acquiert force de loi. Et il n’hésite pas à recourir à la loi de la force pour se perpétuer.
L’histoire est ainsi truffée de ces mensonges érigés en vérité. Et de vérités longtemps réduites à des mensonges, avant de triompher historiquement. Galilée était mensonge aux yeux des pouvoirs absolutistes royal et ecclésiastique, avant de devenir vérité aux yeux de la science universel. « Et pourtant elle tourne« , avait-il lancé à ces détracteurs du tribunal de l’inquisition adepte fanatique de la théorie géocentrique. En effet, la roue de l’histoire tourne. En dépit des forces rétrogrades qui tentent de freiner son ascension.
Ces forces obscures qui veulent nous persuader que leurs ténébreuses idées archaïques gouverneront éternellement l’esprit de l’humanité contre la volonté des sciences qui ensoleillent la vie. La falsification de l’histoire est vieille comme le monde. De nos jours, beaucoup de pays se drapent dans le manteau de l’imposture. De la posture historique frauduleuse. La fraude historique est l’œuvre de pays aux mœurs de voyous. Ils refusent de s’acquitter honnêtement de leurs devoirs de vérité au trésor public de l’Histoire. Ils préfèrent user de l’escroquerie historique pour détrousser le passé et tresser des couronnes à leur gloire usurpée présente.  Les faussaires de l’histoire agissent en toute impunité pour usurper la mémoire collective, annexer un pays au nom d’une histoire frauduleusement fabriquée dans les ateliers mafieux de la mythologie. Pour légitimer leur dictature. Pour justifier leur projet de création d’un État.
Il en est ainsi d‘Israël, ce pays voyou qui a commis le pire hold-up de l’Histoire en s’accaparant la terre de Palestine. Vol (viol) perpétré au nom d’une mythologie biblique érigée en vérité historique. En effet, cet État artificiel (sacrificiel du peuple palestinien), construit de toute pièce à l’aide d’individus   hétérogènes ramassés dans les ghettos de multiples pays, s’est offert avec l’argent de ses souteneurs un mythique peuple qui n’a de commun que la religion judaïque.
Et pour asseoir sa domination, et perpétuer son abomination, il s’est doté d’une pseudo-démocratie pour s’attirer l’admiration.
Cependant, cet État théocratique, à l’histoire blindée de mythes, se voit obligé d’être en guerre permanente pour maintenir et perpétuer sa factice union nationale, faute de quoi il sombrerait par absence d’alimentation belliqueuse. Il ne se nourrit que de guerres récurrentes et écœurantes. La paix lui est impossible. D’où cette impérative nécessité de transformer le pays en caserne où chaque israélien porte l’uniforme militaire à vie.
En effet, il sait qu’il n’a aucune légitimité historique.  Israël est atteint d’un syndrome singulier, caractérisé par la pathologie guerrière, l’affrontement permanent.  Israël est doublement condamné à vivre sur le pied de guerre et les provocations bellicistes répétées.
Pour des raisons exogènes et endogènes. Exogènes : car il est entouré de pays ennemis qui n’accepteront jamais son existence, et donc veulent sa destruction. Endogènes : car sa population hétéroclite maintient sa cohésion que sous le feu de la guerre permanente. S’il y’a instauration de la paix, plus qu’improbable, l’équilibre interne s’effriterait aussitôt. Les dissensions entre les différentes communautés juives éclateraient au grand jour. Car cette prison dorée du peuple renferme des juifs qui n’ont rien de commun sinon la religion hébraïque.
Pourtant cette colonie de peuplement est guettée par le dépeuplement colonial. En effet, en créant leur État colonial en Palestine en 1948, les Juifs sionistes ont creusé leur tombe. Que symbolise la constitution de cet État sioniste sinon la dernière création du grand ghetto juif mondial instauré sur une terre dépourvue durant des siècles de tout « foyer juif ». Une terre habitée des siècles durant par des Palestiniens de toutes confessions.
Pour mieux mesurer la dimension coloniale de ce pays artificiellement créé par les puissances impérialistes (y compris l’URSS) au lendemain de la seconde guerre mondiale, il est important de rappeler que la fondation du sionisme a pris forme dans le contexte de la phase aiguë de l’impérialisme, du colonialisme. Il intervient au lendemain de la conférence de Berlin sur le partage de l’Afrique. En pleine période de conquêtes coloniales. En pleine phase de l’émergence des mouvements racistes (le livre d’Arthur de Gobineau « Essai sur l’inégalité des races humaines » venait d’être publié), du développement du darwinisme social, du fascisme, du nazisme, des irrédentismes.
Et les Juifs européens, majoritairement ashkénazes, imprégnés de ces idéologies nauséabondes, ne feront qu’emboiter le pas à leurs compatriotes européens dans leur entreprise de conquête coloniale sioniste. Pourquoi le projet sioniste n’est pas né au XVIIIème  siècle, ni au XIVème ni au VIIème siècle ? Car il n’avait aucun fondement historique. Ni une légitimité sociologique. Il correspond à cette période du capitalisme colonial. Il s’inscrit donc dans cette phase de l’impérialisme triomphant.
Mais aussi, du problème de l’immigration. Paradoxalement toujours d’actualité. En effet, l’appui apporté par les pays à forte immigration juive au projet sioniste de création d’un foyer juif, s’explique par le souci de ces pays de régler radicalement la question de l’immigration  juive par leur expulsion massive dans un territoire éloignée des frontières européennes.
Quitte à priver un autre peuple de son territoire. Le soutien apporté par les pays favorables à la création de l’Etat sioniste n’était absolument pas mû par l’humanisme. Mais par leur volonté de se débarrasser des Juifs de leurs pays respectifs.
En vérité, à l’issue de la seconde guerre mondiale, ces pays n’ont fait que poursuivre la politique nazie de parcage des juifs dans les camps. Par leur décision de soutenir la création de l’état sioniste, ce vaste ghetto administré par les juifs sionistes eux-mêmes, ces pays ont réglé à leur manière la « question juive« .  Mais au dépens des Palestiniens, transformés à leur tour en « immigrés » dans leur propre pays, ou obligés de vivre dans de vastes ghettos comme en Cisjordanie.
 
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Sauf que cet immense ghetto juif placé au cœur de l’Orient, donc loin de l’Europe, n’a fait que déplacer le « problème  juif « . Problème juif en effet, car il s’agit de déterminer la validité historique de l’existence du « peuple juif« . Et donc de la légitimité d’Israël, de la « nation juive« .
La question a été scientifiquement tranchée par le grand historien contemporain israélien Shlomo Sand : il n’existe pas de peuple juif. C’est une invention de l’Occident (et bien sûr des juifs européens mais manipulés par les machiavéliques dirigeants européens) pour justifier, comme je l’ai précisé plus haut, leur politique d’éloignement des juifs de leurs pays respectifs. On ne fonde pas un peuple sur la seule base d’une croyance à une même religion, à plus forte raison quand ses adeptes sont originaires de multiples pays disséminés aux quatre coins du monde. Et porteurs de cultures aussi dissemblables. Qu’ont de communs un juif d’Algérie et un Juif de Pologne ? Rien. Le juif d’Algérie est plus proche par sa culture, ses traits physiques, sa langue, de son frère algérien musulman que du juif ashkénaze polonais. L’impérialisme en a décidé autrement.
C’est comme si demain, les Témoins de Jéhovah, pourtant constitués d’adeptes originaires de nombreux pays répartis sur tout le globe, décidaient de se constituer en peuple et de créer un foyer national, un État. Cette entreprise aurait-elle une quelconque légitimité historique au regard du droit international ?  Absolument pas. Et pourtant, c’est ce qui s’est produit avec Israël, créé artificiellement par L’ONU en novembre 1947. Et tout comme le colonialisme, dans sa période glorieuse de conquêtes effrénées et insatiables, Israël pratique la même politique d’annexions et d’occupations territoriales permanentes. Rien ne l’arrête dans son expansion coloniale. Preuve de la nature colonialiste du sionisme.
 

Seule une résistance mondiale de tous les anticolonialistes, et particulièrement du prolétariat, pourrait stopper l’extension sioniste. En vérité, seule la révolution mondiale prolétarienne mettra un terme au sionisme par la destruction de tous les États artificiels de cette région et l’établissement d’une confédération étendue à tout le Moyen-Orient où tous les habitants vivront librement en symbiose, arabes, juifs, kurdes, dans cette nouvelle société communiste.

Et pourtant cette terre appartient au peuple palestinien, proclament en chœur tous les anticolonialiste, en dépit des dénégations sionistes. Le Tribunal de l’Histoire se chargera de rétablir la vérité. Galilée a triomphé contre l’obscurantisme. La cause palestinienne aura raison contre l’injustice.
La disparition d’Israël, dernier vestige colonial occidental, est inscrite dans le mouvement de l’histoire.
Mesloub Khider
 

Robert Bibeau

Auteur et éditeur

6 réflexions sur “LE SIONISME

  • 13 février 2018 à 6 h 33 min
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    Cet article contient quelques idées intéressantes (quelques vérités politiques mais aussi des erreurs), mais n’est ni bon, ni correct, car l’auteur fait la confusion entre Juif et sioniste et se base sur l’imposture de ce renégat de S. Sand. Ce pseudo-historien, « post-sioniste », hérétique, se disant ex-Juif, nie la Révélation en faisant de l’histoire du Peuple Juif un mythe !
    Toutefois, il y a moyen d’être antisioniste (politique) tout en étant Juif respectant la Thora (spirituel) pour arriver à la conclusion que l’entité sioniste basée sur l’hérésie, le mensonge, l’usurpation de terres habitées, disparaitra.

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  • 13 février 2018 à 9 h 53 min
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    @ L’AUTEUR
    1) Il aurait été bon que dès le départ que tu te poses la question : QU’EST-CE QUE C’EST ISRAËL ? D’OÙ ÇA VIENT CETTE ENTITÉ ?
    QUI EST DERRIÈRE CETTE CRÉATURE ?
    POURQUOI A-T-ELLE ÉTÉ CRÉÉE ?
    ISRAËL A-T-IL UN AVENIR À LA LUMIÈRE DES RÉPONSES TROUVÉES –
    ENSUITE, T’EN TENIR à la réponse choisie par toi TOUT AU LONG DU TEXTE INTERPRÉTATIONS ET HYPOTHÈSES
    cela t’aurait évité de louvoyer sur ce thème tantôt d’un côté – tantôt d’ un autre
    2) Ainsi tu attaches beaucoup d’importance à la soi-disant communauté internationale et à l’ONU ???
    Aux États-Unis également — mais les USA pouvaient-ils faire autrement ? Ils ont hérité de cette patate chaude et ne savent plus comment s’en défaire. Mais ils s’en déferont.
    3) Ainsi il n’y a pas de question juive COMME TU LE SOULIGNES (QUOIQUE PARFOIS TU INSINUES QU’IL Y A UNE QUESTION JUIVE) lis ce texte paru récemment chez les 7 c’est un juif qui le dit http://www.les7duquebec.com/7-dailleurs-2-2/la-vraie-nature-du-sionisme/
    Il n’y a pas de question juive mais il y a une question ISRAÉLIENNE puisque cet État existe réellement depuis 1947 QUE DOIT FAIRE LA CLASSE OUVRIÈRE AUJOURD’HUI ET DEMAIN AVEC CETTE QUESTION QUI S’IMPOSE AU MONDE que nous le voulions ou non ???
    A) Tu fournis une mauvaise réponse ici :  » Seule une résistance mondiale de tous les anticolonialistes, et particulièrement du prolétariat, pourrait stopper l’extension sioniste.  » À MON HUMBLE AVIS
    B) tu fournis une bonne réponse ici à mon avis « Seule une résistance mondiale de tous les anticolonialistes, et particulièrement du prolétariat, pourrait stopper l’extension sioniste.  »
    robert bibeau http://www.les7duquebec.com

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  • 13 février 2018 à 16 h 07 min
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    Bonjour Hadassah
    Je te remercie pour ton commentaire. Dans ton commentaire, tu me prêtes quelques idées étrangères à ma pensée. En effet tu indiques avoir relevé quelques confusions dans mon analyse sur la question sioniste. Notamment que je ferai une confusion entre Juif et sioniste. Cette confusion s’expliquerait, selon toi, par mon erreur de m’appuyer sur les thèses de S. Sand, renégat selon tes dires, pour appuyer mon argumentation sur la question de la définition du Juif.
    En fait, la question se pose de cette manière : se détermine-t- il par son assignation religieuse ou par son appartenance nationale ? Dans le premier cas la religion juive est érigée en identité nationale (Comme le postule le sionisme). Dans le second cas, son identité nationale se détermine par son appartenance à un pays (il est Français, Canadien de confession juive, il est d’abord un citoyen français et d’obédience juive, comme il aurait pu être français de confession musulmane, chrétienne, agnostique, athée, etc.) En d’autres termes, son appartenance nationale prime sur son obédience confessionnelle juive, celle-ci ne constituant pas une entité nationale mais une entité religieuse à laquelle tout un chacun, quelle que soit sa nationalité, peut se convertir, même si la conversion au judaïsme est malaisée voire impossible pour les raisons que tu connais mieux que moi. C’est pourquoi je considère, contrairement à ce que tu me prêtes, qu’on peut être juif (de religion, mais Français ou Canadien de nationalité) et ANTISIONISTE. En outre, tu as le droit de croire à la Révélation. De vivre librement ta judaïté. Chacun est libre de pratiquer son culte. Cela relève du choix personnel. De l’intimité de chacun. Pour ma part je suis athée. J’espère t’avoir convaincu. Cordialement

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    • 14 février 2018 à 14 h 38 min
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      Merci pour ta réaction. Je me réjouis que tu ne fasses pas la confusion entre Juif et sioniste, mais alors il faut s’exprimer autrement et puiser dans d’autres sources.
      Qu’est-ce qu’un Juif, c’est une bonne question. Pour rester court, le Juif ne peut être dissocié de D’ et de la Thora qui elle-même définit le Juif, qui est Juif, et qui est sa seule autorité. Ça, c’est sur le plan spirituel.
      Mais bien sûr que le Juif qui habite par exemple en France est aussi un citoyen français, et est soumis aux lois de ce pays qui ne contreviennent en général pas les Lois de la Thora, il sert la France en travaillant, payant ses impôts, en achetant etc.
      Quant aux Juifs authentiques, donc forcément et logiquement antisionistes, qui habitent en Palestine Occupée, ce n’est pas évident, du fait que l’entité sioniste en Palestine n’est pas légale, ni du point de vue de la Thora et la Loi Juive, ni selon le Droit International, surtout pour une raison encore plus importante qui est le fait que le Peuple Juif se trouve en Exil et Dispersion et qu’il est soumis aux trois Serments Divins http://www.bloggen.be/yechouroun/archief.php?ID=2749851 . Je comprends que cette dernière partie ne t’intéresserait pas en tant qu’athée, mais c’est une réalité que nous Juifs vivons. Cordialement aussi !

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  • 13 février 2018 à 23 h 18 min
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    Bonjour Robert
    Comme je te l’ai précisé hors cette page de ton blog, par voie de messagerie émail, initialement cet article a été écrit pour AP journal électronique algérien. Je l’ai rédigé avec toutes les précautions et autocensure rédactionnelles et politiques imposées par le journal. Pour te faire une confidence, la première partie de l’article est tirée d’un texte critique écrit sur l’Algérie mais non publié. D’où cette impression d’imprécision et d’insuffisance d’engagement prolétarien assumé comme tu l’as relevé dans mon article. Je l’assume. Quant l’aspect de la « question juive ». Pareillement, pour moi elle n’existe pas. Il n’y a qu’un problème colonial israélien. Enfin, tu me prêtes quelque naïveté idéaliste suivante exprimée sous cette interrogation :
    « Ainsi tu attaches beaucoup d’importance à la soi-disant communauté internationale et à l’ONU ???, » dis-tu.
    J’ai relu à plusieurs reprises mon texte, il n’est fait nulle part mention ou allusion à une telle affirmation. Tu me prêtes donc injustement une telle conception bourgeoise dans la croyance aux institutions capitalistes et impérialistes. En tant marxiste, je ne reconnais aucune institution capitaliste, à plus forte raison je n’attends pas de ces institutions impérialistes la solution aux problèmes de la planète. Elles n’existent même pas dans mon cerveau. Je suis conséquent avec moi-même. J’ai toujours dit que je n’appartiens absolument pas à cette société. Je ne partage aucune de ses valeurs. Pour preuve de ma cohérence avec mes idées révolutionnaires, je n’ai jamais de ma vie participé au cirque électoral. Je n’ai jamais voté. Pourtant, avec ma double nationalité, depuis que je suis en âge de voter en 1981, j’aurais pu voter des centaines de fois aux différentes élections locales, régionales, départementales, nationales, dans les deux pays. De là à croire à ce Machin de l’ONU, ou à une communauté internationale, j’ai jamais eu une telle illusion. Je crois uniquement à la COMMUNAUTÉ COMMUNISTE INTERNATIONALE, seule capable d’apporter la solution aux problèmes criminels (im)posés par le capitalisme. Et la solution : c’est la Destruction du capitalisme.
    CORDIALEMENT

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    • 14 février 2018 à 7 h 36 min
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      @ Khider
      Merci de cette mise au point. Je me suis fourvoyé dans ce point de ma critique.
      ATTENTION Les7duquebec n’est pas MON blogue mais un webmagazine auquel collabore, en plus de toi même, une douzaine de scripteurs réguliers et d’autres irréguliers.
      Bravo pour ton post très militant.
      robert Bibeau http://www.les7duquebec.com

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