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Du féminisme radical au féminisme ridicule

Par  Mesloub Khider.  Le  31.10.2017.  Pour  www.les7duquebec.com
 
Le féminisme est le dernier refuge de la femme prétendument émancipée, de la femme éplorée, estropiée, atrophiée, esseulée, isolée, désolée…
Une campagne médiatique effrénée a été déclenchée ces derniers temps pour dénoncer les agressions sexuelles dont seraient victimes les femmes. D’aucuns s’empressent de réclamer l’instauration d’une loi réprimant le harcèlement de rue. Voulant transformer ainsi les artères en zones parsemées de zombies. En endroits de défiance, de méfiance, de silence.
 

Gare à celui qui s’égare par un regard dénué d’égard. Attention à celui qui manifeste quelque geste leste
Gare à celui qui ose quelque prose en guise de roses à celle qui affiche une aguichante pose.
La cause est entendue. Désormais les relations sont tendues. Et les contre-attaques féministes rendues.

 
 
Ainsi, par la propagation de cette psychose « masculinophobe », la distillation de la suspicion à l’encontre de tout homme, la société capitaliste décadente tend à accentuer la division individualiste au sein de la société, marquée déjà par le chacun pour soi. Comme aux États-Unis et au Canada, le cloisonnement relationnel sexuel marquera bientôt les rapports humains. Partout, dans ces deux pays, au sein des entreprises comme dans la rue, l’homme s’expose à des poursuites judiciaires pour un regard, un geste ou une parole jugée par trop ambigu, tendancieuse, concupiscente. Au point où la mixité est devenue aujourd’hui impossible pour cause de potentielles accusations d’agressions sexuelles proférées par la femme. Réduits à des automates, ces hommes et femmes doivent brider leurs sentiments, surveiller leurs gestes, mesurer leurs paroles.
En résumé il faudrait se défaire de toute familiarité chaleureuse, se départir de tout contact réellement humain, se délester de toute séduction. Paradoxalement, cette mode intervient à une époque d’islamisation forcenée répandue partout dans le monde, marquée par le rejet et l’interdiction de la mixité. Cela interpelle. Dans les périodes réactionnaires, les pires miasmes remontent à la surface.
Les petits et ignobles esprits se rencontrent.
 
Partie des États-Unis, au lendemain des accusations de viol portées contre le producteur américain Harvey  Weinstein, cette campagne s’est étendue à de nombreux pays. Les féministes, toujours promptes à pousser des râles d’indignation, se sont engouffrées dans la brèche hollywoodienne pour monter leur mâle spectacle avec un vagissant plaisir. Dans leurs délires hystériques, elles invitent toutes les femmes à se muer en délatrices, en rédactrices virtuelles, pour dénoncer la prédatrice attitude de l’homme.
 
L’homme, voilà le nouvel ennemi, pour ces femmes en lutte contre le mâle qu’elles subissent, selon elles. Rien ne les arrête dans leur entreprise de dévirilisation de la société. De castration de l’homme. D’émasculation des relations humaines. D’effémination des comportements humains. De transformations des genres. De mutations des rôles sexuels. De glorification de luttes des sexes, en lieu et place de la lutte des classes. 
 
Bienvenue à l’érection du sociétal en instrument de combat, de débat, d’ébat
 Adieu au social, à la question sociale, à la revendication sociale, au combat social.
 

 
Dans cette société du spectacle, chacun peut jouer la comédie, pour mieux masquer la tragédie de sa vie. Le combat féministe est une lubie des petites bourgeoises désœuvrées. En effet, en quoi l’agression d’une femme, le viol d’une femme, concernerait-il uniquement les femmes ? Et devient ainsi prétexte à un combat stérile féministe. Ces agressions et ces viols ne relèvent-ils pas plutôt d’un problème de société qui concerne tous les citoyens.
 
Bien plus. Ces comportements criminels, barbares, ne dévoilent-ils pas l’incapacité de cette société capitaliste prétendument civilisée à protéger les femmes. D’offrir une égalité réelle. Des rapports « authentiquement humains ». Ne révèlent-ils pas la nature encore archaïque de cette société marquée par la mentalité patriarcale, la prégnance de la misogynie, de la phallocratie. Comme quoi, un siècle de luttes féministes dans le cadre du système capitaliste n’a en rien modifié les comportements des hommes. Dans les sociétés archaïques islamistes, la pénétration du capitalisme a, bien au contraire, ravivé le sexisme, l’oppression contre la femme. Preuve que le féminisme est un combat bourgeois d’arrière-garde.
 
Il n’est pas inutile de rappeler que durant la Commune de Paris comme pendant la Révolution russe, il n’y eut pas de mouvements féministes. Car le combat total et radical à mener impliquait la participation égale des femmes et des hommes. Et les revendications n’étaient pas fragmentées, les luttes parcellisées. La question de la femme s’intégrait dans le combat de l’émancipation intégrale humaine. Elle s’inscrivait dans la lutte collective d’affranchissement de toutes les formes d’oppressions.
Comme on le subit de nos jours. Force est donc de relever que le féminisme se répand surtout en période de paix social, de reflux de lutte du mouvement social. Il n’y a jamais eu autant de mouvements revendicatifs dans l’histoire comme aujourd’hui. Le mouvement féministe. Le mouvement écologiste. Le mouvement antiraciste. Le mouvement homosexuel, transgenre.  Le mouvement de la protection des enfants, des animaux, etc. C’est l’ère de l’émiettement des luttes.
 
Et parallèlement, il n’y a jamais eu une période de recul des acquis sociaux, de dégradation des conditions de vie, de la nature, de régression politique, de chômage massif, de misère, de famines, de guerres généralisées, d’exodes massifs, de pathologies psychiatriques, de délitements des liens sociaux, de déstructurations des familles, d’explosions des divorces, d’implosion des violences interpersonnelles, comme aujourd’hui.
Pour revenir à nos petites bourgeoises féministes désœuvrées, il n’est pas inutile de rappeler qu’elles se sont ébranlées seulement au moment où des célébrités sont rentrées en scène pour dénoncer les agressions et viols dont elles ont été victimes de la part d’hommes hauts placés.  On ne les entend jamais quand des pauvres prolétaires sont agressées, violées. Par leur empressement à s’indigner contre les agressions sexuelles commises contre ces grandes Dames du sérail médiatique, politique et culturel, ces féministes petites  bourgeoises expriment ainsi leur solidarité de classe.
 
Par ailleurs, les comportements prédateurs mis en lumière en ce moment, sont l’œuvre d’hommes des classes opulentes dirigeantes. Détendeurs de pouvoirs dans différents secteurs économiques et politiques, ces hommes usent et abusent de leurs prérogatives pour assouvir leurs bas instincts. Ces pratiques de séduction forcée sont l’apanage de cette engeance placée dans les hautes sphères, dans les entreprises privées comme dans les administrations publiques.

Les classes populaires sont plus respectueuses des femmes, de leurs collègues féminines.

 

 
N’importe quel petit chef se mue en prédateur sexuel. Il profite de son pouvoir pour exiger le droit de cuissage. Les féministes tentent de culpabiliser tous les hommes. De désigner à la vindicte tous les hommes. Encore une fois, les agressions et les viols sexuels sont majoritairement perpétrés par les détenteurs de pouvoirs. Enfin, on focalise sur les  violences commises contre les femmes. Notamment sur les quelques femmes mortes sous les coups de leur compagnon.  Problème de société, et non pas problème féminin.
 
Sans absolument cautionner ni encore minorer ce dramatique problème, je voudrais néanmoins dévoiler une autre violence encore plus dramatique et massive infligée à des millions de femmes et d’hommes de par le monde, sans qu’elle soulève ni indignation, ni protestation. Au contraire, personne n’en parle. Et il n’existe aucune organisation qui combat ce génocide quotidien. Il s’agit de la violence subie dans les entreprises. Celle qui tue et handicape des centaines de personnes par jour.
 
Qui sait que les accidents du travail tuent un travailleur toutes les quinze secondes. Soit 6300 personnes par jour. Soit 2,3 millions par an. Sans compter les autres millions de travailleurs blessés, déclarés inaptes à vie. Véritable holocauste perpétré dans les entreprises dans l’indifférence générale.  Sans oublier toutes les autres formes de harcèlements infligés quotidiennement aux salariés dans les entreprises. Les brimades. Les suicides. L’aliénation. Le capitalisme porte en lui la mort comme les nuées l’orage. Le capitalisme pollue. Le capitalisme est raciste. Le capitalisme exploite et opprime hommes et femmes. Le capitalisme est impérialiste. Le capitalisme est toxique, nocif, pathogène.
.
Par conséquent, la libération et l’émancipation de la femme ne se réalisera jamais dans le cadre de la société capitaliste. Le combat de la femme est consubstantiellement lié à celui de l’homme. Leur ennemi est commun : le capitalisme, les traditions archaïques oppressives, les religions régressives, les comportements destructeurs, les attitudes agressives, les valeurs vénales. Leur principal adversaire, c’est la fragmentation de leur lutte radicale en revendications parcellaires.
 
Le féminisme est la voie royale du dévoiement de la lutte prolétarienne. De l’émiettement du combat. De la fragmentation de la conscience politique. De la stérilisation de l’affrontement de classe pour le renversement du capitalisme.

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Robert Bibeau

Auteur et éditeur

11 réflexions sur “Du féminisme radical au féminisme ridicule

  • Robert Bibeau

    @ Camarades
    Soyez patient dans quelques jours un article de ROSA LUXEMBOURG DÉNONÇANT le féminisme (:-))
    La go-gauche petite bourgeoise va prendre un coup (:-))
    Robert Bibeau http://www.les7duquebec.com

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  • Hélène Morin

    Coudonc, on se calme. Des nuances seraient appréciées. Et même si on était en période d’insurrection, ça veut pas dire que les femmes devraient accepter d’être violées ou battues. Parce que voyez-vous au nombre de viols, j’ai de la misère à croire que les hommes de gauche sont propres propres propres… En plus, vous ne savez même pas ce qu’est le féminisme radical; le mot radical est pris dans le sens de « racine » (féminisme de la 2e vague), la racine étant le patriarcat. Arrêtez d’exagérer vous aussi et dites-vous que tout mouvement de ce genre donne lieu à des dérapages. Et si ce mouvement amène certains hommes a plus de prudence dans leurs approches, ce sera tant mieux. Le respect n’a jamais fait de mal à personne.
    Par ailleurs si vous ne prenez pas en compte l’émancipation des femmes, dites-vous bien que la révolution n’aura pas lieu; après tout, les femmes comptent pour la moitié du monde et parmi les plus pauvres et les plus exploitées dans leur force de travail et dans leur chair.

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  • Robert Bibeau

    @ AUX AUTRES
    1) ÉVIDEMMENT QUE LES FEMMES NE DOIVENT PAS ACCEPTER D’ÊTRE VIOLÉES ET BATTUES – J’ESPÈRE QU’ELLES N’ACCEPTENT PAS… MAIS CELA EST ICI HORS PROPOS
    2) PAR CONTRE LA 2E REMARQUE EST À PROPOS « la racine étant le patriarcat » Voilà l’une des mystification propagée par la go-gauche et les féministes petites-bourgeoises (je ne te vise pas Hélène – je pense que tu l’a lu et..) Nous ne visons plus en Occident sous le régime patriarcal depuis l’expansion du capitalisme qui remplaça et détruisit les rapports de production féodaux. Si davantage d’homme moleste et tue des femmes que l’inverse ce n’est pas due au PATRIARCAT mais au fait que la nature a fait les premiers plus grand et plus fort physiquement en moyenne
    3) autre remarque hors propos je m’excuse « Le respect n’a jamais fait de mal à personne » Bien entendu je seconde mais pour les deux sexes = pour ne pas faire dans le sexisme discriminatif qui attribuerait un comportement à un seul sexe = il ya des femmes vulgaires comme il y a des hommes grossiers
    4) La question véritablement en débat la voici : TU ÉCRIS « si vous ne prenez pas en compte l’émancipation des femmes, dites-vous bien que la révolution n’aura pas lieu; » La tu touches à ma corde sensible Hélène. VRAI mais justement qu’est-ce que l’émancipation ?? des femmes ???
    La femme en tant qu’objet économique au sein du mode de production capitaliste est d’abord une prolétaire ou une bourgeoise (y compris petite-bourgeoise universitaire ou professionnelles) ou un sous-prolétaire, ou une aristocrate (il en reste en Europe et dans certains pays asiatiques)
    L’Émancipation n’a pas la même signification – la même portée – le même but pour la petite-bourgeoise qui se bat pour accéder à un poste de direction et devenir la patronne de l’entreprise que pour la prolétaire qui NE PEUT S’ÉMANCIPER PERSONNELLEMENT – INDIVIDUELLEMENT – SANS ÉMANCIPER TOUT SA CLASSE SOCIALE OUVRIÈRE
    TOUTE LA PROPAGANDE DES MÉDIAS BOURGEOIS à propos des viols de midinettes par des magnats du cinéma ou par des hommes d’affaires ne visent qu’à mobiliser les femmes ouvrières contre les hommes prolétaires en leur faisant croire que :
    1) ces médias menteurs se préoccupent du sort des prolétaires (depuis quand ?)
    2) créer le maximum de division dans la classe pour la diviser et l’affaiblir selon le patriarcat et autres fadaises
    3) Mobiliser les femmes ouvrières pour qu’elles se battent pour que des femmes deviennent juges, officers dans l’armée anti-peuple meurtrières, directrices d’entreprises (Oh le bonheur de la femme congédiée par une femme directrice des ressources humaines) ou politiciennes (oh le bonheur d’avoir Pauline au lieu de la patte à Bouchard comme PM du Québec)
    Le meilleur allié de la femme prolétaire c’est l’homme prolétaire – ils ont des intérêts de classes communs – ce n’est certainement pas la femme capitaliste avide de pouvoir et de profits
    Le reste est une question de contexte social – oui des hommes tuent des femmes et ils tuent aussi des enfants dans les écoles et les super marchés même que des enfants tuent des enfants dans les écoles et ce n’est pas une question d’armes à feux – c’est une question que cette société est en décadence et qu’elles génère des gens décadents qui posent des gestes décadent
    vite que l’on abolisse ce système social
    MERCI à tous pour votre participation
    robert bibeau http://www.les7duquebec.com

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    • Hélène Morin

      Monsieur Bibeau, l’émancipation des femmes, c’est l’égalité : avoir les mêmes droits, ce n’est pas très compliqué. Il n’y a pas si longtemps, les femmes n’avaient pas le droit de vote; dans certains cas, elles mourraient en accouchant parce qu’il fallait choisir le nouveau-né si la question se posait. Vous n’allez tout de même pas me dire qu’il ne s’agissait que de luttes de bourgeoises et d’aristocrates.
      La violence de beaucoup d’hommes n’est pas liée à leur force physique mais à une volonté de pouvoir. Il y a des petits hommes qui battent leur femme. Pourquoi le viol est-il une arme de guerre?
      Les femmes et les enfants sont le crachoir des hommes violents et pervers.
      Un prolétaire qui bat sa femme n’a rien de révolutionnaire et il doit être dénoncé. Ce n’est pas parce que la société est en décadence que les femmes ne doivent pas exiger qu’on les respecte.
      Par ailleurs, le fait d’être féministe ne veut pas dire qu’on soit alliée des femmes capitalistes.
      Le féminisme est aussi un grand défenseur des enfants victimes d’inceste et de pédophilie. Le féminisme est nécessaire tout autant que l’anti-racisme.
      Aucune personne ne mérite d’être agressée sexuellement.
      Oui, finissons-en avec ce système pourri… mais « par où commencer »? Les avenues sont bien minces tellement le néolibéralisme est victorieux, lui qui s’est installé dans des mouvances qui avaient pourtant comme objectif de le dénoncer, de l’abattre.

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      • robert bibeau

        Je comprends bien que nos têtes sont pétries d’idées bourgeoises de droite comme de gauche – go-gauche petite-bourgeoise dirais-je depuis des siècles. Les communistes – les maoistes – les trotskiste les marxistes-léninistes ayant capitulés depuis des décades les prolétaires sont aujourd’hui désemparés et ne savent que comprendre – que faire – comment aborder cette question du FÉMINISME et j’ai aussi observé qu’ils étaient tout aussi confus à propos de la question des luttes de libération nationale BREF FACE à toutes les luttes RÉFORMISTES – OPPORTUNISTES disait Lénine et les bolcheviques de la IIIe Internationale avant d’y plonger eux aussi
        Aussi devant l’ampleur de la question – LA SEULE QUI IMPORTE POUR MOI = les luttes FÉMINISTES = font-elles avancées la cause de la révolution prolétarienne OUI ou NON ?
        Si la réponse est OUI alors ils faut les soutenir hardiment. Si la réponse est NON il faut le dire à tous et laissé ces questions de côté. Même attitude face à la QUESTION NATIONALE OU la question religieuse ou tout autre lutte RÉFORMISTE qui vise à réparer – améliorer le capitalisme et finalement à lui permettre de perdurer.
        Tout ceci ne signifie aucunement que je préconise que les prolétaires masculins battent leur femme – leur compagne prolétaire pour des crêpes chaque matin JE LE JURE QUE JE RÉPROUVE CES PRATIQUES ROCAMBOLESQUES.
        jE TERMINE AVEC UNE CITATION DE hÉLÈNE (JE PRÉPARE UN ÉDITORAIL SUR TOUTE CETTE QUESTION J’Y REVIENDRAI. Hélène écrit ceci : « Il n’y a pas si longtemps, les femmes n’avaient pas le droit de vote; dans certains cas, elles mourraient en accouchant parce qu’il fallait choisir le nouveau-né si la question se posait. Vous n’allez tout de même pas me dire qu’il ne s’agissait que de luttes de bourgeoises et d’aristocrates.’
        1) OUI j’affirme que ce sont la des luttes réformistes visant des objectifs réformistes
        a) Le droit de vote – nous menons une lutte acharnée à chaque élection pour féliciter les ouvriers qui ne vont pas voté. Voté aux élections bourgeoisies pour choisir un polichinelle ou un autre c’est démissionné – trahir sa classe = le prolétariat n’a rien à faire dans les mascarades électorales bourgeoises et la bataille des suffragettes petites-bourgeoises à laquelle s’est rallié la go-gauche mondiale est anti-prolétarienne
        b) la question de choisir la mère ou l’enfant lors d’un accouchement n’est absolument pas une question FÉMINISTE MÊME si les féministes petites-bourgeoises l’ont récupéré. La question en était de forces productives à renouveler. Le curé jouait ici son rôle de courroie de transmission du patronat et exigeait que l’on sauve les nouveaux bras de travail à naître plutôt que les vieux bras qui avaient servit = sachant que le mari trouverait une autre femme veuve d’un ouvrier mort dans la mine ou au chantier
        c) Quelques phénomènes ont amené un changement de mentalité et les féministes petites-bourgeoises n’ont rien eu à faire en cela i. les conditions médicales s’améliorant la question des accouchements dangereux s’est résorbée ii. Moins d’ouvriers mouraient ce qui créait un véritable problème de recrutement de remplacement iii. Moins d’enfants donc moins d’accouchement iv. les femmes travaillant comme prolétaire étaient de la main-d’oeuvre à préserver = main-d’oeuvre déjà formée le bébé avait tout à coup moins de valeur financière v. l’influence du clergé recula au fur et à mesure que le prolétariat devient athée.
        BREF, les FÉMINISTES S’ATTRIBUENT ICI DES MÉRITES QU’ELLES N »ONT PAS DU TOUT L’ÉVOLUTION DU CAPITALISME ALLAIT DANS LE SENS DE SAUVER LE CAPITAL VARIABLE LE PLUS RENTABLE PLUTÔT QUE LE CAPITAL VARIABLE EN DEVENIR De toute façon cet enfant à naitre est un chômeur en devenir.
        LE NÉOLIBÉRALISME EST EN ÉCHEC HÉLÈNE ET IL RÂLE À L’AGONIE REGARDE CE BON DONALD UNE CARICATURE DE LEUR DÉSESPÉRANCE.
        À SUIVRE
        Robert Bibeau http://www.les7duquebec.com

        Répondre
  • bonjours,
    heureusement qu’Hélène Martin est passée par là…
    franchement pas envie de polémiquer ici et sous ce texte truffé de contre-vérités
    pour qui ça intéresse, antidotes :
    – ‘FEMMES’ & ‘hommes’… Domination masculine -> machisme structurel et sociétal
    http://civilisation-change.forumactif.org/f3-femmes-hommes-domination-masculine-machisme-structurel-et-societal
    http://civilisation-change.forumactif.org/f3-femmes-hommes-domination-masculine-machisme-structurel-et-societal
    http://civilisation-change.forumactif.org/t126-la-revolution-communiste-sera-feministe-ou-ne-sera-pas-feminisme-et-marxisme
    bonne journée à toussétoutes,
    Patlotch
    http://civilisation-change.forumactif.org/

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  • robert bibeau

    Pour ma part
    Je retiens une phrase de ce texte : « Par conséquent, la libération et l’émancipation de la femme ne se réalisera jamais dans le cadre de la société capitaliste. Le combat de la femme est consubstantiellement lié à celui de l’homme. » j’ajouterais simplement femme prolétarienne – liée à l’homme prolétarien
    C’est la classe sociale qui détermine le statut social et donc l’objectif de la lutte de résistance comme ROSA LUXEMBOURG VOUS l’expliquera mieux que moi dans notre éditorial du 8 mars 2018.
    Merci de votre patience comrades.
    robert bibeau http://www.les7duquebec.com

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  • TheRick

    blablablablablablablablablablablablablablablablabla….

    Répondre

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