Jérusalem, je t'aime.
Plus de père, plus de mère, et depuis hier, l’orpheline de la Palestine n’a plus le droit de mettre le pied sur ses terres… Il ne lui reste plus qu’un seul repère : Dieu… parce qu’elle n’a même plus d’yeux pour pleurer ses frères… les assassinés, les damnés, les emprisonnés.
Elle sait enfin ce que c’est qu’un calvaire.
Mais il y a toujours quelque chose qu’elle ne comprend pas : où est son faux pas ?
Son désespoir c’est le retournement de l’histoire…
Jérusalem… cette capitale de la douleur qui n’est plus du tout belle à voir… où l’on tire à bout portant sur des enfants qui vous jettent la pierre.
Elle désespère en se disant : comment les rescapés de la Shoah, ont-ils pu devenir les artisans de cette Nekba… de ce désastre sans nom qui entérine la ruine de la Palestine ?
Et cette alliance d’Israël avec les super puissants qui l’autorise à verser impunément le sang des innocents… parce qu’ils n’ont pas appris à lire ce qui est écrit en hébreux : » Heureux, ceux qui ont le cœur pur, car ils verront Dieu »
L’orpheline de la Palestine commence à en douter un peu, à chercher Dieu dans ces nouveaux camps de concentration, de Gaza à Jéricho, en passant par les plateaux du Golan… où est donc passé Dieu ? Doit-elle dire adieu à son passé ?
Elle crie, puis elle le prie de lui pardonner ses inepties…
Elle s’irrite puis cogite en se disant : le Diable a aussi le droit d’exister, et de faire valoir son droit. Au diable, le diable !
Il ne faut pas se compromettre avec l’injustice, pour que la justice soit… Il faut avoir la Foi pour supporter ceux qui violent la loi. La loi dit : il n’y a pas d’autre Dieu que Dieu pour occuper les lieux.
Jérusalem… je t’aime…
Israël rassure-toi… mon Dieu ne punit pas celui qui fait le mal… puisqu’il se punit lui-même en faisant le mal.
Ton crime, c’est aussi ton châtiment.
https://www.lejournaldepersonne.com/2018/05/jerusalem-je-taime/
Personne est sur un nouveau projet, un nouveau film long métrage est en cours de préparation, L’orpheline de la Palestine.
« Vous n’avez pas besoin de moi pour oser l’imaginer… Mais j’ai besoin de votre aide pour le réaliser. »
Pitch : Pour ceux qui disent qu’elle n’existe pas, ils sauront enfin pourquoi elle ne peut pas « NE PAS EXISTER ».
Elle sait enfin ce que c’est qu’un calvaire.
Mais il y a toujours quelque chose qu’elle ne comprend pas : où est son faux pas ?
Son désespoir c’est le retournement de l’histoire…
Jérusalem… cette capitale de la douleur qui n’est plus du tout belle à voir… où l’on tire à bout portant sur des enfants qui vous jettent la pierre.
Elle désespère en se disant : comment les rescapés de la Shoah, ont-ils pu devenir les artisans de cette Nekba… de ce désastre sans nom qui entérine la ruine de la Palestine ?
Et cette alliance d’Israël avec les super puissants qui l’autorise à verser impunément le sang des innocents… parce qu’ils n’ont pas appris à lire ce qui est écrit en hébreux : » Heureux, ceux qui ont le cœur pur, car ils verront Dieu »
L’orpheline de la Palestine commence à en douter un peu, à chercher Dieu dans ces nouveaux camps de concentration, de Gaza à Jéricho, en passant par les plateaux du Golan… où est donc passé Dieu ? Doit-elle dire adieu à son passé ?
Elle crie, puis elle le prie de lui pardonner ses inepties…
Elle s’irrite puis cogite en se disant : le Diable a aussi le droit d’exister, et de faire valoir son droit. Au diable, le diable !
Il ne faut pas se compromettre avec l’injustice, pour que la justice soit… Il faut avoir la Foi pour supporter ceux qui violent la loi. La loi dit : il n’y a pas d’autre Dieu que Dieu pour occuper les lieux.
Jérusalem… je t’aime…
Israël rassure-toi… mon Dieu ne punit pas celui qui fait le mal… puisqu’il se punit lui-même en faisant le mal.
Ton crime, c’est aussi ton châtiment.
https://www.lejournaldepersonne.com/2018/05/jerusalem-je-taime/
Personne est sur un nouveau projet, un nouveau film long métrage est en cours de préparation, L’orpheline de la Palestine.
« Vous n’avez pas besoin de moi pour oser l’imaginer… Mais j’ai besoin de votre aide pour le réaliser. »
Pitch : Pour ceux qui disent qu’elle n’existe pas, ils sauront enfin pourquoi elle ne peut pas « NE PAS EXISTER ».
Pour contribuer à sa réalisation, rendez-vous sur la page de soutien : https://www.lejournaldepersonne.com/campagne-du-film-lorpheline-de-la-palestine/
Un peu d’Histoire (cachée) :
Commençons par préciser que Jérusalem et David (Daud) sont indissociables.
Le nom de David (Daud, דוד ) veut dire : le favori de Hevah.
Ce nom a plusieurs significations symboliques, comme tous les noms de femmes ; il exprime tantôt les vraies qualités de la femme-esprit, tantôt ses conditions sexuelles, tantôt ses souffrances.
Fabre d’Olivet, dans son dictionnaire hébraïque, à la lettre D, en donne plusieurs significations. Les voici : La première en grandes lettres, ד ד, DD. Toute idée d’abondance et de division, de propagation, d’effusion et d’influence ; la raison suffisante, d’affinité et de sympathie.
En plus petits caractères, ד ד, tout ce qui se divise pour se propager, tout ce qui agit, par sympathie, par affinité, par influence, au propre le sein, la mamelle.
Plus loin, donnant comme racine hébraïque le nom même de David, Daud, il en explique ainsi la signification : « דוד : L’action d’agir par sympathie et par affinité ; l’action d’attirer, de plaire, d’aimer, de se suffire mutuellement. Dans un sens étendu : un vase d’élection, un lieu, un objet vers lequel on est attiré ; tout effort sympathique, électrique. Dans un sens plus restreint, un ami, un amant, l’amitié, l’amour ; toutes sortes de fleurs, et particulièrement la mandragore et la violette.
Le nom écrit seulement avec ses deux premières lettres : דו, renferme un sentiment de douleur, de tristesse. Si l’on ajoute à la fin la lettre ה qui est le signe féminin, il veut dire l’angoisse, la douleur,l’affliction, tout ce qui est calamiteux. De ce mot on fait dans d’autres langues : dol, dul, dolor, dolore. »
La suite de cette histoire, va nous montrer que c’est David qui a été, la première, Notre-Dame des douleurs.
David fut la plus grande figure de l’histoire d’Israël, la plus haute expression de la puissance morale de la femme, le plus beau caractère, la plus haute intelligence, mais aussi la plus douloureuse, des martyres.
Elle fut proclamée Soffet à l’unanimité vers 1050. Elle avait alors 30 ans, une beauté éclatante et une grande renommée.
Tous les défenseurs du droit et de la justice, c’est-à-dire de l’ancien régime, se mirent ouvertement avec elle ; elle était surtout défendue par les écoles de prophètes de Rama. Les tribus vinrent lui faire soumission à Hébron, disant : « Nous sommes tes os et ta chair », manière de dire : nous sommes du même sexe.
David fut, à partir de ce moment, inviolable et sacrée.
Hébron qui était une grande ville devint la capitale d’Israël. David continua d’y résider encore 5 ans 1/2 et y vit naître sa famille. C’est après ce temps qu’elle fonda Jérusalem.
Origine de Jérusalem :
D’abord la ville Jébuséenne appelée Gueducéa se composait de la montagne de Sion et d’une ville basse « Ophel » qui descendait vers la source appelée Gihon (aujourd’hui fontaine de la vierge) (1).
Daud rebâtit la ville haute de Sion, qui fut sa montagne, comme le Sinaï avait été la montagne de Myriam. C’est elle qu’on appela « la ville de Daud ».
Des ouvriers vinrent de partout, mais surtout de Tyr, qui envoya ses plus beaux matériaux, surtout le bois de cèdre. Ces artistes tyriens construisirent à Daud un palais près de Milo, dans la haute ville de Sion.
Le prestige qui entoura cette demeure royale fut extraordinaire. « Jamais, dit Renan, la terre de Chanaan n’avait rien vu qui approchât de cette force et de cet éclat. »
Cette colline de Sion devint la capitale religieuse du Monde, grâce à la présence de la douce Daud, pierre angulaire, « pôle magnétique de l’amour et de la poésie religieuse », dit encore Renan, qui ose, après cela, faire de la plus sainte des reines un bandit masculin. Et il ajoute : « Qui a fait cela ? C’est David. David a réellement créé Jérusalem. D’une vieille nécropole restée debout, comme le témoin d’un monde inférieur, il a fait un centre, faible d’abord, qui bientôt va prendre une place de premier ordre dans l’histoire morale de l’Humanité. Gloriosa dicta sunt de te civitas Dei. Durant des siècles, la possession de Jérusalem sera l’objet de la bataille du monde. Une attraction irrésistible y fera confluer les peuples les plus divers (2). Cette pierreuse colline, sans horizon, sans arbres, et presque sans eau, fera tressaillir de joie les cœurs, à des milliers de lieues » (Renan, Le peuple d’Israël, T. I, page 448).
Le temple de David fut bâti sur l’aire rocailleuse d’Areuna le Jébuséen.
C’est de Sion qu’on dira : « Dieu a choisi cette montagne pour y habiter, et l’Eternel Hevah y demeurera à jamais » (Ps.LXVIII, 17).
Autrefois on plaçait le fameux mont Moria près de Jérusalem.
D’après Renan, ce serait une erreur ; il dit : « Le prétendu mont Moria doit être écarté d’une topographie sérieuse de Jérusalem. Le nom de Moria est symbolique, et c’est par une supposition dénuée de toute valeur que l’auteur des « Chroniques » identifie ce lieu idéal avec la colline où Salomon bâtit le temple. Voici le verset :
« Salomon commença donc de bâtir la maison de Hevah à Jérusalem, sur la montagne de Morija qui avait été montrée à David ».
On a mis « Morija » pour « Myriam », ce qui arrive souvent.
Maintenant que nous avons levé un petit coin du voile qui couvre la réalité, voyons ce que les traducteurs ignorants et mal intentionnés ont fait de l’histoire de cette glorieuse reine. D’abord il faut savoir par quel procédé les prêtres triomphants de la femme effacèrent son nom de l’Histoire.
Cela se fit progressivement. On avilit d’abord la femme dont la valeur excite la jalousie ; mais son œuvre affirmant cette valeur, on est bien obligé, avec le temps, de l’admettre. Alors on jette un voile sur la personnalité de l’auteur ; on le cache, on embrouille son histoire, on y mêle des légendes ; enfin, quand, plusieurs siècles après, ses adversaires écoutent cette histoire, deux cas se présentent : ou bien la personnalité féminine est tout à fait oubliée et alors on met son œuvre à l’avoir d’un homme, ou bien sa physionomie est restée dans le souvenir populaire et l’art a perpétué ses traits, et alors il ne reste plus qu’à faire de cette femme un homme jeune, un adolescent. C’est ainsi que David devient un « écuyer de Saül ».
Mais on ne pense pas que l’œuvre est là pour révéler les pensées intimes de son auteur, ses luttes, ses souffrances, et par là même son sexe.
Dans l’histoire de David, il y a des détails psychologiques et même physiologiques, qui sont des preuves certaines de sa féminité. Il faut que ceux qui ont dénaturé l’histoire aient été bien ignorants ou bien maladroits pour les y avoir laissés.
(1) Sion est une des collines sur lesquelles est construite la ville de Jérusalem, mais ce nom est souvent pris pour désigner la ville même de Jérusalem comme capitale spirituelle des Israélites.
(2) Le nom de Jérusalem acquit une telle gloire sous David, qu’il fut porté partout. Mérida, en lbérie, a porté ce nom, et les conciles qui y furent tenus dans les premiers siècles de l’Eglise sont datés de « Jérusalem ». Ou trouve une ville de « Jérusalem » dans les Baléares. La ville de Zante s’est aussi appelée Jérusalem. Le grand prêtre Onias alla fonder en Egypte, à Phisaon, sous Ptolémée, un temple de « Jérusalem ».
Lien : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/histoire-des-israelites.html
Cordialement.
Encore et encore Félicitations – bravo