Le Canada accueillera 50 casques blancs terroristes ex-filtrés de Syrie par Israël
Nous apprenions hier, lundi le 23 juillet, par la Ministre des Affaires étrangères canadiennes, madame Christia Freeland que : « le Canada ressent une responsabilité morale profonde envers ces personnes à qui le Canada a versé 7,5 millions de dollars en subvention (en aide à la subversion en Syrie. NDLR) » (Casques blancs – membres des organisations terroristes Al-Qaida et Al-Nostra en Syrie). Si bien que 50 terroristes, ainsi que leurs familles (250 individus), seront récompensés pour services rendus et accueillis sur le sol canadien afin de les protégés de la colère du peuple syrien qui depuis 2011 a sacrifié 350000 morts et des millions de blessés et de réfugiés pour se débarrasser de ces assassins casqués de blanc (utilisateurs d’armes chimiques notamment). Ce sont quelques centaines de djihadistes de ces organisations terroristes que l’État sioniste israélien a eu mission de rescapé des dernières zones de guerre en Syrie, mais comme l’État terroriste israélien ne veut pas de ces tueurs sur son territoire, les USA, commanditaire de l’opération de sauvetage, répartissent ces criminels de guerre entre divers pays amis de ces terroristes (Canada, Grande-Bretagne, Allemagne). Honte au gouvernement canadien de préparer ainsi les conditions de la prochaine agression de l’OTAN au Proche-Orient. Robert Bibeau http://www.les7duquebec.com
Revue de presse : RT en français (22/7/18)*
Exfiltrés de Syrie en Jordanie, des centaines de Casques blancs, organisation soupçonnée de liens avec des groupes terroristes, devraient être transférés vers des pays occidentaux. Supervisée par l’ONU, l’opération aurait été réclamée par Washington.
Environ 800 membres de l’organisation controversée des Casques blancs syriens, financée par les Etats-Unis et d’autres pays occidentaux, ont été évacués avec leur famille vers Israël puis transférés en Jordanie dans la nuit du 21 au 22 juillet, selon la radio de l’armée israélienne citée par l’AFP. De même source, l’opération a été effectuée sur demande de Washington et de plusieurs pays européens.
Les membres de cet organisme, qui se présente comme humanitaire mais est soupçonné de proximité avec des groupes terroristes, notamment liés à al-Qaïda, ont dans un premier temps été exfiltrés du sud-ouest de la Syrie vers une base militaire de l’Etat hébreu, selon des correspondants du journal allemand Bild. L’opération a débuté aux petites heures le 21 juillet puis s’est poursuivie jusque dans la nuit.
Le porte-parole du ministère jordanien des Affaires étrangères Mohammed al-Kayed a annoncé que les Casques blancs, actifs uniquement dans des zones sous contrôle des rebelles, seraient transférés en Allemagne, au Royaume-Uni et au Canada «en raison du risque pour [leur] vie» et «pour des raisons purement humanitaires». En juin, Amman, qui accueille déjà environ 1,3 millions de réfugiés syriens avait en effet fait savoir qu’elle n’en accepterait pas plus, soulignant la nécessité d’une «solution politique».
Israël dit s’en tenir à la «non-intervention»… Vraiment ?
Tsahal a souligné dans un communiqué que cette opération ne traduisait pas un changement dans le refus d’Israël d’accueillir des réfugiés syriens sur son territoire. «Il s’agit d’un geste humanitaire exceptionnel. Israël maintient sa politique de non-intervention dans le conflit en Syrie et continue à considérer le régime syrien comme responsable de toutes les activités qui ont lieu sur le territoire syrien», peut-on lire dans le texte.
Pourtant, l’Etat hébreu avait déjà reconnu avoir fourni une aide humanitaire aux rebelles syriens, faisant notamment soigner plus d’un millier de combattants dans ses hôpitaux. Alors ministre de la Défense, Moshe Ya’alon avait affirmé que cette assistance avait été accordée à deux conditions : «Qu’ils ne s’approchent pas trop de la frontière, et qu’ils ne touchent pas aux Druzes.»
Au cours du conflit syrien, Israël a par ailleurs frappé à plusieurs reprises des positions militaires de l’armée arabe syrienne ou encore des convois d’armes destinés au Hezbollah libanais, allié du gouvernement de Bachar el-Assad dans sa lutte contre Daesh.
En outre, Tel Aviv et Damas sont toujours officiellement en guerre, en raison de l’occupation illégale par Israël d’une partie du plateau du Golan situé à la frontière entre les deux pays, depuis 1967.
Une opération supervisée par l’ONU
Selon Mohammed al-Kayed, cité par le média jordanien Ammon News, les Syriens évacués seront confinés à une zone restreinte où ils resteront pour une durée maximale de trois mois avant d’être remis aux pays ayant accepté de les accueillir. L’opération a été décidée en concertation avec les Nations unies, selon l’agence de presse jordanienne Petra.
On ignore pour l’heure les modalités précises de répartition des membres des Casques blancs dans les trois pays occidentaux.
Cette évacuation survient alors que l’armée syrienne, épaulée par l’aviation russe, poursuit son avancée dans le sud du pays.
Source : RT en français
Le mensonge est devenu la règle de tous les dirigeants de ce monde: et tout le monde les croit. À travers cela ils se donnent le champ libre pour intervenir en Syrie et ainsi narguer son allié, la Russie. Et ces braves casques blancs vont faire quoi une fois rendus ici au ailleurs? Se faire discrets? Se retourner contre leur commanditaires? Tellement écoeurée de ce monde décadent qui se fout des peuples d’ici ou de Syrie, de tous les peuples…