MACRON NOUVEAU PASQUA

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Pasqua est un homme politique qui fut tristement célèbre en son temps

Macron peut être comparé à Pasqua pour deux raisons :

1°) Pasqua dirigeait le SAC, Service d’Action Civique, qui était une police parallèle illégale et ultraviolente.

Macron a son Benalla

2°) Pasqua : « Quand on a un fils sous dialyse, on ne le laisse pas se promener la nuit à Paris » avait-il approximativement dit aux parents de Malik Oussékine pour les consoler de la mort de leur fils assassiné par ses PVM (Policiers Voltigeurs Motorisés) le 6 décembre 1986 vers une heure du matin.

Macron, à propos de Geneviève Legay – 73 ans – grièvement blessée à Nice par une charge de police a dit : « quand on est fragile, qu’on peut se faire bousculer, on ne se rend pas dans des lieux qui sont définis comme interdits »

Voici maintenant diverses citations de Pasqua que ne renierait certainement pas Macron :

« Il faut terroriser les terroristes ! » à propos des Gilets Jaunes considérés comme tels puisque Macron leur envoie désormais l’armée avec l’opération Sentinelle destinée aux terroristes.

« Les promesses n’engagent que ceux qui y croient ! » à propos des promesses faites par Macron aux Gilets jaunes le 10 décembre 2019.

« la démocratie s’arrête là où commence l’intérêt de l’État » puisque Macron ne veut pas satisfaire les Gilets jaunes vu que l’intérêt de l’État coïncide avec celui de la bourgeoisie… puisque l’État n’est que l’ensemble des bandes armées du pouvoir.

Bien à vous,
do
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Legay – Pasqua Macron

 

Pasqua

 

2 réflexions sur “MACRON NOUVEAU PASQUA

  • 27 mars 2019 à 10 h 36 min
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    Les insultes et le mépris de Macron envers le peuple de France ne sont plus à démontrer. C’est entre autres une des causes de la révolte des G.J.
    Ce matin on apprenait que Me Halimi, avocat de la victime de Nice, Geneviève Legay, et l’association ATTAC venaient de porter plainte pour « subornation de témoins ».
    Selon « Révolution Permanente. fr , la police s’était rendue au chevet de la victime le jour même de son hospitalisation pour tenter de l’intimider et lui faire dire qu’elle avait été bousculée par un cameraman et non par les forces de l’ordre. Toujoyes selon ce média, les policiers ont renouvelé leur démarche à deux reprises le dimanche suivant pour les mêmes raisons.
    Quand on aime on ne compte plus ?!

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  • 27 mars 2019 à 10 h 39 min
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    LePoint.fr du 25/03/2019 fait état des mêmes faits

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