Le parlement européen assimile le communisme au nazisme (!)

par Domenico Savio *
MALGRÉ L’APPAREIL RÉPRESSIF CAPITALISTE ET IMPÉRIALISTE DE L’UNION EUROPÉENNE SUR LES PEUPLES,  LE «SPECTRE DU COMMUNISME»  CONTINUE À ERRER EN EUROPE ET À FAIRE PEUR AUX USURPATEURS!

Segue la versione italiana

 
Certes, la mort ne suffit pas, et ne suffira pas, une résolution de haine anti-communiste du Parlement européen – qui est un repaire de réactionnaires au service des intérêts économiques, financiers, mercantiles et militaires de la caste capitaliste et impérialiste qui exploite et asservit les peuples européens. et non seulement – pour arrêter ce « spectre du communisme » de mémoire marxiste et énghelsienne que, menaçant contre les États et les gouvernements du capital, continue à errer en Europe et et ne s’arrêtera en perspective que lorsque le dernier maître, ou capitaliste, sera anéanti par la puissance révolutionnaire du prolétariat des pays européens.
 


 Malgré les exterminations par famine, guerres et maladies subies par les masses prolétariennes au cours des siècles par l’infâme et impitoyable classe patronale exploiteuse et usurpatrice du produit du travail d’autrui, malgré les dures défaites subies par le prolétariat industriel, agricole et des services au fil du temps et dans la lutte de classe pour conquérir une existence moins précaire et plus digne, malgré la défaite de la classe ouvrière et de l’intellectualité d’avant-garde dans la Révolution bourgeoise française de 1789, de la Commune de Paris en 1871, de la révolution russe de 1905 et de la glorieuse Union soviétique et malgré la fin indécente des partis communistes nés de la Troisième Internationale communiste à l’œuvre scélérate de révisionnistes et opportunistes payés dans les institutions bourgeoises avec des salaires et des privilèges divers de la part du pouvoir politique et institutionnel bourgeois et capitaliste, le Parlement européen s’inquiète et a peur du “spectre du communisme” qui plane encore, comme à l’époque de Marx et d’Engels, sur le ciel de l’Europe, qui n’a pas encore atterri dans chaque pays et sur tout le vieux continent, et que cela se produira certainement dans les temps requis, lorsqu’il n’y aura plus d’échappatoire pour la classe patronale, si ce n’est sous le triomphe du nouveau pouvoir de la classe ouvrière, de la démocratie prolétarienne et du socialisme.
Les craintes et les préoccupations de ces agents du Fonds Monétaire International, de la Banque Mondiale, de la Banque Centrale Européenne et des différentes Bourses de spéculation du capital nous disent que nous avons raison dans l’analyse que nous développons de la situation sociale difficile des peuples, la droiture de l’idéologie, de la stratégie et de la tactique du marxisme-léninisme pour changer le monde actuel, de la nécessité vitale pour la planète de détruire le capitalisme et l’impérialisme et de l’exigence d’accélérer la lutte de classe révolutionnaire des communistes et de l’avant-garde de la classe ouvrière pour en finir le plus rapidement possible avec le système capitaliste et son extension impérialiste sur Terre.
Un spectre erre à travers l’Europe : c’est le spectre du communisme”. Avec cette inéluctable perspective historique prometteuse pour l’ancien continent Marx et Engels ouvraient leur œuvre immortelle, “Manifeste du Parti Communiste”. Par cette phrase, les Maîtres du prolétariat international, après des millénaires d’histoire répressive des besoins des travailleurs, annonçaient à la classe exploitée que la conquête sûre d’une nouvelle société d’abord socialiste puis communiste, qui malheureusement n’a pas encore été réalisée définitivement, mais qui reste concrètement et avec force à l’ordre du jour de l’histoire des peuples européens et de tout le globe terrestre. La certitude de cet avenir réside dans la soumission intolérable de la quasi-totalité des peuples à l’arbitraire d’exploitation et de vol d’une poignée de capitalistes et d’impérialistes, ou plutôt de maîtres de la terre, de l’industrie, du commerce et de la finance qui déterminent les conditions de vie misérables des masses laborieuses et populaires, qui exploitent et enlèvent le fruit du travail d’autrui et qui conditionnent la vie même des individus, réside dans la réalité de la vie sociale et dans le souhait du genre humain de se libérer enfin de l’esclavage salarié de la classe patronale minoritaire, qui n’existe que pour exploiter les salariés et maintenir en vie une société divisée en classes adverses entre quelques riches et une multitude de pauvres, et parmi une minorité de riches qui vivent dans l’oisiveté, l’or et le gaspillage, et une multitude d’êtres humains qui ne connaissent que pauvreté et privations.
 
En conséquence, le 19 septembre 2019, les 751 membres du Parlement européen – tous de culture bourgeoise, cléricale et capitaliste, à l’exception d’une petite minorité de révisionnistes et d’opportunistes de la culture globalement communiste, tous asservis au pouvoir économique, financier et militaire capitaliste et impérialiste, tous terrorisés par le souhait prémonitoire, scientifique et matérialiste de Marx et Engels à propos de “spectre du communisme” qui rôde autour de l’Europe et par conséquent pris par le délire et le désespoir – ils ont adopté une résolution, dans la tentative évidente de détourner les masses laborieuses et populaires de se consacrer à la lutte des classes pour préparer la phase révolutionnaire qui permettra de vaincre l’ordre social capitaliste et impérialiste et construire la société socialiste de l’égalité, de l’altruisme et du secours mutuel. Mais aucune résolution ne pourra jamais arrêter le cours de l’histoire humaine, l’aspiration à la justice sociale, la dignité de l’existence humaine et l’espérance d’une vie non plus que des souffrances, mais aussi des certitudes sociales, de temps libre et de satisfaction. Une existence de soucis et de privations – du manque de travail, ou du salaire, du droit gratuit à l’étude jusqu’au plus haut niveau de l’enseignement, d’une prise en charge médicale adéquate, d’une maison sûre et digne, de la sécurité sociale et du travail, d’une vieillesse économiquement tranquille et assistée, etc., etc., n’est qu’une condamnation de la vie et est le produit malheureux de la société fondée sur l’exploitation du travail prolétarien par le profit capitaliste accumulé.
 
Nous avons décidé de reprendre les questions posées par cette résolution, non pour qu’elle puisse faire moins peur ou conditionner le travail révolutionnaire du prolétariat européen dans son entreprise de réaliser le passage du capitalisme au socialisme, comme d’autres précédentes européennes ou de certains États, ou qu’elle pourrait ralentir ou arrêter le cours de l’histoire, mais simplement pour démasquer et condamner avec une extrême fermeté de classe révolutionnaire la décision des occupants le parlement bourgeois de Strasbourg, formés par des partis, élus et bureaucrates du capital qui, en foulant aux pieds la vérité historique, ont osé, impunément pour l’instant, mettre sur le même plan le fascisme, le nazisme et le communisme en niant viscéralement la réalité de la Seconde Guerre mondiale et ce qui a représenté pour les peuples de la Terre le socialisme réalisé au vingtième siècle. Rien n’empêchera les communistes, la classe ouvrière et ses alliés d’arracher le pouvoir des mains des sangsues patronales pour entamer la construction de la nouvelle humanité fondée sur l’égalité sociale et des sexes.
 
Notre certitude découle de la constatation que les lois de la nature et de la société, retravaillées scientifiquement à l’intérieur de l’édifice du matérialisme historique et dialectique par Marx, Engels, Lénine et Staline, en raison du caractère rigide de classe et révolutionnaire de la lutte de classe qui conduit un Parti communiste de la classe ouvrière et des couches les plus avancées des masses ouvrières, la révolution prolétarienne socialiste n’est plus l’improvisation, l’utopie, le hasard, le volontarisme ou le populisme, mais une science organisationnelle et stratégique certaine et définie par la pensée révolutionnaire de nos quatre Maîtres expérimentés Lénine et Staline, qui forgèrent les premiers le Parti Communiste bolchevique, qui conduisit à la victoire la glorieuse Révolution prolétarienne du 7 novembre 1917. Le Parti de facture bolchevique est infaillible dans l’assaut et la décimation de l’ennemi de classe. Au siècle dernier, la défaite n’a pas été la stratégie du marxisme-léninisme ou les modalités de construction du socialisme réalisé avec en tête l’Union soviétique de Lénine et Staline, mais les partis communistes initiés par les groupes dirigeants déviés ont échoué sur la voie néfaste du révisionnisme de la théorie et de la stratégie des idéaux du communisme, de l’opportunisme, de la trahison de la classe laborieuse et du mariage avec les intérêts de l’ennemi de classe. Le Parti de la victoire du socialisme, puis du communisme, n’est que le parti bolchevique inspiré par Lénine et Staline, tout le reste est un résidu malodorant de la culture idéaliste, bourgeoise et cléricale.  Sur la nécessité de la nature bolchevique du Parti des communistes et de la classe ouvrière industrielle et agricole pour vaincre l’ennemi de classe et pour remplacer le socialisme par le capitalisme, le camarade Majakovski écrivait dans le septième volume:
“C’est bon, ça va ! et poème de Lénine”, dédié, justement, au Parti de Lénine et Staline : le Parti est un ouragan/dense de voix flemmables et subtiles / et à ses rafales / sautent les forteresses de l’ennemi, / comme des timbales au grondement du canon. / Le Parti est la seule chose qui ne trahit pas. (quand il ne tombe pas entre les mains des traîtres – Notre précision) / Le Parti est l’épine dorsale de la classe ouvrière. / Le Parti est l’immortalité de notre œuvre. / Cerveau et fatigue, / vigueur et gloire de la classe : voilà comment est le Parti. / Le Parti et Lénine sont des frères jumeaux. / Qui vaut le plus face à l’histoire? / Nous disons Lénine et nous entendons le Parti, /nous disons Parti et nous voulons dire Lénine”. Du point de vue idéologique et politique un vrai Parti bolchevique, tel que nous considérons être le Parti Communiste Italien Marxiste-Léniniste, c’est comme une armure contre laquelle se briseront les ennemis de classe et les traîtres et renégats de la cause communiste sur la planète.
 
La résolution précitée du parlement capitaliste et impérialiste européen a été votée par tous les partis et leurs élus de la fausse gauche communiste, des sociaux-démocrates, du centre gauche, y compris le Parti démocratique, du centre soi-disant démocratique, du centre-droit et de la droite réactionnaire, souverainiste, xénophobe et pro-fasciste et nazi. Tous ont servi d’appoint aux intérêts du capitalisme et de l’impérialisme, tous ont couru au secours du système capitaliste décrépit et mourant. Honte à vous, même les apparences ne sont pas sauf. Mais s’il est historiquement et politiquement établi que le fascisme et le nazisme sont deux idéologies et organisations étatiques et militaires violentes, répressives et négationnistes de la civilisation et de la sensibilité humaine, auxquels recourent le capitalisme et l’impérialisme lorsque leurs intérêts sont menacés par la lutte de classe du prolétariat, comme ce fut le cas dans les années vingt et trente du siècle dernier en Europe, alors votre vote, bourgeois, clérical et capitaliste, il a sonné comme absolution des crimes commis par ces régimes, comme complicité avec ces crimes contre l’humanité et comme coresponsabilité culturelle, politique et institutionnelle vers la renaissance du néofascisme et du néonazisme sur notre continent.
 
En d’autres termes, consciemment ou inconsciemment, vous avez encouragé le nazisme renaissant à Dresde et dans toute l’Allemagne, dans d’autres pays européens, y compris l’Italie, sur tout le vieux continent et aussi sur d’autres continents, comme celui des États-Unis, parce qu’au siècle dernier il a combattu et défait, sur les plans politique et militaire, le fascisme et le nazisme ont été principalement les communistes de tous les pays européens, de toute la planète et essentiellement la glorieuse Union Soviétique avec l’Armée Rouge héroïque. Assimiler le communisme au nazisme, c’est condamner ceux que le nazisme a le plus combattu. Peut-être cela vous ennuyait historiquement et vous avez voulu imposer les intérêts idéologiques, politiques, économiques, militaires et sociaux du vainqueur système capitaliste après la défaite du monde socialiste réalisé au siècle dernier, mais l’histoire de la civilisation humaine, de la lutte de classe du prolétariat mondial, de la victoire du socialisme avant et de la société communiste après, ne s’arrête pas là et au moment opportun vous paierez cher cette méchanceté aux jambes courtes.
 
     Ceux, inspirateurs, partis et élus, qui ont voté la résolution précitée pour ce qui est susmentionné ne possèdent manifestement pas les titres moral, humain, universitaire, politique et institutionnel pour juger et condamner l’idéologie et l’activité sociale qui en découle, il faut d’abord le socialisme, puis le communisme. Au cours des vingt années noires du siècle dernier, alors que le capitalisme et l’impérialisme, dont les intérêts les membres et les électeurs du Parlement européen sont l’expression et les représentants, en Italie et en Allemagne, le fascisme et le nazisme étaient nourris en échange de la répression des revendications de liberté, de démocratie, de travail et de dignité de la vie des masses laborieuses, massacrés physiquement et spirituellement, emprisonnés, envoyés en exil ou traînés avec une violence inouïe et inhumaine dans les camps de concentration fascistes et nazis et des millions de personnes incinérées dans les fours crématoires des lagers nazis. Le massacre du genre humain a donc eu lieu par l’ordre social bourgeois et capitaliste défendu à Bruxelles. Et encore, dans la première partie de la Seconde Guerre mondiale pendant que l’Union soviétique et tous les pays et partis communistes combattaient le nazifascisme les gouvernements capitalistes de l’Occident européen et des États-Unis d’Amérique cherchaient à orienter les hordes nationalesfasciste vers l’Union soviétique pour la faire détruire, parce que le socialisme et le communisme font peur aux intérêts – profits – parasites des capitalistes.
 
Tout simplement ridicule est la thèse illogique, antistorique et mensongère des parlementaires européens, qui se réfère au pacte Molotov-Ribbentrop de 1939 entre l’Allemagne et l’Union soviétique soutiennent qu’il aurait ouvert la voie au déclenchement de la Seconde Guerre mondiale et aux tragédies du nazisme qui en ont suivi. Ce soi-disant pacte servit au pays du socialisme pour s’organiser militairement, préparer la résistance nécessaire à l’agression allemande prévue et gagner la guerre jusqu’à l’occupation de Berlin. Les États et les économies capitalistes et impérialistes de l’Occident européen et américain auraient bien besoin de la destruction de l’Union soviétique à l’époque, de même que les dirigeants actuels de Bruxelles qui ont voté cette résolution infâme, entachée de haine et d’aversion anticommuniste et donc ennemie des intérêts de classe des masses laborieuses et populaires européennes.
 
Mais les communistes, c’est-à-dire les marxistes-léninistes, en plus de posséder la trempe nécessaire pour défendre les intérêts des femmes et des hommes les plus faibles de la société capitaliste, ils possèdent également l’intelligence nécessaire pour pouvoir le faire dans le contexte historique dans lequel ils opèrent, comme en 1939 et pendant toute la guerre d’agression nazi-fasciste. Les communistes ne sont pas stupides, comme les riches de Strasbourg ont pu misérablement et pitoyablement penser. Par conséquent, l’adoption de la résolution qui assimile le communisme au nazisme est un faux historique, c’est un acte de domination du capitalisme sur le communisme et en même temps de faiblesse politique, est l’expression d’une dictature de classe de l’économie bourgeoise, cléricale et capitaliste sur la lutte de classe du prolétariat européen, c’est un acte d’empire et un abus de pouvoir que le futur gouvernement des travailleurs, actuellement exploités, humiliés et réprimés dans leurs droits naturels et sociaux par le capital, saura juger et condamner pour l’éternité.
 
Mesdames et Messieurs les députés européens, votre vote en faveur de la résolution, en plus d’avoir été un acte de soumission et de servilité au système capitaliste et à son expansion impérialiste sur la planète et aux milliardaires qui se sont enrichis et vivent du l’exploitation du travail prolétarien a également été un acte de présomption et d’égoïsme de classe, la bourgeoise à qui vous appartenez. Vous percevez des salaires d’or par rapport à ceux des pauvres travailleurs, chômeurs et retraités, vous vivez une vie aisée, faite de disponibilité économique et de privilèges que la charge institutionnelle vous garantit en puisant auprès des pauvres gens avec des impôts et des bénéfices divers, vous n’avez pas de problèmes de survie comme les prolétaires en général compatriotes et migrants et vous avez accès aux leviers du pouvoir, qui décident du sort des peuples soumis à l’avidité des profits des détenteurs des moyens de production et de la richesse produite par les exploités. De plus, vous ne prouvez pas que vous êtes capables de regarder en dehors de votre existence dorée, où des centaines de millions de personnes vivent dans la misère, dans des conditions désespérées et dans l’affaiblissement total de la vie sociale.
 
Essayez d’identifier au moins un instant les tragédies de la migration dues à la pauvreté, aux maladies, aux guerres et aux persécutions diverses des derniers temps de parties importantes de populations, en particulier en Afrique et au Moyen-Orient. Tout cela devrait vous amener à réfléchir sur les causes des maux passés, présents et futurs de l’humanité si survivrait l’ordre social actuel, basé sur l’exploitation du travail d’autrui et sur l’enrichissement illicite de quelques magnats. En revanche, l’égoïsme bourgeois qui règne en vous ne vous permet pas de regarder hors de votre état social et tout sert à sauvegarder votre niveau de vie, y compris le vote d’une résolution qui sonne offense à l’intelligence et à la nature humaine des individus et revendique justice, que nous, communistes, et toute la classe ouvrière, assurerons après la conquête du pouvoir et de la démocratie prolétariens. Pour la dignité de votre existence sur Terre, il serait bon que vous abandonniez cette attitude tronquée, pleine d’arrogance du pouvoir, que vous avez eu en condamnant par ce vote irresponsable la culture et l’engagement de vie des communistes, qui vivent et se battent pour construire un monde nouveau d’où disparaissent pour toujours les différences de classes et les vexations d’aujourd’hui auxquelles sont soumis des milliards d’êtres humains.
 
Mais vous êtes aveuglés par des vérités et des intérêts partisans qui ne vous permettent pas de regarder la réalité qui vous entoure et d’en reconnaître les causes sous-jacentes au système que vous soutenez et que vous obstinez à étayer même par des résolutions fausses et inutiles comme celle que vous avez votées. Oui inutiles, parce que au moment opportun elles seront effacées de la littérature et de l’histoire par la fureur des révolutions prolétariennes socialistes, de même qu’aujourd’hui le vent emporte et dissipe les mauvaises odeurs dans la richesse nauséabonde ou que les marées régénèrent les eaux de la mer, spécialement de celles qui sont polluées sur la côte, qui font l’égal avec la corruption qui loge dans les palais du pouvoir bourgeois et clérical. C’est du passage du communisme primitif des communautés à la société divisée en classes opposées et au pouvoir de la classe patronale qui vous avez pollué la conscience humaine et qui est en train de détruire la planète. Soyez certains que nous, communistes, devrons rétablir les valeurs de la coexistence civile et sauver la Terre des vols et des destructions capitalistes et impérialistes et alors, pour vos faussetés, il n’y aura plus de place dans l’histoire et dans la conscience de l’humanité.
Forio (Ville métropolitaine de Naples), 4 novembre 2019.
* Secrétaire général du P.C.I.M-L.
domenicosavio@pciml.org
 


NONOSTANTE L’APPARATO REPRESSIVO CAPITALISTICO E IMPERIALISTICO DELL’UNIONE EUROPEA  SUI POPOLI GOVERNATI LO “SPETTRO DEL COMUNISMO” CONTINUA AD AGGIRARSI PER L’EUROPA E A METTERE PAURA AGLI USURPATORI!
Di sicuro come la morte non basta, e non basterà, una risoluzione di odio anticomunista del parlamento europeo – che è un covo di reazionari al servizio degli interessi economici, finanziari, mercantili e militari della casta capitalistica e imperialistica che sfrutta e schiavizza i popoli europei e non solo – a fermare quello “spettro del comunismo” di marxiana ed enghelsiana memoria che minaccioso contro gli Stati e i governi del capitale continua ad aggirarsi per l’Europa e in prospettiva si fermerà solo quando l’ultimo padrone, o capitalista, sarà annientato dalla potenza rivoluzionaria del proletariato dei paesi europei.
di Domenico Savio*
Nonostante gli stermini per fame, guerre e malattie subiti dalle masse proletarie nel corso dei secoli ad opera infame e spietata della classe padronale sfruttatrice e usurpatrice del prodotto del lavoro altrui, nonostante le dure sconfitte subite dal proletariato industriale, agricolo e dei servizi nel corso del tempo e nella lotta di classe per conquistarsi un’esistenza meno precaria e più dignitosa, nonostante la sconfitta della classe operaia e dell’intellettualità d’avanguardia nella rivoluzione borghese francese del 1789, della Comune di Parigi nel 1871, della rivoluzione russa del 1905 e della gloriosa Unione Sovietica e nonostante la fine indecorosa dei partiti comunisti nati dalla Terza Internazionale comunista ad opera scellerata di revisionisti e opportunisti prezzolati nelle istituzioni borghesi con stipendi e privilegi vari da parte del potere politico e istituzionale borghese e capitalistico, il parlamento europeo si preoccupa e ha paura dello “spettro del comunismo” che come ai tempi di Marx ed Engels aleggia ancora minaccioso sui cieli dell’Europa, che non è ancora atterrato nei singoli paesi e sull’intero vecchio continente e che ciò avverrà di certo nei tempi necessari, quando per la classe padronale non ci sarà più scampo se non soggiacere sotto il trionfo del nuovo potere della classe lavoratrice, della democrazia proletaria  e del socialismo.
Le paure e le preoccupazioni di questi agenti del Fondo Monetario Internazionale, della Banca Mondiale, della Banca Centrale Europea e delle varie Borse di valutazione del capitale ci dicono che abbiamo ragione nell’analisi che sviluppiamo della difficile situazione sociale dei popoli, della bontà della dell’ideologia, della strategia e della tattica del marxismo-leninismo per cambiare il mondo attuale, della necessità vitale per il pianeta di distruggere il capitalismo e l’imperialismo e dell’esigenza di accelerare la lotta di classe e rivoluzionaria dei comunisti e dell’avanguardia della classe operaia per farla finita al più presto possibile col sistema capitalistico e la sua estensione imperialistica sulla Terra.
“Uno spettro si aggira per l’Europa: è lo spettro del comunismo”. Con questa ineludibile e bene augurante prospettiva storica per l’antico continente Marx ed Engels aprivano la loro opera immortale: “Il Manifesto del Partito Comunista”. Con tale frase i Maestri del proletariato internazionale, dopo millenni di storia repressiva dei bisogni di vita dei lavoratori, annunciavano alla classe sfruttata dai padroni la conquista sicura di una nuova società prima socialista e poi comunista, che purtroppo non è stata ancora realizzata definitivamente, ma che rimane concretamente e prepotentemente all’ordine del giorno della storia dei popoli europei e dell’intero globo terrestre. La certezza di tale futuro sta nella non più tollerabile sottomissione della quasi totalità dei popoli all’arbitrio di sfruttamento e di rapina di un manipolo di capitalisti e imperialisti, o meglio di padroni della terra, dell’industria, del commercio e della finanza che determinano le misere condizioni di vita delle masse lavoratrici e popolari, che sfruttano e rapiscono il frutto del lavoro altrui e che condizionano la vita stessa degli individui, sta nella realtà della vita sociale e nell’auspicio del genere umano di liberarsi finalmente dalla millenaria schiavitù della minoritaria classe padronale, che esiste solo per sfruttare i salariati e mantenere in vita una società divisa in classi avverse tra pochi ricchi e una moltitudine di poveri e tra una minoranza di agiati che vivono nell’ozio, nell’oro e nello sperpero e una  moltitudine di esseri umani che conoscono solo povertà e privazioni.
Di conseguenza il 19 settembre 2019 i 751 componenti del parlamento europeo – tutti di cultura borghese, clericale e capitalistica, salvo una esigua minoranza di revisionisti e opportunisti della cultura genericamente comunista, tutti asserviti al potere economico, finanziario e militare capitalistico e imperialistico, tutti terrorizzati dall’auspicio premonitore, scientifico e materialistico di Marx ed Engels sullo “spettro del comunismo che si aggira per l’Europa” e per tanto presi dal delirio e dalla disperazione – hanno approvato una risoluzione, nel chiaro tentativo di distogliere le masse lavoratrici e popolari dal dedicarsi alla lotta di classe per preparare la fase rivoluzionaria che consentirà di sconfiggere l’ordine sociale capitalistico e imperialistico e costruire la società socialista dell’uguaglianza, dell’altruismo e del mutuo soccorso. Ma nessuna risoluzione potrà mai fermare il corso della storia umana, l’anelito di giustizia sociale, la dignità dell’esistenza umana e la speranza di una vita non più di sole sofferenze, ma anche di certezze sociali, di tempo libero e di soddisfazioni. Un’esistenza di preoccupazioni e privazioni – per la mancanza di lavoro, del salario o dello stipendio, del diritto gratuito allo studio sino al livello più alto dell’insegnamento, di un’assistenza sanitaria inadeguata e costosa, di una casa sicura e dignitosa,  della  sicurezza sociale e sul lavoro, di una vecchiaia economicamente tranquilla e assistita, eccetera – è solo una condanna della vita ed è il prodotto disgraziato della società fondata sullo sfruttamento del lavoro proletario e sul profitto capitalistico accumulato.
Abbiamo deciso di riprendere le questioni poste dalla suddetta risoluzione non perché essa possa minimamente far paura o condizionare il lavoro rivoluzionario del proletariato europeo nella sua impresa di realizzare il passaggio dal capitalismo al socialismo, tanto è che essa, come altre precedenti europee o di singoli Stati, o che potrebbe rallentare o fermare il corso della storia, ma semplicemente per smascherare e condannare con estrema fermezza di classe e rivoluzionaria la decisione degli occupanti il parlamento borghese e clericale di Strasburgo, formati da partiti, eletti e burocrati del capitale che calpestando la verità storica hanno osato, per adesso impunemente, mettere sullo stesso piano il fascismo, il nazismo e il comunismo negando viscidamente la realtà della seconda guerra mondiale e quanto di nuovo e di positivo ha rappresentato per i popoli della Terra il socialismo realizzato nel ventesimo secolo. Nulla fermerà i comunisti, la classe operaia e i suoi alleati dallo strappare il potere dalle mani delle sanguisughe padronali per avviare la costruzione della nuova umanità fondata sulla parità sociale e dei sessi.
Questa nostra certezza scaturisce dalla constatazione che le leggi della natura e della società, rielaborate scientificamente all’interno dell’edificio del materialismo storico e dialettico da Marx, Engels, Lenin e Stalin e in base al carattere rigidamente di classe e rivoluzionaria della lotta di classe che conduce un Partito Comunista della classe operaia e degli strati più avanzati della messe lavoratrici, la rivoluzione proletaria socialista non è più improvvisazione, utopia, casualità, volontarismo o populismo, ma una scienza organizzativa e strategica certa e definita dal pensiero rivoluzionario dei nostri quattro Maestri e sperimentata vittoriosamente da Lenin e Stalin, che per primi forgiarono il Partito Comunista bolscevico, che condusse alla vittoria la gloriosa Rivoluzione Proletaria Socialista del 7 novembre 1917. Il Partito di fattura bolscevica è infallibile nell’assalto e nella decimazione del nemico di classe. Nel secolo scorso sconfitta non è stata la strategia del marxismo-leninismo o le modalità di costruzione del socialismo realizzato con in testa l’Unione Sovietica di Lenin e Stalin, ma hanno fallito i partiti comunisti avviati dai gruppi dirigenti deviati sulla strada nefanda del revisionismo della teoria e della strategia degli ideali del comunismo, dell’opportunismo, del tradimento della classe lavoratrice e del connubio cogli interessi del nemico di classe. Il Partito della vittoria prima del socialismo e poi del comunismo è solo quello bolscevico ispirato da Lenin e Stalin, tutto il resto è rimasuglio maleodorante della cultura idealistica, borghese e clericale.
Sulla necessità della natura bolscevica del Partito dei comunisti e della classe operaia industriale e agricola per sconfiggere il nemico di classe e per sostituire il socialismo al capitalismo il compagno Majakovskij scriveva nel settimo canto del volume “Bene! e Poema di Lenin” dedicato, appunto, al Partito di Lenin e Stalin: “Il Partito è un uragano /denso di voci  flebili e sottili / e alle sue raffiche / saltano i fortilizi del nemico, / come timpani al rombo del cannone.Il Partito è l’unica cosa che non tradisce.  (quando non cade nelle mani dei traditori –  Nostra precisazione) / Il Partito è la spina dorsale della classe operaia. / Il Partito è l’immortalità della nostra opera. / Cervello e fatica, /  vigore e gloria della classe:  ecco cos’è il Partito. / Il Partito e Lenin sono fratelli gemelli.  / Chi vale di più di fronte alla storia? / Noi diciamo Lenin e intendiamo il Partito, / noi diciamo Partito e intendiamo Lenin.”. Dal punto di vista ideologico e politico un vero Partito bolscevico, quale noi riteniamo essere il Partito Comunista Italiano Marxista-Leninista, è come una corazza contro cui si infrangeranno i nemici di classe e i traditori e rinnegatori della causa comunista sul Pianeta.
      La sopra citata risoluzione del parlamento capitalistico e imperialistico europeo è stata votata da tutti i partiti e loro eletti della falsa sinistra comunista, dei socialdemocratici, del centrosinistra, compreso il Partito Democratico, del centro cosiddetto democratico, del centrodestra e della destra reazionaria, sovranista, senofoba e filo fascista e nazista. Tutti hanno fatto da puntello agli interessi del capitalismo e dell’imperialismo, tutti sono corsi in aiuto del decrepito e morente sistema capitalistico. Vergognatevi, neppure le apparenze avete salvato. Però se è storicamente e politicamente acclarato che il fascismo e il nazismo sono due ideologie e organizzazioni statali e militari violenti, repressive e negazioniste della civiltà e della sensibilità umana, a cui ricorrono il capitalismo e l’imperialismo quando i loro interessi sono minacciati dalla lotta di classe del proletariato, come avvenne negli anni venti e trenta del secolo scorso in Europa, allora il vostro voto, borghese, clericale e capitalistico, ha suonato come assoluzione dei crimini commessi da tali regimi, come complicità con tali crimini contro l’umanità e come corresponsabilità culturale, politica e istituzionale verso il rinascente neofascismo e neonazismo nel nostro continente.
      In altre parole, coscientemente o incoscientemente, avete incoraggiato il rinascente nazismo a Dresda e in tutta la Germania, in altri paesi europei, compreso l’Italia, nell’intero vecchio continente e anche in altri continenti, come quello americano, perché nel secolo scorso ha combattere e sconfiggere, sul piano politico e militare, il fascismo e il nazismo sono stati principalmente i comunisti di tutti i paesi europei, dell’intero pianeta ed essenzialmente la gloriosa Unione Sovietica con l’eroica Armata Rossa. Equiparando il comunismo al nazismo in effetti avere condannato chi il nazismo ha maggiormente combattuto. Forse questo vi dava storicamente fastidio e avete voluto imporre gli interessi ideologici, politici, economici, militari e sociali del vincitore sistema capitalistico dopo la sconfitta del mondo socialista realizzato nel secolo scorso, ma la storia della civiltà umana, della lotta di classe del proletariato mondiale, della vittoria del socialismo prima e della società comunista dopo non finisce qui e al momento opportuno pagherete cara questa scelleratezza dalle gambe corte.
      Coloro, ispiratori, partiti ed eletti, che hanno votato la richiamata risoluzione per quanto sopra rappresentato chiaramente non posseggono i titoli morali, umani, accademici, politici e istituzionali per giudicare e condannare l’ideologia e la conseguente attività sociale prima del socialismo e poi del comunismo. Nel corso del ventennio nero del secolo scorso mentre il capitalismo e l’imperialismo, dei cui interessi i componenti e votanti del parlamento europeo sono espressione e rappresentanti, foraggiavano in Italia e in Germania il fascismo e il nazismo in cambio della repressione delle istanze di libertà, democrazia, lavoro e dignità della vita delle masse lavoratrici gli oppositori comunisti, democratici e progressisti venivano retati, massacrati fisicamente e spiritualmente, incarcerati, mandati in esilio o trascinati con inaudita e disumana violenza nei campi di concentramento fascisti e nazisti e milioni di persone incenerite nei forni crematori dei lager nazisti. Dunque, il massacro del genere umano è avvenuto ad opera dell’ordine sociale  borghese e capitalistico difeso a Bruxelles. E ancora, nella parte iniziale della seconda guerra mondiale mentre l’Unione Sovietica e tutti i paesi e Partiti comunisti combattevano il nazifascismo i governi capitalistici dell’occidente europeo e degli Stati Uniti d’America cercavano di indirizzare le orde nazi-fasciste verso l’Unione Sovietica per farla distruggere, perché il socialismo e il comunismo fanno paura agli interessi – profitti – parassitari dei capitalisti.
      Semplicemente ridicola è la tesi illogica, antistorica e menzognera dei parlamentari europei che in riferimento al cosiddetto patto Molotov-Ribbentrop del 1939 tra la Germania e l’Unione Sovietica sostengono che esso avrebbe spianato la strada allo scoppio della seconda guerra mondiale e alle tragedie del nazismo che ne seguirono. Il cosiddetto patto servì al paese del socialismo realizzato per organizzarsi militarmente, approntare la resistenza necessaria alla prevista aggressione tedesca e vincere la guerra sino all’occupazione di Berlino. Agli Stati e alle economie capitalistiche e imperialistiche dell’occidente europeo e americano avrebbe fatto comodo la distruzione allora dell’Unione Sovietica, così come avrebbero gioito gli attuali governanti di Bruxelles che hanno votato quella risoluzione infame, infarcita di odio e di avversione anticomunista e per tanto nemica degli interessi di classe delle masse lavoratrici e popolari europee.
      Ma i coerenti comunisti, cioè i marxisti-leninisti, oltre a possedere la tempra necessaria per difendere gli interessi delle donne e degli uomini più deboli della società capitalistica posseggono pure l’intelligenza necessaria per poterlo fare nel contesto storico in cui si trovano ad operare, come avvenne nel 1939 e nel corso dell’intera guerra di aggressione nazi-fascista. I comunisti non sono stupidi, come i ricchi stipendiati di Strasburgo hanno potuto miseramente e pietosamente pensare. Di conseguenza l’approvazione della risoluzione che equipara il comunismo al nazismo è un falso storico, è un atto di prepotenza del capitalismo sul comunismo e nello stesso tempo di debolezza politica, è l’espressione di una dittatura di classe dell’economia borghese, clericale e capitalistica sulla lotta di classe del proletariato europeo, è un atto d’imperio e un abuso di potere che il futuro governo dei lavoratori, attualmente sfruttati, umiliati e repressi nei loro diritti naturali e sociali dal capitale, saprà processerà e condannerà per l’eternità.
      Signori parlamentari europei, il vostro voto favorevole alla risoluzione oltre ad essere stato un atto di sottomissione e di servilismo al sistema capitalistico e alla sua espansione imperialistica sul pianeta e ai pasciuti miliardari che si sono arricchiti e vivono dello sfruttamento del lavoro proletario è stato anche un atto di presunzione e di egoismo di classe, quella borghese a cui appartenete, e personale. Voi percepite stipendi d’oro rispetto a quelli dei poveri lavoratori occupati, disoccupati e pensionati, vivete una vita agiata, fatta di disponibilità economica e di privilegi che la carica istituzionale vi garantisce attingendo dalla povera gente con tasse e balzelli vari, non avete problemi di sopravvivenza come i proletari in genere connazionali e migranti e avete accesso alle leve del potere, che decidono delle sorti dei popoli sottomessi all’ingordigia dei profitti dei detentori dei mezzi di produzione e della ricchezza prodotta dagli sfruttati. Inoltre, non dimostrate di essere capaci di guardare fuori dalla vostra esistenza dorata, dove centinaia di milioni di persone vivono nella miseria, in condizioni disperate e nel più totale abbrutimento della vita sociale.
      Provate a immedesimarvi almeno per un istante nella vita grama delle tragedie della migrazione per povertà, malattie, guerre e persecuzioni varie degli ultimi tempi di parti consistenti di popolazioni, in particolare dell’Africa e del Medio Oriente. Tutto questo dovrebbe indurvi a riflettere sulle cause dei mali passati, presenti e futuri dell’umanità se sopravvivesse l’attuale ordinamento sociale, basato sullo sfruttamento del lavoro altrui e sull’illecito arricchimento di pochi magnati. Invece l’egoismo borghese che regna in voi non vi consente di guardare fuori dal vostro stato sociale e tutto serve a salvaguardare il vostro tenore di vita, compreso il votare una risoluzione che suona offesa all’intelligenza e alla natura umana degli individui e rivendica giustizia, che noi comunisti, assieme all’intera classe lavoratrice garantiremo dopo la conquista del potere e della democrazia proletari. Per la dignità della vostra esistenza sulla Terra sarebbe opportuno che abbandonaste quell’atteggiamento tronfio, pieno di arroganza del potere, che avete avuto nel condannare con quel voto irresponsabile la cultura e l’impegno di vita dei comunisti, che vivono e si battono per costruire un mondo nuovo dal quale scompaiano per sempre le differenze di classe e le vessazioni di oggi a cui sono sottoposti miliardi di esseri umani.
      Ma voi siete accecati da verità e interessi di parte che non vi consentono di guardare la realtà che vi circonda e di riconoscerne le cause insite nel sistema che sostenete ed elogiate e che vi ostinate a puntellare anche con risoluzioni false e inutili come quella che avete votato. Sì inutili, perché al momento opportuno esse saranno cancellate dalla letteratura e dalla storia dal furore delle rivoluzioni proletarie socialiste, così come oggi il vento trascina via e disperde i cattivi odori provenienti dal vostro pascere nella maleodorante ricchezza oppure come le mareggiate rigenerano le acque del mare, specialmente di quelle in quinate sotto costa, che fanno il pari con la corruzione che alberga nei palazzi del potere borghese e clericale. E’ dal passaggio dal comunismo primitivo delle comunità alla società divisa in classi contrapposte e al potere della classe padronale che avete inquinato la coscienza umana e state distruggendo il pianeta. Statene certi, toccherà a noi comunisti ripristinare i valori della convivenza civile e salvare la Terra dalle rapine e dalle distruzioni capitalistiche e imperialistiche e allora per le vostre falsità di potere non ci sarà più posto nella storia e nella coscienza dell’umanità.
Forio (Città Metropolitana di Napoli), 4 novembre 2019.
* Segretario generale del P.C.I.M-L.
   domenicosavio@pciml.org   
 
 

Robert Bibeau

Auteur et éditeur

4 réflexions sur “Le parlement européen assimile le communisme au nazisme (!)

  • 8 décembre 2019 à 3 h 13 min
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    Bon, que ce soit clair pour tout le monde:
    – Le communisme est un capitalisme d’état: toutes les richesses dans les mains d’une oligarchie.
    – Le fascisme est un capitalisme de monopolistes: toutes les richesses dans les mains d’une oligarchie.
    L’accès des moyens pour les capables, créatifs et responsables est interdit. Adam Smith est mort.
    L’ Union européenne est URSS version 2.0.
    Le monde est rond.

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    • 8 décembre 2019 à 11 h 52 min
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      @ Michel
      Je ne dirais pas que le COMMUNISME est un capitalisme d’État puisque nous n’avons jamais observé nul part sur terre – jamais dans l’histoire de l’humanité (sauf sous le communisme primitif de l’homo sapiens-sapiens) de société communiste = jamais
      Ce que nous avons observé pendant 70 ans environ c’est le SOCIALISME dans une quarantaine de pays ou davantage – dont le modèle absolu – l’URSS de Lénine et des bolcheviques – qui fut effectivement une forme du capitalisme d’État comme la France de 1945 en fut un autre modèle qui tous (ces différents modèles variables) aboutirent à l’impérialisme triomphant PUIS décadent (l’époque actuelle)
      Je ne dirais pas non plus que l’Union européenne serait l’URSS version 2 – l’URSS n’a jamais atteint le niveau de productivité et donc de profitabilité et d’exploitation de la main-d’oeuvre que l’Union a aujourd’hui atteinte (raison par ailleurs de son effondrement face à la concurrence du capitalisme libéral)
      Prendre soin des mots cependant = capitalisme LIBÉRAL = ne signifie en rien LIBERTÉ pour les esclaves salariés qui sous le capitalisme dirigiste (socialiste) et sous le capitalisme libéral (pour les financiers) demeurent des esclaves enchainés à la vente de leur force de travail et à leur salaire
      Merci pour ton post
      Robert Bibeau

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      • 9 décembre 2019 à 9 h 47 min
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        Il faudra se mettre d’accord sur la définition des termes. De toute façon mous sommes bien d’accord, que notre société se transforme rapidement en une dictature terrible.
        Ce n’est que quand nous mettons hors état de nuire le pouvoir psychopathe et nous commençons à coopérer dans un esprit de respect mutuel, que nous pouvons éviter la catastrophe.
        Meric Robert, bonne chance et bon courage !

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