Le «déconfinement» s’annonce socialement explosif en France – en Italie – partout!
Par Khider Mesloub.
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Les classes dirigeantes, à la faveur de l’effondrement économique prévisible depuis quelques années, sous couvert de lutte contre le Covid-19, avec leur opportune mesure de confinement censément salvateur, escomptaient endiguer le virus de la contestation depuis plusieurs mois très virulent. En brisant le thermomètre (de la contestation), les gouvernants pensaient éliminer la fièvre (sociale). Autrement dit, en confinant des millions de prolétaires contestataires, ils espéraient enrayer leur tempérament subversif, désamorcer la bombe virale insurrectionnelle. Mais contre la fièvre sociale révolutionnaire chauffée à blanc aucun vaccin politique réformiste n’est efficient. Aucune manœuvre dilatoire sanitaire, fût-elle opérée dans un contexte de psychose pandémique, ne peut la circonscrire. Pire, elle l’empire.
Le gouvernement français vient d’apprendre à ses dépens cette implacable vérité. En effet, la réalité vient de refroidir les ardeurs triomphales du pouvoir français trop naïvement confiant de sa manœuvrière opération totalitaire de confinement militaire, après avoir pris connaissance du dernier rapport de leurs services de renseignement. Le gouvernement Macron, premier État à déchanter, vient d’apprendre, avec amertume, que le confinement n’avait pas eu les effets escomptés, à savoir endiguer le virus de la révolte sociale toujours en phase d’incubation, de fécondation, de maturation, de propagation, en dépit de « sa mise sous séquestre » policière, de sa mise sous camisole sanitaire.
Sans aucun doute, ce rapport a dû faire l’effet d’une douche froide à l’Elysée. Sa lecture a assurément glacé le sang des dirigeants français. Selon l’hebdomadaire Le Point daté du 12 avril 2020, relayant une information du journal Le Parisien, « la fin du confinement inquiète les renseignements ». En effet, le service central du renseignement territorial redoute l’exacerbation des mouvements sociaux dans les prochaines semaines, au lendemain de la levée du confinement. Ainsi, notre analyse sur l’embrasement social prévu au lendemain de la période de confinement se confirme. Nous avions écrit ici même, dans le Webmazine Les 7 du Quebec, https://les7duquebec.net/archives/253816 que les révoltes sociales allaient se propager plus massivement que le coronavirus. Quel que soit le pays, le continent. Pour paraphraser Poutine : les révoltes sociales iront déloger les puissants jusque dans leurs chiottes (l’histoire ne dit pas si Poutine se sent lui-même menacer dans ses chiottes ?!…)
À la furieuse colère, aujourd’hui contenue par le confinement (et encore, pas complètement comme le montre la révolte au Michigan américain), dirigée contre la gestion calamiteuse du gouvernement Macron illustrée par la défaillance criminelle de matériels médicaux (absence de masques, solutions hydro-alcooliques, respirateurs, et surtout tests de dépistage), viendrait se greffer le mécontentement social suscité par le chômage et la dégradation des conditions de vie. De toute évidence, après l’entracte forcé du confinement, la scène sociale reprendrait son scénario séditieux de la contestation, interrompu opportunément par le confinement pénitentiaire. Selon les services du renseignement français, révèle Le Point, « plusieurs groupuscules contestataires auraient déjà prévu des rassemblements, manifestations et actions coup de poing dès que le confinement serait levé en France ». Au reste, la page Facebook d’un collectif d’extrême-gauche, dénommé « Refusons le retour à la normale », prévoit un grand Événement, écrit Le Parisien. Si la date de l’événement n’est pas indiquée, en revanche l’horaire est déjà annoncé : 11 heures. Sur leur page Facebook est exhibée en exergue cette sentencieuse adresse : « Notre colère ne sera pas confinée. Retrouvons-nous dans la rue dès la fin du confinement ! Mettons le pouvoir en quarantaine ! ». D’ores et déjà, dans diverses villes de France, plusieurs manifestations seraient prévues pour le premier samedi post-confinement. De nombreuses organisations de la mouvance autonome d’extrême-gauche appellent « à une transversalité des luttes » en incorporant les « Gilets jaunes et les blouses blanches ». Les services de renseignement ont noté avoir découvert la diffusion d’une « attestation de déplacement révolutionnaire » publiée par un média alternatif à Bordeaux se réclamant des Gilets jaunes. https://les7duquebec.net/archives/253109 Sur cette attestation, les cases à cocher sont délibérément séditieuses. Ainsi, sont inscrites les notations suivantes : « à utiliser sans modération après le confinement » : « déplacements entre le domicile et le pouvoir indispensable à l’exercice d’émeutes », ou encore, « participation à des commandos sur demande des assemblées populaires ». Toujours sur leur page Facebook, les renseignements ont relevé cette information : « le confinement est utilisé pour harceler, humilier et parfois tuer ceux identifiés à risque par le pouvoir : les habitants des zones pauvres ». A cet égard, pour ces militants de la mouvance autonome, le projet de « tracking », programmé par le gouvernement Macron, est une « efficience de la techno-police » visant à « surveiller les corps et âme de la plèbe ».
L’ultra-droite identitaire n’est pas en reste. Elle serait également mobilisée. Et invite également la population à des soulèvements violents. Les services du renseignement ont notamment pu lire sur leur site : « La France est une cocotte-minute […] Ce gouvernement macronien a-t-il conscience des sommes de haine et de colère qui s’accumulent ? […] Que les comportements collectifs pourraient se déchaîner contre lui avec toute la brutalité d’une mutinerie sanglante ? »
Au-delà de la mouvance de l’extrême-gauche et de l’extrême-droite, l’ensemble des travailleurs actifs et au chômage entendent occuper de nouveau l’espace public pour résister contre la gestion sanitaire criminelle des gouvernements, contre l’explosion du chômage, la détérioration des conditions sociales, bref, contre la détérioration de leurs conditions de vie et de travail – la façon pour le grand capital international de faire payer les travailleurs pour la faillite de leur système économique et social.
L’après-confinement s’annonce mouvementé. La note confidentielle des services du renseignement sur le «suivi de l’impact du Covid-19 en France précise que les syndicats n’accepteront pas un retour à la situation d’avant crise car celle-ci a démontré les limites du néo-libéralisme» (sic), écrit BFMTV sur son site d’information.
Du côté de l’Italie, la même crainte s’est emparée du pouvoir. Les services secrets italiens ont présenté au gouvernement Conte un rapport sur les possibles révoltes sociales et rébellions spontanées dans le Sud du pays consécutivement à l’écroulement du système de santé et à la dégradation des conditions de vie des habitants et de travail des salariés. Comme l’indique Dagospia, un hébergeur d’informations italien, «Les parkings abusifs, les contrebandiers, les trafiquants de drogue, en ce qui concerne l’économie illégale, mais également la part importante de travailleurs illégaux (caissiers, paysans, barmans, serveurs) employés dans des entreprises maintenant obligées de fermer, ne sauront bientôt plus comment joindre les deux bouts». Sur Facebook, les italiens de Sicile ne mâchent pas leurs mots et appellent au pillage des magasins. «Les travailleurs non déclarés, qui selon les données de 2019 étaient au nombre de 3,7 millions, se retrouvent sans ressource et vivent actuellement sur leurs économies». «La question que se posent maintenant les analystes des services de renseignement est de savoir combien de temps peuvent se débrouiller ces quatre millions de citoyens sans gagner d’argent» ? Cette dernière interrogation se pose pour tous les pays où domine l’économie informelle et marchande, l’absence d’assurance chômage, de protection sociale, notamment dans le secteur privé, comme l’Algérie et d’autres pays sous-développés.
Mesloub Khider
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STOP « COVID 19 pas plus meurtrier qu’une grippe », selon les statistiques du Professeur Didier RAOULT ,nous dit la vérité, première victime en temps de guerre, guerre 6 fois citée par MACRON, maçon SS Satanique Sioniste va nous imposer un vaccin avec puce, rêvé par Bill GATES, le 18 octobre 2019,simulant à NEW-YORK une pandémie au CORONAVIRUS faisant le 1 avril 2020, plus de victimes que le 11 septembre 2001 où les USA se sont auto-attaqués selon l’Archevêque catholique de BOSTON obligé d’abdiquer, être rétrogradé comme simple prêtre !? Dieu, Amour, Justice et Vérité, trahi par « LA RAIE PUBLIQUE EN MARCHE » immobilisée par la terreur se nomme depuis le 11.01.15 « JE SUIS CHARLIE »avec CHARLIE assassiné par HOLLANDE-TETE DE MORT, avec la complicité le 07.01.15 de MACRON à LAS VEGAS portant avec son équipe des badges « JE SUIS CHARLIE » imprimés à PARIS temps MOSSAD. Halte au terrorisme .JE SUIS CHARLIE MAGNUS, comme sosie de LOUIS I, fils cadet de CHARLEMAGNE dont je suis le tout dernier primo-descendant de CHARLES MAGNE, après sur la toile,« VIVIEN DURIEUX,BOUCAN ATTENTAT MANQUE » suivi de « SAINT GILLES ATTAQUE AU DRONE LA LOI DU SILENCE » sur INTERNET, où je demande que FRANCOIS, nous restitue le détonateur du drone militaire, un disque de 8cm de diamètre, que je montre sur la vidéo, disque que FRANCOIS ,le 23.07.14 nous a soustraits de force place PIE XII, pour voler au secours de François HOLLANDE, je dis halte au terrorisme d’Etat ou d’Etats.
« Les Gouverne-Ment » nous mentent .Où en est le décompte des 1.000.000 de signatures, pour appliquer les jugements de la Cour suprême, parrainée par Eric FIORILE, Président du C.N.T de France en décembre 2019,à MILAN a jugé SARKOZY,HOLLANDE et MACRON, tous trois maçons SS, Sataniques Sionistes.
Article 8 bis de ROME, tous trois, Chanoine de LATRAN, sont accusés de terrorisme sur nous, par des faux attentats islamistes :
Comme sous SARKOZY ,l’affaire MERAH ,innocenté par le portrait-robot, le 22.03.12 exécuté par SARKOZY .
CHARLIE,12 journalistes assassinés le 07.01.15 par des crypto juifs aux yeux bleus ,plus un crypto juif faux flic arabe faussement assassiné devant CHARLIE, par HOLLANDE et MACRON aux affaires, pour passer de force, la Loi HOLLANDE-MACRON-KONNERI, pour interdire la manifestation de tous les Ordres, le 22.01.15 interdite par HOLLANDE-TETE DE MORT :
« KOKO DE MORT » en créole, avec l’aide du MOSSAD ,temps MOSSAD, selon le 11.01.15, accusations par courriel d’une ROTHSCHILD dissidente, citant le MOSSAD et les noms des crypto juifs « payés chacun 666.000 € ou $ et exfiltrés en Argentine 6 ans pour se faire oublier » .
A présent nous sommes terrorisés, par 2 mois supplémentaires de confinement sanitaire, jusqu’au 24 juillet 2020 par « Le COVID 19 , SANS INFLUENCE SUR LA MORTALITE » ,selon les courbes du Professeur Didier RAOULT disant la vérité, la première victime en temps de guerre.
Guerre, mot 6 fois utilisé par MACRON, Président de « LA RAIE PUBLIQUE EN MARCHE » immobilisée par MACRON, ex Ministre d’ « UN GOUVERNEMENT DE GUERRE », dixit le 1 avril 2014, HOLLANDE, alors Président de LA RAIE PUBLIQUE, accusé 3 fois de pédophilie dans l’affaire Laureen VERDIN,4 ans décédée en 2004 des suites de viols en réunion à PARIS et MARRAKECH, où étaient présents HOLLANDE,MOSCOVICI et LANG, selon accusations de M. Emmanuel VERDIN ,déposant 3 constitutions de partie civile et une vidéo, montrant HOLLANDE en caleçon et LANG nu, se faisant une fellation par Laureen VERDIN,4 ans, décédée en 2004,des suites de ces viols en réunion , sur la péniche à PARIS d’un Député socialiste du Vars et à MARRAKECH, au « V.I.P la boite du péché », selon les islamistes, obligeant son propriétaire de la vendre après la découverte du cadavre d’’un gamin sodomisé, retrouvé dans les poubelles du V.I.P! ?
https://conseilnational.blogspot.com/2019/12/petition-pour-la-creation-dune-cour.html
Vivien II de CAROLI, courriel: v.durieuxdecaroli@gmail.com
et sur FACEBOOK : Vivien Durieux de Caroli.
« Une étude du FMI prévoit une vague d’explosions sociales après la pandémie »
21/02/2021
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Article publié dans la presse espagnole
« Une étude du FMI prévoit une vague d’explosions sociales après la pandémie »
Été 2022. Juste au moment où les gouvernements pensent que le pire est passé après une campagne exhaustive de vaccins et de plans de relance économique de plusieurs milliards de dollars, le monde s’illumine soudainement. Des centaines de villes sont le théâtre de batailles entre des manifestants et des policiers anti-émeute habillés à la Robocop. Des images de bâtiments en feu sont projetées sur des millions d’écrans de télévision. Les gouvernements tombent lors d’élections tumultueuses.
Il ne s’agit pas du prochain épisode de la série dystopienne « Years and years », mais d’un scénario qui dessine ce qui pourrait se passer après la pandémie, sur la base d’une analyse faite par les experts techniques du Fonds monétaire international (FMI).
La pandémie n’est pas non plus la cause initiale, mais un catalyseur.
“De la peste de Justinien au VIe siècle à la grippe espagnole de 1918 en passant par la peste noire du XIVe siècle, l’histoire est jonchée d’exemples d’épidémies qui ont de fortes répercussions sociales : elles transforment la politique, bouleversent l’ordre social et provoquent des débordements sociaux”, affirment Philip Barrett et Sophia Chen dans leur rapport intitulé The Social Impact of Pandemics (janvier 2021). Et la période qui suit le covid n’a pas besoin d’être très différente.
Pourquoi ? Une explication possible est qu’une pandémie “met en évidence les fractures existantes dans la société : manque de protection sociale, méfiance envers les institutions, incompétence ou corruption des gouvernements”, affirment les services du FMI.
Sur la base d’une analyse de millions d’articles de journaux publiés depuis 1985 dans 130 pays, le FMI a élaboré un indice de l’agitation sociale qui quantifie la probabilité d’une explosion des protestations à la suite de la pandémie. Les techniciens relatent des cas de débordements sociaux à 11 000 événements différents qui se sont produits depuis les années 1980. Il s’agit notamment des catastrophes naturelles telles que les inondations, les tremblements de terre ou les ouragans, ainsi que les épidémies.
En utilisant des équations algébriques complexes, les experts ont découvert “une relation positive et significative” entre les catastrophes et les débordements sociaux. Plus précisément, “il existe une relation positive entre les débordements sociaux et les épidémies”, affirment Barrett et Chen dans leur rapport.
“A plus long terme, la fréquence des débordements sociaux monte en flèche.”
Comme c’est souvent le cas dans les études économiques, la relation entre les catastrophes et les protestations est quelque chose que beaucoup de gens, sans avoir besoin d’équations mathématiques, comprendraient intuitivement. Mais ce qui est intéressant dans l’analyse du FMI, c’est la relation chronologique qu’il identifie entre les épidémies et les débordements sociaux. Il y a un effet de décalage important. De nombreux mois, jusqu’à deux ans, séparent le pic de l’épidémie des rébellions.
En effet, il y a eu peu de protestations pendant cette pandémie. Au contraire, ces derniers mois, “le nombre de manifestations physiques de troubles sociaux est tombé à son plus bas niveau en près de cinq ans”. L’exception est le mouvement Black Lives Matter qui a suivi l’assassinat de George Floyd par la police à Minneapolis, qui a déclenché une vague de protestations aux États-Unis.
Mais au-delà de ce résultat pacificateur immédiat des épidémies, “à plus long terme, la fréquence des débordements sociaux monte en flèche”, affirme le rapport du FMI, dont le ton est beaucoup plus froid et détaché que les informations qu’il analyse sur les émeutes dans des millions d’articles de journaux scandalisés au fil des décennies.
En se basant sur des informations concernant différents types de manifestations, les chercheurs du FMI montrent qu’avec le temps, “le risque d’émeutes et de manifestations contre le gouvernement augmente. De plus, “le risque de crises politiques graves (événements pouvant faire tomber des gouvernements), qui surviennent généralement dans les deux années suivant une épidémie majeure, augmente”, résument l’institution multilatérale basée à Washington.
Le rapport conclut que “l’agitation sociale était forte avant la pandémie et s’est modérée pendant la pandémie, mais, si l’on se fie à l’histoire, il est raisonnable de s’attendre à ce que, lorsque la pandémie s’atténuera, des explosions sociales réapparaissent.
Un autre rapport du FMI intitulé How Pandemics Lead to Despair and Social Unrest (octobre 2020), de Tahsin Saadi Sedik et Rui Xu, utilise une méthodologie similaire pour mettre en évidence cet effet de décalage. “Les épidémies graves qui entraînent une mortalité élevée augmentent le risque d’émeutes et de manifestations antigouvernementales”, expliquent-ils. Ces “événements pandémiques génèrent un risque nettement plus élevé de troubles civils après 14 mois”. Cinq ans après la pandémie, il y a encore un “effet quantitativement significatif sur la probabilité de troubles civils”. Les épidémies d’Ebola en Afrique de l’Ouest entre 2014 et 2016, par exemple, “ont entraîné une augmentation de la violence civile de plus de 40% après un an et son effet sur les troubles sociaux a persisté plusieurs années plus tard”.
Si l’étincelle de violence n’est pas nécessairement liée à une pandémie, le traumatisme social et l’impact socio-économique de la crise sanitaire sont à l’origine de la derrière les manifestations répétées de protestation.
Mais la pandémie n’est pas non plus la cause initiale mais un catalyseur. Le premier lien dans l’effet domino est l’inégalité et la perception de l’injustice, expliquent les analystes du FMI. “Les résultats de notre étude indiquent qu’une forte inégalité est associée à plus d’explosions sociales (…) et que les troubles sociaux seront d’autant plus importants que l’inégalité des revenus sera élevée au départ”, affirment-ils.
Les pandémies déclenchent une bombe à retardement “parce qu’elles réduisent la croissance économique et augmentent les inégalités” et créent “un cercle vicieux dans lequel le ralentissement de la croissance, l’augmentation des inégalités et la montée des troubles sociaux se renforcent mutuellement”.
@ Oeil de faucon
L’étude est clairvoyante et nous apprend des choses que l’observation de la société permet de confirmer et parfois plus tôt que prévu.
Comme ici et maintenant : https://les7duquebec.net/archives/262345