7 de garde

PORT DU MASQUE. Une mesure dangereuse, selon un microbiologiste

Par: Olivier Dénommée.

Le microbiologiste maskoutain Antoine Khoury croit que le gouvernement fait une grave erreur en rendant le port du masque obligatoire dans les lieux publics fermés à compter de samedi.

Après des semaines de tergiversations au sujet du port du masque, le gouvernement du Québec a officiellement annoncé lundi qu’il serait obligatoire d’en porter un dans tous les lieux publics fermés à compter de ce samedi et que les contrevenants feraient face à des amendes allant de 400 $ à 6000 $. Si plusieurs se demandaient pourquoi cette obligation n’avait pas été décrétée plus tôt, d’autres sont loin de s’en réjouir, décriant des mesures « exagérées », voire carrément « dangereuses ».

C’est le cas du microbiologiste Antoine Khoury, président-directeur général de l’entreprise Vacci-Vet à Saint-Hyacinthe. D’abord formé à la médecine dans son Égypte natale, il a ensuite étudié la microbiologie à l’Université de Montréal et s’est plus tard spécialisé dans le domaine vétérinaire. Mais depuis le début de la crise du coronavirus, il se questionne sur les décisions prises par le gouvernement et la santé publique, en particulier la question du port du masque, qui cause selon lui plus de tort que de bien.

« Les masques qui sont sur le marché ne font rien pour protéger les gens du virus : ils ne sont pas stériles contrairement à ceux qu’on retrouve dans les hôpitaux et il ne faut pas les porter plus de 15 ou 20 minutes, sinon ils vont se transformer en incubateurs à bactéries. Et c’est encore pire pour les masques en tissus, de véritables ramassis de bactéries parce qu’ils sont poreux », estime M. Khoury.

Selon lui, le fait d’avoir une barrière collée près de la bouche et du nez permet aux bactéries inoffensives qui se trouvent dans notre organisme de proliférer à l’aide du niveau d’humidité, leur permettant de devenir dans certains cas des pathogènes menant à des infections sérieuses ou des maladies chroniques. « Ça se voit déjà à plusieurs endroits : des gens s’absentent du travail à cause des problèmes de santé dont le masque est responsable. Non seulement il ne les protège pas, mais il les a rendus malades. » Selon lui, les symptômes du port du masque sont tous les mêmes : mal de tête, nausée et difficulté à respirer.

Il ajoute que le lavage des masques réutilisables serait aussi loin d’éliminer toutes les bactéries. Ainsi, le seul contexte où il voit une utilité au masque serait dans les transports en commun, à condition que celui-ci soit jeté à la fin du trajet.

C’est pourquoi M. Khoury se dit farouchement contre cette tendance à imposer le masque partout. « La COVID-19 est comme l’influenza, mais en plus virulente. La meilleure façon de combattre cette maladie est d’avoir un système immunitaire fort, donc la clé est d’éviter de l’affaiblir en portant un masque qui obstrue la respiration et qui aide les bactéries à se multiplier », estime-t-il, assurant qu’il cessera de fréquenter tous les lieux qui imposent le port du masque à compter de samedi jusqu’à ce que la donne change.

D’autres décisions discutables

De l’avis de ce microbiologiste, aucune des décisions dans le dossier de la COVID-19 prises par François Legault et le directeur national de santé publique, Horacio Arruda, n’a été bénéfique pour la population. Cela inclut l’incitation au lavage des mains fréquent – qui dénaturerait la barrière naturelle de l’épiderme, la rendant plus vulnérable – et la distanciation sociale de 2 m – qui ne protège pas de grand-chose selon lui. Il s’avoue aussi sceptique quant au vaccin à venir, qui risque déjà d’être désuet puisque le virus a vraisemblablement commencé à muter. « Ce sont des décisions prises par la politique et par la peur, pas par la science », décrie Antoine Khoury.

Et pourtant, même s’il dénonce les directives gouvernementales, qu’il juge mal avisées, il se tient loin des mouvements conspirationnistes qui espèrent le convaincre de se joindre à leur cause. « Tout ce qui m’intéresse, c’est d’informer les gens pour qu’ils sachent pourquoi ils portent un masque. » Il espère que le gouvernement fera vite marche arrière sur l’obligation de porter le masque dans les lieux publics, une mesure qui, craint-il, fera autant de mal à l’économie qu’à la santé des Québécois si elle devient la nouvelle « norme sociale ».

D’autres avis sur la question

Notre entretien avec le microbiologiste Antoine Khoury a révélé que ses observations allaient complètement à contre-courant de ce qui est véhiculé par les autorités québécoises concernant la question du masque pour se protéger de la COVID-19. LE COURRIER s’est intéressé à d’autres avis sur la question du masque, de son efficacité et de ses risques.

Notons d’entrée de jeu que, jusqu’au 5 juin, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) ne recommandait pas le port du masque. Sa position a depuis changé grâce aux conclusions de nouvelles études et elle offre maintenant des directives sur la façon de porter le masque de façon efficace et sécuritaire. Au Canada, on le recommande, mais seulement lorsque la distance de 2 m est impossible à maintenir dans les lieux publics achalandés. Le Québec est actuellement la seule province canadienne à imposer le masque.

L’avis des spécialistes de la santé a aussi évolué avec le temps et la majorité d’entre eux semblent être d’accord pour dire que le masque peut aider dans une certaine mesure à éviter la propagation du coronavirus. L’urgentologue Dr Alain Vadeboncoeur s’est fait entendre à plusieurs reprises en faveur du port généralisé du masque.

Il s’attaque aussi à différents mythes entourant le masque et a publié, le 7 juillet, une chronique dans L’actualité où il a réalisé l’expérience de tester sa saturation en oxygène sans masque, avec différents masques et même avec plusieurs couches. Sa conclusion est sans équivoque : même avec quatre masques (dont un N95), une visière, une jaquette d’hôpital et un drap sur la tête, il n’a subi aucune hypoxie (manque d’oxygène). Son expérience a été largement relayée depuis.

Un symbole?

LE COURRIER s’est aussi entretenu avec Dr Bernard Massie, microbiologiste à la retraite qui a notamment œuvré comme gestionnaire principal du secteur thérapeutique en santé humaine au Conseil national de recherches du Canada, pour obtenir son avis sur certaines affirmations d’Antoine Khoury.

Sur la question de l’utilité du masque, il reconnaît que la littérature scientifique est loin d’être unanime. « Depuis le début de la crise, on entend des messages contradictoires sur le masque et il faut dire que, scientifiquement, ce n’est pas prouvé que ça marche ou que ça ne marche pas. Alors, le gouvernement ne prend pas de chance de rendre le masque obligatoire, mais c’est plus un symbole qu’une mesure efficace validée par la science », commente-t-il. Toutefois, il doute que les masques aient véritablement l’effet d’un « incubateur à bactéries » comme le prétend Antoine Khoury. « Après tout, ce sont des micro-organismes qui sont déjà en nous. »

Dr Massie s’est intéressé à une revue des études sur la question du masque compilée et commentée par le physicien ontarien Denis Rancourt, carrément intitulée « Les masques ne fonctionnent pas » (Masks don’t work).  https://les7duquebec.net/archives/256301  Initialement publié en avril 2020 sur le site de Research Gate, le texte a été retiré au début juin. Or, ses conclusions se rapprochent sur plusieurs points de celles que fait Antoine Khoury aujourd’hui, posant aussi la question des dangers des bactéries qui peuvent se développer à l’intérieur des masques, mais sans fournir une réponse.

Un autre scientifique s’est aussi questionné sur le port du masque généralisé. Le 11 juillet, le professeur de physique Normand Mousseau s’est fait entendre en dénonçant la politique du port du masque dans le texte d’opinion « Masques obligatoires, science optionnelle » sur La Presse +.

Cette sortie, comme toutes les autres allant à contre-courant, a été vivement critiquée. Si le consensus scientifique semble aujourd’hui tendre vers les bienfaits de porter un masque pour protéger les autres, il reste bel et bien des moutons noirs qui, loin des théories du complot et de la défense de leur « liberté » de ne pas en porter, défendent un point de vue loin de plaire aux autorités québécoises.

Source : https://www.lecourrier.qc.ca/une-mesure-dangereuse-selon-un-microbiologiste/?fbclid=IwAR2l7LvLnneN4tg4-jTmR6PvI6K5zm8ss2dT1DJ5Kyzko6IMVEPpKVingBI#.XxWrxfxzXy5.facebook


 

@ tous COMPLÉMENT D’INFORMATION SUR LE PORT DU MASQUE

Cher Dr Hinshaw,

Objet: Alberta Health recommande aux Albertains de porter du N95, des masques chirurgicaux ou non médicaux en public afin de réduire la probabilité de transmettre ou de développer une maladie à partir du coronavirus appelé COVID-19

J’enseigne et réalise des tests d’ajustement des respirateurs depuis plus de 20 ans et maintenant pour mon entreprise SafeCom Training Services Inc. Mes clients comprennent de nombreux départements gouvernementaux, nos militaires, des prestataires de soins de santé avec Alberta Health Services, des établissements d’enseignement et l’industrie privée. Je suis un auteur publié et une autorité reconnue sur ce sujet.

Les masques avec filtres respiratoires, en particulier les masques N95, chirurgicaux et non médicaux, offrent une protection COVID-19 négligeable pour les raisons suivantes:

1. Les virus dans les enveloppes fluides qui les entourent peuvent être très petits, si petits en fait que vous auriez besoin d’un microscope électronique pour les voir. Les masques N95 filtrent 95% des particules d’un diamètre de 0,3 microns ou plus. Les particules de COVID-19 sont de 0,08 à 0,12 microns.

2. Les virus ne pénètrent pas seulement par la bouche et le nez, mais peuvent également pénétrer par nos yeux et même les pores de notre peau. La seule barrière efficace que l’on puisse porter pour se protéger contre l’exposition aux virus serait une combinaison de protection contre les matières dangereuses entièrement encapsulée avec des poignets attachés aux chevilles et des poignets attachés aux gants, tout en recevant l’air respirable d’un appareil respiratoire autonome (ARA).

Cette barrière est un équipement standard pour se protéger contre un risque biologique (virus) et devrait être portée dans un environnement potentiellement dangereux 24/7 et vous ne seriez pas en mesure d’en retirer une partie même pour prendre une gorgée d’eau, manger ou utiliser les toilettes dans un environnement viral. Si vous le faisiez, vous seriez exposé et annuleriez toutes les précautions que vous aviez prises auparavant.

3. Non seulement les masques N95, chirurgicaux et non médicaux, sont inutiles en tant que protection contre le COVID-19, mais en outre, ils créent également des risques très réels et des menaces graves possibles pour la santé du porteur pour les raisons suivantes:

A. Le port de ces masques augmente la résistance respiratoire, ce qui rend plus difficile l’inspiration et l’expiration. Conformément à la réglementation du gouvernement de l’Alberta sur l’utilisation d’un masque respiratoire, toute personne tenue de porter un masque respiratoire doit faire l’objet d’un dépistage afin de déterminer sa capacité à en porter un en toute sécurité.

 

Toute couverture de la bouche et du nez augmente la résistance respiratoire, que le masque soit certifié ou non. Les personnes ayant des conditions médicales préexistantes d’essoufflement, de maladie pulmonaire, d’attaques de panique, de difficultés respiratoires, de douleurs thoraciques à l’effort, de maladies cardiovasculaires, d’évanouissements, de claustrophobie, de bronchite chronique, de problèmes cardiaques, d’asthme, d’allergies, de diabète, de convulsions, de l’hypertension artérielle et les stimulateurs cardiaques (pacemakers) doivent être présélectionnés par un professionnel de la santé pour être approuvés afin de pouvoir en porter un en toute sécurité. Le port de ces masques peut provoquer une urgence médicale pour toute personne présentant l’une de ces conditions.

 

L’hypertension artérielle liée à la grossesse est possible. Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour déterminer l’impact du port d’un masque pendant de longues périodes sur la grossesse.

Il est dangereux de recommander, et encore plus d’obliger quiconque ayant des problèmes de santé à porter un masque sans les informer des risques liés à leur port sans avoir été préalablement présélectionné et approuvé par un professionnel de la santé.

B. Pour qu’un masque respiratoire offre une protection à un utilisateur spécifique, cet utilisateur doit être équipé individuellement du bon type, de la bonne taille, si le visage masculin doit être rasé de près (seule la moustache courte est autorisée). Ensuite, l’utilisateur doit être testé avec ce respirateur par un professionnel qualifié pour déterminer si le respirateur fournit à l’utilisateur un joint étanche à l’air – une exigence pour tout masque respiratoire.

C. Masques N95 – N pour non résistant aux particules d’huile, 95 pour le pourcentage de protection – le niveau le plus bas de tous les masques respiratoires

Ces masques, même lorsqu’ils sont correctement dimensionnés et ajustés, ne protègent pas contre l’exposition aux virus, mais ils sont capables d’une protection adéquate contre les particules plus grosses telles que les squames d’animaux, le pollen et la sciure de bois.

Masques chirurgicaux (ceux en papier qui s’enroulent autour des oreilles) – ne scellent pas le visage et ne filtrent rien.

Les masques non médicaux et / ou faits maison sont dangereux car:

● Non conçu pour les exigences efficaces mais protectrices d’une inhalation facile et d’une purge efficace du dioxyde de carbone expiré

● Peut entraîner une carence en oxygène pour l’utilisateur

● Cela pourrait provoquer une accumulation de dioxyde de carbone pour l’utilisateur

● Ne doit en aucun cas être recommandé

D. Ils augmentent la température corporelle et le stress physique – pourraient provoquer une alerte de température élevée sur un pistolet thermomètre

E. Ils entravent la communication verbale

F. N95, les masques chirurgicaux et non médicaux peuvent créer à eux seuls des infections et des maladies possibles en provoquant une accumulation d’air chaud et humide exhalé sur le matériau intérieur du masque, juste devant la bouche et le nez de l’utilisateur, ce qui est l’environnement parfait pour les bactéries se forment, se développent et se multiplient. C’est pourquoi le N95 et les autres masques jetables n’ont été conçus que pour une courte durée, une utilisation spécifique et ensuite immédiatement jetés.

Donc, si les masques ne sont pas efficaces pour prévenir la maladie, qu’est-ce que c’est? Que diriez-vous de la méthode essayé, testé et méthode prouvé de protéger notre santé avec une alimentation saine, de l’eau propre, en évitant les aliments transformés, de la malbouffe et des fast-foods, beaucoup d’air frais, le soleil, l’exercice modéré, un sommeil réparateur adéquat et l’évitement du stress ?

Nous avons tous un système immunitaire qui peut combattre et surmonter toute menace COVID-19 s’il est sain et si nous le nourrissons.

Merci d’avoir lu cette lettre ouverte et de m’avoir permis de partager mon expertise. Je vous demande de partager cela avec le public via une déclaration aux médias, car nous sommes tous déterminés à promouvoir une bonne santé pour tous les Albertains. Si vous ou un membre du public souhaitez me contacter pour une question ou un commentaire, j’aimerais avoir de vos nouvelles. Je peux être contacté au chris@safecom-inc.com.

Cordialement,

Chris Schaefer
Directeur SafeCom Training Services Inc.

Robert Bibeau

Auteur et éditeur

6 réflexions sur “PORT DU MASQUE. Une mesure dangereuse, selon un microbiologiste

  • C’est ce qu’ils veulent pour détruire l’économie et accelerer la venue dub NOM au prix de milliers de vies humaines.

    Répondre
  • Pablo Lugo

     » ils ne sont pas stériles contrairement à ceux qu’on retrouve dans les hôpitaux . » Faux. Ils sont déjà contaminés. Bref, le microbiologiste minable manque à la vérité. Il faut 65 millions de morts en 18 mois, donc TOUS les moyens sont bons.

    Répondre
  • + cette vidéo, devrait achever de convaincre les covidiens (quoique) : MICROBIOLOGIE: Une très curieuse culture

    https://www.youtube.com/watch?v=S5ImqqaMCd4&feature=emb_logo

    Sur l’inefficacité comme la dangerosité à porter un masque en plus de la vidéo, ma publication du 20/07 ► https://jbl1960blog.wordpress.com/2020/07/20/linsoumission-un-facteur-de-notre-evolution-pdf-maj/

    Et le PDF qui va avec ► https://jbl1960blog.files.wordpress.com/2020/07/non-au-muselage-sanitaire-insoumission-facteur-devolution-20-juillet-20-par-jbl.pdf

    Maintenant il semble bien, quand même, que le Mouvement Anti-Masque soit né…

    Par ailleurs, je vous rappelle, que le maire de La Rochelle (17) a décrété le port du masque obligatoire… sur le Vieux Port de La Rochelle et dans l’hyper centre !
    Vous savez où il ne faut pas aller, hein ?
    Le Grau-du-Roi, idem,
    La Mayenne, itou…
    Pour le Québec, c’est pas sur mon chemin !
    À la revoyure, quand même, Turellement !
    Jo

    Répondre
  • Ping : RAPPEL = LE PORT DU BOUILLON DE CULTURE EST OBLIGATOIRE ! (Vidéos + PDF + INFOS) | jbl1960blog

  • Ping : RAPPEL = LE PORT DU BOUILLON DE CULTURE EST OBLIGATOIRE ! (Vidéos + PDF + INFOS) – Le Monde

  • L’Enjeu des masques…
    Le masque, non seulement il est peu efficace et désagréable, mais oui, je le vois confirmé ici, il est dangereux pour la santé : à la fois malsain et contaminant : (berceau à microbes!) entravant gravement la respiration et le rejet du CO2, sans oublier que le portage longue distance de bioaérosols -complets- du SARS-CoV-2 n’est pas prouvé ; de plus il est polluant comme les gants jetables, énergivore, psychologiquement dangereux par la caporalisation et la servilité, affligeantes et mortifères, qu’il engendre… etc.
    Bref ! le port d’un masque devrait être réservé à ceux qui sont malades, dépistés avec des tests valables, et au personnel qui les manipule ; ainsi il ne serait pas imposé de manière uniforme et unilatérale à tous, pour une durée indéterminée qui plus est.
    Il y en a qui ont beau jeu de se cacher derrière l’État et son pouvoir de contrainte, mais à force de semer les graines de la discorde, il vont récolter ce qu’ils recherchent… la Tempête ! Et il faudra peut-être qu’ils assurent, personnellement, et on verra alors ce que vaudra leur test de soumission.

    Plus généralement, je trouve que certaines mesures, prises par nombre de pays sont excessives, tournent au délire voire aux atteintes liberticides, favorisant une sorte de psychose, et en sus, traumatisent et infantilisent les populations, sans réelle nécessité, avec peu de pédagogie mais avec matraquage médiatique, et je me pose de sérieuses questions…
    Si à chaque épidémie, probable à l’avenir, tant nous sommes devenus nombreux et menaçons les grands équilibres naturels, c’est le même cinéma, nous ne sommes pas sortis de l’auberge !!! De toute façon, il y a toujours eu des épidémies (et des biens plus graves). Il s’agit d’une méthode de régulation de la Mère Nature, c’est bien cruel souvent, mais cela existe depuis la nuit des temps…et nous n’avons rien inventé ! Quand à nos scientifiques, ils peuvent essayer de comprendre et d’expliquer, mais ils ont toujours un coup de retard quand ils ne jouent pas aux médecins de Molière (ceux qui font plus de mal que de bien) !!!

    Répondre

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