Covid-19: Le jeu des chiffres: La «deuxième vague» est basée sur des statistiques «fake»
« Zones rouges », interdictions de voyager, quarantaines, « listes rouges ». Une « deuxième vague » a été annoncée.
La campagne de peur a pris une ampleur démesurée. Des millions de personnes font la queue pour les tests de Covid-19.
Des mesures étatiques drastiques sont envisagées, notamment des restrictions sur les rassemblements sociaux, les mariages, les funérailles, la fermeture de restaurants et des bars, la paralysie pure et simple de la société civile.
Venir au secours des citoyens. Quelle est la justification ?
Cet article se concentre sur le « jeu des chiffres ». Comment les statistiques et les « estimations » sont utilisées par les politiciens pour justifier la fermeture de l’économie nationale et la dérogation aux droits civils fondamentaux.
Depuis le début de la crise de Covid en janvier 2020, les décisions de grande envergure prises par l’OMS et les gouvernements nationaux ont été justifiées en citant des « estimations » de la Covid-19 ainsi que des « statistiques » indiquant une propagation mondiale d’un nouveau coronavirus mortel originaire de Wuhan, en Chine.
L’analyse scientifique confirme que ces estimations de « cas confirmés » présentées par l’OMS et les CDC sont erronées. Les tests ne détectent ni identifient le virus. Les chiffres sont souvent manipulés pour justifier des décisions politiques. Par ailleurs, les études officielles confirmant l’identification du virus du SRAS-CoV-2 n’ont pas été rendues publiques.
Autant les concepts que les résultats des tests n’indiquent pas l’existence d’une pandémie mondiale de Covid-19. Ils ne justifient pas non plus les mesures relatives à la distance sociale, le port du masque facial et la fermeture de l’économie mondiale.
La corruption prévaut aux plus hauts niveaux des gouvernements nationaux ainsi qu’aux échelons supérieurs du système des Nations unies. L’ensemble de l’appareil d’État ainsi que les organisations intergouvernementales (OMS, OIT, UNICEF, FMI, Banque mondiale, etc) sont contrôlées par de puissants intérêts financiers.
Des millions de personnes sont testées, ce qui contribue à augmenter le nombre de cas de positifs « confirmés » dans le monde. Ces statistiques sont ensuite soigneusement compilées. Les gouvernements ont besoin de ces chiffres pour justifier leurs mesures totalitaires.
Quel est le grand mensonge ? Qu’est-ce que le talon d’Achille? Le grand mensonge?
Le SRAS-CoV-2 n’est pas un « virus tueur ». La campagne de peur n’a aucun fondement scientifique. (Voir l’analyse ci-dessous)
Le test RT-PCR standard utilisé pour « détecter » le virus insidieux, « ne peut pas identifier le virus ».
Les gouvernements qui prétendent « nous protéger » utilisent des statistiques dénuées de sens et manipulées pour justifier l’imposition du « Code rouge » Covid-19.
Code rouge pour le Covid-19 : Le meilleur médecin d’Ottawa avertit que le niveau de Covid est « proche » du niveau le plus grave
Le virus
Début janvier 2020, un nouveau coronavirus appelé SRAS-CoV-2, qui provoque le » coronavirus 2019, ou COVID-19″, a été identifié. Il a reçu un nom similaire à un coronavirus existant, à savoir le SRAS-CoV, c’est-à-dire le coronavirus bêta qui cause le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS)
Selon le Dr Beda Stadler, immunologiste renommé de l’Université de Berne,
« ce soi-disant nouveau virus est très fortement lié au SRAS-1 ainsi qu’à d’autres bêta-coronavirus qui nous font souffrir chaque année sous forme de rhumes ».
Stadler pose également la question : S’agit-il d’un nouveau virus ou de la mutation d’un virus existant, « semblable aux bêta-virus du rhume de type coronavirus ».
Selon une étude récente de Tsan-Yuk Lam, Na Jia, et al (Joint Institute of Virology, Shantou and Hong Kong universities) :
« …le virus [SRAS-2] est le plus étroitement lié (89,1 % de similitude nucléotidique) à un groupe de coronavirus similaires au SRAS (genre Betacoronavirus, sous-genre Sarbecovirus) (Nature, avril 2020).
En outre, les études du Dr Anthony Fauci et al. dans le New England Journal of Medicine ainsi que l’OMS reconnaissent que la Covid-19 présente des caractéristiques similaires à celles de la grippe saisonnière (virus A et B). (Pour plus de détails, voir Michel Chossudovsky, septembre 2020)
Ces déclarations scientifiques indiquent que le SRAS-2 (qui cause la Covid-19) n’est pas un virus mortel. En fait, c’est tout le contraire.
Mais ni les gouvernements ni les médias n’ont rassuré l’opinion publique.
Non seulement la campagne de peur l’emporte, mais elle prend de l’ampleur.
À ce stade de la crise de la Covid-19, les gouvernements envisagent le lancement de mesures draconiennes en réponse à une « deuxième vague ». À leur tour, plusieurs médias diffusent maintenant des reportages selon lesquels cette deuxième vague est comparable à la grippe espagnole de 1918 :
À ce stade de la pandémie de coronavirus, avec plus de 32 millions de personnes infectées et plus de 980 000 morts dans le monde, décrire cette période comme « sans précédent » peut ressembler à des clous sur un tableau noir. Mais cette pandémie n’est pas sans précédent : La dernière fois que nous avons eu à faire face à une pandémie aussi mystérieuse, incontrôlée et de grande ampleur, c’était en 1918, lorsque la grippe a dévasté les populations du monde entier. (CNN, 25 septembre 2020)
Historique: Le 11 mars 2020 : Le lancement de la pandémie de l’OMS
Le 11 mars, l’OMS a officiellement déclaré une pandémie mondiale alors qu’il y avait 18 000 cas confirmés et 4291 décès sur une population mondiale hors de la Chine de l’ordre de 6,4 milliards de personnes. Que vous disent ces « statistiques » ? La plupart de ces « cas positifs » confirmés ont été estimés à l’aide du test RT-PCR qui ne permet ni de détecter ni d’identifier le virus. (Voir notre analyse ci-dessous) (4291 décès / 7,700,000,000 individus = TMCovid-19. ndlr).
Immédiatement après l’annonce du 11 mars par l’OMS, la campagne de peur a pris de l’ampleur. Des instructions de confinement ont été transmises à 193 États membres des Nations unies. La fermeture complète des économies nationales fut proposée afin de résoudre une crise de santé publique.
Les politiciens sont les instruments de puissants intérêts financiers. Cette décision de grande envergure était-elle justifiée en tant que moyen de lutte contre le virus ? Le « nombre » (de cas confirmés) justifie-t-il de déclarer une pandémie à l’échelle mondiale ?
Sans précédent dans l’histoire, appliquée presque simultanément dans un grand nombre de pays, des secteurs entiers de l’économie mondiale ont été déstabilisés. Des petites et moyennes entreprises ont été conduites à la faillite. Le chômage et la pauvreté règnent.
Dans certains pays, des famines ont éclaté. Les conséquences sociales de ces mesures sont dévastatrices.
Les impacts sanitaires dévastateurs (mortalité, morbidité) de ces mesures, y compris la déstabilisation du système de santé national (dans de nombreux pays), dépassent de loin ceux attribués à la Covid-19.
La ruée vers les tests
Dans un grand nombre de pays, les gens sont simultanément encouragés à se faire dépister, ce qui contribue à augmenter de manière exponentielle le nombre de « cas positifs » confirmés pour la Covid-19 (sic). Des structures sont mises en place dans tout le pays… (contribuant à accroître l’hystérie collective. ndlr).
Capture d’écran, Daily Express
La panique règne. Les autorités nationales mettent en place des centres de dépistage, des kits de dépistage à faire soi-même, etc.
Les gens font la queue pour se faire tester. Les estimations sont souvent manipulées.
En Angleterre, « Les gens font la queue pour se faire dépister au volant lorsque les centres de dépistage atteignent leur capacité maximale».
De longues files d’attente au centre de dépistage alors qu’un foyer communautaire est déclaré à Londres
5 étudiants de la Western University ont été testés positifs au cours du week-end
Le dépistage obligatoire des coronavirus dans les aéroports allemands démarre en douceur
Les opérateurs des centres de contrôle des aéroports en Allemagne ont fait état de temps d’attente minimes et d’un approvisionnement abondant. La Roumanie et la Bulgarie, membres de l’UE, ont été ajoutées à la liste des pays à haut risque.
En raison de leur nombre croissant, les autorités de la santé de plusieurs pays ont signalé, dès le début du mois de juin, l’imminence d’une «deuxième vague».
Quel est l’objectif de la deuxième vague ?
Retarder le processus de «normalisation» ?
Empêcher la réouverture des économies nationales ?
Déclencher une augmentation du chômage ?
Actuellement, les économies nationales sont partiellement réouvertes. Cette deuxième vague constitue la «deuxième phase» d’un programme de faillite, visant l’économie des services, le transport aérien, l’industrie du tourisme, le commerce de détail, etc.
La distanciation sociale prévaut. Les écoles, collèges et universités sont fermés, les réunions sociales et les réunions de famille sont interdites.
Le masque facial est réimposé malgré ses effets négatifs sur la santé.
On nous dit que tout cela est pour une bonne cause. Combattre la transmission du virus. (sic).
Ces décisions de grande portée, qui dérogent aux droits civils fondamentaux, sont basées sur les « estimations » des « cas positifs de Covid-19 », sans parler de la manipulation des résultats des tests.
Vidéo ; Le jeu des chiffres de la Covid-19 avec Michel Chossudovsky
Le test d’amplification en chaîne par polymérase à transcription inverse (RT-PCR)
Le test standard utilisé pour détecter/identifier le SRAS-2 adopté dans de nombreux pays est le test d’amplification en chaîne par polymérase à transcription inverse (RT-PCR), qui est utilisé pour estimer et compiler le nombre de cas positifs confirmés de Covid-19. (Ce n’est pas le seul test utilisé. Les observations ci-dessous concernent uniquement le test PCR standard).
Selon le Dr Kary Mullis, lauréat du prix Nobel, qui a inventé le test PCR :
« La PCR détecte un très petit segment de l’acide nucléique qui fait partie d’un virus lui-même. Le fragment spécifique détecté est déterminé par le choix quelque peu arbitraire des amorces d’ADN utilisées qui deviennent les extrémités du fragment amplifié ».
Le test PCR n’a jamais été destiné à identifier le virus.
« La détection des virus par PCR est utile pour autant que l’on puisse en comprendre la précision : elle offre la capacité de détecter l’ARN en quantités infimes, mais il n’est pas toujours évident de savoir si cet ARN représente un virus infectieux » (voir aussi le rapport du Lancet)
Le test PCR standard appliqué en relation avec Covid-19 ne détecte ni identifie le virus. Ce qu’il détecte, ce sont des fragments de plusieurs virus. Selon le Dr B. Stadler, immunologiste suisse de renom
Ainsi, si nous faisons un test PCR corona sur une personne immunisée, ce n’est pas un virus qui est détecté, mais une petite partie brisée du génome viral. Le test est positif tant qu’il reste de minuscules fragments de virus. Même si les virus infectieux sont morts depuis longtemps, un test corona peut revenir positif, car la méthode PCR multiplie même une infime partie du matériel génétique viral suffisamment [pour être détectée].
Selon le Dr Pascal Sacré, « ces tests détectent des particules virales, des séquences génétiques, et non le virus entier ».
Cela signifie que le test PCR ne peut pas détecter ou identifier le SRAS-CoV-2. Ce qu’il détecte, ce sont des fragments, ce qui suggère qu’un test PCR standard « positif » ne peut être assimilé à un test dit « Covid-19 positif ».
Le test PCR détectera des fragments de plusieurs virus, y compris les virus corona et la grippe (virus de la grippe A et B)
Si le SRAS-2, qui provoque le Covid-19, est considéré comme similaire au SRAS-CoV-1, il présente des symptômes similaires à ceux de la grippe saisonnière (virus A et B). En outre, certains de ses symptômes plus légers sont similaires à ceux des virus de la corona du rhume. Selon le CDC : « Parfois, les sécrétions respiratoires sont testées pour déterminer quel germe spécifique est à l’origine de vos symptômes. Si vous êtes infecté par un coronavirus commun (229E, NL63, OC43 et HKU1), cela ne signifie pas que vous êtes infecté par le nouveau coronavirus 2019 ».
Selon le CDC, il existe « sept coronavirus [humains] qui peuvent infecter les gens », dont les quatre premiers (alpha, bêta) sont associés au rhume.
229E (coronavirus alpha)
NL63 (alpha coronavirus)
OC43 (coronavirus bêta)
HKU1 (coronavirus bêta)
MERS-CoV (le coronavirus bêta qui cause le syndrome respiratoire du Moyen-Orient, ou MERS)
SRAS-CoV (le coronavirus bêta qui cause le syndrome respiratoire aigu sévère, ou SRAS)
SRAS-CoV-2 (le nouveau coronavirus qui cause la maladie coronavirus 2019, ou COVID-19)
Dans le contexte ci-dessus, cela signifie qu’un test PCR détectera des fragments de corona ainsi que des virus de la grippe. Il ne sera pas en mesure d’identifier les virus individuels, y compris le SRAS-2.
PCR: « Fragments de virus positif » ne signifie pas « SRAS-2 positif » (Covid-19 positif). Le test PCR peut détecter des fragments de virus de la grippe (A, B) ainsi que les coronavirus bêta du rhume (par exemple OC43, HKU1).
En d’autres termes, les estimations publiées de COVID-19 positif (résultant du test PCR standard) à l’appui de l’hypothèse de la deuxième vague sont souvent trompeuses et ne peuvent être utilisées pour mesurer la propagation du SRAS-2.
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Il y a actuellement, au moment de la rédaction de ce rapport (selon les statistiques de l’OMS), près de 33 millions de « cas confirmés » et 1 million de décès. Ces estimations soi-disant « positives pour Covid-19 », qui sont en grande partie basées sur le test RT-PCR, sont-elles fiables ? Global Research a publié de nombreux rapports sur ces questions.
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En plus de la question des faux positifs (qui a été amplement documentée), une personne ayant un mauvais rhume ou une grippe, pourrait être classée comme positive pour le SRAS-2 (Covid-19), prétendument un virus dangereux.
Ce que les gouvernements ont fait, c’est donner au test PCR positif une étiquette unique, à savoir Covid-19, alors qu’en fait le test PCR positif pourrait être le résultat d’autres virus, y compris ceux de la grippe ou du coronavirus du rhume, qui (selon le CDC) présentent des symptômes similaires à ceux de la Covid-19.
Une fois que le statut de Covid-19 positif est établi et accepté, il est alors soumis à de nombreuses formes de manipulation, sans parler de la falsification des certificats de décès.
Ces faux chiffres sont ensuite utilisés pour soutenir la campagne de peur et justifier les décisions politiques des gouvernements nationaux corrompus.
Le public est amené à croire qu’il y a une « deuxième vague » et que le gouvernement est là pour sauver des vies par la distanciation sociale, le masque facial, la fermeture de l’activité économique, la paralysie du système de santé national et la fermeture des écoles et des universités.
Il existe une relation de cause à effet circulaire. Plus les gens se font dépister à la suite de la campagne de peur, plus il y a de cas de PCR positifs. …
C’est un gros mensonge.
Lorsque le Mensonge devient la Vérité, il n’y a pas de retour en arrière.
Michel Chossudovsky
Michel Chossudovsky, Note biographique
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Cette Nuit l’Assemblée Nationale quasi déserte (que fait votre député ?) a voté la prolongation de l’état d’urgence sanitaire jusqu’au 1er avril ! Seuls 17 députés s’y sont opposés !!! Ecoutons 3 minutes Martine Wonner !
https://www.youtube.com/watch?v=Hpk6PFtU2Tc
Covid-19 : Olivier Véran « est un menteur qui a peur pour sa santé politique », accuse Stéphane Ravier, sénateur du Rassemblement national
https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/19h20-politique/covid-19-olivier-veran-est-un-menteur-qui-a-peur-pour-sa-sante-politique-accuse-stephane-ravier-senateur-du-rassemblement-national_4108803.html
…Je confirme, les chiffres sont faux (artificiellement gonfles) – Tout comme au Quebec, lesquels vos medias ainsi que vos politiciens ne vous parlent pas des morts (DE LA COVID 19 uniquement),….Combien avez vous de patients COVID graves dans vos hopitaux au Quebec???
Que Veran soit sujet à caution n’est plus à démontrer et si c’était un cas isolé, ce serait un moindre mal.
Mais voilà, comment faut-il qualifier le silence assourdissant des élus de tous bords et tant qu’à faire ceux de l’opposition, des médias, des associations, des fondations, des ONG, toutes et tous bénéficiaires gloutons de deniers publics, mais aussi du Peuple de France première cible de cette inqualifiable mascarade COVID ? …
Surréaliste ? Ignoble ? Crapuleux ? Complice ?
e JDD censure une tribune des Pr Toussaint, Toubiana et de 250 autres scientifiques critiquant la gestion de l’épidémie
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Publié le : jeudi 1er octobre 2020
Mots-clés : France; Justice & Droit; Opinions; Presse; Santé; Science
Commentaires : 40
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Source : jdmichel.blog.tdg.ch
L’heure est grave. Nos gouvernements sont désormais pris dans une fuite en avant insensée, délirante et destructrice.
À mesure qu’ils fracassent les lignes sans aucune justification sanitaire (selon tous les critères usuels et utiles en la matière), la révolte gronde dans les populations de plus en plus infantilisées, culpabilisées et maltraitées.
La tribune suivante, signée par 250 scientifiques, universitaires et professionnels de la santé, enfonce le clou.
Il est urgent de changer de stratégie sanitaire face à la Covid-19
Dans cette tribune, près de 250 scientifiques, universitaires et professionnels de santé critiquent la dérive de la politique sanitaire du gouvernement français. Ils estiment qu’elle conduit à des interprétations erronées des données statistiques et à des mesures disproportionnées. Et demandent que l’on évalue nos connaissances réelles pour définir démocratiquement une stratégie sanitaire.
Avis au lecteur : cette tribune devait initialement paraître dans le « Journal du Dimanche » (JDD) ce 27 septembre 2020. Acceptée le samedi matin par le journaliste en charge de la rubrique « Tribune/Opinions », elle devait paraître intégralement sur le site Internet du journal et faire l’objet d’un article dans la version papier du lendemain. Le journaliste nous disait s’en féliciter car cela allait permettre un débat contradictoire avec d’autres opinions très alarmistes exprimées ce jour dans ce journal. À 16h, ce journaliste nous a pourtant prévenu que sa rédaction en chef interdisait la publication. Certitude de détenir soi-même la vérité ? Couardise ? Volonté de ne pas déplaire au gouvernement ? Nous ignorons les raisons de cette censure que personne n’a jugé utile (ou tout simplement courtois) de nous expliquer.
Tandis que le gouvernement prépare une nouvelle loi (la quatrième en 6 mois !) prolongeant le « régime d’exception » qui a remplacé « l’État d’urgence » sanitaire, le ministère de la Santé a encore annoncé mercredi 23 septembre des mesures restrictives des libertés individuelles et collectives qu’il prétend fondées scientifiquement sur l’analyse de l’épidémie de coronavirus. Cette prétention est contestable. Nous pensons au contraire que la peur et l’aveuglement gouvernent la réflexion, qu’ils conduisent à des interprétations erronées des données statistiques et à des décisions administratives disproportionnées, souvent inutiles voire contre-productives.
Que savons-nous de cette épidémie et de son évolution ?
Le SARS-CoV-2 menace essentiellement les personnes dont le système immunitaire est fragilisé par le grand âge, la sédentarité, l’obésité, des comorbidités cardio-respiratoires et des maladies sous-jacentes de ces systèmes. Il en découle que la priorité sanitaire est de protéger ces personnes fragiles : le respect des gestes barrières et le lavage des mains en sont deux des clés.
Le SARS-CoV-2 circule dans le monde depuis environ un an. Il continuera à circuler, comme l’ensemble des autres virus qui vivent en nous et autour de nous, et auxquels nos organismes se sont progressivement adaptés. L’espoir de faire disparaître ce virus en réduisant à néant la vie sociale est une illusion. D’autres pays, en Asie comme en Europe, n’ont pas eu recours à ces pratiques médiévales et ne s’en sortent pas plus mal que nous.
Quant à l’évolution, l’idée d’une « deuxième vague » reproduisant le pic de mars-avril 2020 n’est pas un constat empirique. C’est une théorie catastrophiste issue de modélisations fondées sur des hypothèses non vérifiées, annoncée dès le mois de mars et ressortie des cartons à chaque étape de l’épidémie : en avril lors du soi-disant « relâchement » des Français, en mai avant le déconfinement, en juin pour la Fête de la musique, en été pour les « clusters » de Mayenne ou les matchs de foot, et à nouveau cet automne face à une augmentation des cas certes significative, mais lente et grevée d’incertitudes diagnostiques. Au final, cette prétendue « deuxième vague » est une aberration épidémiologique et l’on ne voit rien venir qui puisse être sérieusement comparé à ce que nous avons vécu au printemps dernier.
On ne compte plus les mêmes choses
Nous voyons enfin que, pour des raisons difficiles à cerner (panique, pression politique ou médiatique… ?), les autorités sanitaires françaises ne parviennent pas à stabiliser une communication honnête sur les chiffres de l’épidémie [1]. Elles ont surtout abandonné l’indicateur fondamental, la mortalité, pour ne retenir que celui de la positivité de tests pourtant incapables de distinguer les sujets malades des personnes guéries. Cette politique du chiffre appliquée aux tests conduit à une nouvelle aberration consistant à s’étonner du fait qu’on trouve davantage aujourd’hui ce qu’on ne cherchait pas hier. Elle conduit par ailleurs à des classements des départements ou des régions en zones plus ou moins « dangereuses » à qui l’on donne de jolies couleurs qui cachent la fragilité et l’arbitraire du comptage : untel se retrouvera en « zone rouge » alors qu’il y a moins de dix patients en réanimation, un autre verra tous ses restaurants fermés sans que l’on ait la preuve que ce sont des lieux de contamination majeurs. Tout cela n’est guère cohérent.
Les autorités sanitaires ne s’interrogent pas non plus sur la surmortalité à venir des autres grandes causes de décès [2] (cancers, maladies cardio-vasculaires) dont la prise en charge est délaissée, ni sur le fait qu’une partie des sujets classifiés parmi les personnes « décédées de la Covid » sont en réalité mortes en raison d’une autre pathologie [3] mais classifiées Covid parce qu’elles étaient également porteuses du virus. Or des études récentes montrent que ce groupe pourrait constituer jusqu’à 30 % des décès au Royaume Uni ces dernières semaines [4]. Cette façon de compter de plus en plus comme « morts du Covid » des personnes en réalité atteintes avant tout d’autres maladies est probablement l’explication principale du fait que, comme cela est écrit en toutes lettres sur le site de l’INSEE [5] : « Depuis le 1ᵉʳ mai, on ne constate plus en France d’excédent de mortalité par rapport à 2019 ».
Il découle de tout ceci qu’il n’y a pas de sens à paralyser tout ou partie de la vie de la société en suivant des raisonnements qui sont parfois erronés dans leurs prémisses mêmes. Il est urgent d’arrêter l’escalade, d’accepter de remettre à plat nos connaissances scientifiques et médicales, pour redéfinir démocratiquement une stratégie sanitaire actuellement en pleine dérive autoritariste.
Les signataires
Laurent Toubiana, chercheur épidémiologiste à l’INSERM, directeur de l’IRSAN
Jean-François Toussaint, professeur de physiologie à l’Université de Paris, ancien président des Etats Généraux de la Prévention
Laurent Mucchielli, sociologue, directeur de recherche au CNRS
Jean Roudier, professeur de médecine, rhumatologue, directeur de l’unité INSERM UMRs 1097
Louis Fouché, médecin, anesthésiste réanimateur à l’Hôpital de la Conception
Olivier Lhoest, médecin anesthésiste réanimateur
Olivier de Soyres, médecin, réanimateur à la clinique des Cèdres
Elise Carpentier, professeur de droit public à l’Université d’Aix-Marseille
André Comte-Sponville, philosophe
Christian Perronne, chef du service d’infectiologie à l’hôpital de Garches, professeur à l’Université de Versailles Saint Quentin-Paris Saclay
Anne Atlan, directrice de recherche au CNRS, généticienne des populations et sociologue
Alain Wurtz, professeur émérite de chirurgie thoracique à l’Université de Lille
Bernard Swynghedauw, biologiste, directeur de recherche émérite à l’INSERM
Catherine Gire, chef de service de réanimation, soins intensifs et néonatologie à l’Hôpital Nord de Marseille
Bernard Dugué, docteur en pharmacologie, docteur en philosophie
Jean-Louis Rouvillain, médecin, orthopédie traumatologie, CHU La Meynard (Fort-de-France)
Jean Bulard, médecin généraliste (Polynésie française)
Marta Barreda González, médecin généraliste, spécialiste en Santé Publique
Laurent Durinck, médecin, anesthésiste
Lisbeth Girard-Claudon, médecin généraliste
Tamara Baron, psychologue à la Maison Centrale de Saint-Martin-de-Ré
Charles Menard, médecin, psychiatre
Françoise Robinson, docteur en médecine (Bron)
Richard Rodriguez, médecin généraliste
Elisabeth Pouffier, médecin généraliste
Emmanuelle Lemonnier, médecin généraliste
Lionel Ferrier, médecin généraliste
Sabine dé Monvallier, médecin généraliste
Didier Montet, docteur en sciences et technologie alimentaire, HDR en biochimie
André Burnol, ingénieur ENSTA Paris, docteur en hydrogéochimie
Arnaud Plagnol, psychiatre, professeur de psychologie à l’Université Paris 8
Isabelle Vinatier, professeur émérite en sciences de l’éducation, université de Nantes
Marnix Dressen-Vagne, professeur de sociologie à l’Université Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines
Nicolas Sembel, professeur de sociologie à l’Université d’Aix-Marseille
Pascal Ragouet, professeur de sociologie à l’Université de Bordeaux
Pascal Roman, professeur de psychologie à l’Université de Lausanne
Bruno Péquignot, professeur émérite de sociologie à l’Université Paris Sorbonne Nouvelle
Marianne Bordenave-Jacquemin, maître de conférences en physiologie végétale à la Sorbonne-Université
Éric Desmons, professeur de droit public à l’Université Sorbonne Paris Nord
Dominique Andolfatto, professeur de science politique à l’Université de Bourgogne Franche-Comté
Dominique Labbé, politiste, enseignant émérite à l’Université de Grenoble-Alpes
Bernard Marsigny, médecin anesthésiste réanimateur
Amandine Thomasset, psychiatre, praticien hospitalier en Loire Atlantique
Romain Torrents, médecin hospitalier, pharmacologie clinique, Centre Antipoison et de Toxicovigilance
Laure Farnault, médecin, praticien hospitalier en Hématologie (Marseille)
Thierry Medynski, médecin généraliste
Christophe Leroy, biologiste, docteur en Biologie moléculaire et cellulaire
Béatrice Segurens, chercheuse en génétique et métagénomique au CEA
Jean-François Lesgards, biochimiste, chercheur au CNRS
Alain Deville, physicien, Professeur émérite à l’Université Aix-Marseille
Cécile Fortanier, docteur en Economie de la Santé, Cadre Hospitalier
Frédéric Schnee, Médecin gériatre coordonnateur en EHPAD
Gilles Perrin, médecin, anesthésiste réanimateur à l’Hôpital de la Conception
Yves-Marie Mattheyses, Infirmier Anesthésiste
Bernard Lamizet, ancien professeur des universités à l’Institut d’Études politiques de Lyon
Alexandra Henrion-Caude, chercheur, ancienne directrice de recherche INSERM
Vincent Pavan, maître de conférences en mathématiques à l’Université d’Aix-Marseille
Peter El Baze, médecin Ancien attaché des Hôpitaux du CHU de Nice
Hélène Banoun, pharmacien biologiste, docteur en pharmacologie moléculaire
Soizic Noël-Bourgois, infirmière diplômée d’Etat, docteur en ethno-anthropologie
Sophie Dessauvages, aide-soignante diplômée d’État
Monique Lamizet, médecin généraliste
Thierry Gourvénec, pédopsychiatre
Françoise Giorgetti-D’Esclercs, médecin Oto-rhino-laryngologiste
Arnaud Rey, chercheur en psychologie au CNRS
Alexandra Menant, chercheuse en biologie au CNRS
Philippe Brouqui, médecin, chef du pôle des maladies infectieuses au CHU de La Timone-IHU Méditerranée Infection
Claire Neirinck, professeur émérite de droit à l’Université Toulouse 1 Capitole
Pascal Sacré, médecin, anesthésie-réanimation
Jean-Michel Crabbé, médecin généraliste
Nicole Roattino, pharmacien hospitalier
Clotilde Branly, sage-femme à l’Hôpital de Sarlat
Brigitte Weiss, médecin généraliste
Hubert Sroussi, médecin généraliste
Valérie Giraud, sage-femme sexologue, Dordogne
Jean-Jacques Coulon, médecin généraliste (Bourges)
Christophe Dargere, sociologue, chercheur associé au Centre Max Weber
Stéphane Tessier, médecin de santé publique, docteur en sciences de l’éducation
Violaine Guérin, médecin endocrinologue et gynécologue
Alain Le Hyaric, médecin spécialiste Santé Publique (Paris)
Guillaume Barucq, médecin généraliste à Biarritz
Franck Enjolras, psychiatre et docteur en anthropologie (EHESS, Iris)
Claude Gautier, professeur de philosophie à l’Ecole Normale Supérieure (Lyon)
Agnès Florin, professeur émérite de psychologie de l’enfant à l’Université de Nantes
Colette Anné, mathématicienne au CNRS (Nantes)
Jean-Luc Viaux, professeur émérite de psychologie à l’Université de Rouen
Benoit Marpeau, maître de conférences en histoire à l’Université de Caen-Normandie
Hervé Joly, historien, chercheur au CNRS (Lyon)
Bénédicte Helfer, médecin, risques sanitaires majeurs et gestion de crise
Jean Emsallem, médecin angéiologue, enseignant à la Faculté de médecine de la Sorbonne Université
Charalambos Apostolidis, professeur de droit public à l’Université de Bourgogne-Franche-Comté
Mathias Delori, politiste, chargé de recherche CNRS
Christopher Pollmann, professeur de droit public à l’Université de Lorraine
Farhad Khosrokhavar, professeur émérite à l’École des Hautes Études en Sciences Sociales
Maryse Esterle, sociologue, enseignante-chercheure honoraire à l’Université d’Artois
Thierry Oblet, maître de conférences en sociologie, Université de Bordeaux
Bernard Lamizet, professeur émérite en sciences de l’information et de la communication à l’IEP de Lyon
Christophe Leroy, biologiste, docteur en biologie moléculaire et cellulaire
Docteur Jean-Pierre Letourneur, médecine, hépatogastroentérologue (Saint-Malo)
Morgane Miegeville, cadre de santé, responsable pédagogique (Paris)
Martine Mérour, médecin pneumologue retraitée
Brigitte Agostini, infirmière libérale (Corse du Sud)
Sybille Burtin-Philibert, médecin spécialiste de Santé Publique
Vincent Reliquet, médecin, Comité Médical AIMSIB (Tourcoing)
Marie-José Minassian, professeur émérite de philosophe à l’Université Paris 8
Bernard Banoun, professeur de lettres à Sorbonne Université
Gérard Ostermann, professeur de thérapeutique, médecine Interne et psychothérapeute
François Gastaud, chirurgien Orthopédiste (Strasbourg)
Alix Moulanier, médecin généraliste
Fouad Daoud, médecin, ostéopathe, psychanalyste
Laurent Sedel, médecin, ancien chef de service en orthopédie à l’hôpital Lariboisière
Jean-Michel de Chaisemartin, médecin psychiatre des hôpitaux honoraire (Finistère)
Patrick Bellier, médecin du sport, pneumologue allergologue (Sainte-Foy-les-Lyon)
Dominique Géraud-Coulon, médecin rééducateur (Gap)
Anne-Gabrielle Mottier, orthophoniste
Koryna Socha, médecin anatomopathologiste
Jean-François Pascal, médecine, chef de service SSR, gériatre
Jean-Luc Stanek, Santé Navale et chirurgien-dentiste
Rose-Marie Castello, médecin du travail et médecin généraliste (Paris)
Florence Laaziri, infirmière libérale
Véronique Orth-Weyers, médecin généraliste (Fort-de-France)
Pierre Concialdi, chercheur en sciences sociales
Rémy Marchal, professeur des universités à l’École Nationale Supérieure d’Arts et Métiers
Marc Richevaux, magistrat, maître de conférences à l’Université du Littoral Côte d’Opale
Laetitia Gorius, infirmière Diplômée d’Etat
Delphine Rive, médecin généraliste à Rezé
David Esfandi, médecin, psychiatre (Bordeaux)
Nadia Lamm, enseignant émérite à l’Université de Rouen
Paméla Pang, infirmière
Valérie Legrand, infirmière libérale
Nicole Chaudiere, pharmacienne
Mariane Huart, infirmière Diplômée d’Etat et ostéopathe
Véronique Ahari, médecin généraliste (Poitiers)
Éric Ménat, médecin généraliste (31)
Sandrine Thiou, médecin généraliste à Besançon
Patrick Roux, médecin libérale et praticien attaché au CHU de Clermont-Ferrand
Julien Petit, médecin du sport
Serge Rader, pharmacien (Paris)
Arnauld Cabelguenne, pharmacien, Docteur en Toxicologie et Cancers
Marie-Claire Cabelguenne, pharmacien, Coordinatrice MSP du Lectourois (Gers)
Katia Chaussepied, infirmière
Marc Roux, professeur honoraire de Zootechnie
Caroline Gautier, infirmière
Évelyne Gandais, médecin dermatologue
Jérôme Reynier, docteur en psychologie sociale, enseignant en BTS
Michaël Ramain, médecin, ancien Attaché des Hôpitaux de Paris
Roseline Marie, médecin généraliste (Balaruc-les-Bains)
Sébastien Aubert, professeur de génie mécanique à l’Ecole Nationale Supérieure d’Arts et Métiers
Michelle Zancarini-Fournel, historienne, professeur émérite à l’Université de Lyon
Patricia Melot, médecin généraliste
Delphine Pages, médecin généraliste
Sylvie Laval, psychiatre
Lucie Jouvet Legrand, socio-anthropologue, maîtresse de conférences à l’Université de Franche-Comté
Launay-Kong Hélène, infirmière libérale
Bernard Gaillard, psychologue, professeur émérite à l’Université de Rennes 2
Alix Moulanier, médecin généraliste
Philippe Raymond, médecin généraliste (Bourg-en-Bresse)
Murielle Dellemotte, médecin du travail
Sandrine Vansnick, infirmière
Isabelle Aubert, maitre de conférences HDR à l’Université de Bordeaux
Pascal Lardellier, professeur à l’Université de Bourgogne
Myriam Balsat, médecin généraliste
Vincent Manns, médecin généraliste (46)
Jean-Louis Thillier, médecin, immunopathologiste
François Alaux, médecin spécialiste à Montauban
Jacques Bassier, médecin nutritionniste
Guy Chapouillié, professeur émérite à l’ENSAV Université Jean-Jaurès
Catherine Schall Pruvost, médecin généraliste
Christophe Robin, médecin généraliste (Bayonne)
Frédéric Barbe, maître de conférences associé à l’Ecole d’Architecture de Nantes
Françoise Auban, médecin généraliste (Marseille)
Marc Arer, médecin généraliste (Saint-Etienne)
Pierre-André Bouillet, médecin généraliste
Michel Boudet, médecin généraliste
Nicole Karsenti, médecin, nutritionniste
Michel Soussalin, chirurgien AIHP ACCA des Hôpitaux de Paris
Jean-Baptiste Mouzet, praticien hospitalier, Gériatre, soins de suite
Caroline Mouzet-Heaulmé, Médecin généraliste
Joël Rezzouk, médecin, chirurgien
Sylvie merlier, Docteur en pharmacie
Patrick Sautereau, médecin généraliste, (Caen)
Michel Angles, médecin généraliste, (Rodez)
Sylvie Merlier, pharmacien
Didier Delaitre, médecin légiste, Le Bourget
Eugenia Lamas, chercheuse en éthique de la recherche biomédicale à l’INSERM
Élisabeth Delaygue Bevan, médecin nutritionniste
Didier Girard, médecin généraliste (Paris)
Véronique Mathevet, infirmière
Bénédicte Dassonville, médecin généraliste (Beaufort-en-Anjou)
Stéphanie Rochet, docteur en pharmacie
Anne Catherine Martin, médecin généraliste (71)
Nathalie Demonté Dubruque, médecin généraliste (34)
Christophe Petiau, médecin, neurologue (Strasbourg)
Nathalie Caradot, médecin généraliste (Sainte-Foy-les-Lyon)
Philippe Laurent, médecin généralist
Michèle Leclerc-Olive, chercheure émérite au CNRS
Michel Joubert, professeur émérite de sociologie à l’Université Paris 8
Marie Pierre Brau Nogué, infirmière clinicienne (Bagnères-de-Bigorre)
Véronique Chevalier, infirmière
Olivier Esteves, professeur de civilisation des pays anglophones à l’Université de Lille
Pierre-Yves Santiago, chirurgien oculaire, Institut Ophtalmologique de l’Oues
Léna Barbancey, infirmière (Anduze)
Ambre Limouzy, infirmière libérale
Pascal Poteri, infirmier
Guillaume du Manoi, médecin généraliste
Pascale Gillot, maître de conférences en philosophie à l’Université de Tours
Jean-Pierre Eudier, chirurgien-dentiste
Paul-André Bellot, médecin généraliste
Ghislaine Nicola Deloffre, médecin généraliste
Florent Gaudez, professeur de sociologie à l’Université Grenoble-Alpes
Philippe Bos, médecin anesthésiste retraité (46)
Christian Lagasse, médecin généraliste (82)
Claire Lenclud, médecin généraliste (38)
Pascale Brun, médecin, acupuncteur
Dominique Domergue-Anguis, médecin gynécologue (Amboise)
Pascal Mensah, médecin généraliste
Jeanine Jemet, médecin généraliste
Dominique Carpentier, médecin généraliste (Vallesvilles)
Didier Blanc, professeur de droit public à l’Université de Toulouse
Jean-Pierre Garcia, médecin généraliste (Paris)
Soad Zahaf Leghmizi, psychiatre (Seine et Marne)
Gérard Le Roux, médecin généraliste retraité
Jean-François Bayart, professeur de science politique à l’IHEID
Fanny Morin, médecin généraliste
Isabelle Autonne, médecin généraliste
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