7 de garde

Les vaccins de la terreur – Je sauve des vies – je vous donne ma dose! Attention danger!

Il y a péril en la demeure. Les géants internationaux de l’industrie pharmaceutique (Big Pharma) reniflent le fric attaché à la promesse de vaccins devant apaiser la panique que les médias et les États (terrorisant) ont semé parmi la population tétanisée.

L’appel solennel du professeur Perronne : Attention danger L’Échelle de Jacob: Vaccin ARNm: l’appel solennel du Pr Perronne (echelledejacob.blogspot.com)

Le docteur Louis Fouché de l’hôpital de la Conception de Marseille frappe encore. « Il y a pire qu’un mauvais virus… c’est un mauvais vaccin » et que faire au centre de cette mascarade politique-pandémique qui a asservi la science médicale aux intérêts véreux? Ainsi, ajoute le médecin anesthésiste, Big Pharma se dégage de toute responsabilité quant aux effets secondaires inconnus de ce nouveau type de vaccin ARN très risqué et fabriqué dans l’urgence alors que rien ne presse puisque le taux de mortalité du Covid-19 est à peine de 0,05 %… aussi bas qu’une grippe hivernale. Bref, Big Pharma n’a pas à presser le pas pour encaisser les milliards de dollars au risque de notre santé conclu le médecin qui ne recevra aucune ristourne de Big Pharma. Écoutez…

 


Le Pr Eric Caumes sur les dangers du vaccin expérimental ARN qu’on nous impose en urgence

 


Coronavirus en Suède : l’ombre d’un fiasco plane sur les nouveaux vaccins

De nombreux Suédois ne font plus confiance aux vaccins depuis l’épidémie de grippe A en 2009, lorsque des centaines de jeunes ont développé une narcolepsie après injection.

En Suède, plus question de se faire vacciner avec un sérum développé à la hâte. Depuis une vaste campagne contre le H1N1 en 2009, de nombreux Suédois ne font plus confiance aux antidotes, dont celui contre la Covid-19.

Comme des centaines de jeunes compatriotes, Meissa Chebbi est narcoleptique depuis son vaccin contre la grippe A. En cause : un adjuvant dont le rôle était de démultiplier l’effet immunitaire. « Je ne recommanderais jamais » de prendre un vaccin développé en urgence, « sauf si vous devez absolument le prendre, en danger de mort », dit la jeune Suédoise de 21 ans à l’Agence France-Presse. « J’attendrai cinq ans, quand on connaîtra les risques« , affirme l’étudiante.

 

« Ca a détruit ma vie« , explique Meissa, qui avait onze ans à l’époque. « Je m’endors tout le temps, dans toutes les situations et à des moments inappropriés : à table, lors d’entretiens d’embauche, pendant des discours, des séminaires, à l’université. Je me suis endormie au travail, dans des bus, partout… », énumère la jeune résidente d’Örebro, dans le centre de la Suède.

702 plaintes déposées après la campagne de vaccination

Il y a onze ans, les autorités sanitaires locales ont appelé les Suédois à se faire volontairement vacciner contre la grippe porcine, avec le Pandemrix produit par le laboratoire britannique GlaxoSmithKline. Plus de 60% de la population, soit presque six millions de personnes, avait répondu à l’appel. Un record mondial dans un pays où aucun vaccin n’est pourtant obligatoire.


Kla.tv (Allemagne)  Appel urgent à la vigilance, la vaccination anti-coronavirus intervient dans l’ADN ! (Warning)

Docteur Louis Fouché. (Marseille)  Vaccin inutile contre le Covid 19 et les dangers des vaccins à ARN.

Le microbiologiste Didier Raoult (IHM) se dit “sceptique” et se demande à qui profite la nouvelle de futurs vaccins.  Il veut le voir pour le croire. C’est, en substance, ce qu’a dit Didier Raoult à propos d’un éventuel prochain vaccin contre le coronavirus, annoncé par plusieurs laboratoires pharmaceutiques, tels Pfizer et BioNTech, ou encore Moderna.

« Celui qui va gagner le plus d’argent, c’est Bill Gates »

Au micro de CNews et Non Stop People, mercredi 18 novembre, le médecin a rappelé que « pour l’instant, il n’y a pas de vaccination contre le Covid19. On verra bien. » Et d’ajouter : « Si c’est un vaccin qui est sûr, pourquoi pas. Pour l’instant, la question ne se pose pas. C’est de la science-fiction ». « Le jour où on sera dans la réalité, je vous donnerai une opinion. Je ne fais pas de prévision», a-t-il poursuivi.  Le microbiologiste s’est aussi questionné sur les annonces en cascade de ces derniers jours à propos de futurs vaccins. «Je suis sûr que les actions de la Bourse montent comme des fous. Celui qui va gagner le plus d’argent, c’est celui qui en a gagné le plus jusqu’à maintenant : Bill Gates avec Moderna. Je suis un peu sceptique et je me demande si ce n’est pas un jeu de Bitcoin », a jugé le directeur de l’IHU Méditerranée Infection de Marseille.


Raoult torpille le vaccin anti-covid    Raoult sur Sud Radio :

« J’ai dit que le vaccin relevait de la science fiction pour moi ; je ne vais pas rentrer dans des explications trop compliquées mais prenez l’exemple du vaccin contre la grippe, on a mis une quinzaine d’années à le stabiliser et encore à l’heure actuelle il n’est pas fiable à 100%. Et là, pour une maladie qu’on connaît depuis un an à peine, certains laboratoires nous sortent des résultats à plus de 90% ! Non mais franchement, qui peut croire une chose pareille ? D’ailleurs où sont les études sur ces vaccins parce que je cherche et je n’ai rien trouvé !

Non ce n’est pas sérieux du tout, certains vont devenir milliardaire avec cette connerie qui est rabâchée par les médias alors quand on me demande ce que je pense du vaccin et de sa réussite, je dis que je ne joue pas en Bourse, je pense que les Français comprendront, ils sont moins bêtes que ce que les Politiques veulent croire… »

Qu’on soit pro ou pas Raoult, il reste un scientifique expert en maladies infectieuses et en microbiologie avec une vision scientifique objective neutre sans conflit d’intérêt. C’est pourquoi son avis sur le vaccin covid compte !


« Vaccin » contre le Covid : la mise en garde du Pr Perronne

L’agenda mercantile avance à marche forcée : quelques mois seulement après l’apparition « officielle » du Sars-CoV-2 (on en repère désormais des traces dès l’été 2019… fort loin de la Chine !), voici que les pharmas, à grand coups d’effets d’annonce et sous les acclamations diligentes de la presse qui semble avoir définitivement avoir perdu tout recul, prétendent nous vacciner à tour de bras dans les semaines et les mois à venir.

Ceci pose tout de même un certain nombre de problèmes.

D’abord parce qu’il ne s’agit en réalité non pas d’un vaccin mais d’une thérapie génique encore jamais expérimentée sur l’être humain. Qui aurait requis de cinq à dix ans pour être développée d’une manière qui respecte les protocoles de sécurité normaux. Et dont on ne comprend pas l’urgence au regard du taux de létalité du nouveau coronavirus, équivalent bel et bien à celui d’une grippe moyenne !

Tout ceci, Didier Pittet l’avait écarté d’un revers de main au cours d’un débat radiophonique dans le cadre de l’émission Forum de la RSR cet été, rétorquant à un jeune contradicteur qui venait d’énoncer ces faits :  » ah oui, ça on connaît c’est le discours des Antivaxx. » Ajoutant avec le paternalisme le plus éculé : « J’espère au moins que vos parents se feront vacciner, eux ! » C‘est toute la difficulté avec la suppression du débat d’idées et donc de la complexité sur des sujets comme celui-là : s’il n’y a plus que les gens raisonnables (évidemment pro-vaccins) d’un côté et les irrationnels et dangereux antivaxx de l’autre, nous sommes bel et bien dans un délire religieux et dans plus rien qui ait quoi que ce soit à voir avec la science ni même la pensée.

Le fait est que pour les vaccins, comme pour toute mesure sanitaire, la question qui se pose est celle de l’opportunité ou de l’indication en fonction d’une pesée d’intérêts entre bénéfices et risques. Avec les postures religieuses actuelles face au vaccin, au port du masque ou au confinement, nous n’avons simplement plus cette liberté de la pensée et du débat, d’une manière qui non seulement nous fait violence mais multiplie gravement les risques.

Le fait est que cette nouvelle technologie apparaît aussi casse-gueule qu’il est possible. Parce qu’il absolument impossible de prédire son impact réel sur la santé de celles et ceux qui recevront le vaccin. Comme l’a magistralement résumé  la généticienne Alexandra Henrion-Caude chez Morandini, dès lors que la pharmacodynamique, la pharmacocinétique et la génétique (avec analyse spécifiées) n’ont pas été évaluées dans les études, on est dans une absence totale de sécurité -ou pour parler français un risque majeur.

Le Pr Arnaud Fontanet, un des membres du conseil « scientifique » français (chez Bourdin) a bien pataugé dans l’exposé de ce à quoi nous pouvons nous attendre pendant que le  Pr Eric Caumes, chef du service des maladies infectieuses à la Pitié-Salpêtrière (chez Pujadas), exprimait quant à lui ses vifs doutes quant à la sécurité du machin.  Ce qui n’empêche pas les médias romands de s’en donner à cœur joie, Le Temps (what else ?!) occultant totalement la réalité dans un article ressemblant plus à un informercial qu’à un travail journalistique digne de ce nom.

Le Pr Christian Perronne est une des voix admirables de l’époque qui rappelle depuis le début de cette crise que la médecine a eu à une époque une certaine intégrité et qu’il s’agirait (peut-être) de la retrouver plutôt que d’accepter de basculer dans un monde où l’incompétence le dispute bel et bien à l’arrogance. Ayant le plus grand respect pour cet infectiologue, professeur de médecine et grand connaisseur de la santé publique, c’est avec joie et soulagement que j’ai pris connaissance de la lettre qu’il a publiée ce matin pour tenter de remettre les pendules à l’heure.

Avec son accord (dont je le remercie chaleureusement), je la reproduis ici. Pour entendre la déclaration du professeur Perronne:

L’Échelle de Jacob: Vaccin ARNm: l’appel solennel du Pr Perronne (echelledejacob.blogspot.com)  

Chers amis,

La France, qui vit un cauchemar depuis des mois, se réveille. Dans beaucoup de villes de notre beau pays, le peuple est en marche pour retrouver sa liberté, pour exiger le retour de la démocratie. En tant que médecin, spécialiste des maladies infectieuses et ayant été président de nombreuses instances ou conseils de santé publique, y compris sur les vaccins, je mesure chaque jour les incertitudes générant la peur et le désarroi croissant de nos concitoyens. Je prends le risque d’être à nouveau qualifié de « complotiste » ou mieux de « rassuriste », termes désignant ceux qui critiquent ou challengent la pensée unique. Je finis par être fier de ces appellations, mes propos exprimant la vérité n’ayant jamais changé depuis le début de l’épidémie. Je considère donc qu’il est de ma responsabilité de m’exprimer à nouveau ce jour sur l’ensemble du volet médical de la Covid-19 et en particulier sur le sujet vaccinal, désormais l’élément central et quasiment unique de la politique de santé de l’Etat.

Beaucoup de Français ont été hypnotisés par la politique de la peur. Depuis septembre 2020, on nous avait annoncé une deuxième vague terrible de l’épidémie, pire que la première. Le Ministre de la Santé, le Dr Olivier Véran, le Président du Conseil scientifique de l’Elysée, le Pr Jean François Delfraissy, le Directeur Général de la Santé, le Pr Jérôme Salomon, l’Institut Pasteur nous ont annoncé des chiffres catastrophiques avec une augmentation exponentielle du nombre de morts. Les hôpitaux devaient être saturés et débordés. Même le Président de la République, lors d’une allocution télévisée récente annonçant le reconfinement, nous a prédit pas moins de 400.000 morts, renchérissant sur les 200.000 morts estimés peu de temps auparavant par le Pr Arnaud Fontanet de Pasteur. Ces chiffres irréalistes n’avaient qu’un but, entretenir la peur pour nous faire rester confinés, sagement masqués. Pourtant l’usage généralisé des masques en population générale n’a aucun intérêt démontré scientifiquement pour enrayer l’épidémie de SARS-CoV-2. L’utilisation des masques devrait être ciblée pour les malades, leur entourage (surtout les personnes à risque) et les soignants au contact.

Or l’épidémie régresse et n’a entraîné aucune apocalypse. La dynamique de la courbe montrait depuis des semaines le profil d’un rebond épidémique saisonnier qui s’observe avec certains virus, une fois la vague épidémique terminée. Cela témoigne de l’adaptation du virus à l’homme et est aussi le reflet de l’immunité collective qui progresse dans la population et qui nous protège naturellement. Les souches de virus qui circulent actuellement ont perdu de leur virulence. Les autorités ne pourront pas dire que c’est grâce au confinement car la tendance à la baisse avait commencé avant même sa mise en place. La régression de l’épidémie avait même commencé, dans certaines agglomérations, avant l’instauration du couvre-feu.

Malheureusement, il y a encore des décès qui surviennent chez des personnes très âgées, des grands obèses ou des personnes souffrant d’un diabète sévère, d’hypertension artérielle grave, de maladies cardiorespiratoires ou rénales déjà invalidantes. Ces personnes à risque sont parfaitement identifiées. Les mesures sanitaires devraient donc être ciblées pour les protéger, les dépister et les traiter le plus tôt possible dès le début des symptômes par l’hydroxychloroquine et l’azithromycine dont l’efficacité et l’innocuité sont largement confirmées, si on donne le traitement précocement.

Beaucoup de décès auraient pu être évités. Or on a dissuadé les médecins généralistes et les gériatres de traiter. Dans ce contexte, continuer à persécuter nos enfants derrière des masques inutiles reste incompréhensible.

Toutes ces mesures sont faites pour que les Français réclament un vaccin. Or quel est l’intérêt d’un vaccin généralisé pour une maladie dont la mortalité est proche de 0,05% ? Aucun. Cette vaccination de masse est inutile. De plus, les risques de la vaccination peuvent être plus importants que les bénéfices.

Le plus inquiétant est que de nombreux pays, dont la France, se disent prêts à vacciner dans les semaines qui viennent, alors que la mise au point et l’évaluation de ces produits se sont faites à la va-vite et qu’aucun résultat de l’efficacité ou de la dangerosité de ces vaccins n’a été publié à ce jour. Nous n’avons eu le droit qu’à des communiqués de presse des industriels fabricants, permettant de faire flamber leurs actions en bourse.

Le pire est que les premiers « vaccins » qu’on nous propose ne sont pas des vaccins, mais des produits de thérapie génique. On va injecter des acides nucléiques qui provoqueront la fabrication d’éléments du virus par nos propres cellules. On ne connait absolument pas les conséquences de cette injection, car c’est une première chez l’homme. Et si les cellules de certains « vaccinés » fabriquaient trop d’éléments viraux, entrainant des réactions incontrôlables dans notre corps ? Les premières thérapies géniques seront à ARN, mais il existe des projets avec l’ADN. Normalement, dans nos cellules, le message se fait de l’ADN vers l’ARN, mais l’inverse est possible dans certaines circonstances, d’autant que nos cellules humaines contiennent depuis la nuit des temps des rétrovirus dits « endogènes » intégrés dans l’ADN de nos chromosomes. Ces rétrovirus « domestiqués » qui nous habitent sont habituellement inoffensifs (contrairement au VIH, rétrovirus du sida par exemple), mais ils peuvent produire une enzyme, la transcriptase inverse, capable de transcrire à l’envers, de l’ARN vers l’ADN. Ainsi un ARN étranger à notre corps et administré par injection pourrait coder pour de l’ADN, tout aussi étranger, qui peut alors s’intégrer dans nos chromosomes. Il existe donc un risque réel de transformer nos gènes définitivement. Il y a aussi la possibilité, par la modification des acides nucléiques de nos ovules ou spermatozoïdes, de transmettre ces modifications génétiques à nos enfants. Les personnes qui font la promotion de ces thérapies géniques, faussement appelées « vaccins » sont des apprentis sorciers et prennent les Français et plus généralement les citoyens du monde, pour des cobayes. Nous ne voulons pas devenir, comme les tomates ou le maïs transgéniques des OGM (organismes génétiquement modifiés). Un responsable médical d’un des laboratoires pharmaceutiques fabricants a déclaré il y a quelques jours qu’il espérait un effet de protection individuelle, mais qu’il ne fallait pas trop espérer un impact sur la transmission du virus, donc sur la dynamique de l’épidémie. C’est bien là un aveu déguisé qu’il ne s’agit pas d’un vaccin. Un comble.

Je suis d’autant plus horrifié que j’ai toujours été en faveur des vaccins et que j’ai présidé pendant des années des instances élaborant la politique vaccinale. Aujourd’hui, il faut dire stop à ce plan extrêmement inquiétant. Louis Pasteur doit se retourner dans sa tombe.

La science, l’éthique médicale et par-dessus tout le bon sens doivent reprendre le dessus.

 

 

Christian PERRONNE


Un haut moment de propagande au cours duquel l’auditeur a pu apprendre bien des choses…

Vaccin mon beau soucis

Marie-Paul Kieny n’est pas une invitée lambda dans l’émission de Marc Fauvelle : elle a été nommée par le gouvernement à la tête du comité chargé d’évaluer les avancées sur le vaccin contre le covid-19.

L’auditeur apprend beaucoup de choses, toutes plus ahurissantes les unes que les autres, assénées comme des banalités :

  • Les taux (annoncés par les entreprises) de réussite des vaccins sont « une bonne surprise parce qu’on a beaucoup discuté pour savoir quel devait être le taux d’efficacité minimum d’un vaccin pour qu’il soit mis en place, l’OMS avait suggéré 50 % … et on a excédé ces 50 %, là c’est un résultat très intéressant ».
  • Durée de la protection ? Marc Fauvelle s’interroge en se référant au patron français du laboratoire américain Moderna, dont il ne précise pas combien ce laboratoire est lié à Bill Gates : « il parle d’une immunité de 6 mois, voir 12 mois, avez-vous des données ? ». Réponse : « Je ne sais pas, nous n’avons jamais vu ces données dans le comité, je pense que se positionner sur une durée longue est un peu optimiste mais nous en apprendrons plus au fur et à mesure de l’utilisation de ces vaccins. Il faudra attendre pour connaître l’efficacité dans la durée ».

Donc, des vaccins s’apprêtent à être mis sur le marché mais ils pourraient vacciner pour une courte durée, ce qui n’est pas exactement ce que l’on attend d’un vaccin. Qui plus est, seul un essai grandeur nature sur les populations donnera une idée réelle de son efficacité. Sur Franceinfo, cela s’exprime en toute tranquillité.

Marc Fauvelle veut en savoir plus. Madame Kieny précise que « ce sont les autorités de réglementation qui donnent les autorisations d’utiliser les vaccins (…) ils auront sûrement accès à des données que nous n’avons pas vues (…) on ne saura pas tout, au fur et à mesure de l’utilisation on pourra confirmer l’efficacité dans la durée ».

Lequel sera le plus efficace, « faudra-t-il attendre les publications scientifiques ? » Réponse : « La différence très nette tient au mode de conservation ». Avantage à Moderna, dit-elle.

« On aura plusieurs vaccins (…) Ce sont des vaccins fabriqués sur une plateforme très novatrice puisqu’on n’utilise pas du virus tué ou des protéines purifiés, c’est le matériel génétiqueles gènes mêmes du virus qui sont administrés directement avec une seringue, et une fois qu’on a administré ces gènes, ce sont eux qui se permettent de fabriquer la protéine d’enveloppe du virus dans la personne vaccinée (…) on est très contents de savoir que cela fonctionne »

Résumons : des vaccins de nouvelle génération, génétiques, ayant la capacité d’agir sur les gènes des patients sont en passe d’être administrés à la population mondiale, à l’occasion de cette pandémie. Ce sont des vaccins dont nous ne connaissons pas la durée de l’immunité qu’ils apporteront, ni leur réelle efficacité, sinon ce qui est affirmé par les laboratoires fabricants, mais nous savons que c’est justement leur utilisation à grande échelle qui permettra de les connaître.

On verra à l’usage

Rien de complotiste, c’est sur Franceinfo et c’est à la responsable du comité nommé par le gouvernement que la radio s’adresse. Pour dire simplement ce que les « complotistes » disent chaque jour : que des vaccins génétiques aux propriétés inconnues des États concernés vont être administrés en masse à des populations civiles. Concernant l’efficacité des différents vaccins, selon les personnes, les âges, Madame Kieny le dit : « De toute façon, cela on ne le sait pas, il faudra le voir à l’usage (…) À l’usage, les meilleurs resteront avec nous sur la durée ». Autrement dit, ceux qui auront eu de mauvais résultats seront éliminés. De mauvais résultats sur des êtres humains, s’entend.

Fauvelle veut des précisions sur le vaccin et demande s’il s‘agit bien de « matériel génétiquement modifié que l’on met dans nos organismes ». Réponse : « Évidemment, tout ce qui est nouveau peut faire peur mais il faut savoir aussi que les scientifiques humains et la population humaine est très ingénieuse, et surtout au moment des crises (…) on prend un gène, comme si vous aviez votre propre gène qui permet de vous donner les yeux bleus ou les yeux bruns, vous le manipulez un peu et vous l’utilisez comme un vaccin. Ce gène est très fragile, il fallait le stabiliser. Deux sociétés travaillent dessus, Moderna et Pfizer ».

« La communication des entreprises est essentiellement dirigée vers les actionnaires. On est dans une situation où la finalité particulière des industries cotées en bourse est de générer des revenus pour les actionnaires (…) c’est plus facile de faire un communiqué de presse qu’une publication scientifique qui va être évaluée par les pairs. Mais les deux sociétés se sont engagées à rédiger et à soumettre le plus rapidement possible ces résultats à une revue à comité de lecture afin qu’ils puissent être évalués par le monde entier »

La question est avant tout celle des bénéfices des actionnaires, c’est pourquoi il faut que les vaccins arrivent vite et soient testés grandeur nature. Normalement, les résultats des entreprises privées devraient être d’abord soumis à évaluation par la communauté scientifique. Ce n’est ici pas le cas : les vaccins sont mis en œuvre, ils seront évalués après…

Un vaccin et un peu plus
  • Or, selon l’OMS un vaccin ne suffira pas. Madame Kieny : « C’est un outil précieux mais ce ne sera pas l’alpha et l’omega. Il faudra du temps pour immuniser une part importante de la population, encore plus dans les pays en voie de développement. Pour arriver à interrompre la propagation, il faudrait vacciner 100 % de la population, avec un vaccin 100 % efficace et qui dure toute la vie (…) On va pas éradiquer ce covid, les chances qu’on y arrive sont quasiment nulles. Sera-t-il endémique ? Épidémique ? (…) Ce virus, il mute toute le temps, pour le moment il n’y a pas d’indication que ces mutations ont un impact sur le vaccin. Mais cela ne veut pas dire que cela n’arrivera pas. »
  • Les Français sont méfiants ? « quand on voit la corrélation entre le refus de la vaccination et la défiance contre le gouvernement et contre le système en général, on voit que la parallèle est évidente (…) On peut être transparents, expliquer les bénéfices mais aussi les risques, aucun acte médical n’est sans risques. Il faudra être clair et transparent sur ces vaccins. Le fait qu’ils peuvent aider à protéger la personne vaccinée mais aussi ses proches, et être transparent sur les inconvénients (…) J’espère que ça va se passer bien en France, les gens sont fatigués des confinements, des peurs… »

« On sait déjà que la maladie n’immunise pas contre une deuxième infection (…) »Ceux qui ont été malades devront donc aussi être vaccinés.

Complotisme gouvernementale

Franceinfo dénonce souvent les théories du complot et voit des complotistes partout. Par contre, en ce mardi 17 novembre 2020, la radio ne semble pas s’être aperçue combien elle reprenait et diffusait, en forme de propagande gouvernementale officielle, ce qu’elle prétend combattre habituellement.

Face à un virus qui se propage de façon impossible à contenir, des tombereaux de dollars sont donnés à des laboratoires privés. Ces derniers fabriquent des vaccins supposément efficaces mais dont l’efficacité sera connue une fois des vaccinations grandeur nature réalisées, car ces laboratoires ne font pas vérifier leurs résultats, contrairement à l’usage, par la communauté scientifique, même s’ils ont signé des clauses contractuelles promettant de le faire… après. Ces vaccins ne suffiront pas à lutter contre le virus, n’immuniseront sans doute pas (?) sur la longue durée, sont produits par des entreprises dont l’une, au moins, est pointée du doigt du fait de ses actionnaires. Ces derniers sont destinés à être les bénéficiaires de l’opération et c’est normal. On oublie quelque chose ? Ah oui… ces vaccins pourraient peut-être modifier génétiquement l’être humain, créant des HGM comme il y a des OGM.

Mardi 17 novembre 2020, sur Franceinfo, la réalité ressemblait au complot à s’y méprendre. On aurait dit la suite de Hold-up. En moins intéressant.  SourceVu ici


À gauche, dans un CHSLD- un EPAD – un patient réticent à recevoir le vaccin que l’État stipendié a acheté pour lui. Quelques fiers à bras tentent de lui « sauver la vie »  malgré lui en lui injectant une dose de vaccin frelaté – non homologué – dont on saura dans une année l’efficacité.

Le passeport sanitaire international pour infiltrer votre risque de déplacement et supputer  votre « dangerosité »: L’Échelle de Jacob: Passeport sanitaire pour se déplacer : Vers une vaccination obligatoire de fait ! (echelledejacob.blogspot.com)

 

Robert Bibeau

Auteur et éditeur

7 réflexions sur “Les vaccins de la terreur – Je sauve des vies – je vous donne ma dose! Attention danger!

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