MACRON: UN GOUVERNEMENT AU SERVICE DU FRIC ET DES PATRONS!
ÉDITO DE LA CNT-SO
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C’est pas faute de vous avoir prévenu aussi que tout était BIDON dans le Macron, comme dans l’élection…
Alors MacDeRoth avait affirmé que le Hollandouille était un « sociopathe » et il savait de quoi il parlait car le Pr. Adriano Segatori psychiatre et psychothérapeute italien, décrit Macron comme un psychopathe et c’est là encore logique puisque Jupiter 1er est la créature des « psychopathes aux manettes » dont je vous rabats les oreilles depuis le 11 décembre 2015, ici-même…
Merci à Un Passant sur R71 qui nous tire l’œil vers cette vidéo que l’on devrait envoyer à M’sieur Ruffin en échange de bon procédé puisqu’il nous avait démontré par cette vidéo que tout était bidon dans l’élection de 2012 ! ♫ Merci Ruffin ♪ Merci Macron ♫ Ou pas…
« Macron est un psychopathe » : l’analyse d’un psychiatre italien
Le professeur Adriano Segatori est un psychiatre et psychothérapeute italien. Son analyse du profil d’Emmanuel Macron, basée notamment sur sa biographie et ses images de campagne, le pousse à conclure, de manière très argumentée : « Macron est un psychopathe qui travaille uniquement pour lui-même. »
Chui pas psychothérapeute moi, mais dès que Macron avait affirmé ceci :
« Il faut des jeunes Français qui aient envie d’être milliardaires », aux Échos, lors d’un déplacement à Las Vegas, le 6 janvier 2016.
Source Médiapart du 1er juin 2016 ► https://blogs.mediapart.fr/yves-faucoup/blog/010616/emmanuel-la-gaffe
[ NdJBL : C’est ce déplacement là qui pose quelques soucis au Petit et sa Ministre du Travail, Mâme Pénicaud ► http://www.europe1.fr/politique/le-papier-a-lire-pour-tout-comprendre-de-laffaire-penicaud-3383111]
Et voici ma réponse de l’époque ;
Voilà ce qu’il nous faut combattre avec force, car non, M. Macron, nous ne voulons pas que des jeunes, tout court, aient envie d’être milliardaires…
Je vous invite à méditer sur les paroles prononcées par Smohalla – Chef Indien Sokulls ;
« Mes jeunes gens ne travailleront jamais.
Les hommes qui travaillent ne peuvent rêver.
Et la sagesse nous vient des rêves »
Voilà ce qui nous différencie, M. Macron, moi j’ai envie de rêver…
Et vous nous faites cauchemarder…
Dans ce billet : AUX POSSÉDANTS DE LA TERRE qui argumente justement pourquoi nous devons appeler à une grève totale, illimitée et expropriatrice pour initier un nouveau paradigme en totale DÉPOSSESSION VOLONTAIRE comme l’explique Élisée Reclus avec sa lettre « À toi mon frère le paysan » qui définie que ceux qui vivent de la terre n’ont rien à craindre de l’expropriation qui n’est qu’à l’intention de ceux qui exploitent la terre, les hommes, le vivant, et pour leur seul et unique profit…
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Résistance politique : Du réformisme syndical à la révolution sociale (sur une base d’un édito de la CNT-SO)
Dans le contexte étatico-capitaliste de circonstance, ce que disent ci-dessous les compagnons de la CNT-SO est on ne peut plus juste, et leur action de terrain est hautement respectée, mais voilà… le piège tendu par l’oligarchie est celui de maintenir la lutte syndicale dans le réformisme, dans “l’aménagement” de la misère et de la précarité pour qu’elles deviennent plus “supportables”. Dans ce contexte précis, l’autogestion ne devient que l’autogestion de la même merde capitaliste, simplement laissé aux ouvriers et salariés. Beaucoup (trop) de compagnons tombent dans ce piège.
La seule solution est la révolution sociale, le tsunami qui emporte tout du monde obsolète étatique et capitaliste pour faire place à la société des sociétés, celle des associations libres et des communes émancipées et confédérées, latente car fondement de l’organisation sociale humaine depuis quelques centaines de milliers d’années. Les compagnons des syndicats peuvent avoir une grande importance, celle de la coordination sur le terrain de la seule grève ayant un sens politique: la grève générale illimitée et expropriatrice !
Tout le reste n’est que réformisme béat et donc à terme… pisser dans un violon !
En bref: mettre un terme à l’État, au capitalisme, au salariat, à l’économie de marché, à l’argent et au fétichisme de la marchandise en ayant présent à l’esprit en toute circonstance, que la solution n’est pas économique, mais politique. Mettre fin à la relation dominant/dominé, exploiteur/exploité n’est pas un acte économique, mais politique. Il faut abattre la pyramide du pouvoir, celle devenue exogène à la société, sortie de solution du peuple, pour l’y retourner, rediluer le pouvoir dans le(s) peuple(s). éliminer le rapport dominant/dominé, c’est faire en sorte que le pouvoir ne soit plus séparé du corps social, qu’il soit un et total avec le peuple, de là s’ensuivra une responsabilité croissante d’un mode de production qui ne sera plus basé sur l’argent, le profit, la spéculation et l’exploitation, mais sur la juste répartition en fonction des besoins et des capacités de chacun.
Résistance 71 ► URL de l’article ► https://resistance71.wordpress.com/2017/07/10/resistance-politique-du-reformisme-syndical-a-la-revolution-sociale-sur-une-base-dun-edito-de-la-cnt-so/
Édito : Macron : un gouvernement au service du fric et des patrons !
Confédération Nationale des Travailleurs-Solidarité Ouvrière
Bulletin été 2017 | URL de l’article source ► http://www.cnt-so.org/Bulletin-de-la-CNT-Solidarite581
Pierre Gattaz, le patron du MEDEF peut être « sur un nuage », Macron veux passer en force, par ordonnances, d’ici septembre, sa nouvelle réforme du droit du travail qui viendra aggraver les logiques de la loi El Khomri et laminer toujours plus nos droits. D’autres attaques se profilent avec des mesures visant au démantèlement de la protection sociale solidaire et un nouveau coup d’austérité qui touchera durement les services publics et les fonctionnaires.
Les concertations prévues cet été sont bidons, le gouvernement déroule les mesures prévues dans le programme présidentiel de Macron et cherche même à aller plus loin. Les syndicats qui se prêtent à la mascarade du dialogue social avec le gouvernement ont tout faux. [NdJBL : Comme dans son billet du 6/07 Mohawk Nation News qui affirmait : “Tout INDIEN s’accrochant à leur incorporation dans la matrice coloniale est un psycho et un traître au monde naturel.”] Plus que jamais, ce n’est pas de « partenaires sociaux » dont nous avons besoin mais de syndicats forts et combatifs pour nous défendre, gagner de nouveaux droits et porter collectivement le projet d’une autre société ! Tout est question de rapport de force, organisons-nous sans plus tarder !
Dans la bataille sociale à venir, il s’agit d’abord d’identifier et de comprendre les dangers, afin d’argumenter pour mobiliser sur nos lieux de travail et de vie. Avec ce quatre-pages d’analyse, la CNT – Solidarité Ouvrière essaye de forger un outil, au service de la lutte. Bonne lecture !
Macron : un gouvernement au service du fric et des patrons !
La loi El Khomri démultipliée
Plafonnement des indemnités prud’homales
Macron avait déjà introduit un barème indicatif suivant l’ancienneté dans l’entreprise avec sa loi de 2015. Il va plus loin en proposant un plancher et un plafond obligatoire pour les licenciements abusifs. Une nouvelle fois, ce sont les capacités de défense juridiques des salarié.e.s qui sont mises à mal : cette mesure favorisera les licenciements en faisant baisser le montant des réparations financières.
Liberté de négociation locale quasi totale
La loi El Khomri avait déjà inversé la hiérarchie des normes (primauté de la loi sur l’accord de branche puis d’entreprise) mais uniquement sur le temps de travail. Cette fois-ci tout sera directement négociable dans l’entreprise, au-delà du socle minimal du Code du travail. La portée des accords de branches, au nombre considérablement réduit (de 50 à 100 au lieu de 700 environ actuellement), serait limitée aux minimas salariaux et à l’égalité professionnelle. Avec le chantage permanent au licenciement, une faible syndicalisation particulièrement dans les TPE et PME, le rapport de force sera extrêmement défavorable aux salarié.e.s et nos droits tirés vers le bas !
Le référendum d’entreprise initié par les patrons
Avec la loi El Khomri, un accord d’entreprise devait être validé par des syndicats représentant au moins 50 % des salarié.e.s ou par une consultation directe des salarié.e.s basé sur un accord minoritaire (30%). Désormais l’employeur pourra lui même convoquer ces « référendums » et disposera d’un moyen de pression supplémentaire. Loin d’un dialogue social apaisé vanté par les macronistes, nous savons bien que la réalité du terrain dans les entreprises, c’est la guerre totale des patrons contre les syndicats qui refusent la collaboration et une pression continuelle sur les salarié.e.s.
Fusion des institutions représentatives des personnels (IRP)
Toutes les entreprises pourront désormais fusionner leurs IRP (délégué.e.s du personnel, CE, CHSCT) en une délégation unique (DUP). Cette fusion vise a réduire le nombre de représentant.e.s donc de salarié.e.s protégé.e.s. Les militant.e.s seront submergé.e.s par les tâches de chaque mandat et auront moins de temps pour l’action syndicale.
Le démantèlement de la protection sociale solidaire
► Baisse des cotisations sociales pour les entreprises et indépendants
Nous allons avoir encore droit aux même recettes libérales avec des exonérations massives de cotisations sociales pour les indépendants et les entreprises (baisse de 6% et objectif zéro cotisation pour un salarié au SMIC soit une baisse de 10 %). L’objectif est clairement affiché : « rendre le travail moins cher pour les employeurs », en baissant nos salaires. Rappelons-le, les cotisations sociales ne sont pas des « charges » mais une partie intégrante de nos salaires, socialisés pour nous protéger des aléas de la vie. Les réduire, c’est réduire les salaires (voir le zoom en page 4) !
► Basculement du financement de la protection sociale vers l’impôt
Les cotisations sociales maladie et chômage vont être supprimées pour les salarié.e.s et remplacées par une hausse de la CSG. On touche au cœur même de la sécurité sociale , en s’éloignant toujours plus d’un système de répartition solidaire entre salariés pour poursuivre son étatisation. En prélude à sa privatisation ? Dans ce cadre, la hausse des salaires nets, si elle est réelle, est un attrape-nigaud ! Si on assèche les sources de financement de la protection sociale, il faudra bien compenser le manque (le fameux trou !) soit par une baisse des services, des hausses d’impôts ou la privatisation de pans entiers de la protection sociale.
Répression des chômeurs.euses
La possibilité de toucher des allocations après une démission cache un flicage accru des chômeurs.euses avec un renforcement des sanctions (suspension des allocations après deux refus d’offre d’emploi « décent »). Il n’est pas certain que nous ayons la même définition d’un « emploi décent » que Pôle Emploi, là encore il s’agit de faire pression pour tirer nos conditions de travail et nos droits vers le bas.
► Retraite à points
La réforme envisagée reste encore floue. Il s’agirait d’évoluer vers un système unique public/privé dit de « comptes notionnels » où chacun alimentera un capital individuel virtuel, revalorisé chaque année selon la croissance des salaires. Le total des droits accumulés serait converti au moment de la retraite en une pension, à l’aide d’un coefficient de conversion fonction de l’âge de départ, de l’année de naissance ou encore de l’espérance de vie de chaque génération. Au regard des conditions spécifiques de carrière, des règles de cotisations actuellement très différentes, notamment entre public et privé, il y a fort à parier que cette réforme fera de nombreux perdants. La possibilité de modifier régulièrement le coefficient de conversion fait aussi peser une lourde incertitude sur le montant réel des pensions à l’arrivée. Ce système incitera globalement à travailler plus vieux puisque plus l’âge de départ sera élevé plus la pension sera importante. De même, pour une espérance de vie supposée plus longue pour une génération, il faudra choisir entre partir plus tard ou avoir une pension moindre. Sauf que le choix sera fait individuellement et non plus en reculant clairement un âge de départ commun à tous, encore un tour de passe-passe macroniste pour rendre indolore une régression !
Casse des services publics et austérité pour financer les riches
Les dépenses publiques sabrées
Macron, c’est la poursuite de l’austérité avec un objectif annoncé de réduction des « dépenses publiques » à 50 % du PIB qui est chiffrée à 60 milliards sur 5 ans mais qui pourrait être bien supérieure (jusqu’à 170 milliards selon certains économistes). Derrière ces chiffres, c’est inévitablement une diminution de la qualité des services publics pour les usager.e.s et une dégradation des conditions de travail pour les fonctionnaires.
120 000 suppressions de postes et des droits amputés
Première conséquence de ces « économies », la suppression programmée de 120 000 postes dans la fonction publique (50 000 pour l’État et 70 000 pour la territoriale). Cela sera un nouveau coup dur pour des services publics déjà très fragilisés par les suppressions massives de la dernière décennie. Le poids sera important pour les collectivités locales qui devront faire avec moins d’agents alors que de nombreuses compétences leur ont été déléguées ces dernières années. Pour compenser, il est bien sûr envisagé de s’attaquer aux statuts (recrutement hors statuts, recours aux contractuels et/ou au privé).
Des sacrifices à sens unique
Le but de cette politique austéritaire est clairement affiché : financer les plus riches et les entreprises. En plus des réductions de cotisations, les entreprises vont bénéficier d’avantages fiscaux : notamment un taux d’imposition des sociétés abaissé à 25%. Macron projette de faire baisser la fiscalité sur les revenus fonciers et les dividendes ou encore de supprimer l’ISF pour le remplacer par un impôt sur la seule fortune immobilière, facilement contournable.
ZOOM : Le salaire socialisé, c’est quoi ?
Un employeur.e fait deux versements, l’un au salarié.e qu’il emploie, le salaire direct, composante individuelle ou salaire net au bas de la feuille de paye, l’autre aux caisses de Sécurité Sociale (chômage, maladie, retraite, etc.) sous forme de cotisations sociales proportionnelles au salaire direct : c’est la composante collective, le salaire indirect ou salaire socialisé.
La cotisation sociale fait donc partie intégrante du salaire. Réduire la cotisation sociale, sous prétexte de soulager les « charges » de l’entreprise, c’est réduire le salaire ! Elle n’est pas un prélèvement ou une charge, ni un impôt, ni une taxe, ni une épargne, ni une assurance mais du salaire ! Salaire lui-même défini en référence à un barème, un tarif négocié au sein des conventions collectives, basé sur une grille de classification et non pas sur les résultats de l’entreprise.
Cette cotisation sociale est répartie entre la part du salarié.e et la part dite patronale. Versée aux caisses, elle est immédiatement transformée en prestations sociales (elle transite en flux direct). Elle établit clairement le fait qu’à chaque instant, c’est le travail productif qui crée la valeur finançant la protection sociale, dont les retraites. C’est donc le salaire socialisé qui, en France, finance la protection sociale.
Le salaire socialisé permet la reconnaissance sociale de toutes les situations des travailleurs.euses et de prendre en compte les aléas de la vie. Qu’ils soient actifs.ves, précaires, chômeurs.euses, retraité.e.s, les salarié.e.s sont reconnus en tant que travailleurs.euses : le/la chômeur.euse indemnisé comme un salarié.e demandeur.euse d’emploi, le.la retraité.e, comme un salarié.e pensionné.e.
Cet aspect est fondamental car il pose comme principes :
- la solidarité entre les travailleurs.euses
- il confisque aux représentant.e.s de l’État la gestion d’une partie des revenus des travailleurs.euses : le salaire socialisé. L’État intervient par l’impôt dans une logique d’assistanat, d’aide aux plus pauvres. Grâce à la cotisation, il n’y a pas de « pauvres » mais des « salarié.e.s inactifs.ves », dont le revenu est maintenu.
- La cotisation est une arme économique au service des travailleurs.euses. Elle permet de financer les retraites, les allocations familiales, les remboursements des frais médicaux de millions de salarié.e.s. Elle est indexée sur le salaire net, et suit donc son évolution.
En tant que révolutionnaires, nous ne nous contenterons pas de maintenir le statu-quo de comptes « équilibrés » de la Sécu. Les richesses produites dans les entreprises sont le fruit de l’activité des travailleurs.euses, elles doivent donc leur revenir !
Ensemble revendiquons !
- Refus des nouvelles mesures Macron
- Abolition des lois Macron de 2015, El Khomry de 2016
- Retour sur l’ensemble des contre-réformes depuis 1993 sur les retraites et la sécu, gestion directe des caisses par les travailleurs-euses
- Au delà, il impératif demain de :
- Travailler moins : 30h hebdomadaires sans baisse des salaires,
- Travailler tous : répartir la charge de travail pour faire cesser la précarité et le chômage,
- Travailler autrement : autogestion et contrôle ouvrier sur les entreprises
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Même nous qui ne sommes RIEN pour ce psychopathe là, pouvons TOUT…
« Le pouvoir réside dans le peuple ! »
Prise de conscience individuelle ► prise de conscience collective ► boycott et organisation parallèle ► désobéissance civile ► réorganisation politico-sociale ► changement de paradigme.
▼ IGNORONS L’ÉTAT ET SES INSTITUTIONS ▼
Créons les bases solidaires de la Société des sociétés organique ► Réfléchissons et agissons en une praxis commune ► Adaptons le meilleur de l’ANCIEN au monde d’aujourd’hui
L’avenir de l’humanité passe par les peuples occidentaux émancipés de l’idéologie et de l’action coloniales, se tenant debout, main dans la main avec les peuples autochtones de tous les continents pour instaurer l’harmonie de la société des sociétés sur Terre.
C’est aussi simple que cela et comme l’a précisé R71 il faudra que s’ouvre une fenêtre d’opportunités à deux éléments simultanés ;
1 – Une conjoncture politico-économique propice : le capitalisme et son système arrivant au bout du bout du banc sans mutation possible et…
2 – Une conscience politique des peuples ne menant pas à l’insurrection, mais au tsunami de la révolution sociale qui emportera tout sur son passage…
Rajoutant même : la crise du capitalisme et de l’impérialisme n’est pas encore au bout du bout du banc et que la conscience politique du peuple est… Nulle… Déduction ?
Les ouvriers et travailleurs des XIXème et XXème siècles jusqu’aux années 50 avaient une conscience politique 10 fois supérieure à aujourd’hui, mais le capitalisme était en plein boum. Si les peuples aujourd’hui se laissent une fois de plus manœuvrer pour qu’une guerre majeure (mondiale non-thermonucléaire*) se produise, alors l’oligarchie mettra de nouveau les compteurs à (quasi) zéro et le capitalisme pourra repartir. Si cela ne se fait pas le plan B est le changement de coquille impérialiste de Bernard cet ermite fourbe. Si nous empêchons les deux, il y aura une accélération de la déliquescence capitaliste, aventure mafieuse qui ne peut plus se survivre à elle même et la fenêtre politico-sociale sera plus que propice, dans cet intervalle il faudra que nous ayons, du moins 10 à 15% d’entre nous, atteint le point de décision ultime afin de mettre en place les associations libres, le chemin émancipateur. S’il y avait en France 8 à 9 millions de personnes décidées et incorruptibles passant à l’acte politique des associations libres, c’est fin de partie pour l’oligarchie avec effet boule de neige [NdeJBL : selon la théorie du 100ème singe ou la solution à 10% vue par Mohawk Nation News] garanti dans toute l’Europe. Idem si cela se produisait dans un autre pays européen.
*Vu le niveau de psychopathie des psychopathes aux manettes, pour ma part, j’estime que rien n’est moins sûr. Surtout quand on a lu, vu et entendu ces ex soldats US contre la guerre perpétuelle !
Et cela inclus Macron – MacDeRoth – Jupiter 1er ;
J’avais relevé son degré de psychopathie dans sa participation à « Tous Au Tableau » {et grâce à une conversation avec Zénon} qui au lieu de répondre que la mer est bleu parce que l’eau est transparente, part dans un total délire…
Et c’est pas fini ;
Là ► http://www.agoravox.fr/actualites/economie/article/arc-international-ou-le-sauvetage-194902
Ou encore ça ► http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/le-rechauffement-climatique-et-le-194930
Et un début de justification qui doit bien relever aussi de la psychopathie ► http://www.20minutes.fr/politique/2102423-20170710-rechauffement-climatique-terrorisme-impossible-faire-lien
François Gemenne, spécialiste des questions de géopolitique de l’environnement, revient sur les propos d’Emmanuel Macron qui voit dans l’action contre le réchauffement climatique une des clés de la lutte antiterroriste.
Comment réagissez-vous à cette déclaration d’Emmanuel Macron ? Je pense qu’il a globalement raison. Si l’on veut s’attaquer aux causes profondes du terrorisme, il est impossible de ne pas faire le lien avec le réchauffement climatique. Il est d’ailleurs urgent de mieux comprendre la nature de ce lien.
Concrètement, que peuvent faire les pays aujourd’hui ? Le changement climatique est en marche, c’est un fait incontestable. Il faut déployer davantage de moyens pour aider les pays les plus touchés par ce réchauffement à préserver leurs ressources. De manière générale, il faut développer les aides apportées à ces pays. Aujourd’hui, trop peu de moyens sont déployés dans la lutte contre le réchauffement de la planète.
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Voilà, quand je vous disait que les Zélites vont tout légitimer car Macron est La Nouvelle Voix de Son Maitre ; Parce que c’est leur prooOojjeett !
N’a-t-il pas répondu à son nouvel ami Duffy « Make Our Planet Great Agrain » ?
Sur ce sujet, vous pouvez en complément de lecture, jetez un œil sur les RÉSUMÉSOTT car je glisse toujours des dossiers sur l’escroquerie du Réchauffement Climatique en plus de la vidéo mensuelle de Sott Media ou des billets et PDF ad hoc.
J’ai toujours affirmé que Macron avait été mis là pour nos péter les gencives. Et je pense qu’il va en étonner plus d’un par son zèle. C’est même pour cela qu’il a été choisi et qu’il ne devait en rester qu’UN. Ce devait être Lui !
Parole d’une femme d’un Sans-dents…
Les miennes étant pas mal éparpillées quand même…
Mais c’est pas grave car j’ai un cerveau et je m’en sers, et comme disait Harry Houdini « Mon cerveau est la clé qui me libère »… même tout petit et presque rien…
Parce que tout est bidon dans l’élection ► Mon dossier VOTATION = Piège à « on » = La preuve par Macron…
Rappelons, en quelques lignes, pourquoi le gouvernement de Macron, mais pas que car tous ses prédécesseurs ont été au service des puissances d’argent. La grande différence aujourd’hui, c’est que cela est un peu plus transparent et évident.
Mais la faute n’incombe pas qu’au gouvernants. Elle est aussi celle de ceux qui permettent à ces gens d’accèder au pouvoir. Sans eux, Macron ne serait pas Président.
Donc, le premier problème à envisager est de connaître le mécanisme qui permet cela. Ce mécanisme, ce principe est ce qu’on appelle la démocratie.
Par conséquent, sachez que le régime démocratique est une illusion, un leurre. Explication.
D’abord, précisons que si l’on définit la « démocratie » comme le gouvernement du peuple par lui-même, c’est là une véritable impossibilité, une chose qui ne peut pas même avoir une simple existence de fait, pas plus à notre époque qu’à n’importe quelle autre. Il ne faut pas se laisser duper par les mots, et il est contradictoire d’admettre que les mêmes hommes puissent être à la fois gouvernants et gouvernés, parce que, pour employer le langage aristotélicien, un même être ne peut être « en acte » et « en puissance » en même temps et sous le même rapport. Il y a là une relation qui suppose nécessairement deux termes en présence : il ne pourrait y avoir de gouvernés s’il n’y avait aussi des gouvernants, fussent-ils illégitimes et sans autre droit au pouvoir que celui qu’ils se sont attribué eux-mêmes ; mais la grande habileté des dirigeants du monde moderne est de faire croire au peuple qu’il se gouverne lui-même ; et le peuple se laisse persuader d’autant plus volontiers qu’il en est flatté et que d’ailleurs il est incapable de réfléchir assez pour voir ce qu’il y a là d’impossible.
C’est pour créer cette illusion qu’on a inventé le « suffrage universel » : c’est l’opinion de la majorité qui est supposée faire la loi. Mais ce dont on ne s’aperçoit pas, c’est que l’opinion est quelque chose que l’on peut très facilement diriger et modifier ; on peut toujours, à l’aide de suggestions appropriées (multitude sondages, terrorisme, pandémie, etc.), y provoquer des courants allant dans tel ou tel sens déterminé.
C’est pour cela qu’on a pu dire que « l’opinion, c’est l’erreur du plus grand nombre ».
Ceci permet de comprendre pourquoi le pouvoir politique (comme le pouvoir religieux du reste) se fonde volontiers sur l’ignorance du peuple et s’accroît d’autant que les esprits sont faibles, les gens incultes.
Souvenons-nous qu’après 1789, la France est passée d’une monarchie qui avait pour contre-pouvoirs tous les corps intermédiaires, à une oligarchie financière dénuée de tout contre-pouvoirs, le tout sous le vocable trompeur de démocratie. La démocratie est le vêtement dont se pare le pouvoir sous le prétexte qu’existe une représentation populaire (pouvoir législatif). Mais cette représentation est, dans les faits, c’est-à-dire concrètement, catégorielle et non pas populaire parce que contrôlée par des partis politiques sous influence des puissances d’argent.
Le véritable pouvoir aujourd’hui n’est pas à rechercher dans l’apparence des arcanes politiques, il se cache derrière l’anonymat des capitaux et dans les paradis fiscaux. Le véritable pouvoir auxquelles sont soumises les populations, maintenues dans la naïveté et l’inconscience, est économique : il appartient aux principaux détenteurs de capitaux de la planète ; lesquels ont tant et si bien œuvrés depuis des centaines d’années qu’ils sont devenus propriétaires directs et/ou indirects de la majeure partie des actifs tangibles de ce monde.
Depuis le XVIIIème siècle, les principaux banquiers sont étroitement interconnectés entre eux et ont des intérêts communs et liés. Les activités de ces banquiers sont structurellement internationales, leurs intérêts pouvant être qualifiés d’apatrides, ou plus exactement de supranationaux, en ce sens qu’ils n’ont aucun rapport avec un quelconque « intérêt national » au sens culturel et géographique du terme « national ».
Aussi, les USA et ses alliés, donc la France, ne sont plus depuis le début du XXème siècle (au bas mot) gouvernés par ce qu’on appelle un phénomène politique, qui représente l’intérêt commun, mais par un cartel d’entreprises dirigé par les principales banques globales d’investissement qui ont leur quartier général, depuis Oliver Cromwell, à la City de Londres. Précisons à propos des USA que la Réserve fédérale, la « FED », la banque centrale américaine est née en 1913, des menées des banquiers globalistes, dont le noyau dur se trouvait à Londres ; menées auxquels les intérêts Rothschild, notamment via le banquier Warburg, n’étaient pas étrangers.
À ce propos, rappelons-nous que trois personnalités de premier plan étaient opposées à la création de cette banque centrale américaine. Il s’agissait de Benjamin Guggenheim, Isidor Strauss et Jacob Astor. Ils périront tous les trois, quasi en même temps, dans le naufrage du Titanic… en 1912.
En réalité, les Etats occidentaux n’existent plus car ils ont été privatisés lorsque le contrôle de leurs monnaies est tombé dans les mains des banquiers privés, ce qui explique, en Europe, l’apparition des institutions européennes, qui ne sont que la formalisation politique (traités de Maastricht et Lisbonne) de cette capture des règles d’organisation des peuples par des intérêts privés.
Tant que le destin des monnaies restera l’apanage des banquiers mondialisés, et continuera en conséquence à échapper aux peuples qu’elles contraignent, nous assisterons à la continuation de la mise sous tutelle financière, économique, juridique et politique de ces derniers.
Pour ceux qui l’auraient oublié, cette vérité a été directement précisée par l’un des fondateurs de l’oligarchie financière : « Donnez-moi le contrôle de la monnaie d’une nation et je n’aurai pas à m’occuper de ceux qui font les lois ».
Si l’on retourne aux fondamentaux, il apparaît en effet que la monnaie, et son pendant qu’est la dette, conjuguée au principe de l’entreprise anonyme qu’elle a juridiquement autorisé à se mettre en place, sont les armes du servage d’aujourd’hui au même titre que l’épée et la lance étaient celles du servage d’hier.
Aussi, actuellement, dans l’objectif de hâter sa prochaine disparition volontaire, les autorités politiques en charge de la France, c’est-à-dire Macron et son gouvernement, relaient avec zèle, voire même anticipent, l’agenda mondialiste consistant à appauvrir matériellement, physiquement et moralement la plus grande masse des gens peuplant la planète au profit de quelques usurpateurs, véritables escrocs économiques qui ont, aujourd’hui, pris l’ascendant sur les pouvoirs politiques des États. Aussi, la France qui n’a aucune politique, et encore moins de politique socialiste, dans le sens « social » du terme, est en revanche l’un des principaux fers de lance de l’agenda globaliste, lequel prospère sur le développement de la misère humaine.
En janvier 2005, peu de temps avant de quitter ce monde pour l’autre, Jean-Paul II, rappelant le verset 12 du chapitre 12 de l’Apocalypse, disait : « Satan » sait qu’il lui reste peu de temps… car l’histoire est sur le point de subir un tournant radical de libération du mal et, pour cela, il réagit avec une grande fureur.
Aussi, le « diable » est assurément fort habile, mais pourtant il ne peut jamais s’empêcher d’être ridicule par quelque côté, et d’être un peu trop sûr de lui-même (et dominateur), surtout en ces Temps de la fin !
Chacun des grands moments de l’histoire, quand le monde change de figure, a été marqué par un procès et toujours, chose étrange, par un procès truqué, où l’immolation du condamné expiait l’indignité des juges et des bourreaux.
La Passion du Christ en est l’archétype éternel, comme cela le sera plus tard, peut-être avec moins de pureté, pour Jeanne d’Arc ou Marie-Antoinette.
La Vérité, éclatant au grand jour, le « Jugement » prochain, lui, ne pourra plus être truqué. Tous les vrais coupables y seront jugés.
Blog : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/
@Annwn = Je suis assez d’accord avec votre analyse, pas en totalité, mais par exemple, sur le suffrage universel, Emma Goldman, dans son Abécédaire par exemple, a expliqué l’arnaque totale et l’illusion « démocratique » que cela représentait ► https://jbl1960blog.files.wordpress.com/2018/06/un-autre-regard-anarchiste-sur-la-vie-avec-emma-goldman1.pdf Cette femme était, comment dire… Assez exceptionnelle ?…
Il est plus qu’évident maintenant, qu’en France Macron le cyborg et son monde, ont été chargés de parachever (et nous avec) l’Agenda oligarchique de dépopulation ou Agenda21 avec cette PLANdémie planifiée au CoV19-OGM par ceux qui sont derrière la réduction programmée de l’Humanité et qui poussent pour un nécessaire Nouvel Ordre Mondial afin que le monde d’Après-CoV19 soit encore bien pire que le monde d’avant, qui rappelez-vous n’était franchement pas glop pour nous les peuples, au N.O.M. du Fric, du Flouze et de la Sainte-oseille !
Tout cela sera mis en place grâce à la 5G, aux compteurs communicants aux cryptomonnaies, au puçage RFID, à la reconnaissance faciale et au biométrique (mesure du vivant) qui refermeront la grille de contrôle à l’échelle planétaire dans une dictature technotronique mondiale dont les rois seront les CEO des grandes entreprises.
Avec cela viendra le “nettoyage” de 7 milliards d’humains programmé par l’inoculation génique en cours et les 500 millions restant survivront parqués dans des mégalopoles connectés, véritables goulags technotroniques, tandis que l’élite toujours auto-proclamée vivra dans ses “zones vertes” de luxe, de jouvence et de délires transhumanistes.
Et pour parvenir à ses fins, la malfaisance régnante instille depuis des siècles dans les cortex de la population occidentale, que nous serions trop nombreux, et que nous serions menacés d’un Grand Remplacement par les populations africaines et de migrants Proche et Moyen-Orientaux. Après leur avoir fait croire qu’ils étaient des êtres « supérieurs » qu’ils seraient même les « élus » et qu’ils ont été choisis et donc seront sauvés » de la prochaine, et inévitable Apocalypse, soit la PLANdémie au CoV19 et ses conséquences…
Alors que Sarkozy, 1ère taupe zunienne, et Hollande, roitelet du Golf, (dont la mission était de s’effacer pour céder sa place au suivant) étaient des politicards issus du sérail, avec tous deux une très très longue carrière politique faite de veulerie, tromperie et trahison usuelles. Ces deux guignols avaient encore de vieux « réflexes » politiques de « parti » et des réseaux impliqués. Macron lui n’est qu’un rond de cuir de la banque formaté (voire pucé) aux diktats du capital et bombardé Grand-prêtre (y’a qu’à revoir les images de son incroyable arrivée et discours au Louvre) de la secte ultralibérale franchouillarde à la botte de la City, le CAC40, tout comme Wall Street n’étant qu’une succursale de la City de Londres, avec pour « mission » de liquider tous les acquis sociaux, et nous avec, et empaqueter le tout pour les Banksters dans une ultime succion de ce qui reste à pomper, la preuve avec la réforme de la retraite par points qui nous revient dans la tronche, et qui serait encore une PRIORITÉ ABSOLUE (sans doute que ça ne va pas assez vite) : PDF N° 220 de 20 pages ► https://jbl1960blog.files.wordpress.com/2020/12/avec-la-retraite-a-points-datagoule-tout-le-monde-sera-ko-par-jbl-decembre-2020.pdf
Macron est le meilleur Bien-Zélé que les zélites n’espéraient plus… Mais nous pouvons faire FOIRER le PROJEEEEEET rien n’est perdu, jamais…
JBL
Le pouvoir des banquiers s’accentue, se précise et atteint son apogée, dopé par la servitude, le copinage et le délit d’initiés des industriels qui se chargent de leur fructifier les capitaux gigantesques, ceux des trafiquants en armes, de drogue, d’êtres humains et de toutes sortes de trafics comptables et financiers par les plus grosses firmes d’experts comptables et de certification de comptes et d’audit financier ! toute velléité de dénonciation de ce cercle diabolique se heurte aux pouvoirs exécutifs et politiques qui se chargent eux de faire taire les récalcitrants et noyer toute résistance a travers des complots ourdis contre ceux qui constituent des grains de sables dans la bonne marche de cette machine infernale ! la corruption généralisée du système capitaliste contemporain a atteint en réalité des proportions gigantesques et fait chaque jour des milliers ou des millions de victimes, autant dans l’hémisphère Nord que celui du Sud ou la loi de la jungle a atteint son paroxysme, avec une cruauté envers les dépossédés dont des centaines de milliers d’enfants innocents et leurs parents ne sachant plus quoi faire ni a quels saints se vouer !
Ce système ne pourra perdurer encore longtemps car suicidaire il croit pouvoir éliminer une bonne partie des populations dites »inutiles » et préserver et protéger uniquement ceux qui le servent, mais en réalité il entreprend de tuer les forces vives qui lui permettent de subsister et se retrouve à boycotter et miner ses propres fondations qui commencent déjà à s’écrouler sous ses pieds ! les dirigeants politiques n’ignorent rien de cela et ne font que gagner du temps et acheter un sursis pour ces milliardaires en espérant que le tout ne s’effondre pas sur leur têtes et sous leurs pieds ! trop tard je dirais, car la crise qui frappe en ce moment la planète entière est entrain de muter en cataclysme d’ampleur jamais connue auparavant ! les structures économiques en place vacillent dangereusement, un nombre incalculables d’entreprises sont a l’arrêt ou tentent de négocier leur liquidation, les engins de BTP, de logistique et des mines, les machines, et la moitié des capacités industrielles sont abandonnés et impayés, et les flottes d’avions de transport ou cargo, de porte conteneurs et de camions sont a moitié à l’arrêt, les chantiers qui les font aussi…. et les assureurs bien qu’encore bourré de fric comme les banques sont en mode panique en réalité depuis un an, et préviennent qui de droit qu’ils n’assurent pas les crises économiques !
le grand changement est inéluctable, inévitable et pointe à l’horizon, les banques ne font que gagner du temps elles aussi pendant que leurs détenteurs et actionnaires s’occupent à saisir les biens et avoirs des entreprises et des individus en faillite qui leur ont pourtant assuré hier leur prospérité de banquiers… mais a quoi bon et jusqu’à quand…jusqu’à ce que ces avoirs et ces immobilisations ne valent plus rien, et ne reflètent en réalité que des champs de ruines que deviennent des villes, des villages et des agglomérations entières en ce moment !
Qui vivra verra !