France – Manif du 1er mai 2021: CGT = COLLABOS ! (vidéo)
http://mai68.org/spip2/spip.php?article8632
Macron prend la défense de la CGT
Par l’intermédiaire de Marlène Shiappa
Enregistré sur France 2 le 2 mai 2021 à 13 heures
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France 3 a prétendu juste avant, donc le 2 mai 2021 aux infos de 12h30, que les personnes qui ont attaqué la CGT sont des « casseurs ».
Alors que c’est la CGT qui casse les luttes. La CGT dit qu’elle n’a pas de bouton sur lequel appuyer pour déclencher la grève générale ; mais, elle en a bel bien un pour stopper ou décourager les grèves !
Le 1er mai 2021, c’est PAS la CGT qui s’est faite attaquée, c’est la CGT qui a attaqué les manifestants (vidéo)
http://mai68.org/spip2/spip.php?article8651
Au sujet de la fausse agression de la CGT par les manifestants
Hoanui Toanui – 2 mai 2021
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CGT = CRS
http://mai68.org/spip/spip.php?article3
10 juin 2003 : Les manifestants sont tout à fait à gauche ; à leur droite, leur faisant face et s’en prenant violemment à eux, on voit le SO de la CGT (par exemple la personne en rouge), on voit ensuite le grillage de protection des CRS et enfin, on voit les CRS à l’extrême droite. Nous n’oublierons ni ne pardonnerons jamais cette alliance du SO de la CGT avec les CRS.
27 mars 2006 : La révolution française, le 14 juillet 1789, fut une émeute qui a réussi. Or, les SO syndicaux font tout pour neutraliser les émeutiers, pour les isoler, notamment en les renommant « casseurs », exactement comme le pouvoir. Les SO syndicaux font tout pour livrer les émeutiers à la police du sarkonazi. Les syndicats sont des bordels et les partis les meilleurs proxénètes des masses ! L’humanité ne sera heureuse que le jour où le dernier capitaliste aura été pendu avec les tripes du dernier bureaucrate ! Une seule solution pour la lutte : monter une coordination commune à tous les secteurs en lutte.
Il y avait des CRS dans le SO de la CGT
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Évacuation de Grandpuits,, le 22 octobre 2010, où les gendarmes délèguent leur pouvoir au chef syndical (vidéo-preuve 46’’) :
http://mai68.org/spip/spip.php?article1628
La CGT est fière d’être plus efficace que la police pour mater la révolte (Vidéo-Picouly 1’43’’) :
http://mai68.org/spip/spip.php?article1693
CGT – Et Bernard Thibault devint chef :
http://mai68.org/spip/spip.php?article1170
UIMM – Les syndicats sont au service de ceux qui les financent :
L’historien Jacques Marseille rapporte qu’en juin 1936, Alfred Lambert-Ribot, délégué général de l’UIMM, rencontra grâce à Léon Blum les représentants des syndicats. De ces rencontres découla un « modèle où l’État, le patronat de la grande entreprise industrielle et le syndicalisme alors ouvrier s’entendirent pour « fluidifier » au mieux le dialogue social tout en jouant, pour la galerie, le spectacle de l’accord arraché :
http://mai68.org/spip/spip.php?article1621
UIMM – quand le patronnat graisse la patte aux syndicats (vidéo 2’10) :
http://mai68.org/spip/spip.php?article6097
(Excellent résumé sur le scandale de l’UIMM.)
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Bien à vous,
do
http://mai68.org/spip2
@ TOUS
Nous, Les7duquebec.net, pensons qu’il n’est pas approprié que des militants-manifestants (de gauche ou de droite) attaquent des militants CGT ou d’autres affiliations syndicales ou politiques.
La légitime ardeur prolétarienne (anti-étatique-totalitaire) devrait être concentrée contre l’État réactionnaire (de gauche comme de droite) et contre ses godillots (CRS et flicaille). Si des militants d’autres allégeances que prolétarienne se comportent comme des godillots à la solde de l’État totalitaire et attaquent la manifestation alors la légitime défense est admise pensons-nous de la part du prolétariat révolutionnaire.
Robert Bibeau
R A S S E M B L E M E N T C O M M U N I S T E . F R
R C @ R A S S E M B L E M E N T C O M M U N I S T E . F R
Ce samedi 1er mai, jour de lutte et de fête pour les
travailleurs, s’est soldé par des attaques contre la
CGT, le syndicat de masse de la classe ouvrière, à Lyon,
Montpellier et Paris. 21 camarades ont été blessés dont 4
grièvement. Le Rassemblement Communiste affirme sa
solidarité sans faille avec les camarades lâchement
attaqués par des groupuscules informes navigant des
autonomistes aux groupes fascistes. Des hurlements
sauvages « à mort les syndicats » ont été clairement
proférés.
Ces attaques contre la première organisation de masse de
la classe ouvrière en France illustrent la fascisation en
cours consécutive aux politiques libérales de plus en plus
répressives. Si des groupuscules, quelque soit leur origine,
se permettent ces agressions, c’est aussi parce que la mise
en œuvre d’un processus de décomplexion et d’impunité a
été initié et formalisé par le haut : la répression contre
ceux qui luttent, la division entre les travailleurs, le mépris
des organisations syndicales et des travailleurs sont
devenus une méthode ordinaire de gouvernement. Le
patronat ne veut qu’un syndicalisme coulé dans le moule
de la loi sur la représentativité de 2008 et ne reculera
devant rien, ou ne fera reculer devant rien son bras
armé, à savoir le gouvernement, pour dissuader le monde
du travail de s’organiser et lutter avec son premier
syndicat de classe et de masse, la CGT.
Ainsi les manifestations deviennent des lieux d’expression
d’une violence pérenne: les autonomistes, agents
objectifs de l’Etat, se font fort d’organiser des
confrontations avec les chiens de garde du capital de la
BAC, des gendarmes mobiles, des CRS et font régner un
sentiment d’insécurité permanent.
Cette violence d’Etat ou groupusculaire nuit au rôle que
devrait jouer la manifestation dans l’organisation actuelle
du mouvement ouvrier : une démonstration de la
puissance par le nombre de la mobilisation des
travailleurs, pour satisfaire des revendications
immédiates. Ces violences desservant la classe ouvrière, il
est dès lors normal que les services d’ordre des
organisations syndicales, et notamment de la première
d’entre elle la CGT, travaillent à sécuriser les
cortèges pacifiques, revendicatifs et festifs de
manifestants. La violence perpétrée par des groupuscules
et autres individus autonomes ne peut qu’appeler à une
réponse proportionnée à l’attaque subie pour la sécurité
de tous. Nous ne nous laisserons pas spolier de nos
mouvements par les laquais objectifs et subjectifs du
patronat. Le patronat se réjouit de ces violences qui
discréditent l’organisation des travailleurs en les divisant.
La seule force qu’entend le patronat, c’est celle de la grève
générale qui l’empêche de se gaver de profits.
Nous sommes dans un contexte d’accélération de la
fascisation du capitalisme en crise systémique : des gradés
de l’armée française se permettent un appel à la sédition
pour reprendre en main une société qui irait à vau l’eau et
sont encouragés par la chef du parti fasciste à la rejoindre
pour les élections présidentielles de 2022. Voilà le climat
qui règne aujourd’hui en France !
Nous affirmons que les méthodes fascistes qui prolifèrent
contre les organisations du mouvement ouvrier sont
engendrées par un capitalisme rapace, avide de profit et
qui veut des travailleurs aux ordres et dépourvus de tout
droit social, syndical et politique. Quand ce ne sont pas
nos conquis sociaux, ce sont nos libertés qui sont
menacées. La résistance de la classe ouvrière à toutes ces
attaques, de la lutte des gilets jaunes à la lutte contre la
réforme des retraites, contre la loi sur les séparatismes et
la loi de sécurité globale, exacerbe les craintes d’une
bourgeoisie qui a peur de la reprise de la lutte des classes
du monde du travail. Nous devons être prêts à
rendre coup pour coup, non pas par esprit de vengeance
mais pour montrer notre détermination à ce que la peste
brune rejoigne les limbes de l‘histoire. Ce n’est pas de la
collaboration, c’est l’auto-organisation des travailleurs
pour se protéger. Il est urgent de constituer un front
syndical, politique et citoyen antilibéral et anti fasciste qui
pose les pierres d’un monde de demain pour une société
au service des travailleuses et travailleurs et de leurs
familles.
1) Un jour un appel est lancé pour manifester sur un thème récurrent (1er MAI) ou sur une problématique d’actualité (Contre l’État totalitaire et fascisant. Contre l’attaque du capital contre nos conditions de vie et de travail…etc)
2) Dès l’instant ou l’appel est lancé publiquement il va de soit que chacun a le droit de se joindre à la manif et d’y apporter ses récriminations et sa compréhension de la problématique du mouvement. C’est cela la démocratie populaire.
3) Plus la société qui appel cette protestation-dénonciation-manifestation publique est complexe, sclérosée, en décrépitude avancée = plus les idées – axes et tendances véhiculées seront nombreuses – multiples – complexes – entremêlées – parfois confuses – bref, le reflet de la complexité de la société ayant donné naissance au mouvement populaire… et à cet appel à manif.
4) La manifestation elle-même devenant un lieu et un moment concentré de la lutte des classes au sein de la classe prolétarienne et au sein des autres classes alliées – amies mais aussi ennemies (exemple – le grand capital sera représenté par ses institutions – l’État – la flicaille et ses vopos et collabos)
5) LA QUESTION qui confronte les prolétaires révolutionnaires dans leur PARTICIPATION À CETTE MANIFESTATION EST : « qu’allons-nous faire à cette manifestation?????
Nous battre pour la 1ere place et nous imposé de force? Exclure certains et divisé? Imposer le sectarisme gauchiste ou droitiste ou notre gourou? Imposer le dogmatisme gauchiste-ou-droitiste? Chercher chicane contre telle ou telle secte? Attribuer les bons points et les mauvais points à chacun? Ajouter à la confusion déjà énorme? diviser les manifestants déjà lourdement divisé = AUCUNE DE CES RÉPONSES.
6) NOUS devrions participer à ces manifestations pour UNIR le plus grand nombre contre notre ennemi commun – dans le respect des croyances et surtout de la personne en cherchant à montrer l’exemple d’accueil de l’autre – de respect de son niveau de conscience – de ses craintes et de ses méfiances (chacun a eu ses expériences avec la gauche et la droite politique). Être pacifique et accueillant au sein de notre classe et éduquer sans sermonner par des slogans dirigeant l’animosité de la foule non pas vers les vopos-collabos mais vers L’ÉTAT – SES INSTITUTIONS – ET contre NOTRE CLASSE ENNEMIE = LE GRAND CAPITAL INTERNATIONAL. Construire l’unité par l’exemple plutôt que par les remontrances.
7) Avec un tel programme il ne devrait y avoir aucune bataille au sein de notre classe et avec la bourgeoisie qui se joint momentanément à notre révolte parce qu’elle découvre tout à coup qu’elle aussi passera sous les fourches caudines du GRAND CAPITAL INTERNATIONAL.
Merci de votre patience
Robert Bibeau
https://les7duquebec.net