STEVEN NEWCOMB A CRACKÉ LES CODES!

Faisons péter les derniers verrous !

Côte à côte, épaule contre épaule ;

Faisons tomber l’empire anglo-américano-christo-sioniste ;

Sans arme, ni haine ni violence !

Parce que ça c’est leur truc aux Zélites psychopathes, et en France on a BabyMacDeRoth pour exécuter leur PLAN !

Plaçons-nous sous Kaianerekowa – La Grande Loi de la Paix.

Qu’est-ce qu’on risque ? Sinon de réussir ?

Parce que ce qui se profile c’est juste ► APOCALYPSE NOW ! NON ?

Colonialisme, empire, sémantique et hégémonie culturelle (Steven Newcomb)

Au sujet des idées qui ont émergées de la mentalité envahissante des colonisateurs

Steven Newcomb | 4 août 2017 | URL de l’article source ► https://indiancountrymedianetwork.com/news/opinions/ideas-emerged-invading-mentality-colonizers/

Traduit de l’anglais par Résistance 71 ► URL de l’article ► https://resistance71.wordpress.com/2017/08/26/colonialisme-empire-semantique-et-hegemonie-culturelle-steven-newcomb/

Il y a plusieurs années, j’ai écrit au sujet d’une déclaration faite par L.C. Green dans son livre : The Law of Nations and the New World (1989). Dans une section titrée “Saisies de territoire dans l’Amérique coloniale”, le professeur Green disait qu’il était devenu “de plus en plus commun d’assumer pour les peuples aborigènes et ce depuis la fin de la seconde guerre mondiale, dans une variété de pays incluant le Canada, qu’ils sont les véritables propriétaires souverains des territoires qu’ils occupent.”

En réponse à cette assertion, Green disait que “Les peuples aborigènes (sa propre terminologie) tendent à ignorer le fait que le titre d’état ne dépend pas de la coutume locale ou de la morale, mais de la loi internationale.” Étant donné que le système politique appelé “l’État” est un système de domination. L’expression de Green dans sa phrase “le titre d’état” est en fait plus précisément le “titre de domination”.

Parce que le terme de “souverain” se traduit pas “dominor” en latin, ce qui est “dominateur” en anglais/français, la phrase de Green “les véritables propriétaires souverains” est en fait “les véritables dominateurs” (“dominorum”).

Quoi qu’il en soit, Green a esquivé le fait que les idées qu’il appelle “la loi internationale” ont émergé de l’esprit et du langage de “l’homme blanc” colonisateur. Green semble suggérer que seul l’esprit du colonisateur doit décider si des nations originelles du continent sont “les véritable propriétaires souverains” de leurs territoires traditionnels. Il semble même suggérer plus avant que les colonisateurs envahisseurs ont décidé il y a des générations de cela et que les nations originelles de ce continent ne sont pas les véritables propriétaires souverains de leurs territoires et que nous, peuples natifs, sommes maintenant et pour toujours sellés de cette décision faite par les colons.

Voici comment je lis et interprète l’argumentation de Green : Lorsqu’il s’agit d’évaluer les droits territoriaux des nations originelles et des peuples de ce continent, ces sujets ne seront JAMAIS décidés sur ce que nos ancêtres pensaient eux-mêmes de tout cela. Au lieu de cela, tout sera toujours décidé selon ce que les ancêtres de l’homme blanc pensaient et assumaient. C’est comme si Green disait que les idées de l’homme blanc devront prévaloir de manière PERMANENTE en tant que système de domination exercé sur nos nations et sur leurs territoires.

Pour être précis, Green n’a pas utilisé l’expression “homme blanc” dans ses écrits. Mais il a dit à un moment donné, “il est nécessaire de regarder l’histoire de l’établissement [colonial] vers l’ouest et la base légale de l’appropriation de territoire et de la souveraineté dans la loi internationale.” J’interprète ceci comme voulant dire qu’afin de répondre correctement aux questions au sujet des nations originelles de ce continent, “l’homme blanc” colonisateur doit observer les idées appelées “loi internationale”, créée par ses ancêtres. Green dit de surcroit que “la loi internationale telle qu’on la connaît aujourd’hui” est le résultat du “développement de la pratique des états chrétiens européens”. De manière plus spécifique, ceci réfère à ce qui était connu collectivement à l’époque comme la “chrétienté” ‘“christendom” en anglais ou “domination chrétienne”) ou “la communauté des richesses chrétiennes”,

Il y a une conséquence pour assumer que les nations et peuples natifs sont obligés d’obéir aux idées et aux jugements que les hommes blancs européens chrétiens ont créés il y a longtemps et légués à leurs descendants. Cette obligation assumée interdit les idées et les jugements créés par nos ancêtres, nos nations et nos peuples. Green apparaît dire que seules les idées du colonisateur seront utilisées pour juger si les idées des colonisateurs du passé étaient valides. En d’autres termes,, comme les colonisateurs du passé assumèrent que leurs idées, leurs jugements et leurs arguments étaient valides, nous sommes maintenant obligés d’accepter cette vision que leurs idées et arguments passés étaient et sont valides aujourd’hui, que nous sommes liés par cet état de fait.

Si nous demandons sur quelle base nos nations originelles sont dites obligées d’accepter sans rien dire les idées que l’invasion de l’homme blanc a créé dans le passé, la réponse est en fait assez simple: Les colonisateurs ont mentalement créé la vision [opinion] que leur dieu chrétien a rendu l’homme blanc “supérieur” et destiné à régner sur nos vies en créant tout un système de domination pour nous isoler et nous dominer. Les colons s’attendirent ensuite  à ce que nos ancêtres acceptent l’idée que “l’activité mentale imaginative” des colons fut la cause en quelque sorte de l’obligation de nos ancêtres d’accepter et de se conformer à cette activité mentale imaginative des colons.

Parce qu’aujourd’hui règne une acceptation générale des idées et arguments colonisant que les colons européens chrétiens créèrent il y a des siècles, il est typiquement assumé que nous, les peuples natifs, avons hérité de nos ancêtres, une obligation d’accepter servilement les idées et les jugements de domination des colonisateurs. En se référant à ces idées et jugements de l’homme blanc colonisateur comme étant “la loi” ou “la loi internationale”, les descendants actuels des colons ont rendu le système de domination colonial comme étant valide et non questionnable. Ceci veut dire que c’est maintenant à nous de décider comment et sur quelle base allons-nous défier les idées et jugements coloniaux.

Et si nous commencions déjà par montrer qu’il n’existe absolument pas de droit de domination.

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La Nation Mohawk, peuples naturels de l’île de la Grande Tortue, a plus directement  argumenté hier que AMERIGO devait partir !

Et Peter d’Errico de de nous alerter sur les peuples autochtones et insulaires du détroit de Torres qui sont prêts à reconnaître une souveraineté partagée avec les envahisseurs coloniaux parce que même les envahisseurs –à l’heure actuelle- sont nés de la terre, sont « attachés à cela », et « doivent un jour revenir » …  dans les mêmes terres ► La Déclaration d’Uluru – Peter d’Errico, le 22 août 2017.

Steven Newcomb quant à lui, utilise le droit, la sémantique pour cracker les codes de la colonisation, de la doctrine chrétienne de la découverte, du droit de domination nés des cerveaux malades des hommes en jupe d’abord et transmis par l’esprit de l’homme blanc ensuite dès octobre 1492 dans tout le Nouveau Monde par les premiers colons/envahisseurs/exterminateurs. Légitimés et sécularisés en 1823 par le Juge Marshall dans l’affaire Johnson vs McIntosh et totalement réaffirmer par Trump qui déclare ne pas vouloir choisir son Klan !

Steven Newcomb –  Universitaire, juriste, chercheur et écrivain Shawnee-Lenape – Auteur du livre : « Pagans in the Promised Lands : Decoding the Doctrine of Christian Discovery » et grâce aux larges extraits de traduction de l’anglais au français par Résistance71 en version PDF {N°4} de 45 pages ici ► « Païens en Terre Promise décoder la Doctrine Chrétienne de la Découverte » nous emmène toujours plus loin dans la sémantique, car les mots sont une arme et bien utilisés ils nous permettront CONJOINTEMENT (Natifs ou non) de faire tomber TOUS les empires en retirant notre consentement, d’un coup sec sous les pieds de l’Oligarchie régnante et un chouïa aux abois quand même pour finaliser le Plan qui a toujours été de « Tuer l’Indigène pour sauver l’Homme » Blanc et de surcroit Chrétien et cela fut rendu possible avec la mise en place des Pensionnats pour Indiens dès 1820 et jusqu’en 1980 aux USA, et dès 1840 et jusqu’en 1996 au Canada

Par ailleurs, Steven Newcomb est cofondateur et codirecteur de l’Indigenous Law Institute ► http://ili.nativeweb.org/   Et producteur du film documentaire, The Doctrine of Discovery : Unmasking the Domination Code, dirigé et produit par Sheldon Wolfchild (Dakota) avec une narration de Buffy Sainte-Marie (Cree)

Et c’est pourquoi nous pouvons ainsi affirmer et argumenter ;  ICI & MAINTENANT, que le temps de la décolonisation est venu.

NOUS, les peuples occidentaux émancipés de l’idéologie et de l’action coloniales tenons-nous aux côtés et main dans la main avec les peuples autochtones de tous les continents pour instaurer l’harmonie de la Société des sociétés sur Terre…

Sinon c’est la guerre perpétuelle avec le risque réel de se faire éparpiller façon puzzle par les psychopathes aux manettes pour qui de toutes façons nous sommes trop nombreux sur la Terre !

Il est temps de leur rappeler que NON justement, ce n’est pas leur terre et un empire sans terre est un empire à terre…

3 réflexions sur “STEVEN NEWCOMB A CRACKÉ LES CODES!

  • 20 juin 2021 à 9 h 28 min
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    Dans l’enseignement donné aux initiés dans les anciens Mystères druidiques on expliquait la substitution des personnes chez les Juifs, commencement de tout le mal.
    On rappelait le temps de Zorobabel apportant la confusion dans l’histoire ancienne pour supprimer le grand rôle de la Femme.
    C’est pendant le séjour des Judéens à Babylone que les hommes, enhardis par ce qu’ils voyaient faire autour d’eux, se perdirent tout à fait. Sous l’influence démoralisatrice des Babyloniens, ils acquirent de nouveaux défauts. Jusque-là, ils avaient été turbulents, envahisseurs par moments, cruels quelquefois, mais ils avaient cependant gardé au fond de l’âme le respect de Hevah, l’Esprit féminin, ils avaient même respecté la vérité, n’osant pas encore s’affirmer dans le mensonge et se cacher sous la ruse. Les Babyloniens, maîtres en ces matières, devaient leur en donner l’exemple ; leur ville, qui allait bientôt disparaître de la scène du monde, était entrée en pleine décomposition morale. Les vainqueurs Chaldéens, en attaquant les hébreux, avaient, en plus du souci de détruire leurs institutions gynécocratiques, celui de les asservir ; il n’est donc pas étonnant que, dans ce milieu misogyne, les Juifs se soient affermis dans leur révolte contre Hevah, et que, entraînés par l’exemple, ils aient conçu l’idée d’instituer une religion nouvelle, dans laquelle le Prêtre aurait le première place en même temps que les honneurs et les bénéfices du sacerdoce. C’est donc de cette époque qu’il faut dater la nouvelle période religieuse des Juifs, l’origine du Judaïsme, venant renverser le premier culte, la vraie religion, pour lui en substituer une « qui n’est pas religieuse ».
    La dissolution religieuse et morale des Juifs engendra une littérature exubérante dans laquelle les scribes et les docteurs, pétris d’orgueil, épuisèrent leur science en de vaines et puériles subtilités. Ils étaient fanatisés par les idées nouvelles que la mauvaise traduction du Sépher avait fait naître et, sur ces traditions faussées, édifièrent une nouvelle Loi. Au commencement du premier Christianisme, ce sont eux que l’on considère comme des pharisiens hypocrites, des « Hommes sans Thorah », des sépulcres blanchis qui imposent aux autres des devoirs qu’ils ne remplissent pas eux-mêmes et créent dans la société une aristocratie factice basée sur les privilèges qu’ils se donnent. D’un « royaume divisé contre lui-même », ils forment des sectes qui se détestent et se méprisent entre elles autant qu’elles détestent et qu’elles méprisent le genre humain. Combien ils sont loin de l’antique esprit d’Israël, ces hommes avilis et prétentieux à la fois, livrés à d’incroyables superstitions et à un sordide appât du gain ! Leur esprit obscurci ne leur permet plus de comprendre la Thorah dont le sens leur échappe, la lettre seule les attache et ils la réduisent à une casuistique ridicule et frivole. À la médiocrité, ces fanatiques ajoutent la violence. Après avoir fait eux-mêmes une « nouvelle Loi », on verra surgir des zélotes (zélateurs de la Loi) qui, armés du fer sacré, tueront pour la moindre infraction aux prescriptions dites mosaïques. Derrière eux viendront les sicaires qui feront couler des flots de sang. Cette nouvelle Loi (la Loi de l’homme qui est destinée à remplacer celle de la Femme) est surtout exprimée dans le Talmud et le Deutéronome. Mais tous les livres publiés à ce moment sont imbus du même esprit. Ce sont : l’Esdras grec, le Prêtre et III Esdras, publiés après la chute de Jérusalem (en 70), livres écrits dans un tout autre esprit que le premier Esdras.
    Sous, le règne d’Agrippa Ier, vers 40, parut la Sapience dite de Salomon, livre écrit dans le but de justifier Salomon, le fondateur de la royauté masculine et le véritable promoteur de la révolte des Juifs contre Israël. C’est à ce moment où toutes les idées sont perverties et où l’on veut justifier l’homme et le glorifier, qu’on crée la légendaire sagesse de ce roi, alors qu’il fut débauché (l’histoire lui donne 700 femmes et 300 concubines). L’histoire a voulu couvrir de gloire l’homme qui fut le premier roi, le vainqueur de la Gynécocratie, et c’est pour cela qu’on lui attribue toute la gloire de « David », qu’on le représente comme l’auteur de nombreux ouvrages qui sont des œuvres de sa Mère et particulièrement de ses livres de Science naturelle. Cependant, les lois de la psychologie démentent ce fait ; c’est qu’il n’est pas possible qu’un homme débauché soit un sage, un penseur, un savant. Celui qui a 700 femmes et 300 concubines n’écrit pas des ouvrages de science.
    Les historiens qui ont attribué à Salomon l’œuvre de sa Mère, ses Psaumes, ses ouvrages de science et de sagesse, lui ont aussi attribué la construction du Temple, dans lequel la doctrine de cette Reine et celle de Myriam devaient être enseignées.
    Tout ce que la Bible nous dit de la construction du Temple, de son organisation intérieure, de ses fondations, a pour but de dénaturer les vérités cachées dans les « Mystères » et d’effacer l’action féminine en la remplaçant par l’action masculine. C’est une œuvre de haine et d’ignorance.
    Pendant plus de 1.000 ans, une foule de livres contenant des règles de sagesse pratique et même d’art manuel ont été mis sous le nom de Salomon.
    Aussi, précisons que le mot « Salomon » ou « Soliman » est un nom générique et symbolique, il indique une ère nouvelle : le règne de « l’homme seul » !
    On veut lui faire signifier la Paix, alors qu’il inaugure le règne de la guerre.
    Lien : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/delisraelismeaujudaisme.html

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    • 22 juin 2021 à 2 h 57 min
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      @Annwn = Très complémentaire à Newcomb, à mon sens, car il nous aura permis de cracker d’autres codes, les publications du Dr. Ashraf Ezzat que vous avez presque en totalité dans ce PDF dans sa dernière version mise à jour ► https://jbl1960blog.files.wordpress.com/2018/10/dr-ashraf-ezzat-traduction-de-la-bible-et-falsification-historique-dernic3a8re-version-doctobre-2018.pdf

      Car le Dr. Ezzat ne dit jamais que l’histoire de la bible est une invention. Il prouve juste que la location GÉOGRAPHIQUE de cette histoire n’est pas la bonne. Et qu’il ne faut pas chercher en Égypte ou en Palestine des traces de l’ Exode ou du Palais de Salomon mais dans le Sud de l’Arabie Saoudite et au Yémen. Par ailleurs il démontre que les temps bibliques, donnés comme tel, sont erronés…

      Aujourd’hui de nouvelles techniques de datation laissent entendre que les pyramides d’Égypte, mais aussi le mur des lamentations et certaines constructions méso-américaines et pré-colombiennes, seraient beaucoup, beaucoup plus anciennes que ce qui est admis aujourd’hui. On parle de 40 à 50 000 ans. Ce que ne peut admettre le Vatican, raison pour laquelle les codex Maya ont presque tous été brûlés ce dès 1492, où sont enfermés dans la Bibliothèque du Vatican, car cela remettrait en cause le fondement même de la Doctrine Chrétienne de la découverte…

      La cosmologie Maya était très très avancé, raison pour laquelle elle devait disparaitre. Notez bien que 90% des zapatistes actuels sont de descendance… Maya !

      Nous pouvons, par nos recherches personnelles, cracker les codes. Newcomb, Ezzat et tant d’autres nous donnes des outils, des techniques pour le faire, une fois les verrous péter, l’émancipation des peuple coule de source…

      JBL

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  • 22 juin 2021 à 3 h 03 min
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    C’est du reste tout l’objet de ma dernière traduction du dernier Mohawks Nation News, qui dans un style plus « tribal » plus organique dit la même chose que Newcomb ► https://jbl1960blog.wordpress.com/2021/06/18/debout-aux-cotes-des-natifs-confines-depuis-529-ans-ensemble-brisons-nos-chaines/

    MNN nous appelle à nous réveiller une fois encore, parce que ça urge, vraiment !

    Aussi, modestement mais surement, je me suis réveillée, moi, la descendante des premiers colons espagnols qui ne suis pas responsable des exactions commises par mes ancêtres mais qui le deviendrais si sachant tout ce qu’ils ont fait aussi bien en lisant Newcomb que Las Casas et tant d’autres, je ne faisais RIEN pour que cela change !

    Je me lève et je me tiens debout, aux côtés des Natifs et peuples originels de tous les continents de la Terre. C’est parce que JE me révolte contre le système étatico-capitaliste que NOUS sommes en capacité, ICI, IMMÉDIATEMENT et d’OÙ-NOUS-SOMMES de changer de paradigme et d’instaurer la société des sociétés.

    Juste en disant NON à l’instinct de mort de l’État et du capitalisme qui se réalise actuellement par la vaccination de masse ANTICOVID et en disant OUI à la Vie, OUI à une société organique. Sans haine, ni armes, ni violence…

    JBL1960

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