Chaque Français vacciné devra se faire revacciner jusqu’à ce que Macron décide que cela suffit!

Par  Marilis Valo, pour FranceSoir

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TRIBUNE – J’ai jeté mon poste de télévision il y a de nombreuses années, d’où mon aptitude (acquise) au bonheur et ma propension relativement récente à la sérénité.

Hier soir, apprends-je ce matin par France-Soir (deux articles : l’un « mainstream » venant tout droit de l’AFP, l’autre « alternatif », rédigé par le journal), Monsieur Macron a déclaré ce que je pressentais si longtemps qu’il devait se produire. Je ne peux décrire l’intensité du soulagement que j’éprouve à le voir enfin dévoiler franchement ses batteries.

Après des mois de suspense, nous sommes aujourd’hui fixés, et de sa propre bouche, sur son programme qui doit faire des Français un peuple d’éternels mineurs (= ne pouvant rien faire sans le consentement d’un « majeur ») et vaccinés. Car il le dit lui-même, des « rappels » seront nécessaires, ce qui veut dire que chaque Français vacciné devra se faire revacciner, encore et encore, jusqu’à ce que le président décide que cela suffit. Et je ne parle pas des apparitions prévisibles de nouveaux variants, qui sont susceptibles d’obliger leurs découvreurs à inventer bientôt de nouvelles lettre à ajouter à l’alphabet grec, tant il devrait y en avoir.

A lire : Discours de Macron : entre autosatisfaction et obligation, l’adieu à la raison

Pourquoi suis-je si soulagée, me demanderez-vous, face à cette escalade de la violence qui est faite à mes concitoyens ?

Parce que le second principe de la thermodynamique nous apprend, entre autres, que toute tentative d’organisation fait inexorablement augmenter l’entropie, ce qui conduit à l’augmentation inéluctable de la désorganisation. En d’autres termes, plus on applique de pression pour contrôler une situation, plus il y a de fuite d’énergie qui conduit inexorablement à la disparition de ladite pression.

Vous en conviendrez, la pression a atteint hier un niveau comparable à ce qui a été imposé au peuple français aux heures les plus noires de son histoire. D’ailleurs les médias le disent : des centaines de milliers de personne ont déjà cédé. Des personnes qui, faisant confiance à leur raison, avaient pourtant pris la décision d’attendre que les produits qu’on va bientôt leur injecter aient reçu une autorisation définitive de mise sur le marché, avant de sauter le pas. Des personnes qui bientôt, après avoir livré leur propre corps à l’aiguille, ne verront plus d’objection valable à faire de même pour leurs enfants et petits-enfants, générant ainsi une éternelle source de profits pour les laboratoires pharmaceutiques.

Je vais pour une fois me citer moi-même, et mes détracteurs ne manqueront pas de se gausser et de déclarer que je me fais de la publicité à bon compte, mais je ressens aujourd’hui l’actualité brûlante de cette citation. L’un des personnages de mon roman jeunesse Le Crabe aux Pinces de Plomb, déclare : « Une économie en bonne santé est basée sur le contrôle d’une population chroniquement en mauvaise santé. » J’ai écrit cette phrase en décembre 2018, sans imaginer qu’à peine deux ans et demi ans plus tard, elle prendrait une telle valeur prophétique.

Voilà, nous y sommes. Alors, si vous voulez vous sentir serein, intéressez-vous à la physique. Qu’elle soit newtonnienne ou quantique, elle nous mêne finalement à la même conclusion : de cette tentative de mise en coupe réglée de notre conscience par l’instrumentalisation de nos corps, ne pourra sortir qu’une crise salutaire (du grec krisis = « action de distinguer » ou «action de choisir ») qui nous permettra de faire de nouveaux choix de vie, au niveau individuel et social.

J’ai foi en l’être humain et suis persuadée que nous ferons les bons choix, en fin de compte : ceux qui mènent au renforcement des liens, à la coopération, à la confiance dans l’autre, à l’entraide… Même si avant d’en arriver là, nous devons vivre les temps difficiles de la division, puisqu’elle nous est imposée.

 

Marilis Valo est écrivain.


J’AI CROISÉ LE PREMIIER MINISTRE JEAN CASTEX…L’HORREUR…

                                       

Robert Bibeau

Auteur et éditeur

3 réflexions sur “Chaque Français vacciné devra se faire revacciner jusqu’à ce que Macron décide que cela suffit!

  • 14 juillet 2021 à 4 h 50 min
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    Que faire contre la dictature sanitaire ou plutôt, comment mettre fin à ce système qui favorise les coquin(e)s, et leur permet d’accéder à des postes de pouvoir, voire même au pouvoir suprême de l’Etat ?
    Faire une nouvelle révolution ? Non.
    Par les révoltes et les massacres, on n’arrive jamais à quoi que ce soit. Très peu de temps après, c’est encore pire. Après chaque révolution, ce sont les mêmes désordres, les mêmes malhonnêtetés, les mêmes gaspillages, les mêmes injustice. Les victimes et les bourreaux ont changé de camp, mais il y a toujours des victimes et des bourreaux. Alors où est le progrès ?
    Faut-il alors destituer le président ? Non plus.
    Rappelons que Macron, qui n’est d’ailleurs qu’un simple exécutant, un pantin, comme tous les chefs d’Etats occidentaux, a été élu « démocratiquement » par une majorité de français.
    Ceci est le principe de la démocratie, régime politique dans lequel le pouvoir est sensé être exercé par le peuple, par l’ensemble des citoyens.
    Mais là où le bât blesse, c’est qu’en réalité la démocratie n’existe pas, n’a jamais existé et n’existera jamais.
    Mais la grande habileté de nos dirigeants est de faire croire au peuple qu’il se gouverne lui-même. Et le peuple se laisse persuader d’autant plus volontiers qu’il en est flatté et que d’ailleurs il est incapable de réfléchir assez pour voir ce qu’il y a là d’impossible.
    C’est pour créer cette illusion qu’on a inventé le « suffrage universel » qui est l’opinion de la majorité supposée faire la loi. Mais ce dont on ne s’aperçoit pas, c’est que l’opinion est quelque chose que l’on peut très facilement diriger et modifier (sondages, attentats, pandémies, etc.). C’est pour cela qu’on a pu dire que l’opinion, c’est l’erreur du plus grand nombre ; « L’avis de la majorité ne peut être que l’expression de l’incompétence », dit également René Guénon.
    En conséquence, le libre arbitre, que nous avons cru si longtemps être le dernier mot du progrès, est, au contraire, une cause de désordre et de discorde si on le donne à ceux qui ne savent pas s’en servir.
    Et si l’ignorant a pu se soumettre à des préceptes imposés arbitrairement, c’est parce que, sentant sa faiblesse, il a eu confiance dans ceux qu’il a accepté pour maîtres, dans ceux à qui il a laissé le soin de penser pour lui. Mais celui qui se sent fort veut savoir le pourquoi des actes qu’on lui impose.
    Donc, la solution n’est pas de destituer Macron, puisque le problème est systémique et non humain : mettre quelqu’un d’autre à la place de Macron ne changera rien, cela ira peut-être même en empirant : d’un point de vue morale, voyez l’évolution des présidents de la 5ème république et, en parallèle, celle de la situation économique, sociale et morale de la France.
    Le régime politique actuel, qui consiste en un choix fait par une majorité d’individus de plus en plus ignorants et abêtis, permet de mettre à la tête de l’État des individus qui, d’une manière assez évidente aujourd’hui, ne servent plus que des intêret privés, généralement les puissances d’argent. Faisons remarquer que les présidents de la RF sont de plus en plus jeunes, et il y a une raison à ceci. En effet, il n’y a rien n’est plus étranger à la sagesse que la jeunesse ; elle est le bras séculier de tous les despotes, la matière première de tout militantisme extrême. Dans notre société démocratique et humaniste on encense la jeunesse, alors qu’elle est avant tout grégaire. C’est pour quoi les tyrans on tant besoin d’elle (Young Leaders, Macron, Zuckerberg, Greta, etc.).
    La phrase qui dit : le peuple n’a que les dirigeants qu’il mérite, est la vérité.
    En définitive, la démocratie ne peut s’instaurer que là où la pure intellectualité n’existe plus.
    C’est pourquoi le pouvoir politique (et religieux d’ailleurs) s’est toujours fondé volontiers sur l’ignorance du peuple et s’accroît d’autant que les esprits sont faibles, les gens incultes.
    La solution réside assurément dans la fin définitive de ce régime qu’est la démocratie, et donc dans l’arrêt complet de « l’alimentation » de ce système, c’est-à-dire en commençant par s’abstenir de voter, ainsi qu’un nombre grandissant de citoyens l’a déjà compris : il n’y a qu’à constater le nombre des abstentionnistes aux dernières élections régionales. Le vote électronique, évidemment facile à truquer, serait un moyen de contourner l’abstention « physique » et réelle et faire croire à une élection légitime.
    En vérité, toute élévation du type humain demande un régime aristocratique. Non pas celui que l’histoire nous montre, issu du pouvoir de la force ou du hasard de l’hérédité centralisée en une seule main, et qui peut être despotique ou imbécile, mais dans celui d’une « Aristocratie de l’Esprit ».
    La démocratie avilit en abaissant les bons, c’est une tyrannie qui s’exerce par un mouvement de traction morale, de bas en haut ; elle fait descendre, elle empêche les meilleurs de s’élever, elle abat les têtes qui dépassent le niveau des médiocres, empêchant ainsi l’éclosion des types supérieurs, elle supprime le respect et rend les petits insolents. C’est pour quoi la conception « égalitaire » si chère au monde moderne, c’est-à-dire la négation de toute hiérarchie, est intimement liée à la démocratie ; le fond même de l’idée « démocratique » c’est qu’un individu quelconque en vaut un autre, parce qu’ils sont égaux numériquement, et bien qu’ils ne puissent jamais l’être que numériquement.
    Et de l’égalité nous passons à l’uniformité, si désirée actuellement par ceux qui, paradoxalement, nous rappellent perpétuellement les « heures les plus sombres de l’histoire ». Et de l’uniformité nous arrivons à « l’homme-robot » si fantasmé par les « maitres du monde », car les robots ne vivent pas, n’ont pas d’intériorité et ne connaissent qu’une loi, celle des tyrans qui les manipulent. Et, finalement, nous aboutissons au transhumanisme dont certains prozélites du système oligarchique actuel et autres vendeurs d’élixir de jouvence modernes font la promotion, tel le dégénéré Laurent Alexandre : « Dieu n’existe pas encore : il sera l’homme de demain, doté de pouvoirs quasi infinis grâce aux nanotechnologies, biotechnologies, informatique et sciences cognitives. L’homme va réaliser ce que seuls les dieux étaient supposés pouvoir faire : créer la vie, modifier notre génome, reprogrammer notre cerveau et euthanasier la mort. » (Le Monde du 03/11/2015).
    Il n’y a effectivement que les naïfs et/ou les incultes pour avaler de telles abérrations.
    Le temps est venu de se redresser, de se mettre debout, non plus pour le « choc des épées », mais pour les luttes fécondes de la pensée.
    Debout ! pour la lutte contre une invasion plus redoutable que celle de l’étranger, la lutte contre le matérialisme, le sensualisme, le laxisme, l’ignorance, l’immoralisme, et toutes leurs conséquences : l’abus des jouissances, la ruine de tout idéal contre tout ce qui, lentement, nous déprime, nous énerve, nous affaiblit, nous prépare à l’abaissement, à la chute.
    Debout ! travaillez et luttez pour le salut intellectuel de notre pays et le relèvement de l’humanité !
    Lien : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/lebienetlemal.html

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