Libéral! ça veut dire quoi?
OLIVIER CABANEL — Libéral, le mot sonne bien, il semble parler de liberté, mais il s’agit d’une liberté à sens unique, comme l’expliquait le grand historien Henri Guillemin.
C’est aussi peut-être pour cette raison que les partisans de l’école privée l’avait appelée à tort « école libre », laissant sous entendre que l’école républicaine ne l’était pas…
Mais revenons au sens du mot libéral expliqué par Henri Guillemin.
Pour bien comprendre, il faut remonter aux premiers jours de la révolution française, et particulièrement à ceux des Girondins.
Ils étaient les premiers libéraux, et ne voulaient pas que l’État, la collectivité, interviennent dans les affaires privées, surtout dans les affaires commerciales.
En 1791, le ministre de l’intérieur et girondin Rolland (Jean Marie Roland de la Platière, de son vrai nom), s’était trouvé aux prises avec le problème du « maximum ».
À l’époque, les plus pauvres réclamaient l’intervention de l’État afin qu’il fixe un prix maximum pour le pain.
Ça ne faisait pas les affaires du girondin lequel avait fait une déclaration capitale, toujours d’actualité : « tout ce que le pouvoir, tout ce que l’État peut décider en matière économique, c’est qu’il n’interviendra jamais ».
D’un coté, du coté des profits, de la vente et des commerçants, l’État à les mains liées, et de l’autre ces mêmes industriels, ces mêmes commerçants, n’hésitent pas à se tourner du côté de l’État pour lui demander des avantages.
Par exemple, des concessions de mines, des concessions de chemin de fer, des primes à l’exportation…
Et Guillemin de conclure : « ce sont ces libéraux qui vont être au pouvoir pendant des décennies, costumés en républicains et qui ne pensent en réalité qu’à la protection des grands intérêts. Leur république, c’est la république des riches, dirigés par les riches, et au bénéfice des riches ». lien (curseur à 8 minutes)
C’est gagnant/gagnant pour les libéraux, puisque d’un coté l’État ne doit pas se mêler des affaires, mais de l’autre, ce même État fait l’objet de sollicitations permanentes afin d’avoir de l’argent.
Lamartine avait donné, dans son « histoire des girondins » une définition de la liberté économique : « la liberté économique c’est la liberté pour le commerçant et le riche de s’enrichir indéfiniment, et c’est la liberté pour le pauvre de mourir de faim, s’il ne peut faire autrement ». lien
Voilà qui nous ramène dans notre bon 21ème siècle, ou ces paroles lucides et cyniques sont plus que jamais d’actualité, alors qu’en 2017 les 500 français les plus riches ont vu leur magot augmenter de 25% en 1 an. lien
L’expression « social-libéral » serait donc une incongruité, le mot « social » n’étant qu’une façade populiste destinée à masquer le mot « libéral », ce qui explique la politique ouvertement libérale qu’a mené l’ex-président, dont le relais est assuré aujourd’hui par le « ni gauche, ni droite » du nouveau président.
Il suffit de regarder de plus près la liste des 511 candidats de LREM, afin de constater qu’elle est constituée en majorité de personnes issues de la grande bourgeoisie, et autre classe moyenne privilégiée, liste dans laquelle on aura du mal à trouver le moindre ouvrier, même si quelques « employés » y sont maigrement parsemés, comme l’a constaté dans un article récent « Médiapart ».
Avocats, docteurs, lobbyistes, patrons, cadres, ils sont du « dessus du panier », la crème de cette « société civile », des gens « qui vont bien », et sont bien à l’image du nouveau président, même si le secrétaire général d’En Marche affirme que « nos candidats signent le retour définitif des citoyens au cœur de la vie politique ». lien
Une république de privilégiés donc…
Pour ceux qui en douteraient encore, un détour par le Festival de Cannes s’impose afin de constater à quel point les privilèges perdurent, ne serait-ce qu’en remarquant que les invités arborent des badges de couleurs différentes, selon que l’on est « de l’intelligentsia », ou pas.
Le badge blanc est le top avec lequel tout vous est ouvert, des cocktails aux soirées privées, alors que le rose, moins valorisant, est destiné aux journalistes les plus réputés, ce qui leur permet d’éviter de poireauter des heures pour assister aux projections.
Quant au badge bleu, c’est un peu moins bien, au point que certains préfèrent ne pas le montrer ouvertement, tandis que le badge orange est destiné à ces professionnels qui font le pied de grue, avec leurs caméras, leurs appareils photos, au pied des marches.
Ne parlons pas du badge jaune qui ne sert quasi à rien, a part aux férus de la collection, fiers de l’ajouter à celui obtenu l’année précédente. lien
Bel exemple de libéralisme avancé…
C’est le moment de faire un tour du coté de Jean–Jacques Rousseau, plus que jamais d’actualité, lui qui écrivait : « le luxe nourrit cent pauvres dans nos villes, et en fait périr cent mille dans nos campagnes. L’argent qui circule entre les mains des riches et des artistes pour fournir à leur superfluité, et perdu pour la subsistance du laboureur ; et celui-ci n’a point d’habit, précisément parce qu’il faut du galon aux autres. Le gaspillage des matières qui servent à la nourriture des hommes, suffit seul pour rendre le luxe odieux à l’humanité. Il faut du jus dans nos cuisines ; voilà pourquoi tant de malades manquent de bouillon. Il faut des liqueurs sur nos tables ; voilà pourquoi le paysan ne boit que de l’eau. Il faut de la poudre à nos perruques ; voilà pourquoi tant de pauvres n’ont pas de pain ». lien
Des lignes qui n’ont pas pris une ride…
comme le disait récemment sur l’antenne de France Culture, Adèle Van Reeth, dans son émission « les chemins de la philosophie », citant le philosophe : « sitôt que le service public cesse d’être la principale affaire des Citoyens, et qu’ils aiment mieux servir de leur bourse que de leur personne, l’État est déjà près de sa ruine (…) c’est le tracas du commerce et des arts, c’est l’avide intérêt du gain, c’est la mollesse et l’amour des commodités, qui changent les services personnels en argent ».
« Dès lors que votre intérêt privé passe avant l’intérêt public, l’État court à sa perte ». concluait l’animatrice de France Culture. lien
Des mots qui ne plairaient pas aux libéraux girondins d’alors, et encore moins à nos libéraux d’aujourd’hui, prêts avec le duo Macron/Philippe à mettre le pays en coupe réglée, pour le plus grand profit des nantis, banques, entrepreneurs, et autres élites.
L’occasion de féliciter les éditions Slatkine qui remettent au devant de la scène le grand philosophe du 18ème siècle, en publiant un ouvrage essentiel « Les pensées de Jean-Jacques Rousseau, analyse matérielle textuelle », livre signé par Michel Termolle.
Cette production de 553 pages est essentielle, et bizarrement n’avait jamais été imaginée sous cette forme, car elle permet de décrypter la pensée Rousseauiste, présentant entre autre une mise en parallèle des maximes choisies par Jean-Jacques Rousseau et leur présence dans l’édition des Pensées, mais aussi des détails passionnant sur la vie du grand humaniste. lien
Un ouvrage qui pourrait être très utile aux candidats du prochain BAC littéraire.
Mais revenons aux libéraux…et aux législatives pour relever quelques situations qui promettent d’être gratinées.
En effet, Valls, humilié par le refus de son ex-ministre alors qu’il voulait se mettre à la Marche, se présente dans son fief d’Evry comme candidat, et va se retrouver face à 3 candidats des plus singuliers : Dieudonné, qu’on ne présente plus, (lien) le célèbre chanteur aux bottes de 7 lieues, Francis Lalanne en l’occurrence, pour le compte de son mouvement « écologiste et citoyen », (lien) mais aussi face à celui qui l’avait giflé lors d’un passage en Bretagne.
Celui-ci n’a manifestement pas digéré la punition que lui offert l’ex premier ministre, 3 mois de prison.
Il s’appelle Nolan Lapie, et nous donne rendez vous le 18 juin prochain. lien
Un autre combat promet d’être passionnant, celui mené par François Ruffin, l’auteur du célèbre « merci Patron », co-initiateur des « nuits debout », et rédacteur en chef de « Fakir » lequel évoque la surdité sociale du nouveau président, (lien) face à l’« humoriste » frontiste, Franck Delapersonne, à l’humour discutable, comme l’a déclaré un certain Zohra Bitan, membre éminent des « Grandes Gueules ». lien
Sur l’air de « ils ont l’argent, on a les gens », Ruffin a rassemblé récemment 2000 personnes à Amiens, porté par son mouvement « Debout Picardie » et sera soutenu par les Insoumis, par les écologistes d’EELV, par « Ensemble » de Clémentine Autain, et par le PCF… lien
Il affirme qu’une fois élu, il se mettra au SMIC, et se dit révocable, et fera gérer sa réserve parlementaire par un jury populaire. lien
On pourra aussi regarder de plus près la rencontre choc entre le représentant de la cause animale Aymeric Caron, et l’ex-torera à cheval Marie Sara. lien
Comme disait Alphonse Allais, brulant la politesse pour une fois à mon vieil ami africain : « il faut prendre l’argent où il se trouve, c’est-à-dire chez les pauvres… bon d’accord, ils n’ont pas beaucoup d’argent mais il y a beaucoup de pauvres »…
@ Mr Cabanel
« …/… Avocats, docteurs, lobbyistes, patrons, cadres, ils sont du « dessus du panier », la crème de cette « société civile », des gens « qui vont bien », et sont bien à l’image du nouveau président, … ».
J’adhère à votre propos.
Cependant, et sauf erreur de lecture, vous auriez pu ajouter « les ARTISTES ».
Gérard LANVIN excepté, rare artiste français à exhaler encore un peu de testostérone, ne mâchait pas ses mots sur notre époque, alors qu’il était invité sur les plateaux télés (04/2021) à l’occasion de la sortie de son nouvel album. J’apprécie sa lucidité.
Les nombreux (ses) autres ARTISTES, sont d’une discrétion particulièrement troublante depuis 18 mois, ne trouvez-vous pas ?
R. Lanvin se disait angoissé de ce monde qui arrive, pour sa petite-fille aussi, laquelle devra probablement évoluer dans un monde où les féministes rabiques auront, dans le meilleur des cas, réduit les rapports hommes/femmes à « une communauté réduite aux aguets » (formule empruntée à Richard Hanlet, médecin).
Pour ma part, depuis le début de cette crise, je suis sidérée par les attitudes et propos hystériques de celles que je qualifie de « néo-amazones ».
Les hommes, dans leur très grande majorité, sont autrement plus mesurés et décents. Merci Messieurs.
Voilà précisément ce qui m’apparaît effrayant quant au futur.
Oui, c’était mieux avant, même si c’était loin d’être parfait.
Une époque où on travaillait, où on voyageait, où on s’amusait, où on savait vivre, mais surtout où on rêvait.
Quant à Ruffin et autres, ils ont le mérite d’essayer, ce qui n’est déjà pas si mal. Pour autant les promesses électorales restent un grand classique conventionnel. A suivre …
@ Nadine
Question pour Nadine : pourquoi c’était mieux avant ? et avant quoi ou avant qui ?
Et était-ce mieux avant – avant – il y a longtemps ou encore plus longtemps … remonte ainsi jusqu’à Rousseau cet artiste des mots ex-féodal repenti qu’on nous donne en exemple à nous pauvres prolos.
Autre question NADINE Pourquoi deux siècles après l’exploit livresque de Lamartine et de Rousseau en sommes-nous toujours au même point nous prolétaires de la misère au point qu’on nous resert les versets de ces beaux parleurs ????
Les réponses à ces questions sont dissimulées dans ce billet LIBÉRAL
Merci pour ton post
Robert Bibeau
Il faudrait se demander comment réagirait un fortuné français a cet article…
– »Un concentré d’idioties… sans nous les libéraux riches, la France ne serait rien, ses pauvres non plus ! Nous les riches libéraux… prenons soin des citoyens français bien mieux que l’état ! nous leur fournissons des jobs, des projets économiques sans arrêt, de la nourriture en abondance, une qualité de vie aux standards européens, un confort inégalé, et des loisirs en plus… ! Nous les libéraux riches, sommes de grands philanthropes aussi, nous nous mobilisons pour toutes les causes et donnons généreusement ! et donc, imaginez la France un peu sans le segment du luxe ?! sans les vins millésimés, sans le champagne ou le cognac, sans les artisans maroquiniers de luxe, les parfumeurs, les grandes maisons de mode, sans ses bijoutiers et joailliers, sans ses horlogers et sans ses fonderies de cristal de luxe, sans ses architectes et décorateurs du luxe, sans ses châteaux et ses manoirs, sans ses hôtels, ses musées et ses galeries d’art de luxe, ou encore sans ses voiliers et catamarans de luxe, ses casinos, ses havres et stations de luxe et toutes ses destinations estivales ou d’hiver ou de luxe, …bref, sans ses truffes ou son foie gras…sans ses fromages et ses fines viandes et ses fruits de mer, sans sa gastronomie et ses arts culinaires quoi….non mais ça va pas la tête ?!!!! faut vraiment être anti-français pour tenir un langage pareil ! Nous les riches, avons fait de la france ce qu’elle est…. et celui qui n’est pas content, n’a qu’à se faire naturaliser bougnoul chez bougnoul et compagnie…! Merde ! »…:)))
Moi, j’aimes bien comment pendant des décennies et encore aujourd’hui, bien des marques et des entreprises qui oeuvrent dans ce segment du luxe, pour se donner une meilleure visibilité et présence, signent leur produits comme étant présents dans plusieurs villes du monde synonymes d’opulence et de luxe : Paris – Genève – Zurich – Monte Carlo – Milan – Londres – New York – Tokyo… etc! :)) c’est a dire que si vous connaissez pas ces villes, vous êtes un plouc de chez plouc, et vous devez sentir le bouc ! :))
Il faut dire aussi et sans vouloir me moquer ou m’en délecter…que dans l’histoire de France, même si les communistes français ont été les seuls à »oser » imaginer une France radicale et qui soit autre chose que ce déballage »scandaleux » et interminable de luxe et de »débauche », ou qu’ils aient été ceux qui aient combattu le colonialisme français, ou en tous cas ceux qui aient épousé toutes les causes sociales des travailleurs, des prolos, des pauvres, des minorités et des marginalisés… même eux finissaient tôt ou tard par succomber aux joies du luxe, et autres manies et trains de vie bourgeois ! il est vrai pas autant que les »socialistes » mais tout de même… et il est vrai aussi qu’il n’y a qu’en France…(un peu en Italie aussi) ou vous trouverez des communistes à qui il sera difficile de contourner les petites gâteries »bourgeoises » made in france tout de même…, que ce soit pour s’entretenir ou entretenir sa »présentabilité », travailler, manger, habiter et se loger ou vivre comme tout le monde… comme il sera aussi difficile de ne pas faire ses emplettes chez de »bonnes marques », ou encore passer son dimanche en »polo lacoste » et autres labels français ou même américains… bref, être »minimalement présentable », relax et bien dans sa peau ! ….
Tout ça pour dire que le rouleau compresseur du capitalisme finit toujours par avoir le dernier mot… ne serait-ce que pour imaginer des alternatives « »réalistes » et faisables… pour agir sur le système en entier… et renverser la vapeur pour une société plus égalitaire ! et c’est valable pour toute l’europe et le reste de l’occident, qui fait que les militants nombreux il est vrai au sein du PC français ou autre, en dehors de »l’Idéal intellectuel marxiste » … il a toujours été difficile et l’est encore aujourd’hui, d’échapper au capitalisme et au modèle bourgeois en tous cas… ou avoir assez d’arguments en dehors des revendications qui restent hypothétiques et très théoriques ! … hélas !
Nos libéraux libertins ont encore de longs jours devant eux ! …bref
On peut le résumer en quelques mots Sam. Et c’était il y a longtemps.
« il faut prendre l’argent où il se trouve, c’est-à-dire chez les pauvres… Bon d’accord, ils n’ont pas beaucoup d’argent mais il y a beaucoup de pauvres ». (Alphonse Allais 1854/1905)
Merci Nadine ! … tu sais à quel point je peux être bavard et incorrigible… j’ai hérité ce trait de mes origines bougnoulesques j’admets… c’est plus fort que moi ! :)))
Sinon, je m’inquiétais pour toi l’autre jour …! Si si je t’assures…! lorsque j’ai vu un volcan péter dans ton coin… impressionnant et assez inquiétant en tout cas ! il faut dire que ça remue pas mal dans les zones tectoniques dans le coin… et heureusement que les gens sur place soient assez bien organisé et alertes face a la menace constante…
les libéraux du coin ont du faire dans leur froc ! …:)))
Oui. C’est l’île de La Palma (Nord-Ouest de mon île) qui est malmenée par son volcan qui gronde et vomit de plus en plus de lave.
Les dégâts sont considérables sur le sud de La Palma surtout et la détresse des résidents de l’île inestimable. Un désastre humain et économique.
Pour l’instant, les vents nous sont favorables ….
Merci pour ton aimable attention.
Libéral, ça veut surtout pas dire les suiveurs qui sont »inscrits dans un parti libéral »… mais un »libéral » engagé et un politicien et ou entrepreneur : m’en foutiste, individualiste, egoiste qui fait du business et ne pense qu’a son business. ça se résume à cela ! et c’est surtout pas à sous-estimer… faire et monter un business c’est beaucoup de boulot, de soucis, de merdes, de »salopards » et de saboteurs à l’intérieur et à l’extérieur de l’entreprise… et c’est manger de la merde aussi pendant un certain temps et s’en accommoder… avant de pouvoir récolter les bénéfices et les dividendes… ce qui donne aux »libéraux » entrepreneurs une propension à se penser »supérieurs » et au dessus de la mêlée
Pour un Politicien »libéral » engagé cette fois, c’est un peu similaire, mais ça couche surtout avec tout le monde… ça tire profit de tout le monde et ça doit savoir le faire, et maîtriser l’Art de l’empathie et du »service a la clientèle »… :))) en plus d’avoir une idée de soi qui soit tout aussi supérieure et opportuniste surtout… il faut se donner une politique pareille et ne jamais déroger a elle, maîtriser la langue de bois et les rouages politiques et bureaucratiques et entretenir un bon carnet d’adresses a tous les niveaux !
c’est ça un libéral… un profil pragmatique et opportuniste a fond la caisse, et qui ne soit pas visionnaire pour autant… sans pour ses projets opportunistes a long terme… et jamais collectifs et d’intérêt général.
Bon… en tous cas dans les grandes lignes…. après, il y a des variations et des nuances… et il y a surtout des gens naïf’s ou décalés comme nous qui ont tendance a les sous-estimer !
@ Sam
« …/… entrepreneur : m’en foutiste, individualiste, egoiste qui fait du business et ne pense qu’a son business. ça se résume à cela ! … ».
ET, tu as oublié, … assorti d’une obligation de cotiser à des Caisses gérées et plumées par les parasites dilapideurs. C’est important de le mentionner vois-tu parce que ces derniers coûtent « un pognon de dingue » à la collectivité qui les héberge.
« …/… Pour un Politicien »libéral » engagé … ça couche surtout avec tout le monde… « .
Ça c’est le socle commun des politiciens(nes) en général, peu importe leur « littoral » et leur « profession de foi ».
Globalement, l’état des lieux vicié est très inquiétant
PING PORTUGUESE : https://queonossosilencionaomateinocentes.blogspot.com/2021/10/liberal-o-que-e-que-isso-significa.html