Coronavirus – Comment Big Pharma réussit à faire privilégier par l’État les médicaments les plus chers (vidéos)
http://mai68.org/spip2/spip.php?article9954
Big Pharma, labos tout-puissants
Enregistré sur ARTE le 26 octobre 2021 à 20h55
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Au cours de la décennie écoulée, l’industrie pharmaceutique a connu des changements considérables. Au fil de rapprochement successifs, quelques grands laboratoires ont désormais la mainmise sur la fabrication de la majorité des médicaments. S’appuyant sur de solides réseaux, l’industrie pharmaceutique peut quasiment à elle seule décider des politiques de santé des gouvernements. Certains laboratoires réussissent à orienter la recherche, les financements et les remboursements publics vers leurs traitements les plus chers. Parfois au détriment de la santé des malades ; combien de laboratoires sont-ils mis en cause pour avoir caché les graves effets secondaires de leur médicament ? Et la bataille contre le Covid-19 qui fait rage exacerbe l’appétit des laboratoires. L’unique quête du profit ne menace-t-elle pas la santé publique ?
Durée : 1h30
Année de création : 2020
Réalisateur : Luc Hermann, Claire Lasko
Quelques citations approximatives mises bout à bout :
Le prix des nouveaux médicaments ne reflètent plus le coût de la recherche, mais la puissance du laboratoire qui le vend. Le souci n’est plus le malade, mais l’actionnaire. Plus ça guérit, plus c’est cher. Corruption : Il n’y a pas de repas gratuit !
Exemple, le covid : Méthode Raoult pour soigner un patient covid : 15 Euros. Méthode Gilead : des milliers d’Euros. Du coup, la méthode Raoult est interdite.
La solution Merk coûte elle aussi bien plus cher que la solution Raoult, donc elle est autorisée :
La France achète la gélule Merk anti-covid
Elle coûte 600 Euros l’unité !
Enregistré sur France 3 le 26 octobre 2021 à 19h30
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Méthode Raoult pour soigner le covid :
http://mai68.org/spip2/spip.php?article5406
Résultats d’un essai clinique ouvert non-randomisé
IHU Méditerranée-Infection
Pr Didier Raoult, Directeur de l’IHU Méditerranée Infection
17 mars 2020
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600 mg d’hydroxychloroquine par jour, ça fait 3 comprimés par jour de Plaquénil
PLAQUENIL : comprimé (blanc) ; boîte de 30
Sur ordonnance (Liste II) – Remboursable à 65 % – Prix : 4,17 €.
Composition du médicament PLAQUENIL
p cp | |
Hydroxychloroquine sulfate | 200 mg |
Lactose | + |
Complété avec de l’azithromycine
Au même dosage, par exemple, que pour la maladie du légionnaire, avec deux comprimés le premier jour, puis un comprimé le 2e, le 3e, le 4e jour…
AZITHROMYCINE SANDOZ 250 mg : comprimé ; boîte de 6
Sur ordonnance (Liste I) – Remboursable à 65 % – Prix : 7,37 €
Composition du médicament AZITHROMYCINE SANDOZ
p cp | |
Azithromycine | 250 mg |
Lécithine de soja | + |
« Comment Big Pharma réussit à faire privilégier par l’État les médicaments les plus chers »
Une autre compréhension :
À la fin de son dernier livre, Valérie Bugault incite le lecteur à faire passer le message qui y est contenu.
Vous en trouverez le résumé au tout début du blog ci-dessous.
Malgré la noirceur et la gravité de la situation dont vous constaterez l’étendue, Elle laisse néanmoins augurer d’une petite lueur d’Espoir.
Extraits :
Les Traités européens s’opposent à toute possibilité de « patriotisme économique » de la part d’États qui ne doivent jamais privilégier leurs propres entreprises « nationales ». Cette interdiction est sanctionnée, institutionnellement et financièrement, par l’interdiction générale des « aides de l’État » ainsi que par les « recours en manquement » à disposition de la « Commission européenne » pour faire condamner les États réfractaires à appliquer les règles de l’Union. La « Commission » aux ordres oligarchiques peut ainsi rappeler à l’ordre (financier) les États qui auraient eu des vélléités de déroger à leur propre sabordement. Ce sabordement est, notons-le, « librement » consenti par les États qui s’interdisent, par leur adhésion aux Traités constitutifs scélérats de l’Union Européenne, toute capacité de défendre et de protéger leurs propres ressortissants, personnes physiques ou morales.
C’est pourquoi les hommes dits politiques n’ont rien de « politique », ils sont des « hommes de paille », des « hommes-liges » (les marionnettes) des « « banquiers-commerçants », réels donneurs d’ordres.
La prochaine étape de la stratégie, jusqu’ici gagnante, des « banquiers-commerçants » sera la mise au point d’une monnaie mondiale. Cette future monnaie, qui chapeautera toutes les monnaies du monde, et qui sera entièrement contrôlée par les élites bancaires globalistes, devra circuler sous forme exclusivement dématérialisée. C’est précisément pour permettre la validation technique de ce projet que les médias et multinationales ont lancé en grande pompe « la Libra », cryptomonnaie dématérialisée initiée par Facebook et consœurs ; elle avait pour fonction politique de permettre la vérification, in vivo, des capacités et limites techniques de la circulation monétaire généralisée sous forme dématérialisée. La future monnaie mondiale que les élites bancaires globalistes contrôleront, débouchera, par la force des choses, sur un gouvernement mondial ploutocratique désigné du doux nom de « Nouvel Ordre Mondial ».
(…)
La BRI (Banque des Règlements Internationaux) est une institution financière dotée de la totalité des prérogatives diplomatiques d’un État, elle a tout les privilèges, notamment en matière d’immunité de ses membres, et ne rend de compte à personne. La BRI a été créée au tout début des années 1920 par une initiative de Haljmar Schacht (qui était alors un fonctionnaire subalterne auprès de l’autorité bancaire allemande créée par les alliés à l’issue de la 1ère guerre mondiale et qui devint Ministre de l’économie du Troisième Reich en 1934), Norman Montagu (gouverneur de la banque centrale d’Angleterre), J-P Morgan et leur intermédiaire commun John Foster Dulles. Concrètement, sans la BRI, l’Allemagne nazie n’aurait jamais pu financer ses préparatifs de guerre. La BRI a ainsi été la principale machine ouvrière de la 2ème guerre mondiale.
Faire disparaître la prétendue indépendance et intégrité de la BRI, ainsi que de tous les paradis fiscaux de la planète, serait simple à mettre en œuvre : il suffirait qu’un ou plusieurs États envoient des corps militaires à l’assaut de cette forteresse financière pour qu’il n’en reste rien.
L’UE (Union Européenne) est une organisation à vocation politique de nature supranationale, centrée sur les principes de la liberté du commerce et du libre-échange généralisé, regroupant les pays situés sur le territoire européen. Cette superstructure correspond au versant civil et politique de la médaille dont le versant militaire est représenté par l’OTAN. À cet égard, il importe de rappeler que l’OTAN, sous commandement américain officiel, est en réalité une « force » qui a été créée sous l’impulsion des globalistes anglais (Société Fabienne en tête), eux-mêmes très impliqués à la City. Initiée par les anciennes nations à vocation impériale (disposant de colonies) d’Europe continentale de l’Ouest (France, Italie, Allemagne, Pays-Bas, Belgique…), l’UE a connu, à partir de la disparition de l’URSS, un élargissement notoire visant à inclure les pays appartenant anciennement au bloc de l’Est. Cette organisation agit juridiquement, sur le modèle anglo-saxon, au moyen du « lobbying » qui est la transcription juridique, et donc la légalisation, de ce que le droit continental traditionnel appelait « corruption d’agents publics ». Précisons qu’en l’espèce il ne s’agit pas tant de corrompre des agents publics que d’organiser, ab initio, les règles publiques, politiques et sociétales, en fonction des seuls intérêts bien compris des principaux détenteurs de capitaux. Ainsi, les « agents publics » sont non seulement corrompus mais aussi et surtout choisis, dès le départ, en fonction de leur aptitude à satisfaire la politique décidée par les principaux détenteurs de capitaux (Young Leaders par exemple). Cette organisation internationale bafoue ouvertement et officiellement le principe de séparation des pouvoirs pourtant désigné depuis le XVIIIe siècle comme étant la substance de tout régime démocratique. Elle est dirigée par les principaux propriétaires de capitaux, cachés derrière l’anonymat des multinationales. Cette évolution institutionnelle n’a été rendue possible que parce que les principaux propriétaires de capitaux contrôlaient déjà préalablement les régimes politiques des pays européens ; concrètement, cette domination s’est installée au moment des Révolutions du XVIIIe siècle, par l’instauration, partout en Europe, à la mode anglaise, du parlementarisme dit représentatif organisé autour des partis politiques. Les institutions européennes sont l’évolution politique logique du renversement qui a eu lieu au XVIIIe siècle lorsque la caste des « banquiers commerçants » a décidé de renverser, une fois pour toutes, l’ordre politique en vigueur dans les pays européens, lequel était fondé d’une part sur la religion catholique (le clergé) et d’autre part sur la Royauté de droit divin. Initiés comme des révolutions nationales, ces renversements politiques avaient, dès le début, vocation à devenir une norme internationale ; cette propension internationaliste se manifestant à mesure que se renforcerait le pouvoir international de ses initiateurs.
Nous avons brièvement vu, ci-dessus, que les Paradis fiscaux et les institutions du type BRI constituaient des défis de premier ordre pour les États politiques. Ces « paradis terrestres artificiels » sont les seuls véritables ennemis actuels des États. Ils autorisent une permanente fuite des capitaux des États vers les places financières obscures, appauvrissant les États en réduisant, de façon mécanique, leur capacité budgétaire.
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