Le scandale Ivermectine
Ce livre-document n’est pas construit par chapitres. La raison en est simple : son écriture suit, jour après jour, l’enquête menée par l’auteur, journaliste d’investigation indépendant et écrivain :
– découverte de décisions injustifiées de dirigeants de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), de l’Union européenne, du président et du gouvernement français comme d’administrations du ministère français des Solidarités et de la Santé sur un médicament, l’Ivermectine, dont les caractéristiques d’efficacité et de sûreté contre la maladie covid-19 sont dissimulées ;
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28.10.2021-INVECMICIDE-English-Italiano-Spanish
– recherche des principales études scientifiques vérifiées publiées au fil des mois sur l’Ivermectine ;
– analyse du jeu trompeur de dirigeants de sociétés transnationales étasuniennes de la pharmacie avec les dirigeants de l’Union européenne et de l’OMS pour imposer leurs produits ;
– procès en cours contre ces dirigeants politiques et responsables d’administrations qui ont ainsi laissé mourir des dizaines de milliers de personnes au seul profit de fabricants de « vaccins » peu sûrs et potentiellement dangereux.
L’auteur montre, point par point, dans une succession de courts paragraphes très documentés, comment et pourquoi l’Ivermectine, médicament efficace et sûr, a été écarté du traitement de personnes atteintes de la covid-19.
Il répond ainsi aussi précisément que possible aux questions que ne manquera pas de se poser le lecteur en suivant étape par étape le cours de cette enquête surprenante sur cette affaire qui pourrait bien devenir le scandale sanitaire du siècle.
DÉDICACE
À la mémoire de Maryan Baquerot (1), universitaire, ancien directeur exécutif de la gestion et du management de l’Organisation mondiale de la santé, fonctionnaire compétent, intègre et humain, complice discret et amical de mes enquêtes (2001-2002) sur le fonctionnement des organisations internationales du système onusien.
PRÉAMBULE : AVEC OU SANS
Imaginez un pays de 3,28 millions de kilomètres carrés, six fois plus grand que la France ; un pays de 1,4 milliard d’habitants vingt- deux fois plus peuplé que l’Hexagone et trois fois plus que les vingt- sept États membres de l’Union européenne.
Imaginez ce pays dont les dirigeants, contrairement à ceux de l’Union européenne et de la France, ne suppriment pas des milliers d’emplois dans le secteur de la Santé, ne ferment pas les structures de soins et des milliers de lits d’hôpitaux, mais programment dans le budget 2021-2022 de l’État des investissements pour la santé à hauteur de 26,02 milliards d’euros (10,94 milliards d’euros en 2020- 2021) ; un pays dont «les soins de santé sont devenus l’un des secteurs les plus importants à la fois en termes de revenus et d’emplois » (2).
Imaginez ce grand pays, membre de l’Organisation de la coopération de Shanghai (OCS) (3) au cœur de grands projets parmi lesquels la création de 90 millions d’emplois non agricoles entre 2023 et 2030 ; un grand pays dynamique qui projette un objectif de croissance de son PIB de 11 % pour l’exercice 2022 quand celui de la France est de moins 8,1 %, celui de l’Union européenne de moins 6,21 % (4) et que ceux-ci, à la suite des États-Unis, s’enfoncent dans une crise économique et financière sans précédent.
Imaginez ce pays, fédération de 28 États, qui compte vingt métropoles entre 1,8 et plus de 18 millions d’habitants, une densité de population de près de 418 habitants au kilomètre carré, durement touché par la maladie covid-19 en 2020.
Dans ce grand pays très peuplé, des États vont faire le choix, comme les dirigeants de l’Union européenne et français, d’appliquer la « recommandation » de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) du 31 mars 2021 « de ne pas utiliser l’Ivermectine chez les patients atteints de Covid-19, sauf dans le cadre d’un essai clinique ». Pourtant, l’Ivermectine est le médicament efficace, sûr et peu coûteux contre la covid-19.
D’autres États, au contraire, vont se référer aux nombreuses études scientifiques réalisées dans plusieurs pays et vérifiées par des pairs et utiliser massivement ce médicament dès le milieu de l’année 2020.
Résultats au bout de quelques mois ?
Sans l’Ivermectine, les premiers qui se sont alignés sur l’incroyable décision de l’OMS vont voir la maladie progresser et le nombre de décès exploser.
Avec l’Ivermectine, les seconds, qui feront confiance aux études scientifiques sur ce médicament avant même la décision de l’OMS, endigueront la pandémie en réduisant radicalement le nombre de malades et de décès .
Dès le mois d’avril 2021, le ministère indien de la Santé préconisera l’Ivermectine comme traitement de la covid-19. La République de l’Inde va alors être l’objet de multiples pressions de la part de dirigeants de l’OMS et de lobbies de sociétés transnationales de la pharmacie.
Le 10 mai, la scientifique en chef de l’OMS, Soumya Swaminathan, envoie un texte sur les réseaux numériques (tweet) rappelant la décision de l’OMS du 29 mars déconseillant l’utilisation de l’Ivermectine pour traiter les patients atteints de la covid-19.
Le 13 mai, la Haute Cour de Justice de Bombay, après un récapitulatif des données sur l’Ivermectine par un groupe d’experts médicaux des secteurs public et privé, et après avoir entendu les déclarations sous serment des gouvernements de l’État et de l’Union, confirme l’usage du médicament comme traitement contre la covid- 19. Le vice-secrétaire d’État à la Santé, Vikas Gaunekar, déclare sous serment que « diverses études menées dans différents pays ont montré que le médicament a un effet positif sur la prévention et le traitement/guérison des patients». De plus, dit-il, «certains rapports ont révélé que l’analyse de l’OMS sur ce médicament est erronée et que le taux de mortalité est en réalité beaucoup plus faible si ledit médicament est utilisé pour un traitement précoce, ainsi que pour la prophylaxie (traitement préventif)» (6).
Malgré le jugement de la Haute Cour de justice, les prises de position et surtout les résultats très positifs et incontestables obtenus avec l’Ivermectine, des dirigeants de l’OMS maintiennent leur campagne de désinformation contre le médicament.
Aussi, l’Indian Bar Association, l’association nationale du barreau indien, va-t-elle mettre en demeure la directrice scientifique de l’OMS à l’origine de cette décision, Soumya Swaminathan, de s’expliquer sur «une campagne de désinformation contre l’Ivermectine en supprimant délibérément l’efficacité du médicament Ivermectine comme prophylaxie et pour le traitement de la Covid-19, malgré l’existence de grandes quantités de données cliniques compilées et présentées par des médecins et des scientifiques estimés, hautement qualifiés et expérimentés».
Puis, des plaintes sont déposées à l’encontre de plusieurs dirigeants de l’OMS. Parmi celles-ci, une action en justice ouverte le 25 mai 2021 contre la scientifique en chef de l’OMS, accusée d’avoir causé la mort de citoyens indiens en les trompant sur l’Ivermectine.
Une autre, du 13 juin, vise également le Directeur général de l’OMS et le Directeur général des services de santé (DGHS) de l’Inde .
Un autre encore, le 30 du même mois, est déposée par le Secrétaire général du Conseil de sécurité des Droits de l’homme (HRSC) – une ONG basée en Inde –, Ashif Shaikh, contre le Docteur Soumya Swaminathan et d’autres pour « leur complot et les infractions graves commises contre l’humanité lors de la pandémie de Covid-19» (8).
En France, le président de la République, le Premier ministre, son ministre de la Santé et des dirigeants d’administrations continuent de laisser s’aggraver la situation de malades qui pourraient être soignés et en laissent mourir d’autres en ne recommandant pas le traitement Ivermectine .
Voici comment et pourquoi les autorités politiques et administratives de l’Union européenne et françaises ont empêché une utilisation massive du médicament qui permet de soigner la covid-19. Avec à la clé des dizaines de milliards de dollars de profits pour les sociétés transnationales US de la pharmacie, fabricants de « vaccins ». Et un pourrissement de la vie des Français par une destruction économique et sociale dramatique du pays.
L’ENQUÊTE
Le médicament pour soigner la covid-19 existe ! Il s’appelle Ivermectine.
Rien à voir avec l’Hydroxychloroquine ou d’autres tant ce médicament a déjà prouvé ses effets bénéfiques contre les maladies depuis plus de trente ans. Découvert en 1975, mis au point et utilisé pour la première fois sur l’homme en 1988, il a déjà permis de soigner et de sauver des millions de vies à travers le monde.
Médicament à spectre large, allait-il être également efficace et sûr contre la maladie provoquée par le virus SRAS-CoV-2 (10) ?
C’est ce qu’ont cherché à savoir des chercheurs de plusieurs pays dès le début de la pandémie de la maladie covid-19, en janvier 2020.
De très nombreuses études réalisées et vérifiées par des pairs vont prouver qu’il peut aussi soigner la maladie du SRAS-CoV-2.
Les résultats de plusieurs méta-analyses (études Abdulamir et al., 2021 ; Kory, 2021 ; Lawrie, 2021 et bien d’autres depuis) sont tous concordants sur l’efficacité et la sûreté de l’Ivermectine pour traiter la covid-19 à tous les stades de la maladie.
Dès le mois de novembre 2020, la base de données mise en ligne sur internet à l’adresse www.ivmmeta.com répertorie toutes les études réalisées sur l’Ivermectine. Chaque étude y est présentée, analysée et des données statistiques synthétisent l’ensemble des résultats. Créée aux États-Unis par des doctorants, universitaires et scientifiques, elle est accessible gratuitement au grand public. Bien que ses comptes, qui ne publient que des analyses scientifiques soient censurés par Twitter11 sans aucune notification ni explication, la plate-forme internet est régulièrement mise à jour. Sauf omission, www.ivmmeta.com est la base de données la plus complète et précise au monde sur l’Ivermectine.
Le traitement par l’Ivermectine sur des patients atteints de la covid-19 permet « une baisse de la mortalité entre 65 % à 90 %, et une baisse du risque d’infection en prophylaxie de plus de 80 %, ainsi qu’une diminution significative de la durée d’hospitalisation et du délai de guérison», indique de son côté Réinfocovid, l’un des principaux sites internet des professionnels de santé et scientifiques français .
Dans de nombreux autres pays, des médecins et chercheurs ont fait le même constat. Pourtant, vous n’en avez rien su, ou si peu…
Vous ne pouviez vous imaginer que des responsables politiques et administratifs dissimuleraient un traitement peu coûteux, efficace et sûr en pleine urgence sanitaire au profit d’autres, tous très chers qui, pour certains, s’avèrent inefficaces quand ils ne sont pas potentielle- ment dangereux.
Quel est ce médicament et pourquoi les autorités de l’Union européenne et françaises le marginalisent-elles au profit de produits géniques expérimentaux, bien plus chers et dangereux ?
Le scandale Ivermectine
Le scandale Ivermectine ?
Il est difficile de qualifier autrement le fait que des dirigeants de l’OMS, de l’Union européenne et tout particulièrement des responsables politiques et fonctionnaires français aient dissimulé les qualités d’un médicament pour lutter contre la maladie covid-19. Agissant ainsi, ils ont laissé la maladie prospérer alors qu’elle pouvait être stoppée massivement. Il en résulte une aggravation du nombre de malades et de leur situation comme du nombre de décès dont ils portent la responsabilité.
Le fait est d’autant plus scandaleux que l’efficacité, la sûreté et le peu d’effets secondaires de ce médicament sont non seulement prouvés par de très nombreuses études scientifiques, mais également par le traitement sur des millions de personnes dans d’autres pays non membres de l’Union européenne.
Scandaleux également car, dans le même temps où ils dissimulent ces données scientifiques et ces faits, ces politiciens et fonctionnaires mènent une campagne liberticide au pas de charge pour contraindre la population à se faire injecter des produits qualifiés de « vaccins » qui ne sont pas au point et s’avèrent surtout beaucoup moins efficaces et bien plus dangereux que l’Ivermectine.
Le lecteur ne peut imaginer que les dirigeants de l’Union européenne et français, politiques et administratifs, aient trompé à ce point l’opinion publique.
Aussi, avant de voir les origines et caractéristiques de ce médicament, comprendre comment il agit contre la maladie du virus SRAS-CoV-2, comment et pourquoi il a été écarté d’un traitement massif qui aurait permis au niveau mondial d’épargner des millions de malades et de décès, il est nécessaire de présenter l’importance de cette vérité qui, en ce début du mois de juillet 2021, ne fait que commencer de « remonter à la surface ».
Qui mieux que maître Dipali Ojha, avocate indienne diplômée de l’Université de Mumbai, qui a travaillé dans plusieurs cabinets d’au- dit internationaux (Deloitte, Ernst and Young et Pricewaterhouse- Coopers), spécialisée en gestion d’entreprise et finance, membre de l’Association nationale du barreau indien – l’Indian Bar Association (IBA) –, qui vient de déposer plusieurs plaintes contre des dirigeants de l’OMS et fonctionnaires pour dissimulation de preuves scientifiques, peut révéler les dessous de cette affaire ? Maître Dipali Ojha connaît d’autant mieux le sujet que son pays a été au cœur du débat sur la question du traitement de l’Ivermectine.
Dans son pays aussi, les lobbies de sociétés transnationales de la pharmacie et fondations étasuniennes ont multiplié les pressions de toutes sortes afin d’écarter l’Ivermectine du traitement de masse pour tenter d’imposer leurs « vaccins ». Ils échoueront et l’Inde les renverra dans leur foyer, comme elle le fit déjà par le passé. Certains dirigeants de quelques États ont cédé à ces pressions en appliquant la directive de l’OMS de ne pas utiliser l’Ivermectine. Mal leur en a pris : au bout de quelques mois, le nombre de malades et de décès par la covid-19 explosait quand les États recourant à l’Ivermectine endiguaient et venaient à bout de la maladie. N’en déplaise aux faiseurs de «vaccins miracles» étasuniens, les dirigeants de la République de l’Inde n’ont pas oublié les batailles de leurs ancêtres pour proclamer l’indépendance de leur pays par un beau 15 août 1947. Au mois d’avril 2021, en toute indépendance, le ministère indien de la Santé préconisera l’Ivermectine comme traitement de la covid-19. Pour arrêter sa décision, le ministère de la Santé de ce grand pays prendra en compte les nombreuses études scientifiques publiées à travers le monde sur l’efficacité de l’Ivermectine contre la covid-19. Mais il s’appuiera aussi, et surtout, sur les résultats remarquables obtenus par le traitement de millions d’Indiens dans les États de l’Union indienne par les médecins. Un vrai laboratoire géant fonctionnant 24 heures sur 24 dans lequel les médecins et les administrations se sont engagés résolument. «Nous considérons comme un devoir solennel envers l’humanité de faire de notre mieux pour sauver des vies grâce à la sensibilisation autour de l’Ivermectine et d’autres médicaments qui sauvent des vies, qui se sont avérés efficaces », me dit maître Dipali Ojha lorsque, courant août 2021, je m’entretiens avec elle de mon travail d’enquête et des actions qu’elle mène avec l’Indian Bar, l’association nationale des avocats indiens.
FIN DE L’EXTRAIT.
Il vous reste 90% du livre à découvrir sur la version complète.
Date de parution le 22 octobre 20221.
https://www.is-edition.com/contacter-is-edition/
Notes
1. Maryan Baquerot est décédé brutalement en mai 2003, au moment de la publication de la première partie de mon enquête sur les organisations de l’ONU sous le titre ONU violations humaines (Éd. Carnot, avril 2003). La seconde partie sera publiée en août 2004 sous le titre Faut-il brûler l’ONU ? aux Édi- tions du Rocher, et la troisième partie en février 2017 sous le titre Trump face à l’Europe chez IS Édition (www.is-edition.com).
2. Source : Indian Brand Equity Foundation – IBEF – (www.ibef.org). À pro- pos du taux de croissance de l’économie indienne et des statistiques, avril 2021.
3. Lire Trump face à l’Europe, par Jean-Loup Izambert, IS Édition (www.is- edition.com).
4. Source : Banque mondiale (www.donnees.banquemondiale.org), Croissance du PIB (% annuel) – Union européenne, année 2020.
5. Inde : Covid et Ivermectine, suite, par le Docteur Gérard Maudrux (www.blog-gerard.maudrux.fr), 28 mai 2021.
6. Interview de Me. Dipali Ojha, émission Les Debriefings, FranceSoir, site in- ternet www.francesoir.fr, L’Ivermectine, utilisée en Inde avec succès, confirmée comme traitement Covid par la Haute Cour de Bombay, 5 juin 2021.
7. Barreau indien, www.indianbarassociation.in, 13 juin 2021.
8. Barreau indien, www.indianbarassociation.in, 3 juillet 2021.
9. Covid-19, un simple changement de méthode et c’est fini, par le Docteur Pas- cal Sacré, anesthésiste-réanimateur spécialisé en soins intensifs. Article très complet et documenté publié sur le site internet www.mondialisation.ca, 3 jan- vier 2021.
10. Le nom du virus est en langue française : Syndrome Respiratoire Aigu Sévère-CoV-2 pour coronavirus 2 (SRAS-CoV-2). Équivalent en langue anglaise de Severe Acute Respiratory Syndrome (SARS-CoV-2). Selon la langue des intervenants et travaux scientifiques cités, le nom employé peut apparaître sous l’une ou l’autre forme.
11. Twitter est dirigé en juillet 2021 par Patrick Pichette, ancien vice-président principal et directeur financier de Google. Son conseil d’administration com- prend notamment Mimi Alemayehou, senior vice president for public – private partnership chez Mastercard ou Robert Zoellick, ancien président du conseil d’administration d’Alliance Bernstein Holding LP et de Goldman Sachs. Ancien président du groupe de la Banque mondiale et Secrétaire d’État adjoint sous la présidence de George W. Bush, Zoellick est lié aux milieux impérialistes étasuniens. Partisan de la guerre contre l’Irak, il a notamment participé au Projet pour un nouveau siècle américain (PNAC) qui travailla au développement de l’influence US.
12. Source : Réinfocovid (www.reinfocovid.fr), L’Ivermectine dans le traitement de la Covid ? par le Collectif Reinfocovid, 16 mars 2021.
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