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«CLIMAT: COMMENT ÉVITER UN DÉSASTRE»

C’est le nouveau livre de BILL GATES qui va nous sauver!?!

La COVID, le réchauffement de la planète, inquiétez-vous pas, Bill prend tout ça en main. Il dit que lui et ses amis milliardaires vont tout faire (où tout acheter ?) pour sauver la planète et éliminer la pauvreté dans le monde.

Naturellement, il oublie de nous expliquer comment qu’en mettant TOUT l’argent dans leurs poches, ils vont en donner aux pauvres ? Lui, il dit que la fondation Bill Gates, déductible d’impôt, va s’occuper de la pauvreté galopante dans le monde?

Oui, il a toutes les solutions, toutes en faisant encore plus d’argent qu’avant la pandémie. Il va nous vendre plus de pétrole, plus d’électricité, plus d’ordinateurs et plus de … vaccins ! Oui, Bill est très généreux avec NOTRE argent. Il a même averti les gouvernements de toute la planète d’être vigilant envers leurs citoyens, de regarder ailleurs que dans sa cour, comme au CN, par exemple.

Bill veut qu’on lui donne CARTE BLANCHE dans TOUT ! Et il va arranger ça?

Donc, après avoir lu cela, j’étais toute étonné qu’on avait un SAUVEUR parmi nous et que c’était l’homme le plus riche au monde. Quelle coïncidence ! Tellement que ça m’a donné l’idée d’aller voir ailleurs.

Chez HUBERT REEVES, par exemple, qui aborde le même sujet mais qui arrive à des solutions complètement différentes que notre AMI Bill ? Et vu qu’HUBERT est beaucoup plus pauvre que Bill, j’ai une tendance naturelle à croire Hubert.

Bill veut réduire à ZÉRO EMISSION le carbone dans l’air à la grandeur de la planète d’ici 2050. Hubert aussi. MAIS, Bill veut le faire sans que ça dérange tous ses activités énergétiques actuelles et Trudeau est d’accord avec lui.

Hubert, qui n’a aucun moyen de joindre Trudeau, propose de l’action IMMÉDIATEMENT ! Bill veut dominer la Nature. Hubert veut vivre en harmonie avec la Nature. Il dit : «On est une espèce parmi d’autres».

Bill est à l’aise parmi les dirigeants du monde du G-7, par exemple. Il est même l’invité d’honneur. Il est un des décideurs ? Même si personne n’a voté pour lui ? Hubert n’a même pas eu d’invitation ?

Soudain, j’ai peur ! La majorité silencieuse va croire qui ? Bill Gates qui est ami avec TOUS les dirigeants de la planète et contrôle TOUS les media; versus Hubert Reeves, que tout le monde rationnel trouve sympathique ? David contre Goliath. Oui, j’ai peur. Et pas juste pour moi.

HUBERT nous explique notre place dans la Nature, notre rôle. Il ne tient qu’à NOUS de la préserver. Il nous explique que NOUS êtes en train de détruire les océans sans vraiment connaître ce qu’il y a dedans ! Il faut continuer à se battre comme si on avait un avenir. Dire NON à Bill Gates et ses amis milliardaires ! Et dire OUI au GRAND CHANGEMENT.

La philosophie Amérindienne nous demande de chercher la justice pour toute la création.

Serge Bouchard nous dit que les humains sont comme les chiens (pas les loups!).

Bill peu facilement convaincre un chien (ou autre ?) du bienfait de la laisse. C’est peut-être dans notre nature de nous soumettre ? Contrairement au loup!

John Mallette
Le Poète Prolétaire

5 réflexions sur “«CLIMAT: COMMENT ÉVITER UN DÉSASTRE»

  • Raoul

    Pauvre co2 et pauvre de nous, quand les grands de ce monde se penchent vers le peuple, c’est là qu’il faut s’inquiéter.
    Les hommes ne sont ni des loups, ni des chiens, ni des moutons.
    Mais déterminés par l’être social, ces relations sociales qui produisent et reproduisent la subjectivité des sujets, une séparation, une schize, entre l’homme et la nature, entre le sujet et l’autre, autrement dit l’aliénation, la réification.
    Dans la psyché humaine il y a toutes les conditions nécessaires à la formation subjective, cependant elle nous est donnée par le milieu social, cette subjectivité n’est pas indépendante n’a pas d’autonomie.
    Le self alors lui est un condensa une ouverture stupéfiante, vers la pire forme d’esclavage possible, une hallucination.
    L’individualité est une pathologie, comtemporaine, qui ne peut saisir que très partiellement, car elle est le résultat, du système qui surdétermine, nos affects, nos relations, nos émotions.
    de subjectivité n’y en a qu’une, celle du capitalisme, qui s’incarne au travers du sujet, la subjectivité du capital.
    Pour le reste B Gate, est un support aliénatoire d’un système qui ne recherche que l’accumulation, au travers de vérités spectaculaires qui n’en sont pas, et qui se rapproche plus du délire que de la science.
    Le sieur est lui même halluciné, c’est un fonctionnaire du capital, qui pense avoir une singularité particulière et qui n’agit que d’une seule manière possible, que du seul chemin possible que de la seule ouverture qui s’offre à lui, ( la rivière ne coule pas vers la montagne) relancer le processus de valorisation.
    il n’a pas d’etres humains devant lui, (personnage à la subjectivité cuiracée) mais des dividuels, des marchandises, monayables, quantifiable valorisables, EXPLOITABLES.

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    • Raoul

      Ajoutons, que la science elle même, et un produit du capitalisme en recherche de valorisation.
      La science déterminée par l’accumulation.
      Dans la forme crisique que prend le capitalisme, tout se dévoile à lui même, y compris ses structures, crise du sujet, crise des superstructures Etat, politique, gouvernements.
      crise culturelle et sociale, tout se délite tout se révèle.
      L’épisode pandémique aura révélé, la fumisterie qu’est en partie devenue la science.
      Qui dans son ubris, trouve les présuposés du départ, car il est vital d’acculmuler plutôt que de curer.
      Une science de l’opinon une science de la marchandise.
      De ces constats que chacun peut décrire et dérouler, il est important et vital, nécessaires, pour d’abord faire la révolution en soi.
      De prendre, les distances et de prendre connaissance d’autres mouvement de masse, qui ont ébranler d’autres dominations.

      Friedrich Engels (1894)

      Contributions à l’Histoire du Christianisme primitif
      L’histoire du Christianisme primitif offre des points de contact remarquables avec le mouvement prolétaires (qui vit de son salaire) moderne. Comme celui-ci le christianisme était à l’origine le mouvement des opprimés,
      il apparaissait tout d’abord comme religion des esclaves et des affranchis, des pauvres et des hommes
      privés de droits, des peuples subjugués ou dispersés par Rome.
      Tous les deux, le christianisme de même que le socialisme ouvrier, prêchent une délivrance prochaine de la servitude et de la misère; le christianisme transporte cette délivrance dans l’au-delà, dans une vie après la mort, dans le ciel ; le socialisme la place dans ce monde, dans une transformation de la société.
      Tous les deux sont poursuivis, et traqués, leurs adhérents sont proscrits et soumis à des lois d’exception, les uns comme ennemis du genre humain, les autres comme ennemis du gouvernement, de la religion, de la famille, de l’ordre social.
      Et malgré toutes les persécutions, et même directement servies par elles, l’un et l’autre se frayent victorieusement, irrésistiblement leur chemin.
      Parmi quelles gens les premiers chrétiens se recrutèrent-ils ? principalement parmi les » fatigués et chargés « , appartenant aux plus basses couches du peuple, ainsi qu’il convient à un élément révolutionnaire. Et de qui ces couches se composaient-elles ?
      Dans les villes, d’hommes libres déchus — de toute espèce de gens, semblables aux mean whites des états esclavagistes du Sud, aux aventuriers et aux vagabonds européens des villes maritimes coloniales et chinoises, ensuite d’affranchis et surtout d’esclaves ; sur les latifundia d’Italie, de Sicile et d’Afrique, d’esclaves ; dans les districts ruraux des provinces, de petits paysans, de plus en plus asservis par les dettes.
      Une voie commune d’émancipation pour tant d’éléments divers n’existait pas.
      Pour tous le Paradis perdu était derrière eux ; pour l’homme libre déchu, la polis, cité et état tout ensemble, de laquelle ses ancêtres avaient autrefois été les libres citoyens ; pour les prisonniers de guerre, esclaves, l’ère de la liberté, avant l’assujettissement et la captivité ; pour le petit paysan, la société gentile, et la communauté du sol anéanties. Tout cela la main de fer du Romain conquérant avait jeté à bas. Le groupement social le plus considérable que l’antiquité ait su créer, était la tribu et la confédération des tribus apparentées, groupement basé, chez les Barbares, sur les ligues de consanguins ; chez les Grecs, fondateurs de villes, et les Italiotes, sur la polis, comprenant une ou plusieurs tribus.
      Philippe et Alexandre donnèrent à la péninsule hellénique l’unité politique, mais il n’en résulta pas la formation d’une nation grecque. Les nations ne devenaient possibles qu’après la chute de l’empire mondial de Rome.
      Celui-ci mit fin une fois pour toutes aux petits groupements ; la force militaire, la juridiction romaine, l’appareil pour la perception des impôts, dissolvèrent complètement l’organisation intérieure transmise.
      A la perte de l’indépendance et de l’organisation particulière, vint s’ajouter le pillage par les autorités militaires et civiles, qui commençaient par dépouiller les asservis de leurs trésors, pour ensuite les leur prêter de nouveau, afin de pouvoir de nouveau les pressurer.
      Le poids des impôts et le besoin d’argent qui en résultait, achevaient la ruine des paysans, introduisaient une grande disproportion dans les fortunes, enrichissaient les riches et appauvrissaient tout à fait les pauvres.
      Et toute résistance des petites tribus isolées ou des villes à la gigantesque puissance de Rome était désespérée.
      Quel remède à cela, quel refuge pour les asservis, les opprimés, les appauvris, quelle issue commune pour ces groupes humains divers, aux intérêts disparates ou opposées ? Il fallait bien, pourtant, en trouver une dût un seul grand MOUVEMENT REVOLUTIONNAIRE les embrasser tous.

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  • Hubert Reeve, comme feu Stephen Hawking, est un scientifique du « système ».
    Ces scientifique sont tous des prêtres à penser prêchant la « bonne science » et représentent, pour le grand public, la réussite de cette science officielle.
    Ce sont les « stars » de ce club très fermé que sont les scientifiques dits « sérieux ». La manipulation est une constante dans ce monde officiel.
    Aujourd’hui, en France, ce sont les Aurélien Barrau et Cédric Villani qui ont pris le relais ; précisons que Villani émane de la promo 2012 du programme « Young Leaders » de la « French-American Foundation », tout comme Emmanuel Macron ; Edouard Philippe sort de la promo 2013 et Olivier Véran est tout frais émoulu de celle de 2019.
    Maintenant, permettez deux mots (peut-être trois) au sujet des organismes « intitutionnels » s’occupant officiellement de la préservation de l’environnement, du climat, et plus généralement de la protection de la Nature dans le monde.
    Le Fonds pour l’environnement mondial (FEM) est l’un des mécanismes clés dans le cadre du financement de la future monnaie mondiale que les élites bancaires globalistes contrôleront, et qui débouchera, par la force des choses, sur un gouvernement mondial ploutocratique désigné du doux nom de « Nouvel Ordre Mondial ».
    Le FEM, « validé » par le biais des Nations Unies en 1992, lors de la conférence sur l’environnement et le développement, plus connue sous le nom de « Sommet de Rio », est une organisation financière indépendante gérant le système de financement destiné, soit disant, à mener des actions pour la préservation de l’environnement, dans le cadre du « développement durable ». Il accorde, entre autres, des subsides au projet lié à la lutte contre les effets du (pseudo) réchauffement climatique. En effet, il est avéré que la température, plus élevée dans les temps anciens, s’abaisse graduellement ; le mensonge du « réchauffement climatique » est destiné, en partie, à faire croire que les « élites » et leurs scientifiques dit « sérieux » peuvent apporter tous les progrès, même ceux du climat.
    Le FEM a précisément pour objet de prêter de l’argent aux pays les plus pauvres afin qu’ils atteignent les objectifs fixés dans la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques, la Convention sur la diversité biologique, etc.. L’idée est que l’argent du FEM retourne ensuite pour rembourser les donations de nos gouvernements en prêts. Mais lorsqu’un pays ne peut rembourser ses emprunts au FEM, il doit céder une partie de son territoire aux banquiers : FEM, FMI, Banque Mondiale. La superficie totale des terres concernées peut atteindre 30% de la surface de la Terre. Si la terre ne peut être offerte en garantie, le pays doit mourir de faim comme Haïti, l’Argentine et d’autres. Le coup de génie des banquiers fut donc d’avoir fait passer leur FEM par le biais du système des Nations Unies, lors du « sommet de Rio », grâce à la cooptation des hauts fonctionnaires ministériels de 179 pays, entérinant ainsi le vol du monde.
    Le FEM est issu du 4ème Congrès Mondial des Terres Sauvages (4th World Wilderness Congress) organisé en 1987 par le président de la Banque privée Edmond de Rothschild, le Baron Edmond de Rothschild lui-même, et parrainé par l’« International Wilderness Foundation » dont il était l’un des administrateurs. Quelque 1 500 banquiers et dirigeants parmi les plus puissants du monde ont assisté à ce congrès présidé par l’homme d’affaires, homme politique et multimilliardaire canadien, Maurice Strong, agent de « N. M. Rothschild & Sons à Londres ». Maurice Strong, ancien Secrétaire général de la Conférence des Nations unies sur l’environnement, et membres fondateurs du Groupe « d’experts » intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) créé en 1988, a été visé personnellement par l’enquête sur le scandale du programme « Pétrole contre nourriture » de l’ONU en Irak. Rappelons aussi que le sénateur Al Gore qui a évoqué l’environnement en tant que question politique, et connu surtout pour sa « lutte », assisté du GIEC, contre le « fameux », ou plutôt « fumeux », réchauffement climatique, est aussi le cofondateur de « Generation Investment Management » (LPP), avec le chef de la gestion d’actifs de Goldman Sachs, David Blood. Il s’agit d’un fonds d’investissements à long terme dans l’économie durable, qui recueille des capitaux très importants d’investisseurs du monde entier et en particulier de nombreux fonds de pension américains. À sa création en 2004, Generation Investment a drainé 5 milliards de dollars américains. Al Gore s’est lancé également dans le négoce de certificats d’émissions de CO2. On voit dans cet exemple, et au delà des beaux discours trompeurs mais « nobélisés » et « oscarisés » par les promoteurs du « système », toute l’hypocrisie, la vénalité et le leitmotiv systématiquement mercantile de tous ces médiocres pions utilisés par l’oligarchie.
    Précisons enfin, pour clore le thème sur la préservation et la protection « intitutionnelles » de l’environnement et de la Nature, que, de 1961 à 1976, le premier Président de WWF (World Wide Fund for Nature, anciennement World Wildlife Fund), en français « Fonds mondial pour la nature », était Bernhard de Lippe-Biesterfeld, plus connu sous le nom de prince Bernhard des Pays-Bas. Le second (de 1976 à 1981) fut John H. Loudon, qui était, en même temps, président de la compagnie pétrolière Shell. Le troisième, jusqu’en 1996, et on s’arrêtera là, sera Philip Mountbatten, duc d’Édimbourg, le mari d’Élisabeth II, la reine d’Angleterre.
    À propos du prince Bernhard : c’est en mai 1954 que se tint, à Paris, la première conférence de la Société fabienne (Fabian Society) sous la présidence du prince Bernhard des Pays-Bas. Ce fut une réussite. Dès lors, les réunions devinrent annuelles et prirent le nom de « groupe Bilderberg », en relation avec le nom de l’hôtel dans lequel se déroula la première conférence de ce lobby. Aussi important soit-il, le « groupe Bilderberg » n’est pas au sommet de la structure du pouvoir international qui travaille en coulisse pour la domination du monde. Cette place est réservée à d’autres organisations semi-secrètes comme le « Council on Foreign Relations » et la « Commission Trilatérale », fondée en 1973 par David Rockefeller.
    Ainsi, nous comprenons que le véritable pouvoir aujourd’hui n’est pas à rechercher dans l’apparence des arcanes politiques, il se cache derrière l’anonymat des capitaux et dans les paradis fiscaux. Le véritable pouvoir auxquelles sont soumises les populations, maintenues dans la naïveté et l’inconscience, est économique : il appartient aux principaux détenteurs de capitaux de la planète ; lesquels ont tant et si bien œuvrés depuis des centaines d’années qu’ils sont devenus propriétaires directs et/ou indirects de la majeure partie des actifs tangibles de ce monde. Depuis le XVIIIème siècle, les principaux banquiers sont étroitement interconnectés entre eux et ont des intérêts communs et liés. Les activités de ces banquiers sont structurellement internationales, leurs intérêts pouvant être qualifiés d’apatrides, ou plus exactement de supranationaux, en ce sens qu’ils n’ont aucun rapport avec un quelconque « intérêt national » au sens culturel et géographique du terme « national ». Aussi, les USA, la France et leurs alliés ne sont plus depuis le début du XXème siècle, au bas mot, gouvernés par ce qu’on appelle un phénomène politique, qui représente l’intérêt commun, mais par un cartel d’entreprises dirigé par les principales banques globales d’investissement qui ont leur quartier général, depuis Oliver Cromwell, à la City of London.
    Suite : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/

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