Un être dégueulatoire comme Macron, responsable de 15 millions de pauvres en France!

Par Brigitte Bouzonnie.

 

Macron est un criminel de la pauvreté. Tout comme il existe des criminels de guerre, il existe des criminels comme Macron, qui ont donné tout pouvoir à l’argent. Pillé les enveloppes sociales du budget public pour donner des milliards d’euros “gratos”, en échange de zéro emploi créé, à ses amis les grands patrons. Les riches qui croulent sous leur montagne d’argent inutilisé, tandis que les pauvres caillent de froid en silence. Il existe des êtres dégueulatoires comme Macron, qui n’ont eu de cesse, au cours de leur mandat, de laisser filer sciemment, volontairement, la courbe du chômage et de la pauvreté. Notamment en supprimant l’enveloppe de contrats aidés ramenée de 400 000 sous Hollande (2016) à 100 000 aujourd’hui (2021).

 

Résultat : 15 millions de français vivent en dessous du seuil de pauvreté selon mes calculs. Résultat, c’est la somme extraordinaire de souffrances et de larmes des classes populaires frappées par la grande misère, dont personne à commencer par les responsables de gôche, ne parlent aujourd’hui.

La pauvreté est un crime ignoble commis par le camp mondialiste à chaque heure du jour et de la nuit contre les faibles et les innocents. A compter des années quatre-vingt, le capitalisme mondialisé a organisé en toute connaissance de cause la mondialisation malheureuse des échanges. Les délocalisations forcenées d’entreprises hexagonales, notamment du secondaire : 2,5 millions d’emplois supprimés dans le secteur industriel français, ramené à 13% des effectifs salariés : un des taux les plus bas de l’Union Européenne ! Le capitalisme mondialisé a organisé volontairement les suppressions massives d’emplois : 1 million de chômeurs en 1980. 2 millions en 1988. 3 millions en 1997. 6 millions aujourd’hui selon les chiffres de la DARES.

 

Un crime commis dans l’indifférence générale, notamment de la fausse opposition de gôche. Notamment Mélenchon et ses sbires. J’ai supplié en vain Mélenchon et son entourage, de publier mes articles sur l’explosion du chômage en 2009, suite à la crise des subprimes de 2008 : 600 000 destructions d’emplois. 90 000 nouveaux demandeurs d’emploi en janvier 2009. 85 000 en février 2009. Je me suis heurtée à un mur d’indifférence de la part de cette petite bourgeoisie friquée, boboïsée. Fortement enrichie sur la manne de l’argent public. Indifférente à la difficile survie élémentaire de millions de français, qui n’ont pratiquement rien.

Aussi, ne me surprend pas aujourd’hui le silence complice des responsables de la FI, en écho aux propos fallacieux, scandaleux, pipotés par  Macron/Pinocchio déclarant hier soir sans rire que “le taux de chômage est à 7%”(sic). “Proche du plein emploi” (sic). Et que “le taux de pauvreté est le même que celui d’avant crise sanitaire”(sic), soit 14,6%.

 

1°)- Le taux de chômage à 7/8% est un fake grossier : Jusque là, la DARES dépendant du Ministère du Travail comptabilisait 5 catégories de demandeurs d’emploi : ABCDE. Certes, elle comptabilisait la catégorie A des chômeurs sans aucun emploi. Mais elle comptabilisait aussi les chômeurs ayant un petit boulot, en formation, en contrat aidé, ou malades : BCDE. Voilà pourquoi le taux de chômage était autour de 10%, sans compter les demandeurs d’emploi d’Outre Mer, qui ont des taux de chômage des jeunes de plus de 50%. Il s’agissait de ne pas passer la cap psychologique des 10% ! En réalité, le taux officiel était plus proche de 11 % que de 10.

 

Inversement, l’OIT ne comptabilise que les chômeurs dans aucun emploi. Voilà pourquoi en clair, par une pure opération cosmétique de statistiques, en virant les catégories BCDE, on arrive à une supposée “baisse” de 7/8%.

 

2°)- Le taux de pauvreté à 14,6% identique à celui d’avant crise est un autre fake grossier !

Dans une vidéo RT postée sur la lettre politique indépendante le 5 novembre 2021, un débat très stimulant oppose l’économiste Jacques Sapir à l’ingénieur Marc de Basquiat, auteur d’un ouvrage sur le revenu universel. Le nom de Basquiat ne m’était pas inconnu : j’ai souvent vu son nom dans des ouvrages collectifs publiées par la DARES sur la pauvreté.

Voila ce que dit en substance Marc de Basquiat : “il y a taux de pauvreté et taux de pauvreté. Le taux de pauvreté actuel “vendu” par l’INSEE à grands renforts de médias aux ordres n’est pas un véritable taux de pauvreté. Il n’est pas obtenu en comptabilisant, par exemple, le nombre de pauvres de la région Nouvelle Aquitaine, du Grand Est et de la Région parisienne. On faisait le total, rapporté ensuite à la population française en âge de travailler. Mais ce mode de calcul a été abandonné. Le nouveau taux de chômage de l’INSEE n’est pas obtenu à partir d’enquêtes sur le terrain, mais de micro simulations généralisées ensuite selon certains paramètres. C’est donc tout de suite un sondage, une maquette de la réalité, une reconstruction du réel, avec tout ce que cette opération peut avoir de contestable, qui est généralisée ensuite sur toute la France !

 

Inversement, le chiffre de un million de pauvres supplémentaires suite au premier confinement, qui a fait notamment la “une” du journal “Le Monde” en 2020, se fonde sur un travail de comptabilisation réalisé par l’AFPA : l’Agence de la formation professionnelle des adultes. Mais, comme son nom ne l’indique pas, l’AFPA a un spectre très large : elle s’occupe de tous les français, à compter de 18 ans, donc aussi des jeunes. Elle fait de la formation, lance des expériences innovantes. Mais aussi aide à l’insertion professionnelle des jeunes et des adultes.

Donc, il ne fait aucun doute qu’entre le chiffre “classique” de l’AFPA travaillant sur le terrain, et le taux de pauvreté vérolé de l’INSEE, il n’y a pas photo. C’est l’AFPA qui a raison. Le taux de pauvreté de 2021 n’est évidemment pas le même que celui d’avant crise. Un truc qui devrait nous mettre la puce à l’oreille : le taux de chômage des Etats-Unis, qui avait fait entre 2016 et 2020 de l’emploi grâce à Donald Trump sa priorité. Réussi à diminuer son taux de chômage en dessous de 5%. Après la crise sanitaire, non seulement il n’est pas encore revenu à son niveau d‘avant crise. Mais son taux de chômage est à 18% selon le site ELUCID d’Olivier Berruyer. Et nous, alors que depuis les années quatre vingts, on laissait filer la courbe, en étant impuissant nous disait-on : à nous tout seul, comme des grands, avec l’autosatisfaction obscène d’hier, que Macron arborait en sautoir, on aurait vaincu seul le chômage lié à la crise sanitaire. Tué tous les indiens, avant même que la bataille ne commence, comme le fiérot et menteur Manu a eu le toupet infernal de le dire hier soir !

 

La pauvreté est un crime sacrificiel et barbare répété pour maintenir le Capital mondialisé au Pouvoir. Comme l’explique l’économiste marxiste Vincent GOUYSSE, La Chine, qui est la première puissance mondiale, comme le montrent clairement les chiffres de l’OMS, a su très intelligemment maintenir aussi un développement autocentré (idée qui remonte à Mao), c’est à dire une économie keynésienne. Avec marché intérieur, état redistributeur, hausse des salaires. Et lutte contre la pauvreté, passée de 55 à 5 millions de pauvres. (Nous invitons nos lecteurs à lire Vincent Gouysse discutant du nouveau fasc isme vous y reconnaîtrez Macron Premier: Du fascisme : l’ancien des années vingt et le nouveau contemporain – les 7 du quebec : https://les7duquebec.net/archives/260203 NDÉ).

 

Car la mondialisation des échanges ne fait que des perdants, comme le montrent les tristes exemples des Etats-Unis et de la France, passée du 6ème au 30ème rang mondial ! Curieusement, Manu 1er n’a pas eu un seul mot sur la chute de notre PIB de -8,3% en 2020 : du jamais vu depuis 1945 !

 

Honte à Macron qui a failli sur la courbe du chômage. Honte au camp mondialiste qui fabrique mécaniquement du chômage de masse, concurrence féroce des économies entre elles. Honte à cette petite bourgeoisie intellectuelle friquée, qui a abandonné la défense des classes populaires. Mais aussi la réflexion intellectuelle, au profit du shit, comme le dit très bien Alain Badiou. Les partouzes dans le Var d’un Olivier Duhamel, qui était pourtant sensé réfléchir sur le devenir de la société française. La fausse écologie, le racialisme, etc… La “fausse conscience” comme disent les marxistes.

On a remplacé la vie par la survie. Le réel (changer le monde), par le petit divertissement des classes moyennes boboïsées. Le vie est désorientée par l’absence de Vérité. Ce qui règne sur le monde, c’est le consentement qu’il en soit ainsi, sans révolution. C’est l’humble corruption de chacun, pour reprendre le mot de Badiou”(sic) (cf son ouvrage : “A la recherche du réel perdu”, édition Fayard, 2015).   (Nous conseillons d’écouter Ernst Wolf présentant la nouvelle problématique économique impérialiste qui confronte les politiciens larbins comme Macron – Trudeau – Biden et Xi Jinping : https://les7duquebec.net/archives/267253  NDÉ).

Robert Bibeau

Auteur et éditeur

19 réflexions sur “Un être dégueulatoire comme Macron, responsable de 15 millions de pauvres en France!

  • 10 novembre 2021 à 11 h 46 min
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    Détruire le capital ou être écrasé

    La gauche, ne propose plus que d’être 100% à gauche c’est à dire pour le prolétariat d’être à 100% écrasé.
    La mondialisation, est l’aboutissement du mouvement de la valeur, d’échange, Marx n’a pas écrit son dernier volume le marché mondial, il est mort avant.
    Mais les communistes radicaux (à la racine) l’on évidemment bien compris.
    Macron au delà de son narcissime pathologique lui seul ne représente que lui même, une marchandise circulatoire.
    Nous savons que l’Etat dit démocratique est une imposture, supplémentaire, une superstructure au service de la reproduction et de la périnisation du système capitaliste, qui aujoud’hui dans sa phase sénile (sénile puisqu’ en crise permanente) n’est plus en mesure de restaurer un semblant déquilibre, l’Etat mystification absolue au service des puissants.
    Sur l’ Etat démocratique, voici ce quen dit Engels :

    La démocratie est une contradiction dans les termes, une imposture, et, au fond, une pure hypocrisie – une théologie, comme diraient les Allemands. Et cela vaut, à mon avis, de toutes les formes de gouvernement. La liberté politique est un simulacre et le pire esclavage possible ; cette liberté fictive est le pire asservissement.
    Il en va de même de l’égalité politique : c’est pourquoi, il faudra réduire en pièces la démocratie aussi bien que n’importe quelle autre forme de gouvernement. »
    Friedrich Engels, Progrès de la réforme sociale sur le continent, 1843

    Chacun le constate d’évidence, la dégradation croissante des conditions de vie de la population qu’induisent les efforts acharnés de la bourgeoisie pour restaurer la valorisation du capital, c’est-à-dire la reproduction du mode de production capitaliste.
    Dans le mouvement permanent du capitalisme, la valorisation du capital s’impose aux différents agents de la production, et particulièrement à l’Etat, comme un mouvement aussi inexorable que celui de la Terre tournant autour du soleil.
    Elle aboutit, entre autres, à cette conclusion que les capitalistes, dirigeants d’entreprises ou de l’Etat, sont eux-mêmes dirigés par la nécessité de ce mouvement.
    Macron et consorts ne sont dirigeants qu’en tant qu’ils le mettent en œuvre, qu’en tant que « fonctionnaires du capital « .
    L’avidité à gagner de l’argent existe depuis que l’argent existe, mais ce qui est spécifique au mouvement parmanent du capitalisme, c’est cette nécessité aveugle et implacable du mouvement de valorisation permanente qui reproduit le capital en l’accroissant et l’accumulant.
    On peut remplacer les fonctionnaires qui y œuvrent, pas la fonction, du moins tant qu’existe le capital.
    Qu’elle est la cause de cette « dictature » du mouvement de la valorisation, il faut remonter à ce qu’est la valeur, et tout particulièrement à sa substance : « le travail abstrait » et la baisse irréfragrable du taux de profit.
    le capitalisme n’ a d’autre débouché que son agravation.
    Non seulement il n’y a que peu de croissance, mais il ne peut plus y en avoir, puisque le capitalisme détruit sa substance (le salarié).
    Et c’est donc dans la crise contemporaine qu’il faut rechercher.
    La réponse de la gauche pêche de par son indigence, leur réponse, » parcequ’une poignée d’ultra-riches poussés par une soif d’enrichissement démesurée, ont voulu et on instaurés une politique daustérité ».
    Et pour cela ils se sont atteler au démantèlement, de toutes protection sociales et syndicales et a la destruction du tissu industriel.
    Ce cercle vicieux a entrainé une sous consomation et une surproduction.
    Donc vu du côté gauche, les libéraux mèneraient une politique suicidaire puisqu’elle détruit ce qui fait la source de ses revenus, l’explotation maximum des salariés.
    Ainsi la « vraie » gauche n’a que la volonté de sortir le capitalisme de la crise en « l’humanisant ».
    Non seulement elle propose de sauver ce régime pourri du désastre de sa crise, mais leur recette ne peut, pas plus que celle de la droite, parvenir à autre chose qu’à prolonger son agonie pour le plus grand malheur de l’humanité.

    Bonne journée ou soirée.

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    • 10 novembre 2021 à 15 h 01 min
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      @ DOWN

      Excellent exposé de la dialectique du capital qui cherchant à survivre à ses contradictions s’enfonce encore plus profondément dans son « effondrement » inéluctable. Le capitalisme est régit par des lois qui le mène à sa tombe… comme tu le décris si bien … Pas tout à fait cependant.

      Je me permets d’ajouter un dernier chapitre à votre homélie.

      Nous savons suite à la 1ere et à la seconde guerre mondiale que le capital profitera de cette 3e guerre mondiale – effondrement (qui sera encore plus mortifère que les précédentes ses armes étant plus létales-bactériologiques-nucléaires que jamais) pour faire « table rase » de son passé afin de mieux le faire renaître = réformer = maquillé = revampé = avec le soutien indéfectible des différentes couches de la bourgeoisie réformiste de gauche comme de droite, notamment de la petite – bourgeoisie pas encore totalement prolétarisée ou lumpenprolétarisée survivante de ses illusions historiques.

      LA QUESTION pour nous prolétaires révolutionnaires (est) sera alors COMMENT BRISER CETTE SPIRALE DÉMONIAQUE ? Comment empêcher le grand capital international – VIA – ses fonctionnaires étatiques et corporatifs de reconstruire un mode de production capitaliste dégénératif qui nous mènera à une 4e guerre mondiale ??? et ainsi de suite…

      ICI sur le webmagazine Les7duquebec.net c’est la tâche que nous avons amorcé… aussi petite que soit la flamme qui nous éclaire. Il n’y a pas de tâche plus exaltante.

      Robert Bibeau

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      • 10 novembre 2021 à 18 h 05 min
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        Bonjour Robert,

        le capitalisme, c’est la mort incarnée, Thanatos en mouvement, la fausse vie, la fausse existence.
        Pour nous communistes radicaux, il ne s’agit pas de reproduire un capitalisme « autrement » un capitalisme plus juste, une exploitation plus équilibrée.
        Mais d’abolir ses catégories de bases, l’Etat, l’argent, le salariat.
        Le capital nous le savons est une contradiction en procès, et qu’il détruit une masse de capitaux lors de ses crises de valorisation, pour ensuite relancer le processus d’accumulation.
        La nécessité se fait de plus en plus impérative, d’abolir un capitalisme qui amène l’humanité à son anéantissement.
        Or nous savons que ce n’est ni une crise politique, ni une crise financière, mais une crise logique du développement normal de son automouvement.
        La bourgeoisie peut tenter de freiner sa dissolution, mais pas de le faire dévier de son cours.
        Car la bourgeoisie n’est pas une classe d’individus libres, ils sont les « fonctionnires » du capital comme le dit Marx.
        Et à ce titre ils essaient de réguler, dans le mode de production capitaliste tout n’apparaît qu’en tant que marchandise.
        Les experts peuvent résoudre par des calculs, des planifications, trop de social, pas asser de secteurs privés, industries minimum Co2, et ne savent pas ou ne veulent pas savoir que derrière, ces quantités, il y a les rapports sociaux de production, une division sociale du travail, une propriété privée des moyens de production, le concret des hommes et des rapports humains historiques, le concret de la production reproduction de leur vie et d’eux-mêmes: un concret en tout point éminemment qualitatif.
        Ce que la bourgeoisie fait ou essaie de faire sur ces rapport sociaux, découle d’une logique d’accumulation, les politique sont donc déterminés non pas par une liberté mais par la nécessité et la logique de l’accumulation de valeur.
        Or ce que nous pouvons observer, c’est que le Cv (capital variable) le salarié qui produit plus que ce qu’il coûte, augmente beaucoup moins que le CC (capital constant robotique machinerie etc) qui ne restitue que la valeur incrémentée certes plus rapidment plus massivement.
        Et donc si le Cc augmente infiniement plus que le Cv, du fait de la concurence inter-capitaliste il y a une baisse globale du taux de profit.
        En admettant que le capital détruise une partie de capitaux, ceux-ci reviendrait à leur départ initial, du fait de l’immense progrès technique de manière incomparablement plus rapide.
        De la même manière qu’on ne retournera jamais au vieux métier à tisser, les sauts qualitatifs dans la production ne retournent jamais à leurs stades entérieurs.
        Le rattrapage du capitalisme Chinois, s’est fait sur une échelle beaucoup plus courte que les deux siècle du capitalisme occidental.
        Le processus d’éjection du travail vivant est donc désormais en phase ascendante en Chine.
        La baisse du taux de profit est une loi, qui détermine la décomposition du système et si le capitalisme se décompose, un autre mode de socialisation apparait inévitablement.
        La crise du capitalisme, c’est aussi la crise subjective des sujets du capital.
        Car le sujet n’a qu’une subjectivité, celle du capitalisme, déterminée par son mode de socialisation par l’argent.
        Un mouvement révolutionnaire n’apparaît que lors ce que les conditions objectives de son apparition, créent l’espace nécessaire, c’est ce qui commence à s’ouvrir avec la crise du capitalisme sénile du temps.
        Si toutes les révolutions ont échouées, ce n’est pas par la volonté des hommes, ou de leurs qualités, ou personnalité.
        Ces révolutions ne pouvaient advenir tant que ce système de valorisation de la valeur était en phase ascendante.
        Il n’ a donc jusqu’à aujourdhui existé nulle part de communisme sur la planète sauf pour peu de temps dans les Asturies Espagnoles.
        Le communisme c’est ce qui advient avec l’automouvement de l’anéantissement de la domination capitaliste.
        A bàs l’Etat, l’argent, le salariat. à mort limposture, le mensonge, la mystification de la valeur, sa putréfaction.
        le capitalisme son aliénation, sa fausse existence, son angoisse, sa schizophrénie.
        Pour une communauté générique retrouvée, notre sacralité, notre unité dans le tout du monde, notre jouissance à la vie, dans la magie d’exister.
        Un salut communier.

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      • 11 novembre 2021 à 2 h 56 min
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        Bonjour Robert,
        Je vous remercie pour cet excellent commentaire : je poste le votre et celui de DOWN sur ma lettre politique indépendante.
        Je sais que nous ne sommes pas d’accord. Mais nous ne pouvons pas tout seul (poignée de militants anti système fidèles) BRISER NOUS MEME CETTE SPIRALE DEMONIAQUE; comme vous dites très bien. Nous avons besoin d’une alliance objective avec Donald Trump, qui mène en ce moment une guerre féroce contre le camp mondialiste.

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        • 12 novembre 2021 à 9 h 30 min
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          @ BRIGITTE

          Une alliance avec Lucifer – Trump ne serait pas plus profitable à la classe prolétarienne qu’une alliance avec Belzébuth Biden ou avec le diable Macron…ou les autres = Ils sont tous pareils.

          Souvenez-vous de l’alliance FRONT POPULAIRE des fonctionnaires politiques de la go-gauche et des différentes gauches qui mena directement les droites complices au pouvoir. Ne faisons pas les mêmes erreurs que dans les années trente… jusqu’à prétendre que la seconde guerre impérialiste était une guerre populaire puisque la SUPPOSÉE « PATRIE DU PROLÉTARIAT » était attaquée. LE PROLÉTARIAT N’A PAS DE PATRIE pas davantage que le grand capital international.

          L’URSS représentait le capital Étatique et les alliés le capital privé et l’AXE l’autre clan du capital privé et Étatique entremêlé. Le PROLÉTARIAT devait rester neutre dans cette foire d,empoigne impérialiste.

          Il en est de même aujourd’hui = AUCUNE ALLIANCE PROLÉTARIENNE AVEC LES FACTIONS DU CAPITAL. Leur guerre ce n’est pas notre affaire. Nous ne serons la chair à canon d’aucune faction.

          Seule la classe prolétarienne défend les intérêts de l’humanité.

          Robert Bibeau

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        • 12 novembre 2021 à 11 h 27 min
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          En effet, nous ne sommes pas d’accord sur tous les points et c’est tant mieux.

          J’ai passé 40 ans de militantisme de GÖCHE à prendre grand soin de ne parler qu’à ceux qui pouvait réciter le bréviaire de gauche et à se prémunir contre les prolétaires « ignares » disaient-ils

          Dans le présent webmagazine rien de cela : que cent idées s’expriment … que cent pratiques s’afichent.

          Merci de ton indulgence Brigitte

          Robert Bibeau

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  • 10 novembre 2021 à 14 h 18 min
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    Le qualificatif de dégueulatoire convient parfaitement à macron, à sa clique de godillots en tong et à tous ces nantis de la france légale financière qui se goinfrent en ruinant les classes populaires de la France légitime… Une minute avec macron, c’est assurément se retrouver avec les mains sales et la nausée, comme l’aurait sans doute formulé l’incontournable Pierre Desproges.. Aurait-il aussi demandé, en l’occasion, s’il y avait un juif dans la salle ?

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  • 11 novembre 2021 à 2 h 56 min
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    Bonjour Robert,
    Je vous remercie pour cet excellent commentaire : je poste le votre et celui de DOWN sur ma lettre politique indépendante.
    Je sais que nous ne sommes pas d’accord. Mais nous ne pouvons pas tout seul (poignée de militants anti système fidèles) BRISER NOUS MEME CETTE SPIRALE DEMONIAQUE; comme vous dites très bien. Nous avons besoin d’une alliance objective avec Donald Trump, qui mène en ce moment une guerre féroce contre le camp mondialiste.

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  • 11 novembre 2021 à 9 h 05 min
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    @ RAOUL

    Puissante description de la dégénérescence du capital. Merci. Il m’aura fallu 50 ans de militantisme de « gauche » avant de parvenir à connaître et à comprendre cette dialectique. Ce procès de conscientisation révolutionnaire je ne le dois pas à la go-gauche – je le dois au prolétariat – à sa conscience immanente que nous devons respecter – scruter – analyser pour dégager la voie révolutionnaire de classe.

    Je reprend ici un extrait de ton post ou la conscience de classe prolétarienne s’affiche en toute lettre. Tu écris : « Un mouvement révolutionnaire n’apparaît que lors ce que les conditions objectives de son apparition, créent l’espace nécessaire, c’est ce qui commence à s’ouvrir avec la crise du capitalisme sénile du temps. Si toutes les révolutions ont échouées, ce n’est pas par la volonté des hommes, ou de leurs qualités, ou personnalité. Ces révolutions ne pouvaient advenir tant que ce système de valorisation (du capital) de la valeur, était en phase ascendante. »

    Chacun doit prendre conscience que ta phrase résume un siècle et demi de lutte de résistance prolétarienne qui ne pouvait devenir RÉVOLUTION PROLÉTARIENNE NON par la faute – la trahison – d’un idole – d’un furher – d’un gourou – d’un camarade – mais parce que le mode de production capitaliste ET DONC LA CLASSE SOCIALE PROLÉTARIENNE – son embaumeur – n’avait pas atteint son stade de développement ultime. CE QUI EST MAINTENANT ACCOMPLI.

    La révolution est LA question posée par notre temps et nous – classe prolétarienne unie – nous devrons la résoudre… Voici la rose! Dansez maintenant!

    Robert Bibeau

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    • 13 novembre 2021 à 17 h 19 min
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      Marx : Préface à la critique de l’économie politique (1859)

      Une formation sociale ne disparaît jamais avant que soient développées toutes les forces productives qu’elle est assez large pour contenir, jamais des rapports de production nouveaux et supérieurs ne s’y substituent avant que les conditions d’existence matérielles de ces rapports soient écloses au sein même de la vieille société.

      C’est pourquoi l’humanité ne se pose jamais que des problèmes qu’elle peut résoudre ; car, à y regarder de près, il se trouvera toujours que le problème lui-même ne surgit que là où les conditions matérielles pour le résoudre existent déjà ou du moins sont en voie d’advenir.

      A grands traits, les modes de production asiatique, antique, féodal et bourgeois moderne peuvent être qualifiés d’époques progressives de la formation sociale économique.

      Les rapports de production bourgeois sont la dernière forme contradictoire du processus de production sociale, contradictoire non pas dans le sens d’une contradiction individuelle, mais d’une contradiction qui naît des conditions d’existence sociale des individus ; cependant, les forces productives qui se développent au sein de la société bourgeoise créent en même temps les conditions matérielles pour résoudre cette contradiction. Avec cette formation sociale s’achève donc la préhistoire de la société humaine.

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      • 14 novembre 2021 à 11 h 21 min
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        excellent Raoul

        Tout est dit à propos de l’inévitabilité de l’effondrement de la société soviétique apparu au sein de la société féodale tsariste qui ne pouvait que produire une société capitaliste et faire naître un prolétariat pléthorique.

        La révolution prolétarienne ne pouvait précéder la création de la classe prolétarienne massivement majoritaire.

        Nous nous comprenons parfaitement.

        En complémentaire VOIR le regard de la petite bourgeoisie de gauche sur CUBA. Attardez-vous à écouter le peuple cubain derrière la phraséologie bourgeoise OBAMA …

        Oliver Stone présente trois mini-documentaires sur Cuba – les 7 du quebec

        https://les7duquebec.net/archives/268075

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  • 11 novembre 2021 à 12 h 42 min
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    Salut Robert,
    Le capitalisme, nous aura fait passer du communisme localisé au communisme planètaire. notre naturalité achevée.
    C’est la trajectoire, de la valeur qui de complexité en complexité, abouti au marché planétaire.
    C’est ce qu’on appelle l’Histoire, les peuples premier n’ont pas d’Histoire, ils reproduisent la reproduction de leur exitence par le même.
    Pendant des centaines de milliers d’années ce fut notre mode d’existence (notre naturalité).
    Voir le livre de Marshal Sallin spécialiste de l’économie dite primitive « âge de pierre âge d’abondance ».
    Abondance non seulement matérielles mais aussi de relations et d’amour.
    Cela peut métaphoriquement faire penser au Paradis perdu, et peut être pourquoi pas ?
    Noublie pas que c’est la valeur en mouvement qui crée les religions (religare) remplacer la sacralité perdue, et que cette même valeur d’échange dans sa trajectoire donne naissance à l’Etat l’argent l’esclavage, la domination, le calcul, l’ecriture etc.
    Donc démarrer l’histoire à partir de présupposés religieux, c’est oublier toutes les conditions nécessaires précédentes qui ont données la religion.
    Marx n’a pas écrit une critique de l’économie politique, pour une politique autrement, mais pour l’abolir.
    Et que donc le grand soir n’est peut être pas pour demain matin, mais peut être pour après demain.
    De même le féodalisme portait les germes de l’avènement de la révolution bourgeoise, de même 1789, porte les germes du communisme. le personnage remarquable Grachus Babeuf (Babouvisme).
    Le capitalisme contemporain en déclin et en phase sénile (crise perpétuelle), bouleverse le rapport social, met le corps social en ébulition, l’immense accumulation de spectacle, dévoile ce qu’il masque, tout se délite, ce système en domination réelle absolue, qui ne peut plus croître et accumuler suffisamment de plus value, est destiné à mourir.
    Les taux négatifs ont planté les clous dans le cercueil.
    L’équivalent général la monnaie, n’équivaut à plus rien, elle ne cristalise, ni le dynamisme, économique, ni le travail « abstrait ».
    Il n’y a pas d’homme providentiel, ni césar, ni sauveur, ni tribun.
    Le prolétariat n’a à perdre que ses chaînes.
    Les complotistes les forums de milliardaires, les têtes pensantes, les délires de la pyramide et de la terre plate, en seront pour leurx frais, tout ce qui détermine ces productions hallucinatoires, c’est le mouvement de la valeur.
    La conquête planétaire est déjà faite par le marché mondial.
    A bientôt.

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    • 12 novembre 2021 à 10 h 11 min
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      @ RAOUL

      Il nous faut tordre le cou à cette mystique du Grand soir. Tu écris « Et que donc le grand soir n’est peut être pas pour demain matin, mais peut être pour après demain. »

      Je sais que tu l’écris comme une métaphore mais nous devons prendre garde car cette métaphore nous vient directement du SOCIALISME UTOPIQUE – PETIT BOURGEOIS.

      La petite bourgeoisie est une classe sociale handicapée – amoindrie – Sa pratique sociale lui interdit la compréhension matérialiste dialectique du monde. La petite bourgeoisie compense ses insuffisances par des mises en scènes théâtrales, littéraires, culturelles, fantasmagoriques.

      En réalité le renversement du mode de production capitaliste et de ses rapports sociaux de production bourgeois sera le résultat d’un processus historique très long – complexe – meurtrier – pénible – souffrant pour la classe prolétarienne qui connaîtra des hauts et des bas – des avancés et des reculs et se développera sur la terre entière à la fois.

      Imagine, le dernier siècle de cheminement chaotique en CHINE n’aura servi qu’a jeter bas le féodalisme – prolétariser les paysannerie et construire le capitalisme d’État appelé SOCIALISME.

      Après ce siècle de souffrance sans nombre le prolétariat chinois s’approche de la maturité de classe et donc de la conscience de classe requise pour entreprendre une tâche cent fois plus complexe – difficile – hasardeuse – risquée = ie. terrasser le capitalisme d’État – socialiste et je ne parle pas ici de la tâche « suivante » que le prolétariat russe n’a pas encore amorcé = la construction du nouveau mode de production social = communiste prolétarien = pour lequel ni moi ni personne ne connaît le mode d’emploi = la recette internationaliste…que nous allons élaborée à mesure de nos luttes (ici voir nos interventions dans la guerre virale-covid- que nous mêne le capital).

      Et je pourrais ainsi faire le point sur l’état d’avancement révolutionnaire de l’immense prolétariat Américain, l’un des plus aliénés que la Terre ait porté… un des plus courageux aussi.

      Je ne suis pas découragé par l’ampleur de la tâche sachant que chacun d’entre nous sera un maillon de la chaîne de classe et qu’il n’y a pas de tâche plus exaltante.

      Robert Bibeau

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  • 12 novembre 2021 à 17 h 39 min
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    Salut Robert,
    C’est toujours un plaisir de te lire, effectivement je ne puis que te rejoindre,
    je reprends un extrait de ton post, très juste « La petite bourgeoisie est une classe sociale handicapée – amoindrie – Sa pratique sociale lui interdit la compréhension matérialiste dialectique du monde. La petite bourgeoisie compense ses insuffisances par des mises en scènes théâtrales, littéraires, culturelles, fantasmagoriques.  »
    Quand on parle de petite bougeoisie on se réfère à tors à une classe de petits proriétaire ou de couches sociales (classe collagène), d’où est sortie 1789.
    En réalité il y a une « intelligentia » aliénée de gauche, qui se pense en tant que proto-révolutionnaire mais qui n’est en fait que la reproduction des idées dominantes.
    Les rénovateurs de la putréfaction.
    Après ce tir à boulets rouges, passons à autre chose de plus substanciel.
    Le capitalisme et son spectacle.
    Spectacle, coronaviral, terroriste, mystification, subversion et donc « aliénation ».
    Dont l’épisode actuel du film s’intitulerait : Les morts vivants et la peur de mourir !
    Bon un peu de sérieux, quand on essaie d’articuler crise du mode de production capitaliste et émergence du communisme (notre naturalité) on n’hésite pas à regarder le côté aliénatoire de ce système, dépossesion, de notre Etre, aussi.
    Si le système est entré en phase sénile (crise permanente) c’est aussi sa production spectaculaire qui est également en crise.
    Or ce qui compose la subjectivité ne nous est pas donnée, d’entrée de jeu, la subjectivité, est une prédisposition de l’homme à s’adapter au milieu donnée.
    Avec le capitalisme et sa crise, c’est aussi la crise subjective des sujets du capital, la crise de la production et reproduction de son spectacle.
    Les sujets se mobilisent sur un des effets vaccinal spectaculaire que le système reproduit, ils sentent que quelque chose ne va pas, le système ne réussi pas à faire admettre d’évidence de ce qu’il prescrit.
    Ils s’interrogent….le complot mondial….le complot bancaire….le complot franc-maçon….la terre plate….le retour de satan….qui ne débouchent NULLE PART.
    Ce n’est que le début mais un début positif, car tout s’accélère, taux, négatifs équivalent qui n’équivaut plus, inflation qui démarre, chaînes de productions déstabilisées, extorsion de plus value brutale, petits jobs, précariat, stages non rémunérés.
    En chine le pendant du travail forcé c’est la ville connectée.
    Le spectacle allucinatoire lui aussi se délite et donc les consciences qui épousent le mouvement des forces productives, ne sont pas des consciences immobilisées elles, se modifient et se modifieront toujours plus jusqu’à la dénonciation toujours plus massive de l’imposture.
    C’est le rôle historique du prolétariat prenant conscience car les principaux fondements matériels nécessaires au succès d’un processus révolutionnaire communiste existent aujourd’hui au sein du capitalisme.
    Mais potentiellement seulement, et comme cachés, par l’usage et les formes concrètes que le capital leur donne. Il faut donc qu’ils soient mis à jour et surtout transformés et développés autrement par ce processus même, au delà de la cage d’acier.

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    • 12 novembre 2021 à 18 h 05 min
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      NB
      Les US sont une temporalité reculée, c’est une nation sans passé insurectionnel et sans passé tout court, les premiers immigrants Italiens ou Allemands, avaient en leurs seins des communistes d’Europe, les communistes de conseil ou les WWorkers.
      La seconde génération déjà ce n’était plus la même chose, avalée par l’Américan Way of Life.

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  • 13 novembre 2021 à 14 h 37 min
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    Un petit dernier pour la route…
    Le capital financier n’est pas une dynamique autonome qui vient se greffet de manière singulière sur la production.
    La première guerre mondiale, issue de la gigantesque saturation des marchés, le capital fait un saut qualitatif; domination réelle.
    A partir de 1914, le taux de profit est en baisse vertigineuse, d’uen manière quasi andémique.
    Qui nécessitent des masses de profits compensatoires, de plus en plus chroniques.
    K Marx livre III livre IV, sur l’anticipation de plus-value.
    Le capital cré de la valeur et de la survaleur dans un but déterminé: la vente !
    Cette plus-value le capital, ne l’a met pas dans une banque, ou sous un érable du Canada.
    Le capitalisme est une substance vivante et dynamique, qui doit se reproduire d’une manière vivante pour une reproduction élargie, à partir de la vente.
    La survaleur produite qui s’incarne dans les marchandises, il doit les vendre.
    Mais plus la domination réelle du capital s’accélère, plus la baisse du taux de profit s’accentue, plus la masse du profit qui pose problème, pose des problèmes de saturation, qui sont de plus en plus massives.
    Le crédit qui à l’origine était un levier d’accompagnement, de la croissance industrielle en domination formelle, dans son développement réel achevé, prend une forme allégorique, chimérique, le crédit devient magicien.
    Il devient ANTICIPATION FORCENEE. (Les marchés saturent on anticipent la vente).
    Certes la vente se fait, mais elle se fait dans des formes formelles, métaphoriques et chimériques.
    La capital anticipe une vente qui n’a pas eu lieu, comme si elle avait eu lieu…
    En domination réelle donc il se produit une inversion dialectique, le dynamisme industriel n’est pas le soubassement du crédit qui l’accompagne dans sa dynamique.
    Mais cest le capital financier qui vient surdéterminer le capital industriel.
    Dialectique de la composition organique, la baisse du taux de profit, de la plus-value relative.
    On peut résumer ainsi rapidement sans entrer dans le dur, la finance est la production métastasique, du capitalisme en domination réelle, quand l’anticpation de plus-value en rapport avec la saturation des marchés, devient une pathologie forcenée, consubstentielle à la hausse de la composition organique et la baisse du taux de profit.
    Et non pas d’hallucinés au fond d’un blockhaus, échaffaudant des plans pour la domination mondiale., même si ça existe.
    Bonne soirée.

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