Professeur Luc Montagnier: lanceur d’alerte sur les vaccins à ARN messager
C’est à nouveau pour endosser le costume de « lanceur d’alerte » que le professeur Luc Montagnier est de retour chez FranceSoir. La première fois que le prix Nobel de médecine 2008 s’était rendu sur notre plateau, il avait expliqué que le virus du Covid-19 était issu d’une manipulation en laboratoire. La seconde, il avait averti que les vaccins contre le Covid-19 auraient de graves effets secondaires. Deux hypothèses balayées d’un revers de main par l’intelligentsia à l’époque. Depuis, le temps, l’analyse et l’information ont donné du crédit à ces analyses.
Cette fois, le professeur de médecine, âgé de 89 ans mais « toujours actif intellectuellement » et prompt à donner son avis, surtout « s’il y a des vies humaines en jeu », alerte sur les liens entre les vaccins et des cas de maladies à prions.
La plus connue d’entre elles est celle de Creutzfeldt-Jakob, qui est attachée à un scandale sanitaire survenu en France au début des années 1980. « 120 enfants sont morts de cette maladie. Pourquoi ? Parce qu’ils avaient reçu une injection d’hypophyses prélevées chez des personnes âgées dans une maison de retraite. »
Mais quel est le lien avec les vaccins Covid-19 ? L’ancien chef du service Sida et rétrovirus à l’Institut Pasteur explique : « Grâce à une étude en Espagne, on a montré que l’aluminium présent dans les vaccins pouvait, par lui-même, induire des maladies à prions. » Or, il est fort probable qu’il y ait de l’aluminium dans les vaccins Covid. Au même titre que dans les vaccins contre la grippe. « Je me demande si les maladies à prions développées par certaines personnes âgées sont liées aux injections répétées contre la grippe, car on se vaccine contre la grippe tous les ans. » Accumulant ainsi de l’aluminium dans le cerveau.
« Il faut cesser le vaccin. Le plus tôt sera le mieux »
À l’heure actuelle, le professeur Montagnier affirme avoir détecté de façon formelle cinq cas de maladies à prions chez des personnes jeunes et en bonne santé, quelques semaines après avoir reçu des injections Pfizer. Et selon lui, il pourrait y en avoir « des dizaines et des dizaines ». « Il y a des gens qui décrivent le même phénomène que moi, mais ils disent : « Cela ne peut pas être le vaccin. » C’est une folie. C’est le vaccin. Il faut le cesser. Le plus tôt sera le mieux. On sauvera des vies. Surtout à l’heure où l’on parle de vacciner des enfants. »
Pourtant, Luc Montagnier est loin d’être un « anti-vax ». Pour lutter contre le Covid-19, il conseille d’utiliser le vaccin BCG (contre la tuberculose) – lequel n’est plus obligatoire en France depuis 2007 – car il stimule l’immunité cellulaire. « À Mayotte, où le BCG est toujours obligatoire, il y avait très peu de cas de Covid-19 jusqu’au moment où les autorités françaises ont décrété qu’il fallait utiliser les vaccins ARNmessager. À partir de ce moment-là, il y a eu un pic du nombre de cas. »
Le professeur compte envoyer le résultat de ses recherches à l’éditeur (rédacteur en chef) du BMJ (British Medical Journal), à travers une lettre cosignée avec un groupe de chercheurs. Seront-ils entendus, cette fois ?
Auteur(s): FranceSoir
version en portugais;
https://queonossosilencionaomateinocentes.blogspot.com/2021/11/professor-luc-montagnier-denunciante.html