Bavardages météorologiques et crise mondiale de mystification climatique burlesque
Par Sébastien Renault. Source Entre la Plume et L’Enclume.
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Quelques jours de canicule localisée à l’échelle des quelques 3 % de la surface terrestre comprenant l’Europe occidentale, et le propagandisme intergouvernemental se fait catégorique : l’ « urgence climatique » doit être décrétée le plus rapidement possible ! Autrement dit, « alerte rouge », « alerte au réchauffement climatique anthropique », « l’Europe est en feu », les « lacs de l’ouest étasunien se tarissent », « on enregistre actuellement les températures les plus élevées » – sous-entendu, « aux quatre coins de la planète » …
Qu’en est-il réellement ? Considérons le graphique mondial suivant de l’anomalie thermique moyenne journalière (datant d’hier, mercredi 20 juillet 2022), établi par l’Institut du changement climatique de l’Université du Maine (les cercles colorés et les légendes sont nos ajouts, qui ne modifient rien).
L’anomalie de température mondiale n’était hier que de + 0,2 °C (encadré en rouge en bas à gauche) et il fait notablement très froid (les zones concernées principales sont encerclées de deux bleus différents) dans de nombreuses régions du monde, comme en Arctique, en Scandinavie, en Sibérie, à Moscou, en Antarctique, en Argentine, dans le sud-est de l’Australie… La propagande climatique n’en a cure et la désinformation persiste et signe, au point de définir le climat global par le temps qu’il a fait en Europe occidentale ces derniers jours (et dans certains États américains, comme le Texas et l’Oklahoma).
Mais il n’y a pas de vagues de chaleur et de sécheresse extrêmes aux États-Unis, contrairement à ce que racontent Biden le sénile et son groupe d’arnaqueurs médiatiques. Les plus récentes canicules outre-Atlantique se sont produites dans les années 1930, comme l’indique l’un des derniers indices de canicule disponibles (n’ayant pas été supprimés du site) de l’Agence de protection de l’environnement des États-Unis (l’EPA) :
Comment de brèves canicules estivales pourraient-elles en effet faire office d’indication d’un « changement climatique » constituant une quelconque « urgence planétaire », alors qu’il existe deux hémisphères, nord et sud ? Les événements et les tendances météorologiques qui surviennent dans l’un et l’autre hémisphères attestent clairement qu’il n’y a pas de réchauffement extrême généralisée en 2022. Un hémisphère sud qui présente une tendance à produire des températures en baisse (comme c’est le cas en ce moment, notamment en Argentine et en Australie) a pour contrepartie un hémisphère nord dont les températures vont tendre vers une phase de réchauffement ponctuel (l’Arctique étant l’une des exceptions notoires actuelles, surtout cette année, comme nous en avons traité plus spécifiquement ici le mois dernier).
La mystification ne fonctionne que si l’on oublie la dualité hémisphérique.
L’Australie, dont la taille est plusieurs fois supérieure à celle de l’Angleterre, est en train de battre des records de froid depuis début juin (voir ici | Australia news | The Guardian). Curieusement cependant, cette actualité climatique de l’autre côté de notre planète « en feu » n’a pas fait couler beaucoup d’encre ces dernières semaines dans les milieux médiatiques, en comparaison de l’hystérie alarmiste suscitée par la vague de chaleur d’environ 48 heures cette semaine à Londres (vague de chaleur pourtant sans commune mesure, en termes de durée, par exemple avec la canicule de juin-juillet 1976).
Les événements et les tendances météorologiques passés révèlent qu’il n’y a pas de chaleur extrême généralisée en 2022. D’où, comme toujours, l’importance de l’histoire et de la cultivation du sens et d’une conscience historique, y compris dans le domaine du climat.
La science de rigueur et l’histoire sont les deux domaines qui font le plus cruellement défaut au programme mondialiste de « lutte contre le réchauffement climatique », véritable instrument de l’effondrement énergétique en vigueur et de l’abjecte paupérisation des peuples qui en découle (pénurie énergétique et alimentaire engendrée par des superstitions climatiques, et dont nous ne pouvons que faire porter la responsabilité à ses véritables instigateurs à la tête des grandes institutions du pouvoir mondial politico-financier).
Versão em Língua Portuguesa:
https://queonossosilencionaomateinocentes.blogspot.com/2022/07/tagarelices-meteorologicas-e-crise.html
en complémentaire
C EST UN ARTICLE TRES INTERESSANT DE 2020 …..
[EN VIDÉO] Un 25e cycle d’activité pour le Soleil La Nasa l’a annoncé le mardi 15 septembre 2020 : notre Soleil est entré dans son 25e cycle d’activité en décembre 2019. Son prochain pic d’activité devrait être enregistré en juillet 2025.
Depuis quelque temps, l’activité du Soleil apparaissait affaiblie. Le cycle 24 s’était montré particulièrement calme. Les astronomes de la Nasa n’imaginaient pas que cela change au cours du cycle 25. Pourtant, des chercheurs suggèrent aujourd’hui qu’à l’inverse, le cycle de 11 ans qui a débuté en décembre 2019 pourrait s’avérer particulièrement intense. Voici pourquoi ?
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En septembre dernier, la Nasa et l’Agence américaine d’étude de l’atmosphère et des océans, la NOAA, annonçaient que le cycle solaire 25 avait débuté en décembre 2019. Et c’est donc aujourd’hui environ un an après le début de ce cycle, que des chercheurs du National Center for Atmospheric Research (NCAR, États-Unis) prévoient qu’il sera l’un des plus intenses jamais enregistrés.
VOIR AUSSILe Soleil a débuté son 25e cycle d’activité, annonce la Nasa : qu’est-ce que cela signifie ?
Rappelons que l’activité du Soleil est surveillée depuis 1755 par l’intermédiaire des taches que les astronomes observent à sa surface. Cette activité — et avec elle, le nombre de taches — suit un cycle d’environ 11 ans. Le dernier d’entre eux, le cycle 24, s’est placé parmi les quatre plus faibles jamais observés. Le plus faible depuis un siècle. Avec un maximum de 116 taches solaires contre une moyenne habituelle de 179.
Les chercheurs de la Nasa et de la NOAA imaginaient que le cycle 25 se présente dans la même veine. Au moins aussi faible. Avec un maximum de taches solaires en juillet 2025 autour de 115. Mais les travaux publiés par des scientifiques du NCAR mènent à une conclusion inverse. Le cycle 25 pourrait atteindre un maximum de taches solaires compris entre 210 et 260 !
UNE CONFIRMATION ATTENDUE EN 2025
« Les scientifiques ont peiné à prédire à la fois la longueur et l’intensité des cycles solaires parce que nous n’avons pas une compréhension fondamentale du mécanisme à l’origine de ce cycle », explique Scott McIntosh, physicien, dans un communiqué du NCAR. Selon son équipe et des travaux qu’elle publie depuis plusieurs années, le Soleil connaîtrait en réalité des cycles magnétiques de 22 ans qui se chevauchent pour donner naissance aux cycles de 11 ans que les astronomes observent depuis le milieu du XVIIIe siècle.
Les chercheurs du NCAR ont en effet étudié de près des scintillements UV éphémères qui apparaissent dans l’atmosphère solaire. Ils se déplacent des hautes latitudes vers l’équateur du Soleil sur une période d’environ 20 ans. Et selon Scott McIntosh, ils marquent le voyage des bandes de champ magnétique qui s’enroulent autour du Soleil. Lorsqu’elles se rencontrent à l’équateur, elles s’annihilent et sonnent la fin ou le début d’un nouveau cycle solaire. Ce que les chercheurs appellent un événement terminateur.
Les scintillements UV semblent apparaitre à des latitudes élevées à un rythme constant d’environ 11 ans. Mais parfois, leur déplacement se ralentit en arrivant aux latitudes moyennes et le temps entre deux événements terminateurs s’étire. « Sur 270 ans d’observation, nous notons que plus le temps entre deux événements terminateurs est long, plus le cycle qui suit est faible et inversement », précise Bob Baltimore, chercheur à l’université du Maryland et coauteur de l’étude. L’étude des événements terminateurs montrerait par exemple que le cycle 4 a commencé en 1786 pour ne s’achever qu’en 1801, 15 ans plus tard. Le cycle 5 qui a suivi a été incroyablement faible, avec un maximum de seulement 82 taches solaires. Le cycle 24, lui, aurait ainsi duré un peu moins de 10 ans, ce qui laisserait supposer un cycle 25 particulièrement intense. Affaire à suivre…
https://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/soleil-nouveau-cycle-solaire-pourrait-etre-plus-intense-jamais-observe-84601/
Malheureusement, les climato-septiques ne se basent en réalité que sur une pseudo-science.. ils ne sont que des négationnistes adoptant une attitude de déni. Ce sont des intérêts industriels et politiques qui financent et alimentent le négationnisme climato-septique, trouvant du soutien dans les médias conservateurs. Ils cherchent à créer de l’incertitude dans les populations vulnérables et mal renseignées quant aux données scientifiques montrant la réalité de la planète qui se réchauffe, incluant l’activité humaine.
Ces think tanks conservateurs et libertariens des industries polluantes se retrouvent beaucoup parmi les américains et les groupes de réflexion de la droite radicale.
Comme comparaison, on a qu’à penser aux compagnies de tabac et leur déni quant aux ravages causées sur la santé par la cigarette…ce qui ne fait que retarder l’échéance.
Les climato-septiques sont incapables d’accepter, d’assumer la réalité des conséquences de leur choix. Ils préfèrent vivre dans une fausse réalité, ils sont des septiques à l’EFFET DE SERRE….incapables de chiffrer les impacts sur l’environnement de l’activité humaine comme le font les vrais scientifiques.
Il serait plus approprié de les appeler négateurs des sciences climatiques. Pour ma part, je les qualifie de dangereux PARASITES.
Permettez qu’un parasite vous réponde :
Article de 2019 du « journal au physic » par des chercheurs de l’université Malaisie.
Si je le résume : Le réchauffement climatique terrestre n’est pas anthropique. Il est dû au minimum solaire actuel : la température élevée du soleil (donc moins de taches solaires visibles, puisqu’une tache sur le soleil est la signature d’une température plus basse) va donner une luminosité plus élevée, un rayonnement solaire beaucoup plus intense dans tout le spectre d’ondes électromagnétiques émises c’est-à-dire une énergie élevée rayonnée par le soleil : « le vent solaire »).
Conclusion : la terre absorbant 71 % du vent solaire arrivant va se réchauffer par activation/mouvement des particules de matière terrestre et atmosphériques.
Cette publication se base sur l’année 2017 où le minimum solaire constaté est couplé à une hausse des températures terrestres . Moins on observe de taches solaires et plus la température sur terre s’élève . L’explication : moins il y a de taches solaires, plus la température du soleil est élevée, donc plus il y a production d’éruptions solaires et d’éjection de masse coronale, donc plus de rayonnement électromagnétique entraînant un réchauffement de l’atmosphère et de la planète Terre (évidemment pas que !)
La cause anthropique du réchauffement est bien moindre par rapport à ce phénomène !
https://lilianeheldkhawam.com/2022/07/24/le-climat-modifie-par-la-variabilite-des-activites-solaires-une-etude-malaisienne-2019/