LA CHUTE DE L’INNOCENCE
C’est le terme employé par nos Amérindiens depuis la débarque quand toutes ces fières Nations se sont faites avoir par les mensonges des Blancs. Ils pensaient qu’il y avait de l’honneur dans la parole de ces Blancs et qu’ils méritaient de la considération, et même de l’estime ?!? Nos Autochtones ont toujours eux une morale et une dignité et des valeurs profondes par rapport à leur société basée sur la loi irréprochable de la Nature. Caucasiens
Et là, ces Européens incultes débarquent, ignorant l’importance d’un environnement sain. Ils insultent les manières naturelles et saines de ces gens qui les accueillent.
Naturellement, l’absolu dédain, et l’ignorance des Blancs, de même considérer les qualités supérieurs et spontanées aux nôtre. Même le Dieu des Blancs voué à une richesse si éloignée d’une vrais morale, comme l’or, etc. Aurait pu alerter nos Autochtones familiarisés à une vie simple et juste, pas du tout habitués à l’hypocrisie, dont le mot n’existait même pas dans leur vocabulaire!
Bien sur, ils se sont fait avoir! C’est facile pour nous, les Blancs, de déguiser la vérité, comme le font très bien nos médias pour nous expliquer, avec des experts bien payés, qu’on ne s’en va pas vers la catastrophe environnementale ?!? Les maîtres de l’illusion, toujours l’illusion, les admirable dessins animés. Les arbres en plastiques !
Il va y avoir une manif à Montréal pour commémorer la Journée de la Terre (Sans Greta ?!?) et vous pouvez être certains que NOS Premières Nations vont y participer avec le même message depuis 500 ans, que…
L’OR NE SE MANGE PAS!
John Mallette
e Poète Prolétaire
AURORA – The Seed : “When the last tree has been cut down, the last fish caught, the last river poisoned, only then will we realise that one cannot eat money »
https://www.youtube.com/watch?v=_Mc_OM5oNA8
Paroles :
Just like the seed
I don’t know where to go
Through dirt and shadow I grow
I’m reaching light through the storm
Just like the seed
I’m chasing the water
I unravel myself
Growing in slow motion
You cannot eat money, oh no
You cannot eat money, oh no
When the last tree has fallen
And the rivers are poisoned
You cannot eat money, oh no
You cannot eat money, oh no
When the last tree has fallen
And the rivers are poisoned
Suffocate me
So my tears can be rain
I will water the ground where I stand
So the flowers can grow back again
Cause just like the seed
Everything wants to live
We are burning our fingers
But we never forget
You cannot eat money, oh no
You cannot eat money, oh no
When the last tree has fallen
And the rivers are poisoned
You cannot eat money, oh no
You cannot eat money, oh no
When the last tree has fallen
And the rivers are poisoned
Feed me sunlight, feed me air
Feed me truth and feed me prayer
Feed me sunlight, feed me air
Feed me truth and feed me prayers
You cannot eat money, oh no
You cannot eat money, oh no
When the last tree has fallen
And the rivers are poisoned
You cannot eat money, oh no
You cannot eat money, oh no
When the last tree has fallen
And the rivers are poisoned
TRADUCTION
Tout comme la graine
Je ne sais pas où aller
Dans la terre et dans l’ombre je pousse
Je parviens à la lumière en traversant la tempête
Tout comme la graine
Je recherche l’eau
Je m’étiole
En me développant au ralenti
Vous ne pourrez plus dévorer vos billets, oh non
Vous ne pourrez plus dévorer vos billets, oh non
Quand le dernier arbre sera tombé
Et que les rivières auront été empoisonnées
Vous ne pourrez plus dévorer vos billets, oh non
Vous ne pourrez plus dévorer vos billets, oh non
Quand le dernier arbre sera tombé
Et que les rivières auront été empoisonnées
Étouffez-moi
Pour que mes larmes soient pluie
J’arroserai le sol là où je suis
Pour que les fleurs puissent repousser
Parce que, tout comme la graine
Tout demande à vivre
Nous nous brûlons les doigts
Mais jamais on oublie
Vous ne pourrez pas dévorer vos billets, oh non
Vous ne pourrez plus dévorer vos billets, oh non
Quand le dernier arbre sera tombé
Et que les rivières auront été empoisonnées
Vous ne pourrez pas dévorer vos billets, oh non
Vous ne pourrez plus dévorer vos billets, oh non
Quand le dernier arbre sera tombé
Et que les rivières auront été empoisonnées
Soleil, abreuve-moi de ta lumière ; nourris-moi, air
Nourris-moi, vérité, et nourris-moi, prière
Soleil, abreuve-moi de ta lumière ; nourris-moi, air
Nourris-moi, vérité, et nourris-moi, prière
Vous ne pourrez pas dévorer vos billets, oh non
Vous ne pourrez plus dévorer vos billets, oh non
Quand le dernier arbre sera tombé
Et que les rivières auront été empoisonnées
Vous ne pourrez pas dévorer vos billets, oh non
Vous ne pourrez plus dévorer vos billets, oh non
Quand le dernier arbre sera tombé
Et que les rivières auront été empoisonnées
https://paroles2chansons.lemonde.fr/paroles-aurora/paroles-the-seed.html
EXcellent car très juste.
L’hypocrisie et le mensonge nous gouvernent tous.
Versão em Língua Portuguesa:
https://queonossosilencionaomateinocentes.blogspot.com/2022/08/a-perda-da-inocencia.html
L’or ne se mange pas, il est vrai. Mais il est La Monnaie depuis 5000 ans, l’or et l’argent métal sont la Monnaie que LE CRÉATEUR a voulu pour nous.
Pas le papier peint 💵 💴 💶 des banksters.
Qui nous la mette bien profond!
Ô, MA TERRE
Combien de travailleurs
Ont brûlé leurs heures
Pour que vive la flamme
Du pétrole qui damne
Et combien de peine
Ont chargé les épaules
Des pauvres bohèmes
Qui errent entre deux pôles
Où les vents de fumée
Noirs comme les enfers
Ont traîné leurs chaînes
Sur la terre condamnée
Même le soleil disparu
Derrière les nuages obtus
Qui brisent la lumière
De l’esprit confondu
Comme une Lune triste
Les visages pâlis
Des poètes interdits
Prisonniers du schiste
Que la force réclame
Pour nourrir le capital
Monstre sans âme
Et l’ennemi fatal
Des fleurs et des rosées
De l’aube et des étés
Comme une grande faux
Déchiquette les oiseaux
Ô mère ma terre
Qui tant a souffert
Tu pleures dans le ciel
Des larmes de sel
Car les hommes fous
Sont redevenues bêtes
Et frappent ta tête
Avec le fer des clous
Et me voilà orphelin
Comme mes frères animaux
Et mes amis floraux
Qui meurent au matin
Dans l’angélus sombre
Du tourment des jours
Où peine ton amour
Dans un trou d’ombre
Ma chère planète
Exilée et seulette
Ne porte plus sur son dos
Que le choc de mes os
Car la vie s’est éteinte
Avant d’éclore ses graines
Dans le chant des plaines
L’Humanité s’est éteinte
Pierre Marcel Montmory
Poème dit par l’auteur :
https://www.youtube.com/watch?v=MqwAS7c-LUE&list=PLy1NCra653VNJBZ7zVtLMe7riOsEobqYv&index=7&t=1s