Robert Bibeau

Auteur et éditeur

2 réflexions sur “Capitalisme et immigration : le manuel – Michel Collon et Saïd Bouamama

  • 23 septembre 2022 à 3 h 20 min
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    « Capitalisme » mais pas que.
    L’action antiraciste est l’une des sphères d’action du mondialisme.
    Joseph A Schumpeter, qui a enseigné à David Rockefeller à Harvard, écrit (Capitalism, Socialism and Democracy) : « Les vrais stimulateurs du socialisme n’étaient pas les intellectuels ou les agitateurs qui l’ont prêché, mais les Vanderbilt, les Carnegie et les Rockefeller ».
    Yann Moncomble, dans son livre « Les Professionnels de l’anti-racisme », rappelle que, dans les années 1970, les affiches du PC avaient pour slogan : « Anticommunisme = racisme ».
    D’après « Lecture Françaises » d’avril 2001, à partir de 1989, le bureau des Nations Unies du Haut-Commissariat pour les réfugiés a été la centrale qui a orchestré les migrations de masse des musulmans nord-africains en Europe et des slaves des pays de l’Est. Ainsi a-t-il été assigné à la France un quota de 24 millions d’émigrants qui en effaceront littéralement le visage et l’histoire. Les États ont même changé leurs lois pour accepter un afflux massif et rarement contrôlé d’extra-communautaires sur leurs territoires.
    Rappelons qu’en plus de la loi du 3 janvier 1973 également appelée « loi Pompidou-Giscard-Rothschild », qui modifie les statuts de la Banque de France et donne le coup d’envoi d’une dette qui n’aura de cesse d’augmenter exponentiellement et, ainsi, de vampiriser toutes les richesses nationales produites, la France doit à Valery Giscard d’Estaing, ancien ministre de l’Économie et des Finances sous Pompidou, devenu Président de la République en 1974 (et accessoirement Co-fondateur de la « French-American Foundation » en 1976), une réforme majeure dans le domaine de l’immigration : la mise en place du « regroupement familial ». La politique d’intégration des étrangers transformera à partir de là, le modèle d’assimilation culturelle et d’adoption totale de la culture française selon la République « Une et Indivisible », qui « assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion », par un multiculturalisme, libéral, forcé, diviseur et communautaire, selon le modèle anglo-saxon, et conduisant à toute une kyrielle de malheurs sociaux, culturels, économiques et politiques, individuels ou collectifs : entre autres, apparition et croissance, au sein d’un peuple, de tensions et de divisions ; perte de l’identité ; éradication brutale de la mémoire et de tous ses symboles ; déracinement et errance culturels ; perte des repères linguistiques que sont la grammaire et la syntaxe, donc de la capacité de bien structurer sa pensée si l’ethnie dominante est d’une autre langue ; réduction de la capacité à s’exprimer correctement pour être bien compris et participer pleinement à la vie collective ; ghettoïsation et paupérisation de pans entiers de la population les moins souples à s’adapter, etc.
    Subtilement, pour accompagner cette « marche forcée » dans l’Europe tout entière, et en faciliter l’intrusion, la seconde moitié du XXème siècle allait voir la culture américaine, notamment musicale, envahir l’Europe et ouvrir la voie à une pénétration à grande échelle et à un remplacement progressif de la culture européenne par des traditions non européennes. Elle comprenait d’abord de puissants éléments afro-américains tels que le jazz, renforcés ensuite par les traditions afro-caribéennes comme le Reggae puis, grâce à l’afflux de genres afro-américains apparentés, le Rap, le Hip-Hop, etc., faisaient leur apparition. Notons également l’irruption, dans les années 70, du « Raï », genre chanté algérien, mélange d’Arabe, de Rock et de Blues.
    Est-il utile de rappeler que le Rock a permis l’intrusion, dans notre monde, d’influences négatives, sinistres, liées au sexe, à la violence gratuite, à la drogue (notamment au LSD) aux pulsions les plus basses, et provoquant chez les êtres et par voie de conséquence dans nos sociétés, de graves effets pathologiques aux niveaux physiologique, psychologique et social. Ce fut le « Tavistock Institute » de Londres (ex-clinique psychiatrique créée en 1920 et financée par la « Rockefeller Foundation ») sous la direction de John Rawlings Rees (J.R. Rees, qui était psychiatre, eut pour étudiant Henry Kissinger), qui changea son nom en 1947 en « Tavistock Institute of Human Relations », et qui, dans les années 60, en collaboration avec les services secrets anglais, et grâce aux larges subventions de la Fondation Ford, du Centre Britannique d’Etudes sur l’Environnement, du Ministère de la Défense britannique, de l’Université de Harvard et du Conseil des Recherches en Sciences Sociales de Grande Bretagne, pilota l’expérience de la diffusion et de l’emploi de la drogue, surtout de la drogue produite artificiellement (LSD), dans le cadre de ce phénomène socialement déstabilisant, qui fut appelé « contre-culture ». Précisons que le LSD, ou acide lysergique, fut développé par la Société « Sandoz AG », maison pharmaceutique suisse, propriété des banquiers Warburg de Londres, absorbée en 1995 par la « Swiss Bank Corporation », la plus grande banque suisse.
    Blog : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/

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