À bas le féminisme petit bourgeois vindicatif, punitif, déviant et castrateur

Par Khider Mesloub.

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Paradoxalement, dans la société capitaliste occidentale surprotégée, où la gent féminine semble émancipée, quand les féministes et les instances politiques et médiatiques parlent de la femme, c’est toujours comme un être singulier, une personne infériorisée, aliénée, fondamentalement différente de l’homme (toute ressemblance avec le monde musulman, pourtant fustigé pour sa misogynie, serait une pure et fortuite coïncidence). Ironie de l’histoire, le meilleur allié du patriarcat, c’est le néo-féminisme, qui perpétue les mêmes stéréotypes phallocratiques (encore prégnants dans les pays islamiques) et prônent les mêmes traitements différentialistes sexués, réservés exclusivement à la femme, au plan social et judiciaire, tels qu’ils ont cours dans les pays musulmans.

En effet, par leur action d’essentialiser les violences commises contre les femmes, leurs mobilisations exhortant les pouvoirs publics à protéger les femmes, à voter des lois spécifiques pour les femmes, elles perpétuent le schéma patriarcal qui infériorise et infantilise la femme. Aux yeux des néo-féministes différentialistes, toute femme, tel un enfant consubstantiellement immature et vulnérable, serait, de par sa nature même, congénitalement en danger, susceptible d’être victime de la prédation masculine.

Somme toute, par leur politique féministe essentialiste, les néo-féministes détachent les femmes de la communauté humaine universelle pour les assigner à des statuts particuliers inférieurs, réduites à une minorité à protéger du fait de leur « faiblesse congénitale », leur « vulnérabilité innée ». Ce faisant, elles les placent dans une condition infrahumaine, d’extranéité sociale, c’est-à-dire d’étrangères à la communauté humaine. Comme cela a également cours dans les pays musulmans où la femme est soumise à un statut d’éternelle mineure nécessitant sa protection par un mâle. En Occident, par l’État.

Par ailleurs, le néo-féminisme bourgeois contemporain, « intoxidentalisé », c’est-à-dire intoxiqué par l’idéologie misandre et l’arrogance légendaire occidentale, cultive une politique victimaire. Rappelons que, selon le dictionnaire Le Robert, le terme misandre désigne « une femme qui a de la haine ou du mépris pour les hommes ». Dès le début de notre siècle, les dérives du féminisme avaient déjà été dénoncées par Élisabeth Badinter, dans son ouvrage Fausse route. Dans ce livre, publié en 2003, elle fustigeait le « féminisme guerrier », la guerre des sexes, le féminisme misandre, victimaire.

Aujourd’hui, les féministes différentialistes instrumentalisent les violences conjugales. Les violences faites aux femmes sont devenues l’arme du féminisme punitif. Sur ces violences résiduelles, elles assènent leurs argumentations victimistes. À chaque violence commise contre une femme par un homme, indécemment instrumentalisée, les féministes brandissent leurs accusations flanquées de leurs immanquables revendications pécuniaires.

En effet, dans le dessein de réclamer financement public et subventions privées, le féminisme « martyrologique » a besoin d’assombrir la condition conjugale réservée aux femmes par les hommes. Pour vivre pécuniairement, il a surtout besoin de victimes pour ne pas succomber à la mort associative. Faute de victimes médiatiquement « visibilisées », parfois fabriquées à fins de règlement de compte politique, le féminisme victimaire finirait par tomber dans les oubliettes sociétales. Ainsi, derrière le discours de dénonciation de la violence sexiste, outrancièrement instrumentalisée, s’affairent des associations féministes vénales, financées généreusement par les fonds publics, autrement dit par l’argent du contribuable.

Globalement, le féminisme victimaire fonctionne sur un schéma binaire : femme victime (toute femme) /homme bourreau (tout homme). Or, les chiffres des homicides contre les femmes sont en baisse régulière. Les homicides dont les victimes sont des femmes sont en baisse constante (moins 25 % depuis 10 ans). En France, 90 tuées en 2020 (79 tuées en 2022), contre 146 en 2019 (cette baisse considérable du nombre de morts est intervenue dans un contexte de crise sanitaire et social, sur fond de confinement, censé avoir accentué les violences intrafamiliales et conjugales, thème amplement relayé par les médias pour éluder les véritables violences sociales et politiques infligées à l’ensemble du peuple par le gouvernement, notamment par l’explosion du chômage, l’augmentation de la précarité et de la paupérisation, la recrudescence de la surveillance et du contrôle social, la répression policière et la militarisation de la société).

En réalité, d’un point de vue fondamentalement humain, en matière pénale, statistiquement, dans l’ensemble des pays, les premières victimes des violences en général sont largement les hommes. Les femmes ne constituent qu’un très faible pourcentage en matière de violences, à plus forte raison d’homicides. Certes la violence létale est majoritairement perpétrée par les hommes, mais les principales victimes de cette violence sont essentiellement les hommes eux-mêmes. « Selon les données fournies par l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime, dans le monde, 78,7 % des victimes d’homicide sont des hommes, et dans 193 des 202 pays ou régions répertoriés, les hommes étaient plus susceptibles d’être tués que les femmes ». 

 De fait, au sein de la société capitaliste mondiale contemporaine, chaque année plus de 750.000 personnes meurent de violences liées à des conflits armés et à la petite ou grande criminalité dont une grande majorité 490.000 en dehors des zones de guerre, c’est-à-dire dans la société civile, victimes de la criminalité inhérente au capitalisme. Le féminisme ne dénonce jamais ce génocide perpétré par la société capitaliste criminogène et belligène.

 En vérité, les violences conjugales impliquent parfois les deux sexes. La conception angélique selon laquelle les femmes seraient toujours les victimes et les hommes toujours les agresseurs est fallacieuse. Dans un couple, certes l’homme peut faire preuve, in extremis, de violence, mais la femme manifeste également une réelle violence verbale et psychologique, voire physique. Cette violence est minimisée, voire ignorée, par les féministes.  Un tiers des victimes de violences physiques dans le couple sont des hommes. Officiellement, 20 % des hommes sont victimes de violences conjugales, un chiffre en réalité sous-évalué du fait du tabou lié à la difficulté pour les hommes de se confier, d’être crus.

Du point de vue juridique, le discours féministe véhicule l’idée selon laquelle les violences conjugales ne seraient pas suffisamment jugées ni condamnées. Or, l’histoire des annales pénales prouve le contraire. Depuis le XIXème siècle, les violences conjugales sont toujours sévèrement punies, la violence de l’époux constituant par ailleurs un facteur aggravant, donnant lieu à une condamnation sévère.

Loin de nous l’idée de nier l’importance de la violence commise contre les femmes par leurs conjoints, en particulier les assassinats des femmes, il convient néanmoins de replacer cette violence et ces meurtres dans le contexte actuel du développement exponentiel de la violence protéiforme générée par le système capitaliste belligène en pleine putréfaction. Comment définir et qualifier ces meurtres de masse perpétrés fréquemment par des jeunes adolescents à peine pubères, notamment dans les établissements scolaires, dans la plus grande démocratie du monde, les États-Unis, mais aussi dans de nombreux pays civilisés occidentaux ? Selon les statistiques publiées par la police fédérale (FBI), les États-Unis ont enregistré plus de 21.500 homicides en 2020, soit près de 59 par jour. Un grand nombre de ces homicides est perpétré par des enfants âgés de 10 à 19 ans. Depuis 2012, il y a eu 3865 fusillades de masse. Cette année, depuis le début de l’année 2022, presque 220 fusillades sont survenues aux États-Unis.  Soit plus d’une fusillade par jour. L’an dernier, il y a eu 692 fusillades, commises également par des adolescents. 25 mineurs meurent chaque semaine par balle et 91 % des enfants tués dans le monde par des armes à feu, le sont aux États-Unis. Cette violence juvénile et infantile est autrement plus dramatique et meurtrière. Pourtant elle ne suscite pas le même émoi, le même effroi, la même indignation, la même fureur.

Aujourd’hui, le féminisme vindicatif tente de prendre en otage le droit en s’arrogeant le monopole de la représentation de la souffrance légitime. Or, il n’en est rien. Aucun durcissement du code pénal est susceptible d’apporter un adoucissement de la société. Même l’existence de la peine de mort n’a jamais enrayé la criminalité, comme la société étasunienne criminogène l’illustre.

Contre cette dérive judiciaire féministe, les opposants (les juges et les avocats) à « l’exceptionnalité juridique féminine », notamment la codification du féminicide, invoquent le principe d’égalité devant la loi. Selon les juristes opposés à toute « exceptionnalité judiciaire » et codification, l’institutionnalisation du féminicide vise à s’appliquer à une catégorie de la population. Or, cette application porte atteinte au principe d’universalisme du droit et d’égalité des citoyens devant la loi pénale. L’incrimination spécifique du féminicide a pour objectif de sanctionner plus diligemment et plus sévèrement les auteurs du crime. Toujours est-il qu’avec cette spécification juridique, à situation identique, l’auteur d’un meurtre ou de violences perpétrées contre une femme se verrait appliquer un traitement judiciaire distinct et une condamnation plus lourde que le coupable de forfaits identiques commis à l’encontre d’un homme. Au final, cela reviendrait à considérer le meurtre d’une femme plus répréhensible que celui d’un homme. Ce qui serait, au plan humain et moral, inacceptable.

Cela confirme l’exception d’extranéité dont les féministes veulent se prévaloir devant les tribunaux pour échapper à la justice de droit commun s’appliquant à tous les justiciables, sans distinction de sexe. Rappelons que le concept d’extranéité est originellement un terme juridique désignant un individu ou groupe d’individus qui, dans une société donnée, ne bénéficie pas de l’accès aux droits et devoirs de de celle-ci mais se voit appliquer les lois de sa société d’origine. En l’espèce, les néo-féministes militent, en vertu de ce statut d’extranéité auto-attribué, excipé comme un droit, pour bénéficier d’une justice rendue en fonction de leur sexe d’origine, c’est-à-dire féminin, et non pas du droit universel.

En tout état de cause, la question des violences contre les femmes n’est pas un problème féminin (féministe) mais un dramatique problème de société. Encore une fois, il n’est pas dans les projets de la nature humaine de s’autodétruire : le ver n’est pas enfoui dans la tête de l’homme mais tapi dans le giron de cette société capitaliste criminogène. Le mal n’est pas d’abord dans l’homme, mais dans la société. Le capital, comme le féminisme, met sur le compte de la psychologie de l’homme la malice des faits sociaux. Par cette opération de manipulation consistant à condamner uniquement le Mâle, elle exonère le Mal de la société capitaliste, autrement plus meurtrier et génocidaire : l’exploitation et l’oppression salariales, les guerres, les famines, les exodes, etc.

 

Aussi, les féministes misandres ne contribuent-elles nullement, par leurs gesticulations stériles et leur combat sectaire, à féconder le débat, à sensibiliser l’ensemble des membres de la communauté humaine à cette cause sociale universelle. « La théologie morale, c’est l’impuissance mise en action. Toutes les fois qu’elle s’attaque à un vice, elle a le dessous », notait Marx. Autrement dit, les exhortations morales échouent lamentablement à vaincre le mal. Telle est la situation du féminisme moraliste bourgeois. Le féminisme veut changer les hommes sans changer la société. Or, la société de classes, fondée sur la propriété privée des moyens de production, engendre toujours avec elle l’exploitation, la division des classes, la domination politique et sexuelle, la guerre, la violence, le crime.

Fondamentalement, toutes les victimes, de sexe masculin ou féminin, méritent un traitement judiciaire égalitaire. Toutes les victimes de violences physiques et létales méritent une empathie identique de l’ensemble de la communauté humaine. Aucun homme, ni aucune femme, ne doit être répertorié comme violent en raison de son appartenance sexuelle. La « genrification » en matière judiciaire est nuisible à la société.

En vérité, historiquement, les violences envers les femmes et les hommes ont considérablement baissé. La condition de la femme contemporaine ne ressemble aucunement à l’ancienne sinistre époque où elle était totalement asservie. Le temps est à la poursuite de ce progrès et non à la stigmatisation des hommes jetés en pâture par un certain féminisme misandre comme les coupables tout désignés de la violence résiduelle encore prégnante au sein de la société.

Le féminisme misandre, dans sa guerre des sexes, pour polluer la lutte des classes par ses divisions entre femmes et hommes et diversion politique, rivalise d’ingéniosité pour jeter l’opprobre sur tous les hommes, accusés de tous les maux de la société.

Dans la conception féministe fanatique, chaque homme porte sur ses épaules le poids des violences commises contre les femmes, en vertu de la présomption de culpabilité de la globalité de la gent masculine. Et doit faire ainsi pénitence de ces péchés criminels perpétrés contre les femmes. Mieux : repentance, pour s’absoudre de ces violences conjugales et « féminicides ».

Comme nous l’avions souligné dans notre précédent texte consacré aux dérives du néo-féminisme [1], le féminisme contemporain s’est pitoyablement dévoyé. Aujourd’hui, l’émancipation de la femme se réduit à s’ingénier à singer les comportements masculins, emprunter les pires travers des hommes, comme si le modèle masculin était le prototype idéal à égaler, à surpasser.

Par leur volonté effrénée d’égalisation, d’identification au modèle masculin, les femmes se doivent d’avoir les mêmes aspirations, occuper les mêmes emplois, embrasser les mêmes carrières, adopter la même mentalité de prédation, les mêmes mœurs de domination. Une femme qui ne se conforme pas ces conventions sociales masculines bourgeoises est taxée d’archaïque, de conservatrice. Le néo-féminisme sectaire intoxidentalisé est totalitaire car il est contre la liberté individuelle féminine, la diversité en matière de choix dans la structuration de l’identité de la femme. Toute femme se doit d’intégrer le modèle dominant occidental dans la construction de sa féminité. En l’espèce, il ne s’agit nullement d’une émancipation féminine, mais d’un asservissement à l’archétype du féminisme libéral et libertaire outrancièrement idéologique, propagé tel un virus par l’Occident sénile et décadent.

Nous savions, grâce à Freud, que le cerveau de l’homme n’est que l’appendice de son sexe. Avec le néo-féminisme intoxidentalisé spectaculairement vagissant, nous découvrons que les questions sexuelles sont devenues le fil d’Ariane obsessionnel de l’activité militante des féministes contemporaines : focalisation sur les conduites sexuelles, discours apologétique sur la théorie du genre, campagne idéologique d’hétéro-phobie sur fond de misandrie pathologique, promotion pédagogique de l’homosexualité dans les établissements scolaires, sexualisation du vocabulaire, genrification grammaticale, etc.

Aujourd’hui, parmi les stratégies d’occultation de la violence de classe contre le prolétariat figure l’instrumentalisation des violences faites aux femmes.  Cette médiatisation des violences sexistes a pour dessein d’occulter les violences sociales, de dépolitiser les rapports sociaux de domination pour focaliser la conflictualité sur les prétendus rapports de pouvoir asymétriques qui régiraient les relations entre femmes et hommes. La lutte des classes est remplacée par la guerre des sexes.

Le néo-féminisme outrancier, favorisé par le capital, s’intègre dans le processus de désagrégation de la communauté humaine, aujourd’hui divisée socialement en deux classes antagonistes (bourgeoisie et prolétariat), en de multiples segments : ethniques, religieux, communautaires, sexuels, identitaires, dans le dessein de briser l’élément social essentiel, l’appartenance de classe. En lieu et place de la lutte des classes sont ainsi favorisés la lutte des races, les conflits de religions, les tensions communautaires et, bien évidemment, la guerre des sexes, chère aux néo-féministes hystériques et belliqueuses, toujours promptes à en découdre avec le mâle mais jamais avec le capital, à livrer bataille aux hommes mais jamais aux institutions bourgeoises. Tout cela pour le plus grand profit du capital qui peut continuer à nous livrer sa guerre sociale en paix, et nous livrer paisiblement sur les lignes de front dans cette période de guerre généralisée en préparation.

Soutenir, comme le proclament les féministes, qu’il existerait une « Question femme », c’est-à-dire une problématique féminine, c’est cautionner la conception sociologique bourgeoise selon laquelle la société est formée, depuis toujours, d’une juxtaposition de communautés spécifiques, ostracisées ou opprimées par d’autres communautés supposément dominantes. Aussi, « dans l’intérêt générale de l’unité nationale, afin de préserver la cohésion sociale, l’objectif politique serait d’œuvrer collectivement, par-delà les différences religieuses ou ethniques, et les clivages sociaux, à l’instauration de réformes démocratiques aux fins d’harmoniser la cohabitation entre les différentes communautés ». Cette mystification bourgeoise, défendue par des mouvements communautaires disparates et hétéroclites, prônant un meilleur aménagement des conditions sociales (toujours à l’intérieur du capital) et une optimale intégration démocratique de chaque membre d’une communauté dans la nation ou la République, selon la terminologie bourgeoise, participe de la politique de dissolution du prolétariat dans de multiples segments et, corrélativement, du maintien et de pérennisation de la société d’exploitation capitaliste. Elle arrange grandement le capital. C’est la raison pour laquelle il soutient le féminisme. Le féminisme (l’antiracisme, l’écologisme) est un excellent dérivatif. C’est le meilleur antidote contre la lutte des classes. Le meilleur poison pour anéantir politiquement le prolétariat, c’est-à-dire sa conscience de classe et sa combativité révolutionnaire.

Selon le discours misandre des féministes occidentales, ce n’est pas l’entreprise qui est le lieu d’exploitation et d’oppression par excellence, de viol psychologique (objectivé notamment par les humiliations et harcèlements) et de vol de la force de travail (extorsion de la plus-value), mais la maison qui serait devenue l’endroit où les femmes courraient le plus grand risque, dès lors que cette maison est partagée avec un homme, qu’il soit son mari, son compagnon.

Voilà un exemple parmi des milliers d’autres qui illustre ces dérives féministes misandres : une universitaire-chercheuse féministe, après avoir commenté une enquête sur les femmes victimes de violences, conclut par cette observation symptomatique du climat de défiance manifesté à l’égard de l’homme et de l’institution conjugale et familiale : « toutes les données convergent pour souligner la dangerosité de la sphère familiale et conjugale pour les femmes ». « Un modèle familial hautement pathogène, car fondé sur l’emprise d’une représentation traditionnelle de la famille où domine l’appropriation des femmes. » Moralité : l’homme et la famille représentent un danger pour la femme. Conclusion implicite de cette posture féministe jusqu’au-boutiste misandre : « femmes, restez célibataires ou mariez-vous avec une femme ! ». L’objectif de ce féminisme bourgeois fondé sur la multi-sexualité (dite libérée) et la remise en cause des normes hétérosexuelles, donc la glorification des théories du genre, est de pulvériser le prototype du couple « normal » prolétaire, dernier rempart de la collectivité humaine unifiée où se construit distinctement l’identité sexuelle différenciée féminine et masculine.

Cette idéologie féministe misandre est dangereuse. Ce terrorisme intellectuel d’une minorité d’activistes féministes crée une nouvelle forme de bellicosité, un nouveau genre de guerre : une guerre de genre.  

 

Pour paraphraser le slogan des féministes débridés hystériques, symbolisé par « BalanceTonPorc », j’appelle l’ensemble de l’humanité à lancer un mouvement international contre les dérives du féminisme intoxidentalisé, baptisé : BALANÇONS LES COCHONNES FÉMINISTES MISANDRES » (dans les poubelles de l’Histoire, avec leurs commanditaires : les capitalistes et les gouvernants).

 

Khider MESLOUB 

 

[1] Offensive de l’offensant féminisme misandre et inquisitorial, Les 7 du Québec, 13 octobre 2022. Offensive de l’offensant féminisme misandre et inquisitorial – les 7 du quebec

 

 

Robert Bibeau

Auteur et éditeur

16 réflexions sur “À bas le féminisme petit bourgeois vindicatif, punitif, déviant et castrateur

  • 20 octobre 2022 à 2 h 41 min
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    Alors que la majorité des féministes et bien d’autres femmes plus ou moins célèbres approuv(ai)ent, voire scand(ai)ent le slogan féminin « Mon corps m’appartient », aucune n’a un jour vu des fœtus, avant leur avortement, défiler derrière des banderoles « Mon corps m’appartient ».

    La question philosophique et/ou métaphysique et/ou spirituelle et/ou éthique (au choix) semble pourtant aussi évidente qu’auto-censurée : c’est à partir de combien de jours après la rencontre « efficace » entre un ovule et un spermatozoïde qu’ un être et/ou une âme et/ou une conscience et/ou une vie humaine (au choix) « entre » dans le fœtus ?

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  • 20 octobre 2022 à 8 h 51 min
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    Qu’ils sont donc prompts, tous autant qu’ils sont, à remettre temporairement leurs masques de Karl Marx en caoutchouc quand il est temps de se délecter à casser de la bonne-femme…

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  • 20 octobre 2022 à 11 h 50 min
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    @ Ysengrimus

    J’espère mon cher que dans ce  »tout autant qu’ils sont »… vous ne m’incluez pas moi aussi…:))) je jure que suis innocent…je suis pro féministe…et fier de l’être ! :)))

    Quant a notre ami Khider… je crois que sur ce coup, il ramène la preuve cette fois qu’il a presque rien compris… sans vouloir lui dénigrer son droit d’exprimer comme il le fait, son opinion  »marxiste » !…. j’aurais surtout souhaité le voir l’exprimer sur les blogs ou forums féministes… et recevoir les  »réponses » qu’il arrête pas de chercher comme des poux…:))) ! lol

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  • 20 octobre 2022 à 13 h 10 min
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    @ Khider

    Encore les femmes et les féministes !!!!????…. du coup on sait pas si c’est pour  »préciser » votre pensée…ou si c’est de l’acharnement…difficile a trancher ! en tous cas, une féministe de la base et pas bourgeoise du tout comme j’en connais ou j’ai connu qui vous lirait a deux reprises et coup et sur coup, hésiterait pas a vous accuser et vous traiter de tous les noms d’oiseau… comme  »ce type doit avoir un problème avec les femmes » et trucs du genre… il y en a en Amérique du nord qui paniqueraient…et j’y viens…pour vous expliquer pourquoi !

    je ne crois donc pas que vous soyez conscient du phénomène masculiniste pour commencer, car il en existe plusieurs mouvements du genre en occident… aux États-unis, au Canada, dans les pays nordiques Européens…et Je vous dirais qu’ils racontent un peu la même chose que vous racontez… ! et qui ne soient pas si éloignée de la violence…et sont donc systématiquement dénoncé ou rapporté…et je crains que vous ignorez toute cette culture nordique occidentale, qui existe également en France et dans le sud de l’Europe… mais que la culture française ou sud européenne ne reconnait pas encore… mais ça viendra…d’autant que vous ignorez ce qui peut y conduire, comme les violences et meurtres que leur auteurs ont clairement admis que c’était dans ce dessein de porter atteinte aux femmes ! ou crimes de masses contre les femmes comme il y en a eu dans tous ces pays nordiques et il y en a encore aujourd’hui…et qu’on veut prévenir !

    et donc a propos de fusillades, et de crimes de masse masculinistes cette fois, on en a eu quelques unes a Montréal, ou au Canada… qui ont marqué les esprits…et vachement contribué je dirais et  »légitimement » au climat lourd qui pèse sur le sujet et aux changements a la législation ! vous ne le saviez pas peut être… en 1989, a l’école Polytechnique de Montréal, un jeune gars de père Algérien et de mère Québécoise, né au Québec, et dont le père était violent envers sa mère, qu’il rejeta pourtant pour cette raison et pour défendre sa mère on saura plus tard, devient  »anti-féministe radical » et un jour débarque a polytechnique et y commet un carnage contre des étudiantes … bilan : 14 mortes, et plusieurs blessées graves…et se suicide… il laissera une lettre de suicide ou il explique sa haine profonde des féministes… pour ne pas dire des femmes qu’il accable de tous les maux…et donc depuis, ça a changé radicalement l’approche autant gouvernementale et sociale a la question, et on commémore chaque année la date anniversaire avec beaucoup de tapage médiatique…ceci n’a fait que radicaliser les groupes féministes et le gouvernement et les médias…du coup…un type qui ferait comme vous et enverrais billet sur billet sur le même sujet au Canada, avec la même  »hargne »…se verrait illico, signalé, surveillé et accusé sur les plateformes…ou suspecté de  » fort potentiel violent »! bref

    Ou encore en 2018 et donc récemment, un autre jeune dans ses vingtaines, de père Arménien et mère Iranienne, né et grandi au Canada, informaticien plutôt brillant, loue un camion a Toronto, et décide d’écraser en les poursuivant sur les trottoirs, des femmes lambda…, il fera 16 victimes au total, dont 10 mortes… bref, on retracera son  »militantisme » anti féministe et masculiniste sur Internet, et ses plaintes d’être rejeté par les femmes …. il avouera tout plus tard et purge une lourde peine encore aujourd’hui…

    Dans la culture publique et sociale Nord américaine, ou nord européenne, ou encore dans celle  »underground » ou souterraine, on est plus dans les années 60, lorsque les tabous entouraient les questions sexuelles, de genre, etc… aujourd’hui, il existe des gens qui veulent en découdre avec leurs ennemis ou leur victimes, qu’ils soient femmes, ou enfants, ou hommes, ou minorités, ou blancs…ou chais pas… et donc aussitôt que la société prend conscience de ces phénomènes, elle tente de les endiguer ou les contenir..car c’est pas de la rigolade, mais ça se termine mal si on ne fait rien !

    d’ailleurs ce sont plutôt les sociétés arabo musulmanes, qui soient encore au stade des années 60 de l’occident, avec les tabous qu’on crève tous les jours, et la  »libération sexuelle » qu’on vit dans nos pays… aujourd’hui dans le monde Arabe, les femmes ne se voilent plus dans les médias sociaux pour parler de tout ceci… ou parler de leurs droits, ou encore parler et dire qu’elles aiment les hommes bien plus  »soumis » et égalitaires qu’hier… sans parler de celles qui sortent pour dénoncer les problèmes sexuels dans le couple ouvertement, et leur attribuer avec beaucoup de raison les causes des divorces en pagaille… et les mecs de recevoir tout ça dans la tronche tous les jours ! lorsque c’est pas un homme sur deux aujourd’hui qui paie une pension alimentaire, est divorcé donc, et doive soit aller de l’avant, soit se jeter par une falaise…!

    Je crois que cette fois, vous mélangez plusieurs choses et vous êtes en décalage avec les réalités de l’époque mon ami… car vous semblez dénoncer ce qui est définitivement passé dans les mœurs sociales de tous, même en France ou en Espagne et ailleurs dans l’Europe du sud ! … sans volonté de vous manquer de respect tout de même…et loin de moi… mais il faut réaliser que ces discours sur l’anti féminisme ne passent plus ! du tout ! et c’est pas qu’une question de médias, de capitalisme ou de pressions sociales, car il est évident que c’est toute une culture qui a appris aux hommes depuis un certain temps déjà a cohabiter avec l’autre sexe en tenant compte de ces réalités et même avec sa propre conjointe… finie l’époque du mec qui rentre chez lui par exemple pour trouver que tout est nikel et que sa femme qui lui sert de bonniche en même temps… se forcera pour lui soulever les jambes le soir venu aussi, et lui permette de tirer un coup et s’affaler dans le sommeil illico après …:))) ou encore l’époque, ou le mec utilise son salaire, son portefeuille et son pouvoir financier pour tirer profit de n’importe quelle nana… en exploitant sa pauvret. ou sa marginalisation sociale ! ou encore pire, taper sur sa femme et espérer s’en tirer a bon compte a chaque fois… il faudrait pour cela comme disent certaines… qu’il puisse au moins compenser  »en valant vraiment le coup » …. comme être folle amoureuse de lui, ou qu’il soit bourré de tune et de fric…:))) ou encore pour une certaine catégorie de femmes, qu’il assure au lit comme un dieu…et qu’elles lui pardonnent tout …:)))

    Bref… mon cher Khider…personne ne s’attarde plus ce que vous pouvez dénoncer ici… en cherchant la petite bête…la roue de l’histoire va plus vite…et chacun doit gérer la merdouille de sa vie…et c’est ainsi ! hélas pour certains, tant mieux pour d’autres… car c’est plus possible d’accomoder tout le monde… nous sommes tous au yeux du système que des numéros… et rien d’autre ! et c’est ainsi que le système de justice nous voit aussi…! si demain un type se présente devant un juge pour vouloir lui raconter tout ce que vous racontez ici…dans une histoire de violence conjugale dont il serait accusé… personne ne l’écoutera, et il devra soit ramener la preuve qu’il est innocent, ou échouer a le faire et devoir payer ! …

    Enfin, faudrait aussi vous rappeler que dans ce nouveau système, on peut incriminer les femmes de violence également, le emprisonner, leur imposer un casier judicaire sale, ou les contraindre a suivre des thérapies autant que les hommes… sauf qu’on en parle pas …de la part des  »masculinistes » ou anti-féministes également ! car je vous fais remarquer qu’il existe aussi des prisons de femmes bourrées de femmes sur lesquels vous semblez faire l’impasse ! et faire une fixation sur les hommes … »victimes » selon vous ! c’est évidemment faux…! si les hommes tuent des hommes dans la société civile nettement plus que les femmes ne le font, on ne va pas le reprocher aux femmes aussi ! et si des enfants tuent des enfants ou tuent des adultes comme leur parents également, on ne pourra pas le reprocher aux femmes non plus ! … les femmes encore une fois… ont pris l’initiative de vouloir se défendre du machisme et de la misogynie qui n’est pas une vue de l’esprit… mais une réalité de tous les jours… rien qu’au bureau, le nombre de gars qui peuvent venir vous dire que celle-la ou l’autre a un gros cul, ou qu’elle est probablement mal baisée, et toute sortes de blagues de mauvais goût qui sous entendent que notre ami est un  »étalon » et un  »viril » en parfait contrôle de ce qu’il faut…on en voit tous les jours jusqu’a la nausée ! mais le fait nouveau aujourd’hui est que même les femmes au bureau parlent aussi des hommes et se moquent d’eux cette fois presque de la même manière entre elles… et je vous dirais que généralement dans un groupe d’hommes, il y en a toujours que très peu qui arrivent a les impressionner physiquement ou  »virilement »… même si elles peuvent voir beaucoup d’amis la-dedans et de collègue en qui elles peuvent faire confiance ! bref…. pour dire que les hommes sont en mode  »panique » a notre ère… depuis qu’on a découvert le pot aux roses..et qu’on sait qu’ils peuvent être également des femmelettes dans de bonnes proportions en plus :)))…

    Yallah bye … Vous devriez me remercier un peu… de fournir autant d’efforts pour vous expliquer a chaque fois tout de même… et je ne cherche pas a vous  »condamner’, moi non plus… je ne suis pas du tout intéressé par ça…et je m’en fous un peu…aujourd’hui…chacun pense comme il veut…et en assume les conséquences sur son propre psyché quoi….

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  • 20 octobre 2022 à 15 h 05 min
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    Y’en a un petit peu marre de ce faux débat en tous cas… et ceux qui le ramènent tout le temps sur la table d’ailleurs, sans vouloir vous accuser ou vous pointer du doigt, ne sont rien d’autre que ceux qui n’ont rien compris, ou ne veulent rien comprendre, ou encore ceux qui n’ont pas la moindre culture de notre époque, pour ne pas dire ceux qui ont effectivement plein de problèmes et ne le réalisent toujours pas ! point a la ligne… puisque cela fait un bail que la société occidentale en tous cas… patauge dans les repercussions de ce débat entre autre…et il y en a qui comprennent et d’autres qui comprennent toujours pas… bref

    Ceci me remémore un sujet…relié…dans l’Italie des années 50 et 60, hyper machiste et patriarcale et religieuse encore, et dans une Italie ou les hommes pensent tous et veulent faire croire que ce sont des étalons latins qui peuvent tirer 10 coups en une nuit….c’est plutôt un film qui fera date et marquera les esprits en brisant un grand tabou, en soulevant un tollé en Italie, le tabou de l’impuissance masculine chez les hommes, que les Italiens n’ont pas du tout apprécié, et qui n’a pas empêché le film d’être primé au festival de Locarno, le plus vieux festival de cinéma au monde, et de devenir un marqueur d’époque significatif ! il s’agit du fameux film  »le bel Antonio » de Bolognini, sur un superbe scénario de Pasolini… avec pour pas moins comme principal acteur, acteur fétiche du célébre réalisateur Fellini donc, Marcelo Mastroiani… et la superbe et belle Claudia Cardinale très jeune encore et a ses débuts ! et donc qui raconte l’histoire d’un très beau Sicilien qui faut tourner la tête de toutes les femmes partout ou il passe…:))), fils d’une grande famille paysanne en Sicile et qui possède des champs immenses d’orangers, qui revient chez lui après quelques années d’études a Rome ou Naples…, et fait la fierté de son père donc… un père qui se vante donc de pouvoir tirer 9 coups sur plusieurs femmes en une seule nuit comme je disait, et qui ne pense pas moins de son fils…ou s’y attend en tous cas ! :)))) … bref, le jeune et  »divin » Antonio rencontre la jeune actrice Claudia cardinale, et en tombe follement amoureux, et donc on fait un marriage arrangé … mais, car il y a un gros mais… Antonio se confie a un de ses amis et lui dit qu’il n’arrive pas a …bander…lorsque épris d’une femme et amoureux d’elle ! … et donc les scènes les plus dures sont celles de la jeune Claudia qui n’arrive pas a obtenir de son mec ce que toute femme est en droit d’attendre de son mec… les parents de la fille apprennent alors que le mariage ne fut jamais consommé un an après ! et l’eglise du coin annule tout ! … le film est émouvant, magnifique et fait prendre conscience a toute l’Italie que le machisme a deux sous ne fonctionne plus ! et Mastroiani a quasiment détruit sa carrière d’acteur en briguant le rôle si non repéché par Fellini plus tard et devenant son ami aussi… bref, le film est sorti en 1960 exactement… a la même époque de la  »Dolce vita » de Fellini…qui n’avait rien avoir…. mais, ceci ouvrira la porte devant le cinéma Italien… pour aborder les questions sociales sous un autre angle, celles des tabous, des femmes, de la sexualité aussi…, et celles de prises de conscience du public en tous cas…

    et je dirais encore que le monde arabo musulman n’en est encore qu’a cette époque aujourd’hui… on un tout ptit peu plus avancé ! et depuis que les femmes chez nous matent aussi de la pornographie aussi jeunes qu’adolescentes…, tentent de comprendre le monde, les rapports de leurs parents, ceux de la société et ceux de leurs relations a l’autre sexe masculin… quoique, et comme je l’ai dit plusieurs fois ici, ça baise du tonnerre chez nous, dans les grandes villes et plus tard dans les campagnes depuis des temps reculés… années 70 et 80 sans jamais vouloir l’admettre ! car j’en fut témoin et c’est le moins que je puisse dire …! on avait même une petite ruelle sombre dans le quartier de mon enfance…qu’on appelait  »la rue de l’amour »…ou chaque jour, dans l’obscurité de cette ruelle étroite et fort ombragée par les arbres, entre deux murs d’enceintes de maisons… les couples avaient pour habitude de s’y rencontrer pour quelques flirts le jour…et pour bien plus sérieuses affaires le soir et dans l’obscurité… a une époque ou la sécurité était bien plus présente, et qu’ils craignaient pas d’être dérangé ou attaqués ! :)))

    Biologiquement, et fatalement, nous sommes tous phallocrates, hommes comme femmes, depuis la nuit des temps …et a ce jour…et on aime tous le gros phallus…:))) nous en sommes obsédés d’ailleurs tous… consciemment ou inconsciemment ! que l’on soit homme qui voudrait bien en avoir une qui rivalise avec les acteurs porno, ou une femme qui en ressent les effets  »remplissants les coins » ou comblant les pulsions, ou encore homosexuel ou lesbienne ou encore transgenre également ! et peu importe ! même si psychologiquement et dans la réalité, on s’adapte et on se contente de ce qu’on a…! :))) … pour dire que le monde tourne autour de deux choses, le sexe, et le fric depuis toujours ! et aujourd’hui, plus qu’hier… le gros phallus est en partie responsable de nos complexes, dans les deux sexes, un peu comme le lot de chacun dans la vie… soit on tire le bon lot on pas du tout…! et les hommes a ce propos… sont les premières victimes psychologiques il est vrai de tout ceci ! qui explique leur violence, leur complexes, leurs poursuite de la virilité… toute leur vie ! même si les femmes peuvent tout faire pour les accommoder ou les  »rassurer »… sur leur sexualité…! mais les femmes ne sont pas des  »saintes » ou des nounous qui vont passer leur vie a consoler les hommes, car les femmes sont après tout des hommes également en tout points d’ailleurs…sauf qu’elles sont dépourvues de l’engin masculin, et dotées d’autres attributs féminins…jugés eux, contraignants…avec raison ! … et devoir se taper des grossesses non désirées ou encore faire des gosses a 15 ans ! derrière donc ces guerres de genre ou de sexe, les femmes donc, biologiquement égales de l’homme avec quelques contraintes… ont le droit de jouir de leur vie, leur physique, travailler gagner de l’argent, ou encore baiser comme elles l’entendent et comme leurs égaux les hommes, et jouir de leur sexualité et de leur corps…et fantasmer comme les hommes, et parfois être  »dépravées » ou  »salopes » dans le sexe tout comme les hommes  »brutes » et chais pas quoi ! ça se résume a cela ! et ceux ou celles qui ne sont pas contents… personne ne pourra les tirer de la…car on ne vaincra pas la biologie humaine !

    l’autre problème pour lequel on a pas fait encore de  »révolution » donc, c’est le tabou sexuel… pour ceux qui ne peuvent jouir du sexe comme les autres… d’ou les LGBTQ aujourd’hui (dont les lesbiennes et homo également) ! qui ne se reconnaissent pas dans les catégories classiques de la biologie phallocratique qui domine le monde ! et personne ne peut leur reprocher ! et donc ce problème globalement est a la base de la compréhension de notre société je trouve !

    Donc venir aujourd’hui accuser les femmes qu’elles soient celles qui vont aux écoles pour parler d’homosexualité… sur un mode moraliste a deux sous, qui cherche a nier ‘homosexualité, ou nier toutes les problématiques sexuelles, et la diversité de la faune humaine sur ce registre est on ne peut plus ringard et décalé … dans un sens… puisque c’est aussi le discours des conservateurs complexés et qui ne disent pas la vérité, ou encore d’islamistes coincés qui mentent également, car heureusement que les femmes aillent dans les écoles je trouve pour parler d’homosexualité, et éviter donc a un nombre incroyable d’enfants de subir les harcèlements, ou encore grandir dans le déni de leurs problèmes ou particularités et se voir obligés de vouloir ressembler a la majorité phallocratique même lorsque la nature ou la biologie ne les prédispose pas a cela ! tout comme ces hommes par millions, qui passent leur vies a faire des blagues sur le sexe, ou sur les femmes, et vouloir se faire passer pour des étalons magnifiques  »très hétéro » en public ou devant les autres et peuvent cacher des doubles vies ou double sexualité, ou encore homosexualité non avouée… et il y’en a des tas… mariés ou pas… et partout… tout ce qu’il y a de plus classique on dira aujourd’hui ! chose qu’on ne retrouvera que rarement chez les femmes… qui assument elles bien mieux…! et ce qui en fait un problème strictement masculin, qui cherche a en faire porter le chapeau aux femmes également ! :)))

    d’ailleurs, on a pas encore commencé a décortiquer la  »masculinité »… comme il faut…ou comme on l’a fait avec la  »féminité » ou on s’acharne a vouloir le faire… le jour ou on le fera, le monde risque de s’écrouler ! :))))

    Yallah bye ! (je réitère que je ne vous vise pas… mais je vous prévient de ce qu’il en est en quelques sortes…et je fais preuve de bonne foi….:)))

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  • 20 octobre 2022 à 16 h 02 min
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    @ Khider

    Tu es courageux camarade d’ainsi dénoncer la doxa – le livre des livres – que la bourgeoisie impose telle une chape de plomb sur la société toute entière…au point que quelques hommes viennent ici réaffirmer leur serment de se soumettre à la vindict féministe petite bourgeoise réactionnaire.

    Il est juste et nécessaire que certains se dressent et engagent le combat pour défendre la cause des femmes exploitées – opprimées – calomniées – aliénées et désarmées qui n’ont toujours pas comprises que leurs oppresseurs c’est la classe dominante (masculine et féminine) et non la classe dominée (masculine et féminine).

    Si de nos jours nous errons collectivement à ce point à propos de la lutte des classes féminines et masculines c’est que nous avons échoué sous le leadership gauchiste à mener la guerre de classe sur le front idéologique.

    Ton texte cher Khider est un pavé dans la marre puante du féminisme bourgeois…qui n’est que de l’anti-féminisme putride… ayons le courage de l’admettre.

    Merci – oui chacun devrait relire ton texte par deux fois avant de s’autoriser à le conspuer démagogiquement.

    Robert Bibeau

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  • 20 octobre 2022 à 16 h 09 min
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    la religion d’ailleurs et d’où nous tenons tout notre bagage patriarcale et culturel…en plus de notre bagage phallocratique biologique obligé… ne s’est jamais interressée a ces questions ! la religion est celle qui a voulu imposer la norme sociale phallocratique culturelle et familiale comme étant innée ou encore  »naturelle » et forcément accessible a tous ! FAUX !

    Dans l’islam par exemple, alors que les hommes efféminés ou encore les hermaphrodites ou encore les hommes  »manqués » par la nature ont de tout temps cohabité dans la société du Prophète Mohamed, le texte Coranique évitera amplement de soulever ces questions, comme celles autour de la sexualité en général, tentant de noyer cette dernière dans le conformisme, ou les  »accommodements raisonnables », et la  »normalité » … pourtant, l’islam laissera la porte ouverte, et le prophète se chargera de préciser parfois ce qu’il en est… comme dans le cas d’une femme qui demande le divorce car son mari serait impuissant ou ne remplit pas ses engagements a ce sujet…, le hadith qui en parle, décrit un prophète qui incite la même femme qui vient s’en plaindre a lui, de retourner auprès de son mari pour  »l’aider » et réessayer avec lui…, et une autre fois encore, et une autre fois encore, et donc, le hadith (récit des paroles du prophète), ne s’offusque pas de reprendre mot pour mot les termes désespérées que la femme va finir par formuler, car selon la doxa musulmane, il n’y aurait point de pudibonderie ou de honte en religion, la femme lance au prophète donc la dernière fois que la quéquette de son mari  »est restée aussi flasque qu’un bout de tissus  » selon le même hadith, après toutes ses tentatives… et donc le prophète lui permettra de divorcer pour cette raison… mais sur les hommes efféminés, s’il avait toleré leur présence ou qu’ils fréquentent les femmes ou être enfermés avec elles dans une même pièce au début, il finira par l’interdire… et a ce sujet, il décrètera que ceux d’entre eux qui restent  »droits » et ne font pas de bêtises… sont libres de mener leur vie en société, mais ceux qui passent a l’acte avec d’autres hommes, devront être lapidés ou exécutés… même si comme le rapportent les hagiographes, il ne sera lapidé aucun du vivant du prophète… seulement fouetté dans un cas rare dont je ne me rappelle plus… plus tard, ce sont les Califes qui succèdent au prophète qui tenteront d’être plus fermes ou strictes a ce propos, sans en faire une fixation ou une obsession, car de leur vécu, les rares cas d’exécutions, ou encore d’immolement par le feu, seront commis par des musulmans zélés qui soient eux mêmes ceux qui aient prononcé la sentence…sans l’aval des Califes et sans consulter personne !
    Tout comme l’islam n’a pas voulu s’acharner sur la  »femme adultère » en exigeant par le texte coranique cette fois, que quatre témoins valides (adultes, pieux et recommandables) témoignent de l’adultère a leur procès… ce qui est techniquement impossible dans la ralité…et c’est un peu comme vouloir leur trouver une porte de sortie…

    l’Islam certes a été bien plus progressiste et avant-gardiste par rapport au christianisme, ou au judaïsme, de plusieurs siècles en plus ! c’est certain… mais même a ça, il a fait la sourde oreille et l’impasse sur tout le volet  »biologique, psychologique et social »… car il ne pouvait pas deviner comme la science moderne le permet ! … comme il a joué d’hypocrise encore la-dessus… puisque la grande arnaque depuis toujours, et c’est la science qui nous le prouve aujourd’hui, c’est de dire que nous soyons hétéro nécessairement et par nature et que nous soyons tous capables de mener a terme ce défi de faire des familles et des enfants…et on s’est forcé de le faire certes pendant tous ces siècles passés, mais avec beaucoup de dégâts, de violence, de malheurs aussi…sans que personne ne puisse nous en ramener le témoignage dans l’histoire !

    Par ailleurs, encore aujourd’hui, dans toutes nos sociétés phallocratiques, il y a encore beaucoup de mères qui ne savent pas comment gérer ou accepter un garçon  »effeminé, une fille qui soit un garçon manqué, ou encore que l’un ou l’autre soient  »raté » par la nature, la biologie ou la génétique et même juste la psychologie dans la majorité de cas d’ailleurs…et les rejettent…les repoussent…ou encore pire, comme dans nos sociétés arabes, les renient… dans les milieux pauvres ou analphabètes presque systématiquement, et pas que…car dans les classes moyennes instruites et les milieux aisés également ! ce fut le cas aussi depuis le début du 20ème siècle j’imagine, jusqu’à la libération sexuelle des années 60… ce qui a du largement contribuer a cette culture …celle de l’apparition de l’homosexualité masculine ou féminine comme phénomène incontrôlables et cherchant a exprimer leur différence ! et on y est toujours…

    les femmes sont les égales de l’homme, et comme j’ai osé le dire, sont des hommes aussi et en tout point… mais avec quelques  »contraintes » encore…, comme on pourrait dire dans l’autre sens cette fois, que les hommes sont également des femmes en tous points, et identiques, sauf qu’ils sont doté du phallus… qui les en differencie ! point a la ligne !

    Et je demeure conscient que si je tenais ce raisonnement en public en Iran, en Arabie Saoudite ou même chez nous, je ne risque pas de passer la nuit en un seul morceau :))) , mais je profite un peu de cette brèche chez Robert … pour vous en mettre plein la tronche ! lol

    Et puis enfin… qu’est ce qu’on fera sans les femmes, sans leur douceur et leur beauté aussi, ou leur  »maternité’,… on serait rien ! et le monde ne serait pas… et le sexe non plus, et l’amour encore moins, et la joie de vivre également ! qu’on se le dise une bonne fois pour toutes et qu’on ferme la parenthèse …:)))

    Yallah bye ! … et comme j’ai dit a Robert, lui aussi je l’aime… comme ma mère…:))) Ysengrimus, comme un frère (même s’il m’en veut a mort ces derniers temps)…et j’aime tout le monde…sauf les médiocres…que je ne tolère pas depuis toujours …et il sont très nombreux parmi nous !

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  • 20 octobre 2022 à 16 h 16 min
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    @ Robert

    Ton marxisme intégral n’y changera rien mon ami… je veux bien être marxiste intégrale comme toi moi aussi… et je tente de my accrocher…mais ça fonctionne pas comme ça… hélas… la lutte sociale contre le capitale ne possède pas toutes les solutions, ni qu’elle s’interresent a ces problèmes, elle les ignore totalement plutôt !

    et je n’en dirais pas plus… j’ai pas que ça a faire non plus… je me bats pour vivre et payer mes factures également… et tant mieux pour ceux qui sont heureux avec leur gonzesses, et tant pis pour ceux qui soient malheureux avec d’autres… on a d’autres chats a fouetter…et on va pas s’amuser a consoler toute notre vie les  »perdants » de cette guerre… ou qui ne veulent pas tourner la page et passer a autre chose…ou encore juste réaliser que ce sont les hommes qui sont responsables de tous ces problèmes inconsciemment et sans le savoir !

    Respectueusement mon cher Robert tout de même…! :)))

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  • 20 octobre 2022 à 16 h 57 min
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    Et puis, pour revenir sur l’histoire du film  »le bel Antonio », je me souviens qu’on la vu au cinéma dans les années 80… au bled, et ça nous avait choqué en tant que jeunes ados ! (on était pas si ado que ça)…et donc pour la première fois, on pouvait valider toutes ces rumeurs et autres racontars, et accusations fortuites qu’on entendait tous les jours dans la rue que  »la femme d’untel le trompe »… untel est  »cocu » mais ne le sait pas, et donc toute femme qui avait l’air un tant soit peu émancipée…était systématiquement accusée d’opprobre par les jeunes mecs a la mentalité macho ! … mais ce film, nous ramenait la preuve en quelques sortes que de tels problèmes existent et on en sera marqué !

    et je ne raconterai pas l’histoire d’un malade, voyou, gendarme et également macho a fond la caisse, qui lui, avait une obsession pour les femmes mariées, et se les tapait parfois chez elles, a l’insu de leurs mecs…pour aller raconter tout ceci aussitôt dans la rue… c’était son  »mode de vie »…pêcher les femmes  »malheureuses » autrement et savait s’y prendre ou les approcher ! …bref, même s’il était marié également, et père de jeunes enfants… il bombait le torse et s’en vantait tout le temps… jusqu’à ce qu’un jour, c’est les voisins d’une jeune mère cette fois, et femme au foyer, décident de le coincer et les empêcher tous les deux de s’enfuir de l’appart ou ils fricotaient ensemble depuis quelque temps… il prendra une raclée par la populace sur le coup… et son histoire deviendra célèbre, mais il sauvera son job…! car au bled et a l’époque… on considérait un tel déchet social comme un héros…sous la table…et par ses chefs masculinistes j’imagine ! :)))

    bref… de grâce…le monde ne change que peu ou pas…laissons ceux et celles qui veulent améliorer un peu leur sort, et ne pas vouloir les emprisonner dans les vieilles conceptions sociales a la con ! …

    Yallah bye !

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  • 20 octobre 2022 à 20 h 03 min
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    le chaos ambiant peut certes être attribué au capitalisme en très grande partie… mais le capitalisme est précédé par la nature humaine, et les rapports encore détraqués ou mystérieux de certains humains…, leur psychologie, leur maladies mentales ou leurs dysfonctionnement sociaux en dehors du capitalisme et des rapport de force économiques !

    Du coup, j’ai relu le texte de Khider, et je m’arrête cette fois sur le cas des  »hommes battu » ou hommes victimes de violences conjugales, puisqu’il en existe un tas en effet, dont les moindres subissent la violence psychologique de leur femme… la pire de toutes…et quel homme ne l’a pas subie en réalité…presque aucun ! :)))…. je rappelle a ce propos qu’ici au Canada il est parfaitement possible de porter plainte pour un homme contre sa conjointe pour violence conjugale, et s’il y a preuves ou traces de toute violence physique également, ils ne rateront pas femme ici…, A moins d’être une grande manipulatrice qui connait le système par cœur, ou qu’elle s’arrange pour se donner des coups elle même et prétendre que lui la tabasse également…dans ce cas il est vrai, il sera cuit… sans l’épargner elle aussi…. sauf si elle convainc le juge ou son avocat le fait…qu’elle n’a fait que se défendre…bref, si on devait pousser ce genre cas jusqu’au bout…et envisager toutes les possibilités !

    Par ailleurs, et selon les croyances populaires autant chez les hommes que chez les femmes, on invoque souvent le sexe encore, pour expliquer ce genre de situation, et pas que la personnalité…de l’homme et de la femme dans ces cas… alors qu’on ne devrait rien épargner puisque le sexe peut ne pas être en cause dans tout ça…! mais le peuple est le peuple, et il vous dira, qu’une femme qui abuse physiquement et psychologiquement de son mari est une femme insatisfaite sexuellement primordialement, et qu’elle se venge a sa manière sur lui surtout si elle doit se le taper toute sa vie… ! ou encore, un homme qui serait viril et bien pourvu en  »attributs » et en  »endurance »… n’a aucune chance d’en arriver la, bien au contraire, il pourra battre sa femme, ou lui donner des bleus aussi… qu’elle lui pardonnera tout ceci ! :))) …bref, même si il y a un fond de vérité la-dedans, les croyances populaires font l’impasse encore sur l’intégrité psychologique des sujets en question ! car une femme peut aussi être aussi zinzin que son père, ou encore son grand frère qui la battait petite… et décider de se venger sur son conjoint ou mari ! …… je me souviens une fois il y a un bail avoir lu une grande affiche dans la salle d’attente d’une clinique médicale a Montréal, qui disait  »Si votre conjointe est violente, ou que vous pensez qu’elle souffre de problèmes psychologiques, appelez ce numéro »…. du coup…, je me disait  »le monde va encore bien »…en souriant du coin… car c’était la preuve que les femmes peuvent être ciblées également par des mesures pareilles, et venir en aide aux hommes qui en aient besoin ! bref… chose qui n’existe nulle part au bled… car malgré la montée de ce phénomène d’hommes battu, et relayé plusieurs fois dans la presse locale, ou encore sur Youtube avec des hommes qui pleurent comme des enfants et racontent leur calvaire a une journaliste  »électronique »… sur place, le gouvernement n’a fini par reconnaitre et enregistrer la violence conjugale des femmes contre les hommes que depuis trois ou quatre ans…et ratifier tout ceci par texte de lois au parlement… sous la pression des associations et du ministère de la santé… et donc, c’est aujourd’hui une problématique de santé publique reconnue dans tous les pays ou presque… a côté de la violence conjugale contre les femmes … si ça doit rassurer l’auteur a ce sujet !

    il faut dire aussi que lorsqu’on prend ses distances avec tout ceci et qu’on y réfléchit un peu… il faut reconnaitre qu’il y a 2000 ans ou même il y a encore 100 ans a peine… on était pas si nombreux sur la planète, les gens se connaissaient, la société était contenue et s’arrangeait pour contourner les problèmes, minimiser les drames ou les tabous, braver intelligemment les interdits, ou régler a l’amiable les disputes, qu’elles soient conjugales ou autres, avec une présence encore significative de la famille et de ses membres, et de la communauté… ! il y a 100 ans aussi, le société se surveillait et se régulait en quelques sortes, bon même si elle devait manquer ou échapper un nombre important de crimes et de violences.. disons le… mais, lorsque nous avons explosé démographiquement, que la société a éclaté également, que chacun y est pour soi… et la compétition pour tous… et que le capitalisme a fini par avaler tout le monde, il est pas étonnant que de mouvements sociaux particuliers ou aujourd’hui sexuels ou encore mouvements pour la défense des animaux également voient le jour et deviennent aussi actifs et visibles dans notre vie de tous les jours ! et de voir les législations devoir suivre même dans le cas d’animaux , avec la cruauté animale aujourd’hui sanctionnée en société et dans le cadre civil, … mais…en faisant bien sur l’impasse sur ce que peuvent subir les animaux de viande chez les éleveurs ou les  »industriels »…pour des raisons économiques et capitalistes cette fois !

    j’en déduis que s’il peut exister en effet une justice déséquilibrée pour les hommes et pour les femmes, la première requérant de devoir se battre par les hommes pour établir leurs droits et donc  »non garantie », par contre la seconde systématique et  »garantie » pour les femmes… de prime abord en tous cas… il faut y voir un retour de manivelle qu’on se prend dans la tronche aussi sec et brutal en ces temps-ci… et puisqu’en même temps que cette justice de femme fonctionne a plein régime, ceci n’empêche pas des millions d’hommes d’aggraver le cas des hommes en commettant bien plus de violence en général que ne peuvent commettre les femmes !

    Enfin, dans les familles maghrébines, des familles de femmes presque exclusivement et très souvent encore, je continue de relever le chaos qui peut subsister dans nos pays a propos d’hommes et de femmes…. qui se dirigent tout droit vers ce qui s’est déroulé en occident ! pour les mêmes raisons…, les mêmes causes et mécanismes sociaux…en devenir chez nous…aussi ! et a comparer avec les femmes occidentales… presque effacées, nos femmes a nous peuvent être coriaces et a la personnalité bien établie et affirmée… surtout a l’époque de l’éclatement des familles chez nous aussi, et que la religion, je l’admet, tente de rafistoler encore… mais en vain…! et dans ce chaos, il n’y a pas que l’argent, ou les rapports matériels qui nous écrasent, car, il y a aussi et surtout l’eveil féminin et sa volonté de revanche sociale qui s’affirme ! … quant a la lutte contre le capitalisme, elle n’existe presque plus…, la situation politique et la repression de même nature empêchent la société même d’y songer ! … du coup, s’il peut exister des hommes  »cassés » plus que d’autres, vous les trouverez chez nous…en Maghreb par exemple…mais vous trouverez également autant de femmes sinon plus, rendues au stade d’épaves et subsistant dans ce chaos…! et j’attribue pour ma part la cause essentiellement, non pas au capitalisme, mais a d’autres hommes et femmes qui soient lâches et dénués de morale ou de conscience…qui encore pire que le capitalisme, semblent tirer beaucoup de satisfaction de leur cynisme et de voir les autres en baver ! … comme ces guerres entre hommes pour une femme, ou encore guerres entre femmes pour un homme, et autant de trucs sordides, de jalousies, de rivalités et d’égocentrisme-nombrilisme d’enfants trop gâtés on dirait… et vulgaires et fiers de leur mauvaise education ! …et ceci est une autre histoire … a laquelle, il faudrait consacrer un bouquin…:)))

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  • 20 octobre 2022 à 21 h 21 min
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    Avant d’oublier…et pour quitter le monde civilisé…un journal du bled, bon il est vrai un peu porté sur le sensationnalisme, racontera une fois a travers une femme qu’il invite après sa sortie de prison, l’histoire d’un mec vivant dans petit village rural, battu, humilié et violenté par cette femme pendant des années, une femme qu’on disait  »super gentille » dans le village…qui passera aux aveux et admettre, qu’elle n’avait aucune vie sexuelle avec son mari durant le peu d’années que dura le mariage… cinq ou six ans si je me souviens bien, et que c’en était la cause principale en plus d’autres considérations matérielles, et que cette histoire «  »la transformera en monstre méconnaissable a ses propres yeux »… puisque lorsque son mari quittait le foyer, elle réalisait tout ce qu’elle venait de lui faire subir…et pleurait ou se morfondait dans les regrets…avant de sortir elle aussi pour aller a son emploi précaire de vendeuse ambulante de chais pas quoi ….! bref, après des années seulement, et voyant son mec accumuler les maladies et perdre la parole presque et son travail également, notre bonne femme accourt chez sa famille (famille de l’homme) et avoue tout…en demandant de l’aide…! elle sera rejetée donc, chassée et accusée de tous les maux, et de tromper son mec également…! (qu’on ne saura jamais si c’était le cas)… mais c’est lorsque sa famille décident de porter plainte aux gendarmes du coin contre elle, et que ces derniers la coffrent pour enquête …qu’on enregistrera ses aveux… et qu’on saura que les deux étaient assez religieux…(ou se la racontaient en tous cas a propos de religion)… comme on saura que la nana, se disait méconnaissable, et devenait hystérique dès qu’elle s’enfermait avec son mec chez eux, pour que commence son harcèlement a son encontre, les pires insultes et la vindicte… de manière quotidienne et permanente, le mec n’y comprenait que dalle, lui offrait le divorce, mais elle n’en voulait pas, de peur de sa famille a elle, et parfois donc, créait des scandales et n’hésitait pas a réunir les voisins…venus témoigner également chez les gendarmes… en inondant son pauvre mec d’insultes… parfois sexuelles et visant de le dégrader devant les rares voisins… et pendant que lui n’arrivait pas a se défendre…ou ne cherchait pas a le faire et tournait en rond ! bref, une histoire sordide, a peine croyable, et chargée de détails … elle écopera d’un an de prison, et le journaliste qui a l’habitude de fournir sa rubrique de faits divers dans les rangs de la police ou des gendarmes, et chez qui donc il dégota cette histoire aussi, réussira a la retrouver dans un village voisin, celui de sa famille a elle et la convaincre de raconter… contre rémunération sûrement… bref… et personnellement ce genre d’histoires ne m’étonne même pas ! puisque celle-la encore, n’a pas découpé son mari en petits morceaux, comme il y en a souvent au bled, ou que elle même se se soit pas retrouvée découpée en morceaux également par son mec…qui soit encore plus fréquent ! … et donc, c’en est tellement chaotique, que tous on évite de lire ce genre de nouvelles !

    Mais il est important de savoir qu’on a criminalisé la femme arabe quelque part, a force de tabous, de frustrations ou d’exploitations de toute nature… et que les femmes qui commettent des crimes sordides chez nous est en pleine croissance… ! vols, détournements, meurtres, constitution de bande de crime organisé, et j’en passe, il y en a qui rivalisent avec les hommes, même des femmes notaires, on du se faire la malle avec les dépôts en millions de leurs clients et disparaître dans la nature, ou traverser vers l’étranger…après avoir cumulé les dettes en millions également, et lorsqu’arrivées au bout du rouleau ! et dans le secteur immobilier, les femmes sont aussi souvent exploitées dans les grandes affaires d’arnaques aux clients, pour servir de paravent… ou de seul interlocuteur qui encaisse tout ! la violence en tous cas dans laquelle baigne tout ceci… celle du capitalisme et les inégalités principalement … en plus de la  »libération sexuelle » parfois prise pour argent contant et venant d’occident chez certaines… finissent par boucler la boucle…et déboucher sur tout ceci !

    Une fois, il y a un bail, je revenais du bled en avion, et avec a mes côtés, une Ivoirienne, embarquée a Casablanca également, très mince, chic, et très jolie ou  »classe », elle m’aborda depuis le début du vol qui dure 7 heures… et m’a fait comprendre qu’elle se rend pour la première fois a Montréal chez de la famille en vacances, et donc elle a maintenu la conversation, et m’a tout de même posé quelques questions indiscrètes… de savoir si je suis marié, dans quoi je travaille, ou si j’ai des enfants…etc… je n’y ai pas prêté grande attention et j’ai fini par lui faire comprendre que je veux surtout somnoler et me reposer… et a mon réveil, elle me sortit un papier et me dit  »ceci est mon invitation, est ce que vous pensez que c’est ok? » …!!!! pris au dépourvu…. je la regarde droit dans les yeux et lui dit que j’en ai aucune idée…en suspectant cette fois qu’il y a qq chose qui cloche, je n’insistais pas pour en savoir plus !…bref, arrivé a Montréal, et au bout d’attente interminable pour passer la douane et récupérer les bagages… au moment de repasser près de la douane pour quitter l’aéroport, notre Ivoirienne était escortée par plusieurs flics, et je les croisait sur mon passage ! elle réussira a me lancer dans son français parfait et un peu mielleux… »on ne m’a pas laissé entrer, on va me retourner au Maroc dans le même avion ! »…. les flics du coup se retournent et commencent a me dévisager… mais je continuais ma route !!! … bref, la pauvre, était  »passagère clandestine » et j’ignore comment ils arrivaient encore a baratiner les agents de la compagnie aérienne a l’Époque pour les laisser embarquer ! … et donc la pauvre, elle aura payé son billet sûrement une fortune… pour se rendre de son pays a Casablanca ensuite a Montréal…, et ils lui feront cracher le prix du retour également si elle a du cash sur elle… et c’est certain qu’elle devait l’avoir…. j’aurais dû la suspecter…car habillée comme une  »spice girl » de l’époque…avec paillettes et tout le bling bling qui va avec ! … et encore heureux qu’elle ne m’ait pas embarqué dans on ne sait quelle combine… mais je ne le pense pas… elle  »espérait » passer c’est tout… et peut-être me coller aux fesses ou a quelqu’un d’autre…

    Yallah cette fois, je coupe les commentaires…. :)))) pour de bon cette fois ! … faut bien papoter un peu… en absence de copains qui m’en ont donné l’habitude…

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  • 21 octobre 2022 à 11 h 20 min
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    @ Khider,

    A toutes fins utiles… lien vers le site Wikipedia sur le  »Masculinisme »…. très bien documenté… et plus bas, les différends et nombreux groupes activistes  »Masculinistes »… assez communs dans nos médias maintenant… qui aujourd’hui donnent du fil a retordre aux flics et agences de surveillance du web surtout aux états-unis mais également au Canada… et aux politiciens aussi… puisque le candidat qui a remporté les élections internes du Parti conservateur au Canada cette année et soit devenu donc le chef du parti conservateur…(Pierre Poilievre) s’est retrouvé dans une polémique a ce propos car l’une de ses vidéos de campagne sur Youtube était signée électroniquement par l’un des groupes en question les  »MGTOW » « Men Going Their Own Way » (« Les hommes qui suivent leur propre chemin ») … bref, depuis que les médias ici l’ont su et découvert… ça a crée une tempête médiatique a son encontre… qui s’est calmée depuis et depuis qu’il s’est défendu que c’est pas lui…(difficile a croire car c’est sa chaine youtube personnelle)…en tous cas…

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Masculinisme

    Il faut donc juste réaliser qu’a notre niveau ici, que tous ces groupuscules, autant que ceux qui peuvent dénigrer les noirs, les blancs, les LGBTQ, les chais pas quoi aussi…, car des catégories d’ennemis se créent tous les ans … et l’actvisme autour devient violent parfois… sans exclure les fusillades qui sont souvent reliées aussi a des prises de positions idéologiques… même par des gamins … bref… on vit effectivement dans une autre dimension… et il est bon a noter toute ceci, ou au moins être au courant des ramifications de tout ceci !

    Merci…. amicalement !

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  • 23 octobre 2022 à 13 h 19 min
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    Oui, l’article de Khider Mesloub est très courageux. 1°)-Je l’ai posté avec succès sur ma lettre politique indépendante. 2°)- Trouvant que cela ne suffisait pas, j’ai rédigé une fiche récapitulative de ses grandes idées. La voilà :

    AVEC ME TOO, LA LUTTE DES SEXES À REMPLACE LA LUTTE DES CLASSES !
    Article rédigé par Brigitte Bouzonnie, à partir du très bel article rédigé par Khider MESLOUB contre la pensée Woke, publié sur le site « Les 7 du Québec »

    Brigitte Bouzonnie

    RAPPEL DES GRANDS POINTS ET COMMENTAIRES DU TRES BEL ARTICLE REDIGE PAR KHIDER MESLOUB SUR LA PENSEE WOKE. ME TOO, S’ARROGE LE MONOPOLE DE LA SEULE SOUFFRANCE QUI VAILLE :

    celle de la femme violentée par son mari, mettant au rencard toutes les violences capitalistes : exploitation salariale et salaires jamais revus à la hausse. Chômage et pauvreté de masse. Explosion du prix de l’énergie; inflation à deux chiffres… !

    Le philosophe Khider Mesloub, -Ysengrimus pour les lecteurs du site Les 7 du Québec-, vient de rédiger un formidable article théorique, contre le féminisme petit-bourgeois de Me Too. Ses lynchages publics de personnalité politique, comme Adrien Quatennens, dont la gifle donnée à sa femme a provoqué sur les réseaux sociaux un Himalaya de réactions affectives, jamais structurées par une pensée précise.

    L’article de Khider Mesloub nous apprend beaucoup de chose sur les arrière-pensées obscures de Me Too, Sardine Ruisseau, Obono, … Mais il est un peu long, un peu difficile à lire pour mes lecteurs, qui n’ont pas une culture philosophique.

    Donc, le premier travail est de récapituler et commenter en termes simples, les nombreuses hypothèses soutenues dans cet article collector :

    Elles sont au nombre de 13 :

    1-Le Collectif Me Too reproduit le schéma patriarcal de la femme interposée, alignée.

    2-Me Too cultive la posture victimaire de la femme face au méchant mâle.

    3- Les violences faites aux femmes sont devenues le fonds de commerce, les armes du féminisme punitif de Me Too.

    4- Chaque violence faite aux femme donne lieu à un livre, une mise en scène publique indécente, permettant aux femmes de Me Too de gagner de l’argent. Avoir de la gloriole.

    5- LE FEMINISME MARTYROLOGIQUE FABRIQUE DES BUZZ, À DES FINS DE REGLEMENTS POLITIQUES, comme la sur-interpération de la gifle donnée par Adrien a sa femme.

    6- 30% des victimes de violences conjugales sont des hommes !

    7- Aujourd’hui, on assiste au développement d’une violence protéiforme, notamment avec le développement de la pauvreté de masse. Or le féminisme de Me Too s’arroge le droit de ne parler que des violences conjugales, ce qui revient à mettre au rancart les violences dues aux affreuses guerres (guerre en Ukraine). A la misère noire de celui qui ne peut pas joindre les deux bouts, soit 15 millions de personnes en France. Violence sociale résultant aussi de l’explosion du prix du mégawatts passé de 65 à 800 euros. Mais de ces vrais sujets, personne ne moufte !

    8-Jamais, Me Too ne met en cause la violence du capitalisme mondialisé criminel. Dans une opération de manipulation consistant à condamner uniquement le « mâle ». Exonérant le « Mal » créé par les reptiliens mondialistes : Tristes délocalisations des activités générant le chômage de masse. Casse consciente de notre appareil productif français, surtout les PME, afin d’assainir la bulle financière des banques !

    9- Le féminisme de Me To veut changer le Mâle, sans changer la société capitaliste mondialiste occidentale putréfié !

    10-Aujourd’hui, les mâles sont jetés en pâture par ces pseudo féministes de Me Too. On demande un traitement équitable entre les hommes et les femmes.

    11- Le féminisme de Me To revient à singer le comportement des hommes, dans ce qu’ils ont de pire. Empruntent leurs pires travers, leur arrogance. Leur goût pour les seuls rapports de force, comme si le modèle du mâle était indépassable!

    12-Nous savons depuis Freud, que le cerveau est un appendice du sexe. Avec Me Too, les questions sexuelles sont devenues de façon grossière omniprésentes : comme si nous n’étions plus qu’une braguette ou un vagins sans cerveau.

    13- Me Too permet d’occulter la question sociale mise au rancart.

    LA LUTTE DES SEXES À REMPLACE LA LUTTE DES CLASSES !

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