7 au Front

De l’Union européenne au Reich allemand sous tutelle américaine

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29.10.2022-Crooke-Reich-ARN-Deficit-commercial-English-Italiano-Spanish

Chez les7duquébec.net, nous souhaitons informer et réfléchir avec nos lecteurs de la géopolitique mondiale d’un point de vue matérialiste dialectique – la science pédagogique du prolétariat. Pour ce faire nous soumettons des textes prolétariens – mais nous proposons aussi des textes qui expriment le point de vue du grand capital sur une question géopolitique, économique, ou idéologique importante afin d’amener nos lecteurs à débattre sur notre blog…du choc des idées – peut naitre la lumière.

Nous n’endossons pas tous les textes que nous publions, notamment ceux de la go-gauche et des Bobos. Ceux-là sont complexe à analyser – car le BOBO dissimule ses services au capital sous un verbiage de « gôche » que le lecteur doit d’abord démasquer avant de saisir la traitrise de l’entreprise. Mais c’est au prix de cette confrontation que le prolétaire résistant affûte son instinct révolutionnaire. Merci à tous ceux qui contribuent par leurs commentaires affûtés à notre formation. Aujourd’hui, nous vous proposons un texte d’un haut niveau intellectuel qui déconstruit la rhétorique de la go-gauche petite bourgeoise, ces Bobos intolérants qui voudraient imposer leur dictature militariste au service du petit capital nationaliste chauvin en opposition au Grand capital monopoliste et mondialiste. Quelle doit être la position du prolétariat dans cette confrontation?


 

Par Alastair Crooke – Le 3 octobre 2022 – Source Strategic Culture

Les défenseurs de la primauté américaine au sein des États-Unis évoluent toujours avec leur temps, en s’appuyant sur les tendances dominantes pour ré-imaginer la justification de leur «exceptionnalisme» au moyen d’une imagerie nouvelle.

La montée en puissance de la politique identitaire, axée sur la justice sociale et menée par des activistes de tendance libérale, a fourni à ses soldats leur toute nouvelle justification. Il ne s’agit pas seulement d’une nouvelle «politique» , mais de quelque chose de différent : il s’agit d’une idéologie qui ne tolère aucune «altérité», aucune contestation, mais qui exige simplement un signe de loyauté et de conformité à un code «progressiste» montrant que vous avez entendu le message et vu «la lumière».  (Le message « progressiste » étant une série d’injonctions impératives venues du côté  gauche de la chambre des représentants. )

En bref, ils cherchent, par la conversion de la classe dirigeante, à subvertir et à renverser les anciennes divinités.

Biden aime vanter l’exceptionnalité de « notre démocratie » . C’est, a-t-il dit dans ses remarques commémoratives sur les attaques du 11 septembre 2001, « ce qui nous rend uniques dans le monde… Nous avons l’obligation, le devoir, la responsabilité de défendre, préserver et protéger « notre démocratie »… Elle est menacée… La démocratie même que ces terroristes du 11 septembre ont cherché à enterrer sous le feu, la fumée et les cendres » .

Biden, cependant, ne fait pas référence à la démocratie au sens large, mais à l’énonciation libérale et élitaire de l’hégémonie mondiale de l’Amérique (définie comme « notre démocratie »).

La chroniqueuse du Washington Post et collaboratrice de MSNBC, Jennifer Rubin (longtemps citée par le Washington Post comme leur « chroniqueuse républicaine » pour assurer l‘ »équilibre »rejette désormais l’existence même de camps différents, imputant ainsi une fausse rationalité aux conservateurs :

Nous devons collectivement, en substance, brûler le parti Républicain. Nous devons les niveler parce que s’il y a des survivants, s’il y a des gens qui résistent à cette tempête, ils recommenceront… La danse Kabuki dans laquelle Trump, ses défenseurs et ses partisans sont traités comme rationnels (intelligents même !) vient d’un establishment médiatique qui refuse de se débarrasser… de cette fausse équivalence.

Et Biden, dans un discours prononcé récemment à Philadelphie, a dit à peu près la même chose que Rubin : dans un décor baigné sinistrement de lumière rouge et noire, dans l’historique Independence Hall, il a amplifié sans équivoque les menaces de l’étranger pour mettre en garde contre la menace d’une terreur différente, plus proche de chez nous – de « Donald Trump et des républicains MAGA » , qui, a-t-il dit, « représentent un extrémisme qui menace les fondements mêmes de notre république » .

Le précepte central de ce message apocalyptique a traversé l’Atlantique pour capturer et convertir la classe dirigeante de Bruxelles. Cela ne devrait pas nous surprendre : le marché intérieur de l’UE, fondé sur la réglementation, était précisément destiné à remplacer la contestation politique par le managérialisme technologique. Mais l’absence d’un discours énergique (le fameux «déficit démocratique») est devenue une lacune incontournable.

Les euro-élites avaient désespérément besoin d’un système de valeurs pour combler cette lacune. La solution, cependant, était à portée de main.

David Brooks, auteur de Bobos in Paradise (lui-même chroniqueur libéral au New York Times), a fait valoir que de temps à autre, une classe révolutionnaire voit le jour et bouleverse les anciennes structures. Cette classe de bourgeois bohémiens – ou « bobos » (comme il les appelle) – qui se respectent eux-mêmes, accumulent d’énormes richesses et en sont venus à dominer les partis de gauche dans le monde entier – des partis qui étaient autrefois des véhicules pour la classe ouvrière (une classe que les bobos méprisent sans réserve).

Les Bobos de gauche, « progressistes » et fascistes (NDÉ)

Brooks admet qu’au départ, il s’est laissé séduire par ces bobos (libéraux), mais que c’était là sa grande erreur : « Quel que soit le nom que vous voulez donner aux [bobos], ils se sont regroupés en une élite brahmanique insulaire et métissée qui domine la culture, les médias, l’éducation et la technologie » . Mais il reconnaît : « Je n’avais pas prévu avec quelle agressivité … nous chercherions à imposer les valeurs de l’élite par le biais de codes verbaux et de codes de pensée. J’ai sous-estimé la façon dont la classe créative réussirait à élever des barrières autour d’elle pour protéger son privilège économique… Et j’ai sous-estimé notre intolérance à l’égard de la diversité idéologique ».

En d’autres termes, ce code de pensée qui dépeint ses ennemis comme salivant à l’idée de mettre « notre démocratie » à feu et à sang, est la pointe de la lance de Washington. En s’inspirant de ce code et du « messianisme » du Club de Rome pour la désindustrialisation, les euro-élites ont créé leur nouvelle secte étincelante de pureté absolue et de vertu inoxydable, comblant ainsi la lacune de la démocratie. Cela a abouti à la convocation d’une avant-garde dont la fureur prosélyte doit se concentrer sur « l’Autre ». Il s’agit ici de la somme des « non-croyants » qu’il faut amener à la lumière, soit par la coercition, soit par l’épée. (La secte des « wokes » messianiques – les zélotes de la gauche: Le Wokisme: doit-on s’en inquiéter ? Le « Wokisme » est une secte petite bourgeoise! – les 7 du quebec ).

En Europe, nous en sommes déjà à la deuxième étape (Rome, 313-380), qui a vu le passage progressif de la tolérance à la persécution des « païens ». Dans les années 1970, les nouveaux zélotes étaient déjà profondément enracinés dans l’élite européenne et les institutions du pouvoir étatique. Et maintenant, nous entrons dans la phase culminante, dans laquelle on tente de renverser le Panthéon de l’ordre ancien, afin d’établir un nouveau monde « désindustrialisé » qui lavera aussi les péchés occidentaux que sont le racisme, le patriarcat et l’hétéronormativité. (Voir: À bas le féminisme petit bourgeois vindicatif, punitif, déviant et castrateur – les 7 du quebec). 

Dans son discours sur l’état de l’Union devant le Parlement, Von der Leyen fait presque exactement écho à Biden :

Nous ne devons pas perdre de vue la façon dont les autocrates étrangers s’en prennent à nos propres pays. Des entités étrangères financent des instituts qui sapent nos valeurs. Leur désinformation se répand de l’internet aux halls de nos universités… Ces mensonges sont toxiques pour nos démocraties. Pensez-y : nous avons introduit une législation visant à examiner les investissements étrangers directs pour des raisons de sécurité. Si nous faisons cela pour notre économie, ne devrions-nous pas faire de même pour « nos valeurs » ? Nous devons mieux nous protéger des ingérences malveillantes… Nous ne laisserons pas les chevaux de Troie d’une autocratie attaquer ‘nos démocraties’ de l’intérieur. (Du fascisme mal dissimulé. ).

Moeini et Carment, de l’Institute for Peace & Diplomacy, ont fait valoir que la politique américaine a bouclé la boucle : de l’avertissement initial de Bush au monde extérieur selon lequel, dans la guerre contre le terrorisme, vous êtes soit «avec nous, soit contre nous», à Biden «qui arme le mythe de notre démocratie pour des gains partisans ». Ce qui est également vrai, c’est que c’est aussi le cas pour l’Europe.

Considérée dans son ensemble, la rhétorique de Biden montre que la guerre de son administration contre le « fascisme MAGA » à l’intérieur du pays va de pair avec son objectif de vaincre militairement les autocraties à l’étranger. Ils sont devenus les deux faces d’une même pièce : les « quasi-fascistes » nationaux, d’une part, et Russkiy Mir, d’autre part. Ces « païens » ne font en réalité qu’un, insiste le nouveau code de pensée.

Cette logique est désormais le principe de fonctionnement de ce que l’on pourrait appeler la doctrine Biden, qui devrait être dévoilée dans la prochaine Stratégie de sécurité nationale de l’administration. Selon cette doctrine, la lutte pour la démocratie est incessante, totalisante et globale : une « bataille pour l’âme » des États-Unis et le « défi de notre temps » (vaincre l’autocratie). La neutralisation de la prétendue menace du fascisme à l’intérieur du pays, personnifiée par MAGA et l’ancien président Trump, fait partie d’une lutte apocalyptique plus large pour défendre l’ordre libéral à l’étranger.

Malgré le clivage entre les « bobos » américains et la classe guerrière dérivée de l’UE, il n’en reste pas moins que de nombreuses personnes dans le monde ont été étonnées de l’alacrité avec laquelle les dirigeants de Bruxelles se sont laissés emporter par la « ligne » de Biden prônant une longue guerre contre la Russie ; une demande de conformité européenne dans cette entreprise qui semble si clairement contraire aux intérêts économiques et à la stabilité sociale de l’Europe. En d’autres termes, une guerre qui semble irrationnelle.

Cette indifférence suggère autre chose. Elle renvoie plutôt, à un autre niveau, à d’autres racines européennes émotionnelles profondes et à des justifications idéologiques distinctes.

Pendant des décennies, les dirigeants soviétiques se sont inquiétés de la menace du « revanchisme allemand ». La Seconde Guerre mondiale pouvant être considérée comme une vengeance allemande pour avoir été privée de la victoire lors de la Première Guerre mondiale, la Drang nach Osten agressive de l’Allemagne ne pouvait-elle pas resurgir, surtout si elle bénéficiait du soutien anglo-américain ?

Cette inquiétude s’est considérablement atténuée au début des années 1980, mais comme l’a noté l’année dernière MK Bhadrakumar, ancien ambassadeur de l’Inde, une inquiétude russe plus large est patente, dans la mesure où l’Allemagne est à l’aube d’une transition historique « qui présente un parallèle troublant avec la transition de Bismarck dans le contexte européen d’avant la Première Guerre mondiale, puis de la République de Weimar à l’Allemagne nazie, et qui a conduit à deux guerres mondiales ». En bref, le militarisme allemand.

Proposé à l’origine par un groupe de politiciens allemands à la retraite issus des deux principaux partis allemands, et dirigé et inspiré par le philosophe Jürgen Habermas, le groupe a suggéré en 2018 que, la Russie et la Chine « mettant de plus en plus à l’épreuve […] l’unité de l’Europe, [et] notre volonté de défendre notre mode de vie » , il ne pouvait y avoir « qu’une seule réponse : la solidarité » ; la création d’une armée européenne devait être la première étape vers une « intégration plus poussée de la politique étrangère et de sécurité, fondée sur des décisions prises à la majorité » par le Conseil européen.

Eh bien, cet élan allemand pour le militarisme comme voie vers la solidarité, l’ordre et la conformité est maintenant la pointe de la lance européenne : un Reich européen.

Le chancelier Olaf Scholz a appelé, le 29 août, à une Union européenne élargie et militarisée sous la direction de l’Allemagne. Il a affirmé que l’opération russe en Ukraine soulevait la question de savoir « où sera la ligne de démarcation à l’avenir entre cette Europe libre et une autocratie néo-impériale ». Nous ne pouvons pas nous contenter de regarder, a-t-il dit (reprenant Biden), « des pays libres être rayés de la carte et disparaître derrière des murs ou des rideaux de fer » .

Auparavant, la ministre allemande des affaires étrangères, Annalena Baerbock, dans un discours prononcé à New York le 2 août, avait esquissé la vision d’un monde dominé par les États-Unis et l’Allemagne. En 1989, le président George Bush avait offert à l’Allemagne un « partenariat de leadership » , selon Mme Baerbock. Mais à l’époque, l’Allemagne était trop occupée par la réunification pour accepter cette offre. Aujourd’hui, a-t-elle dit, les choses ont fondamentalement changé : « Le moment est venu de le créer : un partenariat commun en matière de leadership » .

Elle a rappelé que le « partenariat de direction » était compris en termes militaires : « En Allemagne, nous avons abandonné la croyance allemande de longue date dans le ‘changement par le commerce’… notre objectif est de renforcer davantage le pilier européen de l’OTAN… et l’UE doit devenir une Union capable de traiter avec les États-Unis sur un pied d’égalité : dans un partenariat de leadership » .

Dans le cadre de ce rôle de leader, Diana Johnstone, ancienne attachée de presse du groupe des Verts au Parlement européen, écrit que Scholz soutient désormais l’appel à « un passage progressif à des décisions à la majorité en matière de politique étrangère de l’UE » pour remplacer l’unanimité requise aujourd’hui. « Ce que cela signifie devrait être évident pour les Français. Historiquement, les Français ont défendu la règle du consensus afin de ne pas être entraînés dans une politique étrangère dont ils ne voudraient pas. Les dirigeants français ont toujours exalté le mythique « couple franco-allemand » comme garant de l’harmonie européenne, mais surtout, pour garder les ambitions allemandes sous contrôle » .

Mais Scholz dit qu’il ne veut pas d’une « UE d’États ou de directions exclusives » , ce qui implique le divorce définitif de ce « couple. » Avec une UE de 30 ou 36 États, note Scholz, « une action rapide et pragmatique est nécessaire. » Et nous pouvons être sûrs que l’influence allemande sur la plupart de ces nouveaux États membres pauvres, endettés et souvent corrompus produira la majorité nécessaire.

En bref, le renforcement militaire de l’Allemagne donnera corps à la fameuse déclaration de Robert Habeck à Washington en mars dernier, selon laquelle : « Plus l’Allemagne sera forte, plus son rôle sera grand ». Habeck, membre du parti des Verts, est aujourd’hui ministre allemand de l’économie et la deuxième personnalité la plus puissante du gouvernement allemand actuel.

Cette remarque a été bien comprise à Washington : en servant l’empire occidental dirigé par les États-Unis, l’Allemagne renforce son rôle de leader européen. Tout comme les États-Unis arment, forment et occupent l’Allemagne, celle-ci fournira les mêmes services aux petits États de l’UE, notamment à l’est, écrit Johnstone. (On perçoit ici l’échafaudage de la superstructure technocratique – politique – financière et économique de l’Alliance Atlantique recomposée se préparant à affronter son concurrent l’Alliance Pacifique sous l’hégémonie de la Chine et de son premier lieutenant Russie ). 

Probablement, rien de tout cela n’a la moindre chance de prendre la forme institutionnelle de l’UE : pourtant, depuis le début de l’opération russe en Ukraine, l’ancienne politicienne allemande Ursula von der Leyen s’est servie de sa position à la tête de la Commission européenne pour imposer des sanctions toujours plus drastiques à la Russie, entraînant la menace d’une grave crise énergétique européenne cet hiver (désormais rendue inéluctable par le sabotage des pipelines Nordstream). Son soutien à l’Ukraine et son hostilité envers la Russie semblent sans limite. (Ce sont sur les plaines russo-ukrainiennes que le Grand capital mondialisé a décidé d’amorcer la confrontation impérialiste qui déterminera l’hégémon pour le siècle à venir. Voir: Le monde entre dans sa décennie « la plus dangereuse », prévient Poutine – les 7 du quebec et Biden, entre la corde raide et le nœud coulant – les 7 du quebec).

La ministre allemande des affaires étrangères du Parti vert, Annalena Baerbock, est tout aussi déterminée à « ruiner la Russie ». Partisane d’une « politique étrangère féministe » , Baerbock exprime sa politique en termes personnels : « Je fais la promesse aux gens en Ukraine : nous serons à vos côtés aussi longtemps que vous aurez besoin de nous » , a-t-elle déclaré récemment.

Il ne s’agit pas seulement d’une revanche sanguinaire après les siècles de guerre de l’Allemagne contre la Russie. C’est cela, mais cela semble également motivé par la méthode habituelle de toute classe révolutionnaire désireuse de renverser une situation ancienne. (Nous ne pensons évidemment pas que les bobos constituent une nouvelle « classe révolutionnaire », ils sont tout juste un segment de la classe bourgeoise en voie de paupérisation et de prolétarisation ce qui terrorise ce segment de classe – courroie de transmission et chien de garde du pouvoir du grand capital. Les Bobos détestent et méprisent la classe prolétarienne révolutionnaire.

Comment ? Par ce vieux recours lorsque l’objectif est de démolir un Panthéon de valeurs et de héros anciens : « Il faut du sang pour cimenter la révolution » , disait Madame Roland pendant la Révolution française. Nous sommes à l’aube d’un coup de main organisé par les élites pour prendre le pouvoir.

Au IVe siècle, la chrétienté latine a tenté de démanteler littéralement un millénaire de civilisation antique (dénigrée comme « païenne ») en la supprimant par l’épée et le feu, en brûlant sa littérature (la bibliothèque d’Alexandrie) et en supprimant sa pensée (les Cathares). Pourtant, le succès n’a pas été total. Les vieilles valeurs ne voulaient pas disparaître et elles ont refait surface sous une forme énergique au cours de la Renaissance du 12e siècle.

Pour être à nouveau supprimées par le « rationalisme » du siècle des Lumières…

Alastair Crooke

Traduit par Zineb, relu par Wayan, pour le Saker Francophone

Robert Bibeau

Auteur et éditeur

11 réflexions sur “De l’Union européenne au Reich allemand sous tutelle américaine

  • severic2009

    HA…!!!,mais diste moi, que vous ne saviez pas que le III REICH ,était sous tutelle « SIONISTE », l’accession au pouvoir d’Hitler, était financé par les banques « SIONISTES ROTSCHILD « , que ces banques fournissaient le III REICH ,en or, acier carburant, jusqu’en 1943, l’idéologie sioniste c’est colée sur l’idéologie d’Hitler,il a contribuer a construire « ISRAËL que l’accord de transfert du 7 aout 1933 signé à Berlin entre le tout nouveau chancelier Hitler et les représentants des « NAZI » » NA-tinalen ZI-onismus,Ben Gourion, Beguin les seuls et authantique « NAZI »,écoutez la vidéo d’un fils de déporté Edwin Black, né le 27 février 1950 à Chicago, est un écrivain et journaliste américain, connu notamment pour ses livres The Transfer Agreement, si vous croyez que: « NA-tionalen SO-zialisch , et que « NAZI » se rapporterait a ce diminutif, pasv du tout , ce diminutif se dirait « ZASO »,vous vous « FOURVOYEZ », noubliez pas que le sionisme inventé par les « ASHKENAZES- KHAZARS » n’ont « JAMAIS été « JUIF », ils se sont « CONVERTIS » au judaïsme vers l’an 800 ,par le biais d’un de leur roi, je ne me rappelle plus son nom..!!, aujourd’hui le régime « ZELINSKY », en Ukraine,avec ses bataillons « AZOV », qui date de la 2éime guerre mondial, serviteurs d’Hitler, et des « SIONISTES », sont soutenue encore et toujours par les « NAZI, SIONITES », le courage du peuple Russe et de son président « VLADIMIR POUTINE », devraient « FORCER notre admiration s’opposer au nouvel ordre mondial sioniste et nous devrions « TOUS CEUX QUI COMBATTENT LE SIONISME » les soutenir..!! et c’est un « ASHKENAZE ANT ASSIMILATIONISTE  » QUI VOUS LE DIT…!!!

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      • severic2009

        En 740 le roi « BULAN, a choisi le judaïsme, je pense, que cela était lié du fait que les « JUIFS SEMITES » les seuls et hautantiques « JUIFS », était « LE PEUPLE ELU DE DIEU », c’est ce qui a séduit ce roi, « PEUPLE ELU DE DIEU » sur son CV, cela permet beaucoup d’exactions, et ne sont pas génés…les sionistes sont désavoués des « VRAIS JUIFS »ont contribuer a la déportation de 600 milles Ashkenazes » assimilationistes » dont les « NAZI »,NA-tionalen , ZI-onismus , ne voulaient pas pour leur co-création avec l’assentiments d’Hitler de l’état d’ISRAËL », et encore beaucoup d’autres réalités bien masquées par ces chères « SIONISTES »..!! file:///C:/Users/eric/Videos/des-psychopathes-voici-toutes-les-citations-des-fondateurs-du-sionisme.html

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  • lombard

    Excellent appel historique : qu’ on se le dise !! Et bravo pour l’ analyse !!

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  • VALK

    l’UE entame son agonie..une descente aux enfers qui sera assez rapide et douloureuse, ce sera du jamais vu, nul besoin d’utiliser le nucléaire, les USA se chargent de la destruction.. Tous les pays qui font parti de l’UE, qui continuent à y adhérer aveuglément sous cette pression, qui contribuent au soutien militaire des ukraino-nazis sous la tutelle de la mafia otanesque et de leurs sponsors américains, vont inévitablement IMPLOSERr!! La situation actuelle démontre qu’il n’y a pas que leur économie globale et leur niveau de vie qui baissent à vue d’oeil, il s’agit avant tout, de leur capacité à s’AUTO-GÉRER. Les populations vont finir par se révolter devant autant de censure, de silence imposé, de manipulation sur leur réalité de vie, sur ce déclin amorcé sans leur consentement, sur cette condition d’INJUSTICE. Il en va de leur survie, mais avant tout de l’INDÉPENDANCE et de la DÉMOCRATIE de chaque pays. Ils sont en bonne voie de tout perdre, nous sommes à l’aube d’un changement radical sur la planète.

    Les plaques tectoniques du pouvoir bougent et les pôles vont s’inverser complètement, un événement majeur dans l’histoire se prépare.

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  • Michel St-Onge

    Si les USA, Trudeau, et l’union européenne s’étaient mêlés de leurs affaires et ne pas envoyer d’argent et d’armes à l’Ukraine pour ce clown de Zelensky, la guerre serait fini. Il aurait été obligé de capituler, Poutine aurait pris ce qui lui revenait de droit et beaucoup moins de mort et de démolition.

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