Aux origines païennes de l’imposition du voile (1/3)
Par Khider Mesloub.
This article is available in 5 languages on this webmagazine:
31.10.2022.Mesloub-Voile-Cabanel-Rain-warm-English-Italiano-Spanish
Contrairement à ce que peut laisser entendre la propagande distillée, de nos jours, par la doxa islamique dominante, dans sa genèse, c’est-à-dire dans sa formation profane antique, tout comme dans sa version religieuse postérieure, aujourd’hui perpétuée par les musulmans, le voile n’a jamais été une mode vestimentaire créée par la gent féminine pour se mettre en valeur, un apparat d’embellissement adopté pour rendre la femme plus séduisante. Encore moins une prescription divine. Ni, comme le soutiennent cyniquement certaines néo-féministes islamo-gauchistes contemporaines, un « marqueur de liberté » de choix et d’émancipation de la femme musulmane. Au contraire, dans les pays musulmans le voile symbolise le pouvoir phallocratique totalitaire et violent exercé sous couvert de l’islam.
Dans ces pays, le voile constitue une véritable norme vestimentaire imposée à la gent féminine, et non un simple vêtement folklorique nimbé de sacralité.
En effet, le port du voile, quelle que soit sa déclinaison stylistique (hijab, tchador, niqab), peut être caractérisé comme une norme sociale et politique de soumission à laquelle la femme doit s’astreindre dans l’espace public pour pouvoir circuler.
Cette norme vestimentaire contraignante appliquée exclusivement à la femme implique le voilement de tout son corps, en particulier sa tête. Cette norme vestimentaire coercitive, assimilée fallacieusement à un acte de foi, ne s’applique curieusement pas aux hommes. Les hommes en sont exemptés. Comme le professe le vertueux moraliste Tariq Ramadan, adepte de la dénudation brutale et violente des femmes, contraintes à subir ses agressifs assauts lubriques serties de religiosité islamique : « Le voile est le passeport des femmes musulmanes pour devenir citoyennes ». Autrement dit, la femme musulmane, pour pouvoir se prévaloir du « statut humain » (citoyenne) et circuler dans l’espace public, doit se munir de son passeport vestimentaire estampillé « halal », c’est-à-dire conforme aux normes vestimentaires islamiques. Car, aux yeux de la frange fondamentaliste islamiste, la femme incarne la tentation. Aussi, pour ne pas éveiller les tentations lubriques de l’homme, au lieu de brider la coupable concupiscence incontrôlable de celui-ci, la société musulmane préfère voiler l’innocente femme.
Ainsi, au vrai, depuis ses origines, le voile symbolise l’avilissement de la condition de la femme.
L’invention du voile fut l’œuvre de l’homme, du mâle en mal de domination. Qui plus est, contrairement à l’opinion communément répandue, le voile ne fut pas inventé par l’islam. Il apparut des milliers d’années avant la naissance de l’islam. Produit de sociétés tribales et rurales en voie d’urbanisation, c’est une survivance archaïque perpétuée par l’homme pour pérenniser son pouvoir de domination sur la femme. De surcroît, il s’inscrit dans cette divergence culturelle millénaire entre la ville et la campagne, clivage entre le citadin et le rural.
Si, historiquement, le vêtement en général apparait pour des raisons purement fonctionnelles, c’est-à-dire pour se protéger des intempéries et agressions climatiques, voire pour préserver l’intimité du regard des autres, le voile, lui, d’emblée revêt une fonction idéologique manifeste, une dimension culturelle patriarcale. Autrement dit, tous les vêtements ont un fondement fonctionnel. Certes, avec l’urbanisation et le raffinement de la société, impulsés dès l’Antiquité dans les grandes villes, le vêtement, grâce au développement du métier du tissage permettant la fabrication et la commercialisation massive, prendra une dimension esthétique. Désormais, le vêtement, de plus en plus étoffé et varié, aura, outre sa finalité fonctionnelle, un but de mode, c’est-à-dire une fonction séductrice, un usage purement esthétique. Hommes et femmes rivaliseront d’imagination pour agrémenter et embellir leurs vêtements. Au contraire du voile qui n’a jamais eu une finalité fonctionnelle, encore moins esthétique, étant entendu qu’il fut créé exclusivement pour dissimuler tout le corps de la femme, y compris sa tête. On peut affirmer que le voile est foncièrement antiesthétique. Et, surtout, sociologiquement anti-femmes. Il a une fonction psychologique castratrice. La castration, c’est la négation de soi au sens personnel, sexuel et social. L’effacement de soi. Le voilement social de soi.
Conséquence pour une fille ou femme châtrée par le voile : au lieu de s’ouvrir vers le monde extérieur, s’épanouir socialement, elle va se « bloquer » à un stade infantile caractérisé par l’inhibition, l’introversion, l’absence d’esprit d’initiative, le manque de confiance en soi, la faible estime de soi.
Toutes ces délétères caractéristiques psychologiques et éducatives, socialement fabriquées, sont valorisées par les sociétés patriarcales pour mieux infantiliser et, corrélativement, assujettir aisément et durablement la femme.
Le voile est un linceul que la société patriarcale impose à la femme pour lui signifier sa mort sociale, son enterrement politique, son trépas sexuel. Et, surtout, pour lui rappeler, à vie, son infériorité humaine. « Couvrez-moi cet être maléfique et tentateur que la société des hommes ne saurait voir », tel est le credo de ces antiques formations sociales patriarcales, à notre époque toujours professé, perpétué et défendu dans le monde musulman.
Pour comprendre l’origine de l’avilissement de la condition de la femme, il faut remonter à la période préhistorique.
La fonction fait l’organe. La femme, dès l’origine de l’hominisation, fut mise en difficulté de productivité par ses fonctions naturelles. Plus précisément par ses régulières menstrues et ses fréquentes grossesses.
De manière générale, condamnée périodiquement au repos en raison de l’affaiblissement de son corps endolori par les menstrues; amoindrie physiquement par ses récurrentes grossesses au point de réduire son activité; prisonnière durant des années de l’éducation de sa progéniture élevée dans l’enclos domestique ; la femme, invalidée par ses multiples fonctions naturelles et occupations féminines, dut réduire considérablement ses déplacements, ses activités productrices de valeur (pour assurer ses activités reproductrices), opérées en dehors du périmètre tribal, notamment pour pouvoir s’adonner à la chasse. Chasse devenue ainsi, sans jeu de mots, la chasse gardée de l’homme.
Dans cette période reculée où il vivait sans feu et sans armes, l’Homme devait surtout affronter des bêtes extrêmement féroces. Dès ce époque primitive, vivant en groupes, ces activités prédatrices influèrent sur l’évolution physique, mentale et sociale de l’homme.
Ainsi, la chasse, cette activité prédatrice requérant l’usage de la force, permit à l’homme de développer sa musculature, d’aguerrir son tempérament agressif, d’affermir son caractère calculateur, diligent, prévoyant. La fonction faisant l’organe, l’homme nous prouve que, grâce à ses fonctions prédatrices développées au cours de l’évolution de l’humanité, ses organes se sont métamorphosés.
A contrario, à cause de son inactivité due à ses fonctions reproductrices, les organes de la femme se sont atrophiés. De nos jours, la participation depuis plus d’un siècle de la femme à l’activité professionnelle et sociale a réduit considérablement les différences physiologiques entre les deux sexes. La femme est tout aussi capable et compétente d’accomplir des fonctions jusque-alors réservées à l’homme.
Pareillement en matière sportive. Son « infériorisation » physiologique millénaire a des origines sociales liées aux spécificités des modes de production antérieurs phallocratiques et à quelques caractéristiques génétiques.
Somme toute, l’exclusion de la femme de cette activité prédatrice propice à l’accroissement de la corpulence musculaire eut raison de ses facultés physiques diminuées considérablement au fil de l’évolution de l’humanité. Cette faiblesse corporelle de la femme finit par la rendre plus vulnérable. Devenant ainsi une proie facile pour l’homme avide de domination favorisée par ses triomphales batailles obtenues contre les fauves. Grâce à ses exploits réalisés dans le cadre de ses activités de chasse, lui prouvant sa supériorité sur certaines espèces animales capturées, son inclination à la domination sur l’espèce humaine, en particulier la femme, va germer, s’affirmer, s’intensifier.
Ainsi, fragilisée physiquement par ses menstrues et grossesses répétées, retirée de la vie laborieuse prédatrice propice à l’affermissement musculaire, à la fortification du tempérament agressif, la surexcitation de la violence, activité laborieuse prédatrice dévolue exclusivement à l’homme ; cantonnée aux tâches domestiques accomplies dans un périmètre réduit à l’enclos clanique, la femme finit par perdre tout contrôle de son être. Et devenir une proie facile d’asservissement. Progressivement, Après avoir, par sa prodigieuse force et ses qualités d’endurance acquises grâce à son activité de chasseur, exercé son pouvoir sur certains gibiers capturés pour la nourriture de la tribu, il étendit son emprise prédatrice et dominatrice sur la femme, handicapée par ses fonctions naturelles invalidantes pour opposer toute résistance. La femme deviendra désormais la « bête noire » et la « bête de somme » de l’homme ! Cette femme, originellement défavorisée physiquement, sera progressivement dévalorisée socialement. Mais favorisée sentimentalement. Valorisée humainement.
En effet, contrairement à l’homme engagé dans un processus d’ensauvagement à force de côtoiement des bêtes dans ses activités prédatrices, la femme conservera cette sentimentalité humaine des premiers hominidés, favorisée notamment par son exclusive activité nourricière et protectrice exercée auprès de sa progéniture. Nous rejoignons là la question de la phylogenèse. L’homme façonnera sa personnalité au contact des fauves côtoyés dans les forêts sauvages loin de sa tribu. Cela donnera naissance à cette brute toujours aussi barbare. La femme, elle, conservera intacte son humanité grâce à ses relations humaines privilégiées établies uniquement avec les membres « pacifiques » de sa famille établie au sein du clan. Ses liens noués exclusivement avec les humains lui permettront, grâce à sa sentimentalité, sa sensibilité, son émotivité, de sauvegarder son humanité. Et par extension, l’Humanité, de sa déchéance morale.
Ainsi, du fait de l’affaiblissement physique de la femme, il était plus commode et possible pour l’homme de s’approprier une femme – voire plusieurs – et de la traiter comme une proie capturée et appropriée pour assurer la continuité de son héritage par le biais de sa progéniture fournie par sa femme-objet, grâce à ses fonctions reproductrices auxquelles désormais elle sera sexuellement assignée et socialement réduite.
Progressivement, par sa soumission au pouvoir de l’homme, la femme finit par devenir un objet d’exploitation sexuelle et sociale, un bien ayant une valeur marchande susceptible d’être échangée sur le marché matrimonial dominé par les chefs (masculins) de famille, une monnaie de négociation entre tribus, une source de richesse. C’est le début de la division sexuelle du travail.
De fait, historiquement, dans l’interminable développement ininterrompu des assujettissements ponctués par l’esclavage, le servage, le colonialisme, le salariat, la femme fut le premier être humain à être asservi, opprimé, exploité, aliéné.
Au cours de cette phase du développement de l’histoire encore inscrite au stade clanique, les sociétés primitives se caractérisent par la généralité de l’exogamie, c’est-à-dire l’interdiction d’épouser une parente légale. Pour protéger son territoire vital contre les incursions de ses voisins, assurer la sécurité de ses zones de chasses, la société tribale instaure cette institution matrimoniale nommée exogamie au sein de laquelle la femme sert de monnaie d’échange, moyen de pacification des relations entre tribus.
En effet, pour réduire les conflits entre tribus, et ainsi tisser des liens de cohabitation pacifique, la femme servira de moyen (monnaie) d’échange. C’est la naissance de l’exogamie.
Dans cette forme de société, la fille n’est plus réservée aux membres mâles de la tribu « autochtone », comme dans le cas de l’endogamie, mais offerte à un membre mâle d’une autre tribu.
Au cours de ce processus de développement de l’humanité, l’instauration de l’exogamie entraîne une profonde mutation « anthropologique » de mentalité. Les relations sexuelles entre membres d’une même famille seront désormais proscrites. C’est la naissance de la prohibition de l’inceste.
Et la preuve d’absence de rapports sexuels noués avant la livraison de la femme au membre mâle d’une autre tribu sera administrée par le constat de la virginité de la femme. Le premier pilier de la nouvelle humanité inégalitaire fut donc le tabou de l’inceste favorisé par l’exogamie. Le second pilier corrélatif sera la virginité de la femme (mais paradoxalement jamais de l’homme évidemment). Originellement, la virginité de la femme n’avait aucune valeur morale, mais une dimension « économique », moyen d’authentification de la qualité de la marchandise échangée, prête à la consommation, à la production lucrative, à la reproduction humaine.
Victime d’oppression et d’exploitation dès la phase paléolithique, la femme verra son avilissement s’accentuer au stade néolithique, c’est-à-dire avec la naissance de la ville, favorisée par la révolution de l’agriculture. Dès lors, avec la révolution néolithique, il ne fut plus nécessaire de se contraindre aux relations de bon voisinage avec les autres tribus.
Grâce à la culture des céréales et à la domestication des animaux, c’est-à-dire l’abondance des troupeaux et des champs agricoles exploitables sans limite dans le cadre de la propriété privée nouvellement instituée, on pouvait désormais chasser et dévaster à volonté.
Avec la révolution néolithique, la société allait surtout pouvoir conserver « ses » femmes au sein de la tribu, convoiter et capturer celles des autres tribus car la femme pourrait œuvrer (force productive), produire et reproduire dans les potagers, les champs, les premières entreprises agricoles exigeant une force de travail corvéable et exploitable à volonté.
La société allait instaurer la prohibition de l’échange des femmes, devenues aussi précieuses que le bétail et les semences, sources de richesses. Réintroduire l’inceste, la polygamie. Promouvoir la guerre, le racisme, l’esclavage. Et surtout perpétuer l’obsession de la virginité féminine. C’est la naissance dans certaines régions de l’endogamie.
Ainsi, si la révolution néolithique permet l’éclosion extraordinaire des forces productives, notamment dans les villes, matérialisée par le développement de l’artisanat, l’invention et la diffusion de l’agriculture et de l’élevage, de la navigation, du tissage et de la céramique ; des fonctions administratives et gouvernementales, ainsi que des activités intellectuelles répandues grâce à l’invention de l’écriture, et l’accumulation de surplus alimentaire et vestimentaire, cette révolution néolithique ne profitera jamais à la femme.
Cette révolution lui sera fatale. Toutes ces nouvelles activités artisanales, administratives et intellectuelles seront l’apanage de l’homme. La femme étant totalement exclue de ses nobles et productives fonctions techniques et intellectuelles.
C’est au cours de cette longue période marquée par l’essor des villes, notamment dans les régions de la Mésopotamie et le pourtour méditerranéen que le voile va prendre naissance, s’imposer aux femmes.
Ironie de l’histoire, la ville s’est révélée être plus aliénante et oppressive à l’égard de la femme que la société tribale. Effectivement, dans la tribu, quoique assujettie au pouvoir de l’homme, la femme était libre. Elle circulait librement dans l’espace de la tribu.
Elle arborait fièrement son visage et sa chevelure au sein de sa tribu. Elle évoluait parmi ses semblables sans subir ni discrimination, ni proscription ni interdiction.
Khider MESLOUB
Un titre tiré par les cheveux 😂
Dans ce cas là puisque ce n’est pas d’origine religieux, les enseignants devraient avoir le droit de le porter en classe. 😉
@ S. Lajeunesse… Je seconde…, et je me dit que ça tourne forcément pas rond dans la tête de notre ami et auteur qui se prend pour le Darwin du voile cette fois en lisant ce développement…:)))) développement »tragi-comique » saupoudré de tentatives d’explications paléontologiques, ou encore darwiniennes et »évolutionnistes »… et anthropologiques également ! … on pourrait s’en inspirer pour un sketch au festival »juste pour rire » quoi ! :)))) avec cette histoire d’hommes faisant face aux fauves féroces de la préhistoire pendant que les femmes se transformaient en »salopes » qui mouillent a fond et aux courbes bandantes en occasionnant »la guerre du feu »… le fameux film quoi…:)))) Je crois que cette fois on a atteint le fond… pour dresser le profil de notre »hannibal lecter » du voile et des femmes probablement aussi du bonhomme…une bonne fois pour toutes ! :))… franchement, je suis encore sous le choc… et je ne suspectait pas autant de mayonnaise et de ketchup dans la cabosse de l’auteur… a qui je recommande d’ailleurs de consulter cette fois, le plus amicalement du monde…! non mais…faut pas déconner non plus ! et en plus on en est encore que dans la première partie, car il y en aurait deux autres…! inutile donc de commenter plus sérieusement pour ma part… et désolé d’être aussi directe cette fois… sauf pour dire que je pensait que notre ami Khider était bien plus terre a terre, modeste ou équilibré…. mais de la a s’improviser scientifique-paléontologue du voile depuis les cavernes de cromagnon…il y a une limite de décence a tout !
Chuis navré cette fois Khider, mais j’ai tout de même bien rigolé…! j’ai pourtant essayé de donner un gramme de crédit a tout ceci depuis le titre…et je ne vous pensait pas aussi tordu pour vouloir ainsi poursuivre des lubies intellectuelles aussi acharnées et n’importequoitistes de la sorte…errements égotiques et salades préhistoriques purement fantaisistes…sur fond darwiniste et complexe œdipien en plus…! et puis si je me trompe… tant pis pour moi ! :)))
Amicalement tout de même ! (je vous assure que je continuerais de vous lire sur d’autres sujets, lorsque vous êtes pas pris de fièvre égotique et d’hallucinations comme cette fois)….:)))
Versão em Língua Portuguesa:
https://queonossosilencionaomateinocentes.blogspot.com/2022/10/as-origens-pagas-da-imposicao-do-veu-13.html
Là , pour de bon , on a perdu Khider Mesloub.
lol…. je seconde guy ! j’espère qu’il a pas fumé la moquette cette fois ! :)))))) ou encore… victime du fameux »Toukal » que j’ai expliqué dans mes commentaires de son dernier billet ! …:)))
Ceci dit…et a cause de ce billet, j’interdis a quiconque de vouloir se moquer de mon petit frère Khider…….victime d’épisodes hallucinatoires a ne pas confondre avec des épisodes épileptiques, schizophréniques ou de crises nerveuses quelconques…. puisque mon p’tit frère Khider est un brillant visionnaire qui aura tenté au moins de vous rapprocher du topo de l’homme qui combat des espèces de fauves sauvages terribles, en profitant pour se bâtir des muscles, pendant qu’il a jugé les femmes inaptes a la chasse au mamouth…et autres tigres et lions de la steppe européenne ou africaine… ayant eu pour conséquence, une atrophie musculaire, et clitoridienne et une explosion libidineuse sélectionnant les mâles selon la taille de leur massue de chasse préhistorique :))))) loooool….
Khider est une perle sans equivalent dans la famille, mais également un garçon sage a l’imagination débordante et vive…et d’ailleurs je suspecte quelques fourrures de trophées de chasse de nos aïeux australopithèques nord africains…qu’on conserve encore dans la famille, qui soient la cause qui lui aient inspiré ces histoires de fauves, de chasse et de femmes…! :))))
Sacré Khider… un avenir radieux t’attend…! :)))
J’aimerais pas être mauvaise langue, mais on raconte que dans le Paléolithique ou âge de pierre, a la même période de la fabrication de la fameuse statuette de la »Venus de Willendorf » (https://fr.wikipedia.org/wiki/V%C3%A9nus_de_Willendorf), statuette qui symbolise la maternité, et une femme déesse Mère…, on raconte donc que notre ami »Cromagnon »…Homo Sapien bien bâti, plutôt sexy et pas si moche que ça…rentrait un soir d’hiver a la caverne, après avoir passé la journée a l’ouvrage de quelques outils en silex, et la cueillette de quelques fruits enfin au debut de saison, des pommes préhistoriques bien mûres et bien sucrées…il était donc super content de ramener un beau butin de la forêt avoisinante, et d’être sain et sauf et en un seul morceau…a cause de quelques fauves affamés qui gambadaient dans le coin, mais dès qu’il franchit la porte de la caverne… il trouva sa campagne »Cromignonne »… totalement transformée, et sentant si bon qu’il en perdi la parole…! en effet, Cromignonne avait ce jour la, non seulement préparé un bon repas d’os a moelle et un barbecue de chauve-souris grillées et protéinées pour son amant…le repas de chauve-souris signifiant dans le language social de cette époque que la nana est en chaleur et que son mec a tout intérêt a assurer cette nuit-la…bref, Cromignonne portait ce soir la, pour la première fois de la préhistoire, un G-string en peau de lézard … et un porte jarretelles en cuir de chienne, (chienne sauvage… ces bestioles la étaient féroces et imposantes aussi et assez rares comme trophées de chasse)…en plus d’une paire de feuilles d’érable en guise de cache-seins…et donc, parfumée aussi aux fleurs du coin…, maquillée aussi grâce a une panoplie et concoction de poudres et de sang….! Bref, la totale quoi ! Cromignonne, a l’imagination débordante, et la libido affirmée, aurait passé le printemps et l’été precedent’s a tenter d’imaginer le tout, le coudre ensemble, l’essayer et l’ajuster a ses courbes… avant de se rendre a l’étang près de la caverne qui lui servait de miroir, et s’assurer que tout lui va comme un gant ! …donc Cromagnon, qui ne s’attendait pas du tout a un tel carnaval, et rongé par l’idée satanique de devoir remplacer Madame ou la mettre au placard car ne faisant que peu d’efforts pour exciter ses sens et lui donner enfin des rejetons… n’en revenait pas ce soir-la… a failli tomber dans les pommes en voyant sa campagne dans cet accoutrement…! il poussa donc un cri si fort (de bonheur)…qu’on l’entendi dans les cavernes voisines… puis mit a danser et sautiller dans tous les sens, il avait compris que de tous les cromagnons de la vallée… il était bel et bien le seul qui ait tiré le jackpot…!… Mais…Cromignonne, le rappela aussitôt a l’ordre et lui intima de se calmer…de manger d’abord la moelle d’os et une couple de chauve souris, avant de lui servir une coupe de jus de fruits fermentés…dont l’alcool est si fort que l’on conservait uniquement pour les ceremonies religieuses…! Cromagnon donc s’exécuta et suivi a la lettre les consignes de Cromignonne… et au bout d’une demi heure, planait déjà et se sentait engourdi… en chantonnant un air ou morceau bien connu du paléolithique supérieur, le »humpha humpha » (assez rythmé et chaud »… ! bref… Cromignonne… rassasiée elle aussi du bon repas et du même spiritueux, excitée aussi et heureuse, s’était assurée de sortir ce soir la sa meilleure peau de mammouth….bien chaude et douce au toucher, l’a étendu sur le sol, et y a poussé son compagnon dessus, avant de venir donc se blottir contre son mâle préféré et lui promettre cette fois que elle est prête a lui donner les rejetons qu’il a pendant si longtemps souhaité…! inutile de préciser que Cromagnon bandait comme un âne durant tout le repas et bien avant la cérémonie de jambes en l’air… et était fievreux d’excitation…transpirait a fond et devenait presque maboul a la vue du string et du porte-jarretelles, il en était tellement retourné qu’il n’hésitait pas a se prosterner devant cromignonne comme une déesse, et pleurait un coup, rigolait un coup, et vénérait sa meuf a genoux…en poussant des cris ! … bref, cromignonne donc, se laissa prendre enfin… mais exigeant tout de même quelques préliminaires…auxquels Cromagnon ne comprenait que dalle…mais qu’il finissait par comprendre enfin lorsqu’elle l’empêchait de lui ôter son g-string… et donc, au bout d’une heure a ce petit jeu qui énervait de plus en plus notre ami Cromagnon, elle acceptait enfin de se débarrasser de son g-string et l’inviter a introduire sa massue…doucement..mais sûrement..en elle ! s’en suivirent des cris féroces et des gémissements qui retentirent dans toute la vallée cette nuit la, et qui ont duré toute la nuit jusqu’au petit matin…au point d’effrayer les animaux de la fôret avoisinante… et faire fuire les prédateurs également ! Bref, Cromagnon avait tiré au moins six coup cette nuit-la…et même lorsqu’il s’affala enfin sur sa peau de mammouth pour dormir enfin… il bandait encore en dormant ! :)))…. on raconte donc que dans les jours et semaines qui suivirent, ce fut la même musique a chaque soir et chaque nuit chez ces deux-la ! au point d’alerter toutes les femelles de la vallée, venues en avoir le cœur net…et visualiser elles-mêmes les ébats et les accoutrements en question, au point de vouloir quitter leur compagnons, et jalouses aussi, cherchant a assassiner Cromignonne et la terrasser, pour lui voler son g-string et ses porte jaretelles, et son amant avec ! … qui a failli finir en drame… et en guerre de clans…! sauf qu’heureusement, Cromagnon ayant préssenti la chose, avait inventé une barricade en lianes et en branches d’arbres, et supplié cromignonne de livrer le secret de fabrication de ses lambeaux de cuir… afin d’éloigner enfin la foule de femmes…qui a fonctionné ! … et donc.. avec le temps, Cromignonne tomba enceinte enfin, et fabriqua cette fois pour la première fois de la préhistoire l’ancêtre du Pyjama pour l’offrir a Cromagnon… en peau de bête également, mais également, une espèce de robe ou jupe courte en peau qui cache son matériel précieux du mauvais oeil, et maintient ses balloches bien au chaud !
Cette histoire donc, a fini par inventer le voile… puisque Cromagnon, jaloux, fievreux et prêt a commettre un génocide sur ses pairs et voisins de la vallée… avait fini par imposer a Cromignonne, de se vêtir d’une sorte de peau de tigre tachetée… et de ne surtout pas se montrer en public dans son accoutrement sexuel… l’entente fut donc ratifiée devant témoins, et pour célébrer tout ceci, on organisa une grosse partie de chasse, ou l’on n’hésita pas a mettre en pièces mammouths, lions, tigres, sangliers et autres gibiers de l’époque… et gardant une prédilection pour les pommes, depuis qu’on a réalisé leur effet aphrodisiaque aussi…
fin de l’histoire…
Bon les amis, , je n’ai fait ici que développer l’idée de Khider dans son billet….afin de lever tout discrédit sur son texte, et vous rapprocher du topo… ou comment le voile fut inventé… :)))))) et donc, en espérant que cette histoire évitera a Khider toute vindicte intellectuelle ou scientifique… par nos chers lecteurs des 7 du Québec…. ! :))))
Yallah bye ! je dois bosser moi…. ! sinon…en effet…je risque de devenir maboul moi aussi a force de lire ces histoires de Khider…. :)))
Ping : Aux origines païennes de l’imposition du voile (2/3) – les 7 du quebec
Je ne lis même pas cette hérésie, le titre me dit déjà tout. Je ne suis pas musulmane. Quelqu’un qui nie l’essence de ce monde n’a aucune sensibilité spirituelle venant du Divin et n’a aucun respect pour ceux qui se soumettent au Maître du monde. Un intellectuel n’est pas forcément quelqu’un d’intelligent. Celui qui est intelligent cherche D’ et marche dans Ses voies. A bon entendeur, salut ! Je n’attends aucune réponse.
Ping : Aux origines païennes de l’imposition du voile (3/3) – les 7 du quebec