OLIVIER CABANEL — Ce vieux débat est remis en cause depuis la crise financière qui secoue le Monde.
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Au-delà des clichés, il est temps de prendre un peu de distance avec l’histoire.
Pour comprendre, la caricature est inévitable.
D’un coté les pauvres, de l’autre les riches.
Les riches sont censés être ceux qui ont compris la marche du monde de la réussite.
Ils sont les « winners », ils profitent de ceux qui n’ont pas compris toutes les règles de la réussite.
Pour gagner, pas de déontologie, juste séduire, convaincre, vendre.
De l’autre coté, des êtres humains voulant seulement vivre, prêts à se prostituer (au sens propre, comme au sens figuré),
ou cherchant un mode de vie respectant les acquis des uns, les envies des autres.
Ceux la sont portés par un choix, celui de ne pas vivre « au dépens des autres ».*
Les autres, c’est juste le contraire.
Petite page d’histoire.
En 1789 on décime la royauté et on tente de mettre en place un autre système.
Çà marche moyennement, puisque quelques années après, la commune est défaite par des alliances de droite, et un roi est remis sur le trône.
Mais la volonté de changer est forte.
La république revient.
Avec toujours, en arrière pensée, l’inconscient populaire prêt a mettre à sa tête un « patron », qui sans être un dictateur, est un nouveau roi, sauf qu’il est élu.
De Gaulle en est l’un d’eux, mais son égo démesuré effraye le bon peuple, et profitant d’un référendum renvoie celui ci à la case départ.
Depuis, le débat est réouvert.
L’union soviétique, défendue aveuglement par un PC manipulateur, sombre et s’écroule dans le fracas du mur de Berlin.
Les capitalistes du monde « libre » y voient la fin d’un système sans avenir, un système porteur du sida de la démocratie, les goulags, les prisons, les mensonges.
Mais la vérité a la peau dure.
Elle est en train de nous mettre sous le nez une autre réalité.
Une minorité ne peut vivre au dépend d’une majorité sans déclencher un jour ou l’autre des révoltes.
L’équilibre est dur à trouver.
De Gaulle avait proposé un principe : la participation (chaque ouvrier devient actionnaire de son entreprise, et s’enrichit au fur et a mesure que son entreprise progresse).
Plan appliqué du bout des doigts, donc pas appliqué.
Revenons aux deux clans :
Capitalisme : chacun utilise les armes qui lui convient pour devenir le meilleur au dépens de celui qui perd.
Communisme : solidarité et partage, et mise en commun (d’où le nom) de la richesse produite.
En URSS, l’idée a été dévoyée, et a donné naissance a un « capitalisme de gauche », et a de nouveaux dictateurs qui, sous le prétexte de faire le bonheur de tous, s’en est approprié les biens.
Dans le monde capitaliste, à la recherche du profit maximum, les prises de risques ont conduit à la crise que nous connaissons.
Une seule solution pour sauver le système capitaliste, c’est de faire du communisme, et donc de privatiser les banques.
La seule différence notable est que ce sont les citoyens qui vont rembourser les énormes défficits du système qui vient de se planter.
L’injustice est criante.
Ceux qui, a la tête de grandes entreprises, se sont plantés partent avec des parachutes dorés, et ceux qui en subissent les conséquences payent pour sauver le système.
Le communisme a montré les limites de son idéologie, dévoyée par des despotes sans scrupules qui ont profité de la crédulité des citoyens démocrates.
Le capitalisme a besoin de ces mêmes citoyens pour sauver un système qui ne marche pas.
C’est donc l’échec de deux idéologies.
Comme disait un vieil ami africain :
«Les gens n’aiment pas les gens, mais ils aiment l’argent des gens».
Soros et Bill sponsorisent la mongolienne sortie de maternelle norvégienne: écologie, idéologie simplette pour bobo benêt sexe décérébré pousseur de caddie biobio, permettant le statut quo capitaliste:
« des opinions et des idéologies préemballées conçues par des faiseurs d’opinion » ; le processus se fera, notait Lasch il y a trente ans, en « détruisant la mémoire collective, en remplaçant l’autorité responsable par un nouveau star system » Latsch
« La pensée dominante organise l’opposition dominante » Marx
Et les houris vertes suceuses de barbus, les Officines Négrières Gavées, instaurent l’Open Society chérie du Capital.
«L’IMMIGRATION fait baisser ainsi les salaires, et dégrade la condition morale et matérielle de la classe ouvrière […] une classe ouvrière divisée en deux camps hostiles, les prolétaires anglais et les prolétaires irlandais [imaginez avec musulmans/chrétiens] Le SECRET de l’impuissance de la classe ouvrière anglaise [souchienne], en dépit de son organisation […] grâce auquel la classe CAPITALISTE maintient son pouvoir. Et cette classe [Soros] en est parfaitement consciente »
MARX, lettre à Meyer et Vogt, 1870
La houri verte, la plus servile des putasses du Capital.
« Vive le béton ! Vive l’immigration ! » houri verte
status quo…
Exemple de la pensée simplette de bonobobo vert (enseignée même aux souchiots et souchiottes ds les écoles de Naïade Vagino Bécassine entre 2 sorties, mariage pédéraste et camp d’envahisseurs), plus le troupeau est crétinisé, drogué et divisé, mieux l’oligarchie se porte bien… (les écolos défendent la drogue comme Soros…)
AMAZONIE POUMON DE PANURGE
Quand un arbre meurt il rejette tout le CO2 absorbé durant sa vie.
S’il pourrit dans l’eau, suivant les conditions bactériologiques (bactéries méthanogènes anaérobiques), il rejette alors du méthane, 23 fois plus méchant pas biobio effet de serre que le C02
De plus faible effet d’albédo d’une forêt (pas de réflexion du rayonnement solaire), grosse humidité qui est le premier gaz à effet de serre…
« Amazonie poumon de la planète »…. la bêtise balbutiée par bobo biobio benêt; la houri verte psalmodie sa sourate entre 2 léchages de culs d’islamistes verts.
écologie = niveau maternelle norvégienne de gouroutasse mongolienne
Avis aux intéressés, on parle beaucoup de pénurie de médicaments, je constate que c’est avec raison…Il va y avoir du CAPITAL à se faire dans les petits officines, peu importe les allégeances politico-religieuses, ce sera bientôt BAR OPEN.
La morale de l’Histoire: COMMUNISME, CAPITALISME, ISLAMISME, etc. etc.,sont TOTALEMENT passés date. La Nature se fout pas mal des idéologies, divagations et balbutiements pseudo colorés de cette vieille race de faux zhumains de trop sur la planète. Une chose est certaine, c’est la loi de cause à effet, elle est implacable et la Vie est éternelle, peu importe la forme.