POUR UNE GRÈVE GÉNÉRALE, ILLIMITÉE ET EXPROPRIATRICE…

Parce qu’aucun gouvernement n’est un ami!

QUE LE POUVOIR CORROMPT & NE PLIE JAMAIS!

Ce texte est disponible en anglais, en italien et en espagnole ici :
Articles du 28 mai 2023[29526]

Oui le pouvoir tend à corrompre, et le pouvoir absolu corrompt, toujours

Et il sera question de supprimer le pouvoir, car c’est notre affaire à tous, comme d’abolir la propriété sachant qu’il y a une différence entre « possession » et « propriété » et que l’Humanité a vécu des millénaire sans propriété privée, toutes les sociétés traditionnelles au travers des continents ont toujours fonctionné sur le mode de propriété collective communale.

Résistance politique : Ville-campagne se connecter (Élisée Reclus)

À mon frère le paysan 

«Est-il vrai», m’as-tu demandé, «est-il vrai que tes camarades, les ouvriers des villes, pensent à me prendre la terre, cette douce terre que j’aime et qui me donne des épis, bien avarement, il est vrai, mais qui me les donne pourtant ? elle a nourri mon père et le père de mon père ; et mes enfants y trouveront peut-être un peu de pain. Est-il vrai que tu veux me prendre la terre, me chasser de ma cabane et de mon jardinet ? Mon arpent ne sera-t-il plus à moi ?»

Non, mon frère, ce n’est pas vrai. Puisque tu aimes le sol et que tu le cultives, c’est bien à toi qu’appartiennent les moissons. C’est toi qui fais  naître le pain, nul n’a le droit d’en manger avant toi, avant ta femme qui s’est associée à ton sort, avant l’enfant qui est né de votre union. Garde tes sillons en toute tranquillité, garde ta bêche et ta charrue pour retourner la terre durcie, garde la semence pour féconder le sol. rien n’est plus sacré que ton labeur, et mille fois maudit celui qui voudrait t’enlever le sol devenu nourricier par tes efforts !

De chacun selon ses forces, à chacun selon ses besoins…

~~~~▼~~~~

Résistance politique : quoi de neuf sur le front… national ?

La seule grève valide et efficace dont la simple perspective fait trembler l’oligarchie dans ses loques : La grève générale illimitée et expropriatrice… Tout le reste n’est que pisser dans un violon. Le but de cette grève doit être le changement radical de société pour parvenir enfin à la société des sociétés, finalité émancipatrice de l’humanité.

Résistance 71 ~

Le capital décide, l’État exécute

Groupe Anarchiste Salvador Ségui | 14 novembre 2017 | Source : https://salvador-segui.org/2017/11/14/16-novembre-loi-travail/ 

Si d’aucuns n’y ont pas cru pendant les élections, il est aujourd’hui plus difficile de nier que la politique de ce gouvernement est une politique de classe. De la bourgeoisie, par la bourgeoisie, pour la bourgeoisie. Depuis cet été, les mesures proposées et votées s’attaquent aux plus fragiles (hausse de la CSG et baisse des APL, facilitation des licenciements, précarisation des relations de travail) et sont favorables aux plus riches (baisse de l’ISF). De plus, la systématisation du gouvernement par ordonnance, parfaitement légale, émaille quelque peu le vernis démocratique de la République.

Non content de creuser les inégalités et d’étaler son mépris – sous le principe très paternaliste que ceux qui ont le pouvoir l’auraient acquis de par leurs qualités naturellement supérieures, ce qui leur donnerait à la fois le droit de le garder au détriment des autres, mais également le devoir de l’exercer (au détriment des autres) –, Macron se moque ouvertement de ses administrés, « qui ne sont rien », sinon « des fainéants et des cyniques », ceux qui « foutent le bordel ».

Mais ce qui est encore plus caractéristique de cette dynamique de fond, c’est l’attaque simultanée et intraitable de toutes les solidarités, sur la lancée des politiques des gouvernements précédents.

C’est l’individualisation et la mise en concurrence des carrières professionnelles et des droits des travailleurs à travers la casse du Code du travail, laissant le salarié seul dans un un rapport très inégal face à son employeur. C’est l’affaiblissement des derniers garde-fous contre la délinquance patronale (conseils de prud’hommes, DS, DP, CHSCT, etc.). C’est l’attaque financière et morale des services publics (éducation, santé, transports). C’est une vision élitiste de l’éducation, au service des intérêts capitalistes. C’est la baisse des prestations sociales et la culpabilisation de ceux qui en bénéficient, quand ce n’est pas leur suppression pure et simple. C’est la mise en péril des associations, par la baisse des financements publics et la fin des contrats aidés, alors même que l’action sociale de proximité se décharge de l’État vers les associations. C’est la remise en question du droit syndical, en réduisant les possibilités de contestation et en ne laissant la place qu’à des structures d’accompagnement. C’est l’exacerbation d’un patriotisme nationaliste et militariste.

C’est, enfin, la criminalisation des mouvements sociaux de protestation, que ce soient les grèves, les manifestations ou les dénonciations de violences policières, où des militants sont jugés et condamnés très lourdement sous des prétextes mis en scène. Par ailleurs, la récente loi « sécurité intérieure et lutte contre le terrorisme » vient appuyer la répression policière, dont les exactions jouissent au contraire d’une relative impunité.

La seule réponse que nous pouvons opposer est de renforcer nos liens, à la base, et sans attendre une aide providentielle de l’État ou du sort.

Si la confédération syndicale semble aujourd’hui l’organisation de classe la plus indiquée pour parvenir à un rapport de force susceptible de défendre les acquis sociaux et en obtenir de nouveaux, par la construction d’une grève généralisée et reconductible, encore faut-il que les syndicats se ressaisissent des principes de la charte d’Amiens : d’une part l’indépendance vis-à-vis des organisations politiques, d’autre part le double objectif d’amélioration immédiate des conditions de travail et d’ouverture à des perspectives révolutionnaires d’expropriation capitaliste et d’autogestion, sans quoi nous nous condamnerions à subir sans fin les attaques d’une classe dirigeante.

Par ailleurs, les axes et les collectifs de luttes sont multiples. La faiblesse dont ils font preuve à cause de leur éclatement, ainsi que la force dont ils font preuve malgré cet éclatement, doit nous pousser aujourd’hui à reconsidérer et confronter nos pratiques militantes pour œuvrer ensemble à la construction d’un mouvement social conséquent et cohérent, pour l’émancipation de toutes et tous.

Groupe anarchiste Salvador-Seguí

Paris, le 14 novembre 2017

~~~~▲~~~~

Ici-même depuis près de 2 ans j’alerte sur tous les tons que tout est bidon aussi bien dans le Macron que dans la votation et encore hier puisque Dame Kékel emboite le pas de notre Zupiter et se met EnMarche au pas de l’oie pour une réduction de la population mondiale… Enfin, pour nous les gueux et les gueuses, les moins que rien les Nullus ► MAKREL EnMarche vers la réduction de la population…

J’ai appelé toutes les Polices et Armées du monde à se tenir à nos côtés et CROSSES EN L’AIR pour lutter contre cette oligarchie régnante qui nous piétine ► LES 4 CAVALIERS DE L’APOCALYPSE… du pétrole…

MIEUX COMPRENDRE POUR MIEUX AGIR ;

Nous appelons à Ignorer l’État et les institutions pour créer des associations libres n’œuvrant que pour le bien commun au sein de communes autonomes qui se fédèrent.

Créons, ICI & MAINTENANT, et d’où nous sommes, une société parallèle, celle des association libres fédérées, BOYCOTTONS le système et ses institutions de manière exponentielle au nombre de gens rejoignant les associations libres…

À un moment donné, la désobéissance civile, donc la confrontation avec l’État sera inévitable, mais si les gens font tourner la société déjà localement en ignorant l’État et le système politico-économique qui nous sont imposés, l’obsolescence de ces entités ne fera que croitre et elles tomberont quasiment d’elles-mêmes ou avec un petit coup d’épaule « non-violent » !

C’est avant tout une question d’état d’esprit individuel puis collectif se confédérant par la solidarité, il faut cesser de se laisser dicter nos « différences » par l’oligarchie, cesser de la laisser organiser notre division.

La première des priorités est de comprendre que collectivement il y a bien plus de choses qui nous rassemblent que de choses qui nous divisent. La division est induite, fabriquée, et donc certainement pas inéluctable.

De là part toute action viable à notre sens et s’il n’y a pas de recettes toutes faites, il y a de grandes leçons à tirer du passé, des enseignements à tirer, également, de nos sociétés ancestrales européennes et ailleurs et c’est cela qu’on appelle adapter l’ancien au neuf !

L’émancipation du peuple, pour et par la RÉVOLUTION SOCIALE et la société des sociétés se fera par et pour le peuple de manière générale ou ne sera pas.

C’est aussi simple que cela, comme l’a défini R71 il faudra une fenêtre d’opportunité à deux éléments simultanés ;

  1. Une conjoncture politico-économique propice : le capitalisme et son système arrivant au bout du bout du banc, sans mutation possible et…
  2. Une conscience politique des peuples ne menant pas à l’insurrection, mais au tsunami de la révolution sociale qui emportera tout sur son passage…

Toute autre considération, et on le voit bien aujourd’hui, c’est comme pisser dans un violon…

NOUVEAU PARADIGME SANS DIEUX NI MAITRES SANS ARMES NI HAINE NI VIOLENCE

Remplaçons l’antagonisme à l’œuvre depuis des millénaires qui, appliqué à différents niveaux de la société empêche l’humanité d’embrasser sa tendance naturelle à la complémentarité, facteur d’unification de la diversité dans un grand Tout socio-politique organique : La société des sociétés.

JBL1960

Lectures connexes en version PDF ;

N° 11 – Erich Müscham – Résistance politique : La liberté de chacun par la liberté de tous !

N° 14 – Petit précis R71 – Petit précis sur la société, l’état, la désobéissance civile et la commune volontaire autogérée ; solutions au marasme systémique actuel« et ce texte est toujours d’une grande actualité aujourd’hui parce que rien n’a vraiment été fait pour mettre en place de véritables solutions à la fange oligarchique impérialiste étatique qui continue à piller et génocider le monde en long, en large et en travers.

N° 17 – LES AMIS DU PEUPLE DE LA VÉRITABLE RÉVOLUTION : Marat, Varlet, Roux, Kropotkine et la France des sections communales

N° 19 – LETTRE AUX OUVRIERS D’EUROPE DE L’OUEST – texte de Pierre Kropotkine traduit pour la 1ère fois de l’anglais au français par R71

N° 30 – EXEMPLE DE CHARTE CONFÉDÉRALE – Michel Bakounine« Un exemple d’alternative pour nous gérer sans État ni institutions coercitives obsolètes… Juste un exemple. »

N° 32 – Pensée et Pratique Anarchistes avec Errico Malatesta – L’anarchisme de la théorie à la pratique

N° 36 – L’Anarchie pour la jeunesse (de 7 à 77 ans…)

MANIFESTE POUR LA SOCIÉTÉ DES SOCIÉTÉS – Manifeste politique de Résistance71

À lire, télécharger et/ou imprimer gratuitement car tout ce qui participe du développement de l’humanité DOIT être accessible à tous et gratuitement, pas plus de « droits d’auteurs » et de « propriété intellectuelle » que de beurre en branche…

Et parce que je ne peux pas tout mettre, n’hésitez pas à consulter les autres PDF il y en a 39 en tout et je n’ai pas encore dit mon dernier mot!

3 réflexions sur “POUR UNE GRÈVE GÉNÉRALE, ILLIMITÉE ET EXPROPRIATRICE…

  • Ping : POUR UNE GRÈVE GÉNÉRALE, ILLIMITÉE ET EXPROPRIATRICE… | Boycott

  • 30 mai 2023 à 7 h 30 min
    Permalien

    Personne ne vient te sauver camarade !

    Personne.

    Il n’y a pas de révolution à l’horizon, pas de parti (politique), pas de grande idée qui va finalement réveiller l’humanité à son potentiel et nous libérer de nos chaînes.

    Il n’y a pas d’avant-garde, pas d’objectif, pas de méthode secrète que nous pouvons tous utiliser pour que les riches et puissants magiquement abandonnent leur pouvoir et se résignent à une existence des plus ordinaires.

    Il y a certes eu des prétendants. Il y a des prêtres et des maquereaux et de faux dieux qui vous appellent pour que vous les adoriez. Ils vous donneront la “science”/l’A$CI€NC€ immortelle et des identités, ils vont vous assurer que si suffisamment de personnes mettent l’uniforme ou parlent juste, alors tout ira bien.

    https://jbl1960blog.wordpress.com/2022/06/07/ni-wait-ni-see-nous-sommes-ceux-que-nous-attendons/

    Il y a bien sûr ceux qui vont même vous refuser cela, qui refusent toute action sans qu’un plan des plus détaillés soit émis. Qui va diriger les écoles, qui va construire les routes, comment est-ce que les pneus que vous brûlez sur les barricades vont augmenter votre empreinte carbone ?

    Ils étiquetteront vos plans d’irréalisme et de délire insurrectionnel.

    Ils disent tout cela à moitié endormis.

    Eux, si sages, ronflent et disent qu’ils “vont attendre que les gens se soulèvent”. Les gens se sont soulevés et ont été écrasés. Le mouvement Occupy Wall Street a échoué, Standing Rock a échoué. Tout ce qui reste… c’est toi et moi.

    Eux, si forts, ronflent et disent qu’ils attendent que leurs droits leur soient retirés, le droit d’assemblée ou le droit de vote pour une ligne invisible qu’ils ne respecteront pas. Où étaient-ils lors du Patriot Act, du NDAA ? Ils ont pétitionné, ils ont gémi, ils ont perdu.

    Ils disent qu’ils attendent ce grand évènement dans un univers qui en comporte des milliards par jour. Chaque jour qui passe, les critères changent, chaque jour qui passe les rend plus serviles et plus vieux.

    Tout le monde attend et personne ne veut commencer, tout le monde veut participer, mais personne ne veut construire. Tout le monde attend une grande révolte générale et pourtant, volez une pomme ou brûlez une bagnole de flic et ils vont unanimement vous appeler “brigands et aventuriers”.

    Tout le monde est assuré que le changement est juste au coin de la rue, que des puissances divines vont nous mettre sur la bonne voie. Tout le monde pense que le temps joue pour nous, que les bons vont toujours gagner et que tout ça ne peut plus durer bien longtemps. Tout le monde dit qu’une révolution est possible sans effusion de sang et sans émotions, que tout le monde sera entendu et qu’on s’occupera de tout le monde.

    Tout le monde est assuré que la révolution va se pointer à notre porte comme un paquet de chez Amazon : rapide, sans bavure et prête à être consommée sur le pas de la porte. Ils ont des enfants voyez-vous et ils ont la priorité, mais ils vous piétineront sans vergogne juste après que vous ayez déblayé et construit le chemin à emprunter.

    Tout le monde attend. Attend quelque chose. Attend quelqu’un, quelqu’un pour les sauver.

    Personne ne vient te sauver camarade.

    Personne.

    Ces gens vont mourir comme ils ont vécu. Ils vont rester juste là, sur le sofa et jouer à faire semblant en ligne parce que cela ne leur coûte rien. Comme les froufrous et autres objets utilisés pour les “nuits spéciales”, la politique est le “bizarre” qui les fait se sentir différents.

    Ils parlent toujours beaucoup de sentiments, combien de “solidarité” ils donnent et dont ils ont besoin. Chaque fois qu’un jeune noir baigne dans une marre de son sang, cela les touche vraiment. Vraiment. Mais ils ont le boulot et la famille, la télé à mater et la bagnole à laver.

    Ils auront de la peine pour toi camarade quand tu vas perdre ton boulot. Ils vont appeler pour une grève générale, vont faire des posters et des pancartes, des badges, des pins et des t-shirts ! Mais seulement si c’est un week-end et pas durant les vacances bien sûr et aussi faudra leur donner suffisamment de préavis pour qu’ils puissent prendre quelques jours de congés…

    Tous ces gens grandissent pour vieillir, contents de savoir que s’ils avaient eu une chance, ils auraient fait quelque chose de spectaculaire. Ils auront de petites funérailles marrantes, pas tristes, où des vies médiocres seront célébrées en parlant d’à quel point ils furent “braves et courageux” et à quel point ils luttèrent “âprement” pour la liberté.

    Qui n’est jamais mentionné, comment et où jamais poliment discuté.

    Il y en a des millions Camarade. Il y en a toujours eu et y en aura toujours. Ils vont naître, bouger alentour pour un petit moment et retourner dans le trou d’où ils ont émergé.

    Ils cherchent à être menés, observent pour voir ce à quoi ils peuvent participer, quel mouvement rejoindre et attendent patiemment que quelqu’un leur donne la becquée et les aide à mâcher ces fades aliments.

    Vas-tu les attendre camarade ?

    Vas-tu attendre pour ces mêmes gens qui préfèrent que TU souffres et que TU meures afin qu’ils puissent ne prendre aucun risque ?

    Vas-tu attendre ces gens qui ne lèveront pas le petit doigt pour t’aider tant qu’il y aura du danger pour eux et que tous les nids de poule gênant n’auront été retirés du chemin ?

    Vas-tu attendre et faire des plans pour ceux qui doivent être convaincus, qui ne bougeront pas d’un iota tant qu’on ne sera pas sûr de savoir combien d’arbres seront plantés dans chaque école soudainement gratuite pour les sourds et les aveugles ?

    Vas-tu attendre ces gens qui appellent tes actions un pêché alors qu’ils prient devant les matraques des flics ?

    Vas-tu attendre que toute la planète soit d’accord avec une idée, un évènement monumental qui serait le tout premier de notre histoire ?

    Es-tu prêt cher camarade, à mourir comme ils le feront, entouré de faveurs de parti crasses et de musique encore plus crasse alors que tes amis chantent à une existence banale ?

    Ou vas-tu agir ?

    Ne me prends pas pour un con camarade, j’espère que tu n’en es pas un non plus. Je ne veux pas mourir et je ne veux pas aller en prison. Je n’ai pas besoin de devenir un martyr parce que je veux être libre, comme tu le désires toi-même.

    Mais si tu es prêt à agir, de mettre de côté les disputes et de véritablement construire, alors peut-être avons-nous une chance. Toi et moi. J’en ai fini de leur parler…

    Et si nous nous concentrions sur le fait de devenir libres ? Et si nous construisions les structures dont nous avons besoin pour le faire ? Et si au lieu de s’engueuler sur un type de coiffure ou les couleurs d’un drapeau, on discutait de ce qu’on allait faire pousser et de quels magasins ont allait voler ? Et si nous faisions une union, un groupe, dévoué à devenir libre ? Et si nous arrêtions de nous disputer sur la toile et nous mettions à l’ouvrage pour devenir de véritables camarades, le type de compagnons qui s’aident les uns les autres à se planquer de la police et offrent un endroit sûr pour y demeurer ?

    Et si nous pouvions vraiment compter les uns sur les autres, parce que je sais que je suis en sécurité où que j’aille parce qu’une blessure à l’un d’entre nous est une blessure à tous ? Et si nous n’attendions pas cette guerre apocalyptique et qu’en lieu et place nous menions NOTRE guerre au quotidien, une guerre contre tout ce qui nous a réduit en esclavage ?

    Et si nous le faisions ? Et si nous mettions de côté les belles théories et que nous nous concentrions rien que sur ça ? Pourquoi pas ? Pourquoi attendre ?

    Personne ne vient nous sauver camarade …

    Vraiment personne…

    C’est juste toi et moi.

    À nous de jouer…

    JBL / Jo Busta Lally / Dr. Bones / R71 / RIEN / Zénon… Personne…

    Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *