Il n’y a pas d’urgence climatique…mais il y a urgence économique (citoyen climato sceptique)
Plus de 1100 scientifiques et professionnels déclarent: «Il n’y a pas d’urgence climatique»
Plus de 1100 scientifiques et professionnels du monde entier ont signé la Déclaration mondiale sur le climat (DMC) affirmant qu’il n’y a pas d’urgence climatique.
Par Claudio Buttinelli cet article est disponible en anglais, en italien et en espagnole ici:
Articles du 14 Aout
Le 27 juin, la fondation indépendante Climate Intelligence (CLINTEL), basée aux Pays-Bas, a publié cette courte Déclaration en l’accompagnant d’une liste de signataires. Au 23 août, la DMC a recueilli 1152 signatures dans 15 pays.
« La science du climat devrait être moins politique, tandis que les politiques climatiques devraient être plus scientifiques. Les scientifiques devraient aborder ouvertement les incertitudes et les exagérations dans leurs prédictions du réchauffement climatique. »
Dans le même temps, « les politiciens devraient compter de manière impartiale les coûts réels ainsi que les avantages imaginaires de leurs mesures politiques », indique la Déclaration…ce que confirme la scientifique Judith Curry…
https://t.me/LeGrandReveil/11923
CLINTEL a été fondé en 2019 par le professeur émérite de géophysique Guus Berkhout et le journaliste scientifique Marcel Crok dans le but de promouvoir la connaissance et la compréhension du rôle du changement climatique dans la formation de la politique climatique.

Marcel Crok a expliqué dans un courriel à Epoch Times que le projet de la DMC a commencé en 2019 et que sa force réside dans son message, sa brièveté et son accessibilité.
« Le message est clair et net : il n’y a pas d’urgence climatique. Très important : cela est vrai même si vous acceptez que le CO2 est le principal facteur du changement climatique actuel », a-t-il poursuivi.
« Nous affirmons simplement que toutes les preuves recueillies jusqu’à présent indiquent que l’augmentation du CO2 et l’augmentation de la température [ne sont] pas dangereuses pour nous ou pour la nature et que, par conséquent, l’hystérie climatique autour de ce sujet est complètement injustifiée [et] que le ‘remède’ – se débarrasser au plus vite des combustibles fossiles et les remplacer par des énergies renouvelables – sera probablement pire que la ‘maladie’ [le changement climatique]. »
M. Crok a souligné que le document de CLINTEL a suscité une forte réaction négative de la part des militants du climat.
Il a précisé que son organisation a envoyé de nombreuses lettres ouvertes à des organisations telles que le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat, les Nations unies et le Forum économique mondial de Davos, demandant une réunion de haut niveau avec les scientifiques de CLINTEL.
« Normalement, nous ne recevons même pas une réponse polie », a-t-il constaté. « Les activistes n’aiment pas notre Déclaration (DMC) pour la simple raison qu’ils prétendent toujours qu’il y a un consensus de 97% ou de 99% ou de 99,9% [sur le changement climatique]. »
« Ils ont deux manières générales d’attaquer la DMC. Ils disent que seuls quelques [signataires] sont des climatologues en activité et que beaucoup sont à la retraite. »
Cela est bien compréhensible, a commenté Marcel Crok, car si un climatologue en activité dépendant de l’argent du gouvernement signe la DMC, il risque d’être licencié.
« Néanmoins, certains sont assez courageux pour parler franchement, mais cela signifie qu’on devra faire face à de nombreuses critiques et aux tentatives de vous discréditer. »
Les débats directs avec les militants du climat sont rares, a confié M. Crok.
« Ils dominent tout simplement les médias, et s’ils estiment que notre Déclaration a un certain impact, ils s’arrangeront pour qu’elle soit discréditée dans les médias et les médias sociaux. »
Ces dernières semaines, CLINTEL a reçu une attention accrue et de nouveaux signataires, dont beaucoup ont travaillé dans le milieu universitaire.
La Déclaration mondiale sur le climat constate que la science du changement climatique est loin d’être établie et que les archives géologiques montrent que le climat de la Terre est en changement constant depuis que la planète existe.
« Il n’est donc pas surprenant que nous connaissions actuellement une période de réchauffement. Des facteurs tant naturels que provenant d’activité humaine sont à l’origine du réchauffement. Le monde s’est réchauffé beaucoup moins que cela a été prévu par les modèles qui exagèrent [le rôle du] facteur humain », indique la DMC.
« L’écart entre le monde réel et le monde envisagé par les modèles nous montre que nous sommes loin de comprendre le changement climatique. »
La DMC révèle que les modèles climatiques contiennent « de nombreuses lacunes » et constituent des outils politiques insatisfaisants.
« Non seulement ils exagèrent l’effet des gaz à effet de serre, [mais] ils ignorent également que l’enrichissement de l’atmosphère en CO2 est bénéfique. Le CO2 n’est pas un polluant. Il est essentiel à toute vie sur Terre. Avoir davantage de CO2 est favorable à la nature et cela rend notre planète plus verte.
« L’augmentation de CO2 dans l’air a favorisé la croissance de la biomasse végétale mondiale. Elle est également profitable à l’agriculture en augmentant les rendements des cultures dans le monde entier. »
En Occident, certains pays ont lancé des projets d’installations de captage du CO2 dans l’air. Par exemple, la société américaine Navigator Heartland Greenway a récemment annoncé son intention de construire un réseau de captage du carbone dans cinq États américains. Ce projet s’étendrait sur 2000 km et comprendrait 20 points de réception. Le CO2 serait converti en forme liquide et stocké sous terre, ce qui soulève les questions de risques et impacts environnementaux.

« Le CO2 est la nourriture des plantes, la base de toute vie sur Terre », souligne la Déclaration. « Il n’existe aucune preuve statistique que le réchauffement climatique intensifie les ouragans, les inondations, les sécheresses et autres catastrophes naturelles de ce type ou les rend plus fréquentes. En revanche, il existe de nombreuses preuves que les mesures d’atténuation du CO2 sont aussi dommageables que coûteuses.
« Il n’y a pas d’urgence climatique.Il n’y a donc aucune raison de paniquer et de s’alarmer. Nous nous opposons fermement à la politique néfaste et irréaliste du zéro émission nette du CO2 proposé pour 2050. »
La Déclaration rappelle également aux dirigeants européens que la politique climatique doit « respecter les réalités scientifiques et économiques ».
« Croire les conclusions d’un modèle climatique, c’est croire ce que les modélistes y ont introduit. C’est précisément le problème du débat actuel sur le climat, dans lequel les modèles climatiques occupent une place centrale.
« La science du climat a dégénéré en une discussion qui se fond sur des croyances et non sur une science saine et autocritique. Ne devrions-nous pas nous libérer de la croyance naïve en des modèles climatiques immatures ? » martèle la DMC.
Selon Marcel Crok, l’objectif principal de la Déclaration mondiale sur le climat est de montrer clairement que même si l’on accepte la plupart des assertions du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat, on peut toujours conclure qu’il n’y a pas d’urgence climatique.
Le GIEC se rangerait peu à peu à cet avis semble-t-il:
« La hausse des températures ne constitue pas une «menace existentielle pour l’humanité», selon le nouveau chef du groupe d’experts de l’ONU sur le changement climatique… »
LE GIEC DEVIENDRAIT-IL CLIMATO-RÉALISTE ? – Le blog de la-petite-souris-normande.com
Gieco-sceptique
Par Frédéric Boutet – 23 juillet 2023 (V.1 17 mai 2023)
En tant que personne formée à la recherche scientifique, j’ai eu la curiosité d’enquêter sur la prétention du Groupe Inter-gouvernemental d’Experts sur le Climat (GIEC) d’affirmer que le CO2 anthropique, c’est-à-dire la part de CO2 émise par la combustion des énergies fossiles (qui représente 3,8 % de la masse totale du CO2 dans l’air), serait le principal conducteur de la température moyenne de la basse atmosphère. Pour cela, il m’a fallu dépasser les a priori sur les gens qu’on appelle « climato-
sceptiques », qui sont la cible d’une chasse aux sorcières. À mon sens, il faut douter des conclusions du GIEC non seulement pour rester en cohérence avec la réalité telle qu’elle est (la science du climat), mais aussi pour former une conscience collective de l’emprise des messages médiatiques sur nos imaginaires.
Avant-propos
Avant de critiquer les thèses du GIEC[1], il me faut préciser qu’il n’est pas question ici de remettre en cause la modification de notre environnement social et naturel par « le capitalisme industriel »[2] à son seul profit. Il n’est pas question de faire baisser le niveau d’urgence. Il n’est pas dans mon intention de démotiver des gens à choisir leur mode de vie.
Je voudrais augmenter notre conscience avec ceci : la peur des catastrophes climatiques oriente frauduleusement la population vers l’acceptation d’énormes transformations sociétales.
Tout le monde voit bien que le message du GIEC permet à toute une classe de climato-conduits d’accepter les décisions de financement par les fonds publics des agro-carburants, des puits de carbone, du nucléaire, de la géo-ingénierie, de la surveillance depuis l’espace des émissions de gaz à effet de serre[3], des éoliennes industrielles, de l’agri-voltaïsme, de la bagnole électrique, du contrôle et du crédit social, de l’école numérique, et caetera.[4]
La suite du texte de Frédéric Boutet ici…
Versão em Língua Portuguesa:
https://queonossosilencionaomateinocentes.blogspot.com/2023/08/nao-ha-emergencia-climatica-mas-ha-uma.html
J’avais mis une vidéo de trois minutes ce matin. Mais la vidéo a été enlevée, car elle risquait d’éveiller les gens, était sur les mensonge du GIEC sur l’augmentation future du niveau de la mer et sur l’escroquerie mondiale du CO2. L’auteur de la vidéo dit que le GIEC est entre les mains d’idéologue depuis quelques décennies. Et surtout que le GIEC n’arrête pas de mentir.
Le GIEC dit que la mer va monter d’une quinzaine de mètres dans le futur, alors que la montée de la mer mesurée par les satellites n’est que de deux millimètres par an !
Le CO2 mondial est d’environ 32.000 milliards de tonnes et l’humanité produit 16 milliards de tonne, soit deux millièmes de la quantité totale, soit 0.05%. Toute personne non écolo cinglée, tarée et dégénérée, doit instantanément comprendre que 0,05% c’est très insignifiant, voire très négligeable. La France, par rapport à sa production totale de CO2, est responsable de seulement un quatre-centième (1/400) de cette production totale de 0,05 % de la quantité mondiale. La contribution de la France dans ces 16 milliards de tonnes, est donc de 0,000125%, soit 40 millions de tonnes de CO2, ou encore 0,04 milliard de tonnes. Par rapport aux 32.000 milliards de tonnes mondiaux, ce n’est presque rien du tout !!! Et les fous furieux, qui sont aux commandes de la France, sont en train de nous ramener au Moyen Âge parce que la France produit 0,000125% du CO2 mondial anthropique !!! Pire encore : le délire du méthane et des vaches. Le méthane est 30 fois plus effet de serre que le CO2. Le méthane provient presque exclusivement des océans qui le produisent et le rejettent dans l’atmosphère en continu. Et les océans représentent 70% de la surface terrestre. Par rapport au méthane provenant des océans, le méthane produit par les vaches, et autres, représentent seulement une quantité infinitésimale, imperceptible, négligeable de la quantité totale de méthane dans l’atmosphère. Et les dégénérés « responsables » occidentaux veulent éliminer toutes les vaches, et autres, pour leur infime contribution du méthane atmosphérique mondial !!! Le monde occidental, dirigé par les pourritures américaines, est absolument irréformable. Le salut, des survivants, viendra seulement du Grand Balayage Mondial à venir.
Merci pour les chiffres Eddie.
Ping : « Urgence climatique »: au fait, on en est où du trou dans la couche d’ozone? – les 7 du quebec
Urgence climatique à cause de ….. !
ce que vous voulez.
Le temps change avec le temps.
Lors de précédents changements, loin dan les temps reculés, il n’y avait pas de pétrole, ni de charbon, ni d’électricité (mais l’Homme avait déjà des idées, en respectant la nature…. Qu’est un écolo bon teint qui jette ses papiers par terre?)
Et quand on aura « éradiqué » toutes les « pollutions », que et qui faudra t-il éradiquer.
Je me méfie de la « dictature écolo ». Quand ‘écologie était « neutre » et non un jouet politique comme les autres partis, elle avait au moins le mérite d’exister et surtout une raison d’être. (il faudrait supprimer tous les partis politiques, les plus grands communs diviseurs du Peuple, qui ne le représentent même pas. Les députés ne sont pas représentants du Peuple, mais VRP de leur parti, qui votent selon des consignes de vote de leur parti – alors qu’ils devraient voter en leur âme et conscience – et en contradiction avec l’article 27 de la Constitution).
L’équation à une seule inconnue, vous : « Liberté = curiosité = savoir = action = liberté » – https://wp.me/p4Im0Q-60d
Ping : VARIATIONS CLIMATIQUES OU CHANGEMENT CLIMATIQUE ANTHROPIQUE ? ( Partie 1) – les 7 du quebec