Le piégé sur l’Occident en mode autodestruction : Israël cherche visiblement l’escalade, à la demande des USA qui pensent n’avoir plus que cette option pour ne pas sombrer.
Retour de flamme : les conséquences de la guerre à Gaza sur l’économie israélienne
Israël ne se remettra peut-être jamais de l’effondrement économique du 7 octobre. La résistance palestinienne a réussi non seulement à détruire la perception de sécurité intérieure d’Israël, mais aussi à ériger d’importantes barrières contre les risques pour les investisseurs étrangers…. ;
USA : La bulle financière gouvernementale : la trahison de Moody’s
Il y a pour simplifier deux finances , la finance de Wall Street et la finance Gouvernementale.
Si vous ne comprenez pas cela vous passez à coté de toute possibilité d’analyse de la situation américaine.
Le mode d’apparaitre de ces deux finances c’est le paradigme du risk-on/risk-off.
Quand la confiance en Wall Street domine alors achète les papiers de Wall Street on est dans le risk-on c’est à dire on préfère la monnaie de Wall Street , actions obligations, titres divers , instruments de quasi monnaie, dont la liquidité est assurée.
Quand la confiance disparait et que la peur s’installe alors on se met en risk-off et on recherche la monnaie gouvernementale , les fonds d’états, les valeurs du Trésor.
C’est un couple qui constitue la pierre angulaire de la financiarisation puisqu »il permet de faire en sorte que l’argent reste dans les marchés des « choses en papier » et ne se dirige pas vers l’or ou les biens et richesses physiques.
La possibilité de passer de l’un à l’autre est la clef de la longévité du système. Et cette possibilité de passer de l’un a l’autre, que l’on appelle la monnaietude des actifs financiers, a été assurée par ce que l’on appelle le PUT Greenspan. Qu’est ce que le PUT? C’est la certitude que l’on trouvera un acquéreur pour son papier Wall Street quand il y aura un gros pépin.
Le PUT c’est l’option que le couple Fed/Tresor consentent aux porteurs de papier Wall Street, option de pouvoir toujours vendre et échanger leurs actions et obligations contre de la monnaie gouvernementale avec une perte modeste.
Quand le système souffre d’un effondrement de la « finance de Wall Street » contemporaine comme ce fut le cas en 2008 et 2019 la finance gouvernementale intervient et fait la contrepartie, elle offre un filet de sécurité, une assurance et alors , rassurés par ce filet de sécurité, les intervenants boursiers arrêtent de vendre et au contraire rachètent.. Ce processus récurent dans la finance contemporaine doit être différencié de l’effondrement financier pur et simple.
La confiance dans « l’argent » de Wall Street (leurs titres/instruments auparavant perçus comme sûrs et liquides) peut être brisée. Mais il est important de noter que la confiance dans « l’argent » du système en général s’est maintenue.
Compte tenu du fait que dans les dernières années, les crises de Walls Street ont toutes été stoppées par l’argent gouvernemental, j’ai toujours affirmé que la crise finale n’était pas proche ou même pour demain; , tant que l’on accepte l’argent du gouvernement, c’est à dire tant que l’on accepte des fonds d’état et des dollars en échange de ses ventes de « papier Wall Street » il n’y a pas problème systémique insoluble, c’est gérable..
Le système est bien rodé depuis Greenspan et 1987, et on a l’impression qu’il peut durer toujours.
Durer toujours cela signifie que toujours ont peut ajouter des zéros dans les livres qui comptabilisent la masse de dettes du gouvernement, des zéros dans la masse d ‘argent gouvernemental. A chaque pépin on ajoute de la monnaie gouvernementale et cette monnaie s’accumule; la dette grossit sans arrêt, ne se résorbe jamais et la masse de fonds d’état et d’Agences ne cesse croitre. C’est à sens unique il n’y a jamais de retour en arrière.
C’est pour cette raison que l’une de mes principales affirmations paradoxale consiste à dire que la vraie bulle, celle qui est bulle-mère qui autorise toutes les autres c’est la bulle de la finance gouvernementale, la bulle des fonds d’état et des Agences du gouvernement. Comme elle croît toujours elle gonfle et devient sans rapport avec la réalité économique sous jacente.
Le bilan de la Fed est passé de moins de 900 milliards de dollars au début de 2008 a 2,2 trillions de dollars en février 2009, puis à 9,0 trillions de dollars en 2020. Les engagements du Trésor ont plus que triplé, passant de 9,5 trillions de dollars à 30,4 trillions de dollars pour augmenter encore de 50 % à 12,0 trillions!.
Ce qui fait bulle, comprenez-le, ce ne sont pas d’abord les actifs financiers de Walls Street, mais la finance gouvernementale. C’est elle qui gonfle les autres bulles avec l’effet multiplicateur du levier, c’est elle qui les autorise, c’est elle qui les assure!
L’effondrement d’une bulle qu’elle soit technologique, du logement ou autre n’est pas une crise, non tant que le renflouement par la finance gouvernementale reste possible, tant que l’on peut émettre des fonds d’état , tant que l’on ne bute pas sur des taux d’intérêt des Treasuries trop élevé, sur un marché trop désordonné des Treasuries longues, sur une accélération de l’inflation ou encore sur une chute de la valeur externe du dollar.
Tant que le mécanisme du risk-on/risk-off fonctionne, on peut éviter la déflation et l’enchainement de la déflation des dettes et la crise type 1929.
La situation actuelle est intéressante parce que précisément certains paramètres , certaines conditions permissives de l’assurance par la finance gouvernementale se sont gravement détériorés: inflation des prix des biens et des services, chute de confiance liée aux guerres pas très victorieuses, affrontement mondial qui met en danger l’unipolarité et l’hégémon financier.
Tout cela au moment ou une sorte de nouvelle bulle technologique se gonfle avec les Magnificent Seven qui pèsent un tiers du S & P 500. Avec le risque non negligeable de la finance shadow, surendettée.
Un effondrement de la finance de Wall Street dans la phase actuelle aurait une portée et des conséquences bien plus grandes que l’éclatement de la bulle technologique de l’an 2000 car les conditions de sauvetage par la finance du gouvernement seraient bien moins favorables! Je crois que vous comprenez pourquoi Powell marche sur des oeufs, pourquoi il est obligé mentir et de louvoyer sans cesse.
La finance gouvernementale a déjà été très sollicitée avec la ruée sur « l’argent » des dépôts bancaires des petites banques régionales.. Les actifs des fonds du marché monétaire atteignent des niveaux records, c’est une épée de Damoclés qui n’est stabilisée que par les assurances de la Fed et du Trésor.
La bulle financière gouvernementale américaine est énorme et puissante – et surtout elle est sous estimée.
Elle a le potentiel d’engloutir le monde entier à cause de l’opacité du shadow, de l’interconnexion et des produits dérivés .
Ces derniers temps, il est apparu que la confiance dans la dette publique américaine vacillait. La décision de Moody’s attire l’attention sur cette question a un moment vraiment peu opportun. Le pire scénario, ce serait un accident de Wall Street qui obligerait une fois de plus à solliciter la finance gouvernementale, qui obligerait à une inflation massive des créances gouvernementales et qui préparerait le terrain pour un futur effondrement dévastateur.
Mon idée est que si, confrontées à un évènement négatif à Wall Street, les autorités décidaient que cette fois elles peuvent se permettre de ne pas intervenir et de ne pas utiliser le PUT, alors ce serait la Fin , la communauté financière mondiale comprendrait que le Roi est nu.
Je le dis depuis mars 2009 c’est marche ou crève , nous sommes entrés dans un système à sens unique, il n’est pas possible d’en sortir sauf à accepter des dégâts encore plus colossaux que ceux que l’on a refusés en 2008.
Ce sont celles que je préfère, les femmes qui n’ont pas de couilles, mais de la place pour en mettre.
Quand voit les cruches que l’on se tape en politique, c’est effarant.
C’est pourquoi j’aimerai que les impatients qui voudraient voir les choses aller plus vite, partout où le feu est allumé sous les fesses de l’hégémon, relisent un peu l’histoire de France de 1870, avant la Commune, il s’est passé plein de choses auxquelles il aura fallu à la bourgeoisie occidentale, nous coller deux effroyables guerres, dites mondiales, dans les gencives, pour calmer nos ardeurs et nos envies de vies justes et équitables pour toutes et tous.
Il y a une opposition vitriolique sur les réseaux sociaux et Internet qui ne laissent aucun temps de répit à ces oppresseurs des peuples pour qu’ils puissent manoeuvrer en sécurité, c’est sont certes des gens dans l’idéologie, mais quand à chaque fois qu’ils avancent d’un pas, toute retraite est coupée, le bout du parcours, ils le voient, il est là, proche, tout proche.
Et, je n’ai pas souvenir d’un moment dans l’histoire où des peuples parvenant à se libérer eux-mêmes de leurs oppresseurs, l’aient fait avec extrême gentillesse.
Peut-être en Afrique du sud, mais, ne gageons de rien, toute la messe est pas dite là-bas, loin de là.
Calmement. Tout cela se terminera par une grande paix mondiale, je vous le garantis.
Détails:
Le décret présidentiel sur des technologies semblables à celles de la nature continue d’être discuté à Irkoutsk.
Victor Kouzevanov [Professeur associé à la BSU, biologiste] : « C’est notre avenir inéluctable »
…
Les technologies semblables à celles de la nature pour le développement scientifique et technologique du pays et le bien-être des personnes sont notre avenir inévitable. Cet avenir approche à grands pas et a déjà commencé avec la transition après 2006-2008 vers le sixième ordre technologique pour les 40-50 prochaines années (l’ère des technologies biologiques, environnementales, médicales, socio-psychologiques, des nanotechnologies, de l’intelligence artificielle (IA), des mécanismes de transport non traditionnels, des technologies militaires, des technologies pour construire des éco-villes et des villes vertes « intelligentes », y compris les futures colonies extraterrestres dans l’espace, sur la Lune, Mars, etc.).
Beaucoup de détails que vous ne trouverez nulle part ailleurs en dehors de la Russie (et, collectés de cette manière, vous ne les trouverez même pas dans les sources russes. Je ne sais pas pourquoi.)
J’ai oublié (encore une fois à partir de ce lien) :
« Dans les années 1930, l’académicien Vernadsky disait que dès que la technosphère s’étendra à la majeure partie du monde, il y aura une catastrophe pour les ressources. Et nous pouvons le voir. Il y a deux voies : soit une guerre pour les ressources, qui commence déjà dans le monde entier, soit la création d’une technosphère semblable à la nature », a commenté Mikhaïl Kovaltchouk, président du l’Institut Kourtchatov.
Je vous l’ai dit – la paix est inévitable. (Je ne sais pas si ça va vous plaire…)
Versão em Língua Portuguesa:
https://queonossosilencionaomateinocentes.blogspot.com/2023/11/as-potencias-imperialistas-ocidentais.html
Le piégé sur l’Occident en mode autodestruction : Israël cherche visiblement l’escalade, à la demande des USA qui pensent n’avoir plus que cette option pour ne pas sombrer.
Retour de flamme : les conséquences de la guerre à Gaza sur l’économie israélienne
Israël ne se remettra peut-être jamais de l’effondrement économique du 7 octobre. La résistance palestinienne a réussi non seulement à détruire la perception de sécurité intérieure d’Israël, mais aussi à ériger d’importantes barrières contre les risques pour les investisseurs étrangers…. ;
Kit Klarenberg
https://new.thecradle.co/articles/blowback-the-gaza-wars-massive-toll-on-israels-economy
USA : La bulle financière gouvernementale : la trahison de Moody’s
Il y a pour simplifier deux finances , la finance de Wall Street et la finance Gouvernementale.
Si vous ne comprenez pas cela vous passez à coté de toute possibilité d’analyse de la situation américaine.
Le mode d’apparaitre de ces deux finances c’est le paradigme du risk-on/risk-off.
Quand la confiance en Wall Street domine alors achète les papiers de Wall Street on est dans le risk-on c’est à dire on préfère la monnaie de Wall Street , actions obligations, titres divers , instruments de quasi monnaie, dont la liquidité est assurée.
Quand la confiance disparait et que la peur s’installe alors on se met en risk-off et on recherche la monnaie gouvernementale , les fonds d’états, les valeurs du Trésor.
C’est un couple qui constitue la pierre angulaire de la financiarisation puisqu »il permet de faire en sorte que l’argent reste dans les marchés des « choses en papier » et ne se dirige pas vers l’or ou les biens et richesses physiques.
La possibilité de passer de l’un à l’autre est la clef de la longévité du système. Et cette possibilité de passer de l’un a l’autre, que l’on appelle la monnaietude des actifs financiers, a été assurée par ce que l’on appelle le PUT Greenspan. Qu’est ce que le PUT? C’est la certitude que l’on trouvera un acquéreur pour son papier Wall Street quand il y aura un gros pépin.
Le PUT c’est l’option que le couple Fed/Tresor consentent aux porteurs de papier Wall Street, option de pouvoir toujours vendre et échanger leurs actions et obligations contre de la monnaie gouvernementale avec une perte modeste.
Quand le système souffre d’un effondrement de la « finance de Wall Street » contemporaine comme ce fut le cas en 2008 et 2019 la finance gouvernementale intervient et fait la contrepartie, elle offre un filet de sécurité, une assurance et alors , rassurés par ce filet de sécurité, les intervenants boursiers arrêtent de vendre et au contraire rachètent.. Ce processus récurent dans la finance contemporaine doit être différencié de l’effondrement financier pur et simple.
La confiance dans « l’argent » de Wall Street (leurs titres/instruments auparavant perçus comme sûrs et liquides) peut être brisée. Mais il est important de noter que la confiance dans « l’argent » du système en général s’est maintenue.
Compte tenu du fait que dans les dernières années, les crises de Walls Street ont toutes été stoppées par l’argent gouvernemental, j’ai toujours affirmé que la crise finale n’était pas proche ou même pour demain; , tant que l’on accepte l’argent du gouvernement, c’est à dire tant que l’on accepte des fonds d’état et des dollars en échange de ses ventes de « papier Wall Street » il n’y a pas problème systémique insoluble, c’est gérable..
Le système est bien rodé depuis Greenspan et 1987, et on a l’impression qu’il peut durer toujours.
Durer toujours cela signifie que toujours ont peut ajouter des zéros dans les livres qui comptabilisent la masse de dettes du gouvernement, des zéros dans la masse d ‘argent gouvernemental. A chaque pépin on ajoute de la monnaie gouvernementale et cette monnaie s’accumule; la dette grossit sans arrêt, ne se résorbe jamais et la masse de fonds d’état et d’Agences ne cesse croitre. C’est à sens unique il n’y a jamais de retour en arrière.
C’est pour cette raison que l’une de mes principales affirmations paradoxale consiste à dire que la vraie bulle, celle qui est bulle-mère qui autorise toutes les autres c’est la bulle de la finance gouvernementale, la bulle des fonds d’état et des Agences du gouvernement. Comme elle croît toujours elle gonfle et devient sans rapport avec la réalité économique sous jacente.
Le bilan de la Fed est passé de moins de 900 milliards de dollars au début de 2008 a 2,2 trillions de dollars en février 2009, puis à 9,0 trillions de dollars en 2020. Les engagements du Trésor ont plus que triplé, passant de 9,5 trillions de dollars à 30,4 trillions de dollars pour augmenter encore de 50 % à 12,0 trillions!.
Ce qui fait bulle, comprenez-le, ce ne sont pas d’abord les actifs financiers de Walls Street, mais la finance gouvernementale. C’est elle qui gonfle les autres bulles avec l’effet multiplicateur du levier, c’est elle qui les autorise, c’est elle qui les assure!
L’effondrement d’une bulle qu’elle soit technologique, du logement ou autre n’est pas une crise, non tant que le renflouement par la finance gouvernementale reste possible, tant que l’on peut émettre des fonds d’état , tant que l’on ne bute pas sur des taux d’intérêt des Treasuries trop élevé, sur un marché trop désordonné des Treasuries longues, sur une accélération de l’inflation ou encore sur une chute de la valeur externe du dollar.
Tant que le mécanisme du risk-on/risk-off fonctionne, on peut éviter la déflation et l’enchainement de la déflation des dettes et la crise type 1929.
La situation actuelle est intéressante parce que précisément certains paramètres , certaines conditions permissives de l’assurance par la finance gouvernementale se sont gravement détériorés: inflation des prix des biens et des services, chute de confiance liée aux guerres pas très victorieuses, affrontement mondial qui met en danger l’unipolarité et l’hégémon financier.
Tout cela au moment ou une sorte de nouvelle bulle technologique se gonfle avec les Magnificent Seven qui pèsent un tiers du S & P 500. Avec le risque non negligeable de la finance shadow, surendettée.
Un effondrement de la finance de Wall Street dans la phase actuelle aurait une portée et des conséquences bien plus grandes que l’éclatement de la bulle technologique de l’an 2000 car les conditions de sauvetage par la finance du gouvernement seraient bien moins favorables! Je crois que vous comprenez pourquoi Powell marche sur des oeufs, pourquoi il est obligé mentir et de louvoyer sans cesse.
La finance gouvernementale a déjà été très sollicitée avec la ruée sur « l’argent » des dépôts bancaires des petites banques régionales.. Les actifs des fonds du marché monétaire atteignent des niveaux records, c’est une épée de Damoclés qui n’est stabilisée que par les assurances de la Fed et du Trésor.
La bulle financière gouvernementale américaine est énorme et puissante – et surtout elle est sous estimée.
Elle a le potentiel d’engloutir le monde entier à cause de l’opacité du shadow, de l’interconnexion et des produits dérivés .
Ces derniers temps, il est apparu que la confiance dans la dette publique américaine vacillait. La décision de Moody’s attire l’attention sur cette question a un moment vraiment peu opportun. Le pire scénario, ce serait un accident de Wall Street qui obligerait une fois de plus à solliciter la finance gouvernementale, qui obligerait à une inflation massive des créances gouvernementales et qui préparerait le terrain pour un futur effondrement dévastateur.
Mon idée est que si, confrontées à un évènement négatif à Wall Street, les autorités décidaient que cette fois elles peuvent se permettre de ne pas intervenir et de ne pas utiliser le PUT, alors ce serait la Fin , la communauté financière mondiale comprendrait que le Roi est nu.
Je le dis depuis mars 2009 c’est marche ou crève , nous sommes entrés dans un système à sens unique, il n’est pas possible d’en sortir sauf à accepter des dégâts encore plus colossaux que ceux que l’on a refusés en 2008.
https://brunobertez.com/2023/11/12/editorial-la-bulle-financiere-gouvernementale-la-trahison-de-moodys/
Ce sont celles que je préfère, les femmes qui n’ont pas de couilles, mais de la place pour en mettre.
Quand voit les cruches que l’on se tape en politique, c’est effarant.
C’est pourquoi j’aimerai que les impatients qui voudraient voir les choses aller plus vite, partout où le feu est allumé sous les fesses de l’hégémon, relisent un peu l’histoire de France de 1870, avant la Commune, il s’est passé plein de choses auxquelles il aura fallu à la bourgeoisie occidentale, nous coller deux effroyables guerres, dites mondiales, dans les gencives, pour calmer nos ardeurs et nos envies de vies justes et équitables pour toutes et tous.
Il y a une opposition vitriolique sur les réseaux sociaux et Internet qui ne laissent aucun temps de répit à ces oppresseurs des peuples pour qu’ils puissent manoeuvrer en sécurité, c’est sont certes des gens dans l’idéologie, mais quand à chaque fois qu’ils avancent d’un pas, toute retraite est coupée, le bout du parcours, ils le voient, il est là, proche, tout proche.
Et, je n’ai pas souvenir d’un moment dans l’histoire où des peuples parvenant à se libérer eux-mêmes de leurs oppresseurs, l’aient fait avec extrême gentillesse.
Peut-être en Afrique du sud, mais, ne gageons de rien, toute la messe est pas dite là-bas, loin de là.
Calmement. Tout cela se terminera par une grande paix mondiale, je vous le garantis.
Détails:
Beaucoup de détails que vous ne trouverez nulle part ailleurs en dehors de la Russie (et, collectés de cette manière, vous ne les trouverez même pas dans les sources russes. Je ne sais pas pourquoi.)
J’ai oublié (encore une fois à partir de ce lien) :
Je vous l’ai dit – la paix est inévitable. (Je ne sais pas si ça va vous plaire…)