Manigances et magouilles dans le camp européen! (Thierry Meyssan)
Le voile se déchire : les vérités cachées de Jabotinsky et Netanyahu
Le groupe qui a assassiné 25 000 Palestiniens à Gaza n’est pas représentatif des juifs en général. C’est un héritier d’une idéologie qui n’a pas cessé de commettre de tels crimes depuis un siècle. Thierry Meyssan retrace l’histoire des « sionistes révisionnistes » de Vladimyr Ze’ev Jabotinky à Benjamin Netanyahu.
Cet article est disponible en anglais et en italien ici : Article de Thierry Meyssan-anglais-italien du 29 janvier 2024
Josep Borrell, haut représentant de l’Union européenne pour les Affaires étrangères et la Politique de sécurité, recevant un doctorat honoris causa à Valadolid, a déclaré : « Nous pensons qu’une solution à deux États [israélien et palestinien] doit être imposée de l’extérieur pour ramener la paix. Même si, et j’insiste, Israël réaffirme son refus [de cette solution] et, pour l’empêcher, est allé jusqu’à créer lui-même le Hamas (…) Le Hamas a été financé par le gouvernement israélien pour tenter d’affaiblir l’Autorité palestinienne du Fatah. Mais si nous n’intervenons pas fermement, la spirale de la haine et de la violence se poursuivra de génération en génération, de funérailles en funérailles ».
Ce faisant, Josep Borrell rompait avec le discours officiel occidental selon lequel, le Hamas est l’ennemi d’Israël, qu’il aurait attaqué par surprise le 7 octobre ; justifiant la riposte israélienne actuelle et le massacre de, déjà, 25 000 civils palestiniens. Il affirmait que des ennemis des juifs peuvent être soutenus par d’autres juifs, Benjamin Netanyahu en particulier. Il refusait la lecture communautaire de l’Histoire et examinait les responsabilités personnelles.
Ce changement narratif a été rendu possible par la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne, il y a quatre ans. Josep Borrell sait que l’Union européenne a financé le Hamas depuis son coup d’État de 2006, pourtant aujourd’hui il est libre de dire ce qu’il a sur le cœur. Il n’a pas évoqué les liens du Hamas avec la Confrérie des Frères musulmans, dont l’organisation revendique d’être la « branche palestinienne », ni de celle-ci avec le MI6, le services secrets britanniques. Il a simplement suggéré de se retirer de ce guêpier.
Progressivement, le voile se déchire. Un rappel historique est ici nécessaire. Les faits sont connus, mais jamais reliés entre eux, ni énumérés à la suite. Ils ont un effet cumulatif éclairant. Ils se situent principalement tout au long de la Guerre froide, lorsque l’Occident fermait les yeux sur les crimes dont il avait besoin, mais ils débutent en réalité vingt ans plus tôt.
En 1915, le ministre de l’Intérieur juif britannique, Herbert Samuel, rédigea un mémorandum sur le Futur de la Palestine. Il souhaitait créer un État juif, mais de petite taille afin qu’il « ne puisse pas être assez grand pour se défendre ». Ainsi la diaspora juive servirait sur le long terme les intérêts de l’empire britannique.
Il tenta de convaincre le Premier ministre, le libéral de l’époque H. H. Asquith, en vain, de créer à l’issue de la Guerre mondiale un État juif en Palestine. Cependant après la rencontre d’Herbert Samuel avec Mark Sykes, juste après la conclusion des Accords Sykes-Picot-Sazonov sur la répartition coloniale du Moyen-Orient, les deux hommes poursuivirent le projet et bénéficièrent du soutien des « protestants non-conformistes » (on dirait aujourd’hui des « chrétiens sionistes »), dont le nouveau Premier ministre, David Lloyd George. Ce dernier et son cabinet donnèrent instruction pour la fameuse Déclaration Balfour afin de préciser un des points des Accords Sykes-Picot Sazonov en annonçant un « foyer national juif ».
Simultanément, les protestants non-conformistes, par l’entremise du juge à la Cour suprême des États-Unis, Louis Brandeis, convainquirent le président Woodrow Wilson de soutenir leur projet.
Toujours durant la Première Guerre mondiale, lors de la révolution russe, Herbert Samuel proposa d’intégrer des juifs de l’ex-empire russe qui fuyaient le nouveau régime dans une unité spéciale, la Légion juive. Cette proposition fut reprise par un juif ukrainien, Vladimir Ze’ev Jabotinsky, qui imagina qu’un État juif en Palestine pourrait être sa récompense dans l’après-guerre. Herbert Samuel lui confia de recruter des soldats parmi les émigrés russes. Parmi eux, il trouva notamment le Polonais David ben Gourion (alors marxiste) auquel se joignit le Britannique Edwin Samuel, le propre fils d’Herbert Samuel. Ils s’illustrèrent notamment lors de la bataille perdue contre les Ottomans à Gallipoli.
À la fin de la guerre, le fasciste Jabotinsky réclama un État comme son dû, mais les Britanniques n’avaient nullement envie de se séparer de leur colonie palestinienne. Ils s’en tinrent donc à leur engagement de « foyer national », sans plus. En 1920, une partie des Palestiniens, conduite par Izz al-Din al-Qassam (la figure tutélaire de la branche armée de l’actuel Hamas, les brigades al-Qassam) se souleva et massacra sauvagement des immigrés juifs, tandis qu’une milice juive leur répondit. C’est le début du conflit israélo-palestinien. Londres rétablit l’ordre en arrêtant des fanatiques, aussi bien des jihadistes que des juifs. Jabotinsky, chez qui un arsenal fut découvert, fut condamné à 15 ans de prison.
Cependant, le gouvernement « protestant non-conformiste » de David Lloyd George nomma Herbert Samuel gouverneur de Palestine. Dès son arrivée à Jérusalem, il gracia et fit libérer son ami Jabotinsky. Puis, il nomma l’antisémite et futur collaborateur du Reich, Mohammad Amin al-Husayni, grand mufti de Jérusalem.

Jabotinsky fut alors élu administrateur de l’Organisation sioniste mondiale (WZO). Mais il repartit dans l’ex-empire russe où Symon Petlioura venait de créer une République populaire ukrainienne. Jabotinsky et Petlioura signèrent un accord secret pour se tailler une place dans les terres des bolchéviks à l’Est et des anarchistes de Nestor Makhno au Sud (la Novorossia actuelle). Petlioura était un antisémite forcené, ses hommes étaient habitués, dans leur propre pays, à massacrer des familles ou des villages juifs. Petlioura était le protecteur des « nationalistes intégraux » ukrainiens et de leur mentor, Dmytro Dontsov, qui deviendra par la suite administrateur de l’Institut Reinhard Heydrich chargé de l’exécution de la « solution finale de la question juive » [1].
Lorsque le bruit se répandit que Jabotinsky avait fait alliance avec des « massacreurs de juifs », l’Organisation sioniste mondiale le convoqua pour explication. Mais il préféra démissionner de ses fonctions communautaires plutôt que de répondre à des questions. Il créa alors l’Alliance des « sionistes révisionnistes » (surtout présente dans la diaspora polonaise et lettone) et sa milice, le Betar. Il se détourna de l’empire britannique et s’enthousiasma pour l’Italie fasciste. Il créa une académie militaire pour le Betar à proximité de Rome avec le soutien du duce Benito Mussolini.

En 1936, Jabotinsky imagina un « plan d’évacuation » des juifs d’Europe centrale et orientale vers la Palestine. Il obtint le soutien du chef de l’État polonais, le maréchal Józef Piłsudski, et de son ministre des Affaires étrangères, Józef Beck. Mais aussi celui du régent hongrois, l’amiral Miklós Horthy, sans oublier celui du Premier ministre roumain, Gheorghe Tătărescu. Ce plan ne fut jamais réalisé car les juifs d’Europe centrale et orientales étaient effrayés par les alliés de Jabotinsky et parce que l’empire britannique s’opposa à une émigration massive en Palestine. En définitive, Chaim Weizmann, alors président de l’Organisation sioniste mondiale, assura que Jabotinsky était impliqué dans le plan franco-polono-nazi de déportation des juifs à Madagascar.
C’est à cette période que Vladimir Jabotinsky prophétisa l’holocauste devant des publics juifs médusés. Selon lui, en refusant son plan d’évacuation, la diaspora allait provoquer un sursaut de violence contre elle. À la surprise générale c’est ce que ses amis mirent effectivement en œuvre : l’extermination de millions de juifs.

En 1939, Jabotinsky rédigea un plan pour un soulèvement des juifs de Palestine contre l’empire britannique qu’il envoya à la section locale des « sionistes révisionnistes », l’Irgun. La Seconde Guerre mondiale repoussa ce projet à plus tard. Jabotinsky ne se fixa pas en Italie fasciste, mais aux États-Unis, alors neutres, où l’un de ses disciples le rejoignit pour devenir son secrétaire particulier. C’était Benzion Netanyahu, le père de Benjamin Netanyahu.
Durant la guerre, Vladimir Jabotinsky et Benzion Netanyahu reçurent la visite d’un professeur de philosophie de Chicago, Léo Strauss. C’était aussi un juif fasciste. Il avait été contraint de quitter l’Allemagne en raison de l’antisémitisme nazi, mais restait toujours un fasciste convaincu. Léo Strauss est devenu par la suite la référence des « néo-conservateurs » aux USA. Il a créé sa propre école de pensée, assurant à ses quelques disciples, après la Seconde Guerre mondiale, que le seul moyen pour des juifs de se prévenir d’une nouvelle Shoah, c’est de créer leur propre dictature. Parmi ses élèves, on compte aussi bien Paul Wolfowitz qu’Elliott Abrams, l’homme qui se tient aujourd’hui derrière Benjamin Netanyahu et qui a financé sa « réforme des institutions » cet été.
Vladimir Jabotinsky mourut à New York, en 1940. David ben Gourion s’opposa au transfert de ses cendres en Israël, mais, en 1964, le Premier ministre d’Israël, l’Ukrainien Levi Eshkol, l’autorisa.

Après la Guerre mondiale, les « sionistes révisionnistes » de l’Irgun déclarent la guerre à l’Empire britannique pour avoir limité l’émigration juive en Palestine. Sous le commandement du futur Premier ministre, le Biélorusse Menachem Beguin, ils organisent une série d’attentats, dont celui contre l’hôtel King David qui fit 91 morts ou le massacre de Deir Yassin qui fit au moins une centaine de victimes.
En novembre 1947, l’Assemblée générale des Nations unies adopte un plan de partage de la Palestine entre deux zones, juive et arabe, afin de former un État binational. Profitant de la lenteur de l’organisation intergouvernementale, David ben Gourion proclame unilatéralement l’État d’Israël, le 14 mai 1948. Les États arabes réagissent par les armes, tandis que des milices juives débutent l’expulsion de 750 000 Palestiniens, la Nakba. Inquiète de ces rapides développement, l’Assemblée générale envoie un émissaire suédois, le comte Folke Bernadotte, pour délimiter les deux États fédérés. Mais le 17 septembre 1948, d’autres « sionistes révisionnistes », appartenant au Lehi (dit « Groupe Stern »), sous le commandement d’un autre futur Premier ministre, le Biélorusse Yitzhak Shamir, l’assassinent. Ils sont tous condamnés par un tribunal israélien. Le ministre des Affaires étrangères, l’Ukrainien Moshé Shertok (ou Sharett), écrit à l’Assemblée générale pour demander l’adhésion d’Israël aux Nations unies. Il « déclare que l’État d’Israël accepte par la présente, sans réserve aucune, les obligations découlant de la charte des Nations unies et qu’il s’engage à les observer du jour où il deviendra Membre des Nations Unies ». À ces conditions expresses, Israël devient membre de l’Onu, le 11 mai 1949. Dans les jours qui suivent, Yehoshua Cohen, l’assassin du comte Bernadotte est discrètement libéré. Il devient le garde du corps du Premier ministre, David ben Gourion.

De 1955 à 1965, Yitzhak Shamir dirige un département du Mossad, les services secrets extérieurs du nouvel État. Sans en informer ses supérieurs, il structure la police secrète du shah d’Iran, la Savak. Environ deux cents de ses hommes viennent y enseigner la torture aux côtés d’anciens nazis [2].
Puis, alors qu’il négocie les Accords de Camp David avec l’Égypte, il déplace les hommes qu’il avait envoyés en Iran vers le Congo, en 1979. Probablement avec le soutien de la CIA états-unienne, ils encadrent désormais la police secrète de Mobotu Sese Seko. Il se rend sur place pour les contrôler.
Dans le cadre de la Guerre froide, Yitzhak Shamir aide aussi la dictature taïwanaise [3].
Cette fois à l’insu des États-Unis, il créé un groupe terroriste à New York, la Jewish Defense League du rabbin Meir Kahane [4]. Il supervise une campagne pour l’émigration des juifs soviétiques en Israël, des attentats contre la délégation soviétique à l’Onu et enfin contre la légation de l’Organisation de libération de la Palestine.
Il noue des alliances avec l’Afrique du Sud [5]. Il participe à la création des « bantoustans », de faux États africains qui permettent à l’Afrique du Sud de ne plus considérer sa population noire comme des ressortissants, mais comme des émigrés ; un modèle que les « sionistes révisionnistes » appliqueront ultérieurement aux Palestiniens.
Sur cette lancée, il fait financer par Israël les recherches du médecin personnel du président Pieter Botha, le docteur Wouter Basson. Celui-ci, à la tête de 200 scientifiques, entend créer des maladies qui n’affecteront que les noirs et les arabes (Projet Coast [6]) [7].Un crime en entrainant un autre, il soutient aussi la Rhodésie [8] et la lutte contre l’indépendance des colonies portugaises du Mozambique et d’Angola.
Au Guatemala, Yitzhak Shamir se rapproche de la dictature du général Rios Montt. Il ne se contente pas de lui de fournir des armes, mais aussi supervise sa police secrète. Il met en place un institut d’informatique qui surveille les consommations d’eau et d’électricité et peut ainsi détecter et localiser des activités clandestines. Il organise la population maya en kibboutzim de manière à la faire travailler et à la surveiller sans avoir à procéder à une réforme agraire. Ainsi protégé, Rios Montt assassine 250 000 personnes. [9] ; un modèle que les sionistes révisionnistes souhaitent appliquer aux Palestiniens. Les rapports entre Israël et les États-Unis au sujet de l’expérimentation guatémaltèque passent par le straussien Elliott Abrams.
Durant toute la Guerre froide, les « sionistes révisionnistes » n’ont pas agit dans l’intérêt du camp occidental, ils ont utilisé les opportunités qui se présentaient pour faire ce que Vladimir Ze’ev Jabotinky avait toujours fait : exercer le pouvoir par la force sans aucun égard pour qui que ce soit.

À la fin de la Guerre froide, le président Bush père convoqua la conférence de Madrid pour résoudre enfin la question israélo-palestinienne. Durant celle-ci, la délégation israélienne, présidée par Yitzhak Shamir, devenu Premier ministre, exige l’abrogation de la résolution 3379 de l’Assemblée générale des Nations unies [10] avant la poursuite des débats. Celle-ci affirme que « le sionisme est une forme de racisme et de discrimination raciale ». « Avec un cœur ouvert, nous appelons les dirigeants arabes à prendre le pas courageux et à répondre à notre main tendue en paix », déclame Shamir, grandiloquent. Soucieuse de permettre un accord, l’Assemblée générale obtempère. Mais, trompant ses interlocuteurs, Israël ne prendra aucun engagement et fera même tout pour faire échouer la candidature à un second mandat de George H. Bush.
Un petit mot avant de conclure sur les personnalités de ce dispositif aujourd’hui.

L’alliance des « sionistes révisionnistes » et des « nationalistes intégraux » ukrainiens s’est reformée à la dissolution de l’Union soviétique. Un oligarque mafieux, le juif Ihor Kolomoïsky, a propulsé en politique un jeune humoriste juif, Volodymyr Zelensky, tout en finançant les milices nationalistes intégrales qui assiégeaient et bombardaient les populations ukrainiennes russophones du Donbass. Le refuznik Natan Sharansky, ancien ministre d’Ariel Sharon, organise des réunions entre des personnalités juives mondiales et le cabinet du président ukrainien. Tandis que Voldymyr Zelensky a confié le commandement des deux grandes batailles de Marioupol et de Bakhmout à Andriy Biletsky, le « führer blanc ».
Le 19 juillet 2018, à l’initiative des « sionistes révisionnistes », la Knesset adopte une loi proclamant Israël comme « État juif », avec l’hébreu comme seule langue officielle et Jérusalem unifiée comme capitale. Les colonies juives en territoire palestinien sont considérées comme relevant de l’« intérêt national ».
Quatre ans plus tard, Benjamin Netanyahu constitue un gouvernement avec une coalition formée avec les disciples du rabbin Kahane. En 2022, Itamar Ben-Gvir, président d’Otzma Yehudit (parti du Pouvoir juif) déclare qu’il va expulser les Arabes de Palestine. Des membres de son parti lancent une attaque contre le village cisjordanien d’Huwara, en février 2023, sept mois avant l’attaque palestinienne du 7 octobre. En quelques heures, ils incendient des centaines de voitures et 36 maisons. Ils s’acharnent sur les habitants, faisant 400 blessés et tuent un homme sous les yeux de l’armée israélienne qui encerclait le village sans intervenir face à leurs exactions.
Ce bref résumé historique nous montre qu’il n’y a pas plus de problème israélo-arabe que de problème ukraino-russe, mais un énorme problème de tous avec une idéologie qui, en des lieux et des époques différentes, n’a fait que semer la souffrance et la mort. Nous devons ouvrir les yeux et ne plus accepter de nous mobiliser avec des actions sous faux drapeau et autres mensonges.
Tout un scénario pour dire des vérités cachées et que dans un pays comme canada et je prends un petit c pour Canada, car le canada est pas vraiment informé sur ce qui se passe vraiment en arrière plan, Thierry Massein comme historien et je me plais à le lire, car je je penses que ses articles sont vraiment éclairés il ne fait pas un travail de faux journalistes je le trouve comme Serge Monaste qui fut tué pour montrer la vérité de quoi il s’agit vraiment pour le monde qui vient il y a de quoi faire vomir,
Merci pour cette publication vraiment intéressante.
Normand
Tout un scénario pour dire des vérités cachées et que dans un pays comme canada et je prends un petit c pour Canada, car le canada est pas vraiment informé sur ce qui se passe vraiment en arrière plan, Thierry Massein comme historien et je me plais à le lire, car je je penses que ses articles sont vraiment éclairés il ne fait pas un travail de faux journalistes je le trouve comme Serge Monaste qui fut tué pour montrer la vérité de quoi il s’agit vraiment pour le monde qui vient il y a de quoi faire vomir,
Merci pour cette publication vraiment intéressante.
Normand
Versão em Língua Portuguesa:
https://queonossosilencionaomateinocentes.blogspot.com/2024/01/manigancias-e-trafulhices-no-campo.html
Meyssan se fout carrément de la gueule du monde depuis déjà un bon moment, c’est l’archétype de ce qu’est source des services occidentaux.
Ce personnage est dans la droite ligne des utopies auxquelles nous soumettent ces manipulateurs, systématiquement ses références font appel à notre inconscient pour que nous soyons favorables à cette cause impossible à atteindre dans les conditions qui prévalent, sauf à détruire les services de renseignement, de, la France, Canada, Grande-Bretagne, Australie, Finlande, Allemagne, Pays-bas, Italie, israël évidemment, Japon, Autriche car ce sont ces faiseurs de guerres et de morts, qui alimentent le terrorisme et veulent nous faire croire que leur objectif prioritaire, est l’éradication du terrorisme d’inspiration djihadiste.
Que des pays au sommet des pires terrorismes sur la planète!
A l’exception de ces « niakoués » japonais qui manifestement méprisent leurs origines, ce ne sont que les pays de l’ethnie blanche, la valétaille institutionnelle qui met ses populations au service exclusif du mosaïsme
Or, ce sont justement les politiques de ces pays qui sont à l’origine dudit djihadisme.
Donc, soit Meyssan est un monumental connard de l’ignorer, soit c’est ennemi de la Résistance, en fait, il cumule.
Oui, il est temps déchirer le voile sur Meyssan, cet atout du sionisme, qui si ses lecteurs avaient un peu de mémoire et aussi de jugeote quant à ce qu’ils ont lu précédemment de lui, verraient toutes les variations de ses soi-disant analyses.
Le bonhomme ne s’embête pas avec la rigueur d’esprit il fait figurer un formalisme affectionné par les imposteurs, tout un tas de références en bas de d’article, ça fait sérieux, vous comprenez, en vérité il adapte à chaque fois ses déclarations en fonction de l’orientation des opinions publiques connectées.
C’est l’instantané qui compte, les idiots n’ont à l’évidence selon lui qu’un besoin de berceuses, pas d’informations.
Comme les Fourest, Lévy, Fiel-et-Crottes et autres tartuffes de la télé, à chaque fois que la chienlit est dans la merde, c’est le même barnum qu’on nous ressort, de faux intellectuels, faux penseurs, faux prophètes, philosophes, sociologues, historiens, économistes et autres.
Un véritable cirque d’abrutis qui rivalisent de connerie les uns avec les autres et qui font perdre leur temps aux gogos plus soucieux plus de l’emballage que du contenu, les ubérisés du cerveau, celles et ceux à qui il faut tout livrer tout prêt.
Celles et ceux qui prennent cet énergumène pour un historien.
Je ne m’emmenderai pas à faire de l’académisme bidon en produisant toujours un paquet de sources vérolées comme le font toujours les imposteurs, quand le bon principe est:
Cherche, et tu trouveras!
Relisez-le, ce Meyssan!
Pour mettre en perspective mon appréciation sur Meyssan, je rappellerai un exemple à ce tartuffe.
Humam Khalil Abu-Mulal al-Balawi, médecin jordanien et musulman hyper rigoureux.
Cet agent triple, d’abord repéré et approché par la Turquie, puis, qui travailla pour la Jordanie, son pays et les Américains les recruteurs qui l’ont retourné contre les siens et, qui a fini par épouser al-Qaïda au final, puis a terminé sa vie en kamikaze le 30 décembre 2009 à camp Chapman aux USA, base de la CIA, tuant sept d’entre eux et en blessant beaucoup d’autres.
Comme quoi, un chien qui souffre et est maltraité , peut mordre la main de son maître, voire le tuer, quand son instinct grégaire reprend le dessus, il retourne à sa nature, son troupeau.
Le type, malgré sa fonction, à lecture de son parcours n’avait que des failles et des fragilités psychologiques, le meilleur client pour les manipulateur, un bon psychopathe devenu absolument pas bon par la suite, ce sont les risques dans ces milieux-là.
Les musulmans sont entre eux, quand des services occidentaux se servent de quelques uns pour toutes sortes de saloperies envers eux-mêmes, à les manipuler pour qu’ils s’entretuent ou fassent le contraire de leurs intérêts au bénéfice de ceux qui les manipulent, il n’y a rien d’étonnant à ce qu’à un moment la bête échappe à son maître et se retourne contre lui.
C’est ce qu’a fait le Hamas, et pour confirmer ce que je dis en contradiction de la toute première affirmation de l’article de cet atout sioniste de Meyssan, il suffit de regarder quels sont les onze pays cités plus haut, qui viennent de retirer leurs contributions à l’Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient, UNRWA.
Soit c’est un véritable réseau international d’une même connexion neuronale, ou une puissante organisation mafieuse mondiale, qui a pris des contre-mesures suite à la décision rendue par la Cour de Justice Internationale qui a mis à l’index l’entité juive accusée d’accomplissement du crime de Génocide.
Donc, Meyssan peut dire les choses comme il veut, il ne saurait y avoir deux poids deux mesures en permanence, ni de contorsions intellectuelles absurdes, car dans notre pays, pour lutter contre la délinquance des mineurs, on hésite pas à couper toutes vivres sociales aux familles, voire à les expulser de leurs domiciles et lieux de vie, donc, punition collective, là, nous faisons face à une pseudo religion, véritable secte patchwork qui pour ses croyances mythologiques s’autorise le génocide d’un vrai peuple avec toutes les références auxquelles cela renvoi, authentiquement chez-lui, et il faudrait faire des distinctions parce qu’un inverti de petit franc-maçon nous fait une leçon débile sur un lampiste.
Moïse aussi c’en était un de lampiste, que cet historien de pacotille nous explique pourquoi celui censé avoir dialogué avec dieu et reçu de lui les « lois » de la Terre, disparaît pendant plusieurs siècles des soi-disant écrits saints juifs.
C’est comme la conquête lunaire, quand les baratins sont plus gros que la planète qui les porte, sous le boisseau tout ça.
Ce qui prétendument rendait les Hommes plus grands, 55 ans plus tard, c’est même pas toujours au sommet des exploits que nous accomplissons, qu’est-ce qu’on est censé avoir fait de mieux depuis, je vois pas, franchement, pas du tout même!
D’autre part, ce pseudo historien, de pacotille, semble ignorer qu’à l’origine, que bien avant que la Palestine subisse la monstruosité qui s’est abattue sur elle, ce que les nations blanches appelaient « leurs » colonies et qui ne commencent que maintenant à se libérer de cet enfer idéologique, l’Afrique, plus particulièrement le Kenya, il y aura bientôt 124 ans, a failli récolter toute la lie dont ces nations ne voulaient plus, on imagine même pas l’ampleur de l’extermination que ce Continent a évité et, Dieu sait si, pour encore quelques instants, ce malheureux endroit en a connu des génocides ignorés.
https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/une-implantation-juive-en-afrique-il-y-a-120-ans-quand-le-mouvement-sioniste-négociait-le-projet-ouganda/ar-AA1fG1km
Le projet Ouganda, parce que les Ottomans ne voulaient pas d’implantation juive près de chez-eux en Palestine, ils avaient pas encore Erdogan faut dire, d’ailleurs, pour l’anecdote, à la Cour de Justice Internationale, la juge ougandaise et celui israéliens, sont les seuls à ne pas avoir voté les décisions de la Cour, ça s’invente pas ça, comme quoi, le nettoyage terrestre est bien l’affaire des peuples et pas des militaires ou je ne sais quel évènement extra-terrestre.
Il faut que l’humanité réduise par elle-même drastiquement la population des mauvais, où quelle soit, qui qu’elle soit, c’est à ce prix-là uniquement qu’on mettra fin aux carnages incessants.
La marque des manipulateurs, systématiquement, ou des ignorants, eux c’est pas de leur faute, c’est de nous parler en permanence de nazisme ou de fascisme, alors que notre problème n’est absolument pas celui-là, le vrai problème est lié à la suprématie, prééminence à laquelle certains croient avoir droit, he bien, faut les calmer sur ça, à n’importe quel prix.
Meyssan radote la même histoire presqu’à chaque fois, nous observons que nos pays ne sont plus ce qu’ils étaient, et quand les écrits des gens de l’époque dont parle Meyssan, il semblerait qu’ils tiraient vis-à-vis de certains, quasiment les mêmes conclusions qu’aujourd’hui les populations mondiales tirent, puisque même en Chine l’antisémitisme est une opinion galopante, à un moment, les conneries ne peuvent pas tout expliquer.
Jamais ce qui se passe actuellement dans le monde existerait, si cette prééminence sur les autres n’existait pas.
Très excellent article de Thierry Meyssan. J’apprécie particulièrement l’intro qui rejoint ce que m’évertue à dire depuis longtemps:
«Le groupe qui a assassiné 25 000 Palestiniens à Gaza n’est pas représentatif des juifs en général. C’est un héritier d’une idéologie qui n’a pas cessé de commettre de tels crimes depuis un siècle». Thierry Meyssan retrace l’histoire des « sionistes révisionnistes » de Vladimyr Ze’ev Jabotinky à Benjamin Netanyahu.
Le plus important dans l’arnaque sioniste est qu’il ne s’agit pas de sémites, mais de convertis d’Europe de l’Est, de pures descendants KHAZAR d’Ukraine, c’est de là que provient le virus, le CANCER SIONISTE.
Pour revenir aux convertis et à aux faussaires sionistes qui orccupent ILLÉGALEMENT Israël, parlons d’abord de leur prétendue identité juive…ce qui m’apparait de première importance dans ce débat ou comme on s’en aperçoit tout est très compliqué à dessin…
La judaïcité par le biais d’une conversion religieuse, sont les seuls critères employés par les Juifs pratiquants pour se caractériser. Leur judéïté devient le sentiment d’appartenance à un groupe social, ou encore à une l’idéologie politique. Ce qui perturbe toutes les catégories d’identité, car ce n’est ni nationale, ni généalogique, ni religieuse, mais toutes à la fois, devenant très pratique…. Ces convertis non reconnues comme juifs par les critères religieux et légaux se considèrent néanmoins comme membres authentiques du peuple des Juifs. Ces exactement comme si les pratiquants bouddhistes de par le monde décidaient en un mouvement mondial de réclamer un pays pour les bouddhistes, après s’être créé une histoire pour se justifier.. Le plus évident chez les sionistes convertis est leur absence de descendance sémites. Il s’agit d,un VOL total d’identité et le pire dans tout ça est la COMPLICITÉ des grandes puissances tel que l’Angleterre, les USA, la France dans la réalisation cette arnaque historique. Quel fut le deal des sionistes pour obtenir tout ce qu’ils veulent…encore aujourd’hui??????? J’en reviens toujours au PÉTROLE des pays ARABO-MUSULMANS.
Il y en a beaucoup à Gaza et pour l’exploiter il faut qu’un pays soit SOUVERAIN. C’est du moins ce que j’ai retenu de mes recherches. Le but visé par Netanyahy et sa bande de CRIMINELS, est aussi une méga installation de colons sionistes après la DESTRUCTION TOTAL des infrastructures et la dispersion des Palestiniens. Comme en 1948, ils vont AUTO PROCLAMÉSE LE GRAND ISRAËL. En plus, les Palestiniens n’auront plus le secours international pour un retour chez eux, étant donné les accusations mensongères sionistes contre l’UNRWA. Les sionistes veulent discréditer l’ONU et la reconnaissance de génocide tellement ÉVIDENT…
Ce sont encore les mêmes pays traîtres qui s’empressent de retirer le financement à cette agence de secours aux Palestiniens, ceux qui jadis ont participé à cette répartition de territoire après la Première Guerre Mondiale. Ensemble, ils ont permis et veiller à la réalisation du programme sioniste, qui se poursuit. Seule une intervention musclée ou militairement soutenue des pays arabo-musulmans pourrait changer le cours de cette histoire, faussée depuis le tout début et j’ai confiance que c’est ce qui arrive présentement, suffit de regarder aux bons endroits pour se renseigner. Malheureusement, en occident nous sommes victimes de beaucoup de DÉSINFORMATION, de MANIPULATION par les médias CORROMPUS et COMPLICES du GÉNOCIDE en cours.
Les VRAIS ASSASSINS des Palestiniens sont l’OCCIDENT et leur GOLEM SIONISTE.
Ah, oui, c’est vrai, le sémitisme, j’avais oublié, l’arche de noé comme quoi, il existe la servitude volontaire, comme la connerie volontaire d’ailleurs.
Tout y est dans votre commentaire, la conversion des khazars, un récit apparu aux environs de 2012-2015 est devenu la litanie des idiots pris dans l’effet perroquet et qui n’ont jamais cherché à comprendre les choses par eux-mêmes parce qu’ils ont la voix de leurs maîtres qui disent tout.
Ils connaissent trop bien le courage des pays arabo-musulmans comme vous dîtes, les Palestiniens, c’est pourquoi ils ne comptent pas sur quoi que ce soit de ces couards nés pour s’en sortir, c’est censé être la terre de Canaan, alors ce sont ceux censé être ses descendants qui s’en chargent, évidement, les couards nés trouvent là l’occasion de blanchir leur plastron, ils y vont franchement en parole à dire qu’ils y sont pour quelque chose, mais à l’origine, ils étaient résolus dans la servitude volontaire à israël, ne l’oublions pas quand même.
Je ne vois toujours pas ce que font ces soi-disant peuples arabo-musulmans pour que cesse la faim et la soif des Palestiniens, je ne parle même pas de mettre un terme à la guerre, un confetti à qui une petite faction armée rudimentairement met une danse mémorable, leur interdit à tous de bouger une oreille, l’Iran n’est pas arabo-musulment, heureusement d’ailleurs, ce sont des Perses et l’islam qu’ils pratiquent n’est pas cette couleuvre avec laquelle les juifs et les autres s’amusent tant.
Comme quoi, moins de mensonges à soi-même, ça peut libérer de l’esclavage à l’idiotie.
D’ailleurs, signe qui ne trompe pas, en France, quand il s’est agit de foutre le bordel et tout casser suite à la mort tragique de Nahel, même dans des petits patelins la couardise nées y allait de sa casse et incendies volontaires, là, contre le génocide des Palestiniens, ces décervelés n’existent pas, alors, faut peut-être arrêter de ce raconter des conneries que les réalités ne révèlent pas.
Les arabo-musulmans, les samedis de manifestations pro-palestiniennes sont plus chez foot-looker, mc’do et toutes les étables où vont se ranger eux-mêmes les boeufs.
Comme vous dîtes, les vrais assassins des Palestiniens, c’est l’Occident, comme quoi, Meyssan vous fait très bien vous rendre compte de la réalité des choses, ça ne fait aucun doute.