Une guerre OTAN-BRICS est-elle prévisible !?…
Par Jean-François Geneste.
Cet article est disponible en anglais et en italien ici:
Article de Jean François Geneste-anglais-italien- du 29 fevrier 2024
La question ne se pose-t-elle pas de manière térébrante ?
En effet, nous avions depuis près de deux ans une guerre
OTAN-Russie, un conflit total qui visait à mettre
l’adversaire à genou aux dires de…
Mais dans les circonstances que nous connaissons, une
alternative à la domination impériale anglo-saxonne a fait
florès. Les BRICS, qui n’étaient qu’un assemblage
hétéroclite, ont réussi à convaincre un certain nombre
d’acteurs dans le monde de se regrouper dans un
système moins contraignant et surtout dans lequel les règles, bien
moins nombreuses, sont figées et ne varient pas au gré des humeurs du leader.
Ce modèle attire bien des pays initialement soumis à l’Occident qui ne rêvaient sûrement pas de son
idéal politique, mais de son niveau de vie, voire nécessitaient sa protection vis-à-vis d’intérêts
divergents.
Face à cette dérive dangereuse pour son hégémonie, l’Empire semble avoir décidé d’employer la
manière forte en déclenchant des conflits visant directement les BRICS. Ce qui se passe en Israël paraît
être un pas supplémentaire sur un chemin qui pourrait se révéler catastrophique pour la planète entière
in fine.
On s’étonnera, comme beaucoup, que les services israéliens n’aient soi-disant rien vu venir. On sait
manifestement que l’information était remontée, mais qu’elle n’a pas été prise en compte. Peut-être un
jour apprendrons-nous exactement pourquoi, mais c’est très loin d’être sûr et cela dépendra, comme
toujours, de qui sera le gagnant.
Que constatons-nous ? Israël veut déclencher une offensive terrestre. L’Iran signifie que si tel est le cas,
il sera contraint de réagir militairement. Nous sommes donc dans une escalade potentielle qui pourrait
embraser tout le Moyen-Orient et impliquer bien des acteurs. Du côté américain, il est important de
redorer son blason qui a été plus que terni par le conflit ukrainien. Écraser, en conséquence, des
Palestiniens à Gaza, ne relève pas de l’exploit, mais de la communication sanglante, comme d’habitude
si l’on ose dire (Irak, Afghanistan, Libye, Serbie, etc.).
Rappelons-nous aussi de cette volonté, au début des années 2000, de redessiner la zone et qui, à ce
jour, est un échec. Voilà une bonne raison supplémentaire d’intervenir. Mais il reste un problème
majeur qui est l’Iran, et ce depuis au moins 1953.
Il est sûr que l’entrée de ce dernier dans les BRICS le normalise et va lui permettre une croissance
économique importante. Les paranoïas anglo-saxonne et israélienne contre cet État sont telles que l’on
peut décemment penser que c’était un chiffon rouge agité de trop. Puisque l’arrivée officielle ne se fera
qu’au début de 2024, peut-être a-t-on songé qu’il y avait encore une chance d’éviter cela.
Nous sommes donc au bord d’un conflit qui implique d’ores et déjà Israël, les USA et l’Iran et,
comme l’on dit, plus si affinités.
Il va de soi que l’OTAN sera mobilisée pour cela. Côté BRICS,
a priori, il n’y aura pas de coalition, mais l’ironie de l’histoire
pourrait renvoyer à l’Occident la monnaie de sa pièce : des
Russes et/ou des Chinois qui ne participeraient pas à
l’affrontement, mais fourniraient massivement des
matériels de guerre sophistiqués sans oublier bien sûr la
mise à disposition des moyens de C4ISR pour
guider les drones, les missiles, etc., et tout en restant dans
les zones internationales.
L’OTAN étant loin de ses bases et devant intervenir via des porte-avions et leurs groupes aéronavals,
dans le cadre d’une hostilité relativement longue où l’aide au régime des mollahs se ferait crescendo,
on pourrait atteindre un niveau où la technologie hypersonique serait transférée en accéléré aux Perses
ce qui permettrait de détruire au moins 2 groupes aéronavals en totalité ; une sorte de Trafalgar
à l’envers pour l’Anglo-Saxonnie.
N’oublions néanmoins pas Taiwan ! Déjà, le manque de confiance américain dans le devenir de ce
territoire s’est exprimé au grand jour en rapatriant une partie du savoir-faire de l’île en matière de circuits
électroniques.
Mais c’était peut-être peine perdue quand on voit la dernière puce de Huawei, certes ayant
encore un peu de retard, mais étant issue d’un pays d’un milliard et demi d’habitants contre 24 millions
pour Formose et moins d’un milliard dans une zone en décadence intellectuelle. Mais qu’à cela ne tienne,
les signaux d’une volonté de déclenchement d’une guerre outre-Atlantique sont nombreux et forts.
Certains affirment même que le temps presse, car après 2027 les États-Unis auraient cédé leur soi-disant
supériorité militaire.
Si cela devait advenir, nous aurions quelque chose qui ressemble à s’y méprendre à une opération de
l’OTAN contre une bonne partie des BRICS et donc quelque chose de mondial. Il ne manquerait plus
qu’une action malheureuse envers le Venezuela pour enflammer la fraction sud du continent des Yankees
pour couronner le tout.
Arrivons-en à la considération d’un acteur charnière dans cette potentielle épopée et voyons le dilemme
qui se pose à lui. Il s’agit bien évidemment de la Turquie. Elle fait partie de l’OTAN, mais ne s’entend
pas vraiment avec sauf à attendre qu’Erdogan soit remplacé par une marionnette de Washington, ce qui
reste possible et peut-être même probable. Ce qui est en jeu est le contrôle de l’Asie centrale, turcophone
et en contact immédiat avec Russie et Chine. Certains pourraient encore envisager d’essayer d’enfoncer
un coin via la Mongolie.
Regardons la carte ci-dessus et remarquons, dans ce schéma, l’importance de l’Iran qui demeure une
barrière « naturelle » à l’expansion turque avec l’Arménie, un point chaud actuel s’il en est, puisqu’elle
empêche un pont direct avec l’Asie centrale via l’Azerbaïdjan et la mer Caspienne. L’Iran, d’ailleurs,
semble ne pas s’y tromper, qui ne veut pas de changement de frontière de l’Arménie et la question reste
de savoir le jeu exact interprété par l’Occident qui cherche à se rallier le plus vieux pays chrétien du
monde, lequel vient, d’autre part, d’adhérer à la CPI. La Turquie va-t-elle basculer dans le camp des
BRICS ?
Si oui, quel en sera le prix pour elle côté ouest et côté BRICS?
Ou alors tentera-t-elle de renforcer l’OTAN en se déguisant en
doux agneau en attendant des jours « meilleurs » ?
Nous voyons bien, là, le caractère inflammatoire de la
situation qui ne demande qu’à dégénérer devant les
appétits de certains.
Bien entendu, dans ce qui précède, nous avons été loin d’être
exhaustifs, il faudrait plus qu’un livre pour prendre en compte
tous les paramètres si tant est que cela soit possible. Mais nous
sommes assez naturellement amenés à considérer à nouveau
cette stratégie de la Rand Corporation qui s’intitulait
« overextending Russia ». Nous nous sommes déjà exprimés
sur le sujet, mais, comme nous l’avions expliqué à l’époque, la
tactique des BRICS pourrait consister à renvoyer en boomerang
un « overextending NATO ». Et là, le terme overextending est à
prendre dans un sens bien plus large que celui de la Rand, qui ne prisait que la géographie.
Il s’agit ici de l’espace physique, bien sûr, mais aussi de productions intellectuelles et industrielles. À ce jeu,
l’OTAN est « en état de mort cérébrale » depuis longtemps. Non seulement, à court terme, elle ne peut pas
tenir trois fronts en même temps, si tant est que l’on doive en considérer 3, alors qu’en réalité, dans une
confrontation OTAN-BRICS il n’y en a qu’un, mais elle a déjà perdu la bataille industrielle. Pour l’intellect,
là encore nous l’avons largement évoqué dans de précédentes publications, le système éducatif occidental,
woke, n’apprend plus rien aux élèves et est donc condamné à l’échec.
Il y a néanmoins un point essentiel que nous n’avons pas encore abordé et qui semble particulièrement
important pour nous, Européens. L’OTAN est une structure hiérarchique avec un seul leader, une pensée
unique et une exécution singulière. Cette structure est cohérente et apparaît alors sur le papier, efficace.
De l’autre côté, multipolarité oblige, la diversité est au rendez-vous. Il y a relativement peu d’accroches
entre des Iraniens, des Chinois, des Russes, etc. Mais si la partie est bien jouée, chacun, dans une
opération de soutien, peut apporter sa brique. Par exemple, les drones iraniens produits en Russie sont
très performants dans le conflit ukrainien. Cette diversité, gage, dans la nature, de résistance accrue aux
différentes maladies voire aux parasites, est totalement absente de l’Organisation du traité de
l’Atlantique Nord.
Ainsi, une optimisation contre un adversaire pourra se révéler être une extrême
faiblesse contre un autre. Est-ce grave docteur ? Oui, car alors la tentation est grande de se sortir du
guêpier dans lequel on s’est mis à l’aide de l’arme absolue, le nucléaire.
Il faudra bien un jour juger les dirigeants européens de notre époque qui, en se vassalisant
lamentablement vis-à-vis de Washington, ont largement augmenté le risque de conflagration nucléaire
mondiale. Il vaut mieux un petit chez soi qu’un grand chez les autres dit le proverbe, surtout quand le
grand chez les autres s’effondre ou va le faire très bientôt
Versão em Língua Portuguesa:
https://queonossosilencionaomateinocentes.blogspot.com/2024/02/esta-ser-planeada-uma-guerra-nato-brics.html
Si, la première guerre mondiale, n’était pas très mécanisée, la guerre pour l’exploitation des ressources pétrolières de l’Iran faisait déjà rage bien avant ce conflit, à l’époque, comme encore bien longtemps après, il était normal pour les Occidentaux d’exploiter sans vergogne les ressources naturelles de pays considérés par ce camp de l’humanité, inférieurement humain, les systèmes tribaux prévalaient encore beaucoup sur la planète, par conséquent, ces pays exploités comme le sont ceux d’Afrique ou ceux dont nos chers politiciens et militaires actuels et passés s’étaient assurés la soumission, en détruisant leurs structurations sociétales et économiques.
On est pas là à refaire une narration des faits connus, toujours est-il que, durant la seconde guerre mondiale, la clé du succès dépendait grandement de la possibilité pour le camp occidental, d’avoir cet accès libre aux matières premières avec lesquelles il pouvait alimenter ses engins mécaniques de guerre.
Or, sauf erreur de ma part, cette option n’existe plus pour les Occidentaux, c’est caduc!
Effectivement, quand on est déjà plus capable d’assurer rentablement le fonctionnement normal de son industrie manufacturière indispensable à la survie de ses populations, comment faire fonctionner celles militaires et tenir la dragée haute, aux pays dont on est totalement dépendant dorénavant pour nourrir ses populations et les chauffer?
Que voyons-nous?
Il y a à peine une dizaine de mois, beaucoup dans le bimane barbotage analytique des stratégies guerrières, cette tartufferie clausewitzienne, qui nous le servait à tout bout de champ, sans voir la guerre moderne dans laquelle nous pataugions déjà, nous assurait encore que le « titan » américain était une puissance avec ses plus de 900 bases mondiales, un morceau tellement énorme que le combinement des moyens guerriers russes et chinois et leurs alliés, n’était pas encore suffisamment développé pour constituer une sérieuse menace contre l’hégémonie de ce « gendarme » du monde.
La belle affaire, « l’empire » sans sens, nous assuraient ces « stratèges » à deux balles, n’avait pas encore d’égal sur Terre, même si la Russie, qui l’affirmait haut et fort assurait qu’en Ukraine c’est à une véritable coalition otanesque à laquelle ses troupes font face, les dénégations des propagandistes occidentaux valaient pour beaucoup paroles d’évangile.
Depuis peu, l’idiot intersidéral de la France, notre Jupiter Macron, a mangé l’morceau et confirmé officiellement, les dires russes.
C’est une parenthèse, là n’est pas l’essentiel, celui-ci c’est que, contrairement aux dires de ces toujours mêmes stratèges analytiques de pacotille, la Russie, forte de son bon droit et sûre de ses vraies forces, s’est mise à débiter comme elle seule sait le faire, les troupes et le matériel militaire otanesque à un rythme anormalement humain, si bien qu’ils se demandent en face si ce ne sont pas des extra-terrestres qui combattent à leurs côtés ou qu’ils le soient eux-mêmes, tant les raclées qu’ils se prennent sont disproportionnées à ce que toute l’histoire militaire leur a apprise.
D’après nos barboteurs du reportage des temps « modernes », « l’empire » aurait, pour semer le chaos dont il serait le seul à maîtriser la connaissance et l’art de vaincre dedans, essaimé des escarmouches un peu partout afin de parvenir à réaliser sa stratégie de domination sur les autres.
Ô grands dieux, que tout cela est machiavélique.
Sauf que, toute cette soupe à la limace, ne tient pas une seconde l’observation des faits avérés!
Pourquoi?
D’une part, quand on nous prétend que l’israël aurait volontairement laissé le Hamas accomplir sa superbe action d’auto-défense du 7 octobre dernier, c’est proprement une insulte à nos intelligences, car cela voudrait dire, qu’un pays qui vit depuis des décennies à prétendre au monde qu’il vit menacé par ses voisins ce qui l’oblige à n’avoir aucun respect des règles internationales et des lois naturelles comme humaines, qui bénéficie du soutient inconditionnel dudit « titan » et ses vassaux, par on ne sait quelles tortueuses réflexions qui seraient les siennes, a volontairement pris le risque inconsidéré de soumettre à une épreuve qu’il savait d’avance que ça y conduirait à sa mise en échec, le système de défense aérien, fer de lance de la technologie de son allié « titanesque ».
Donc, du point de vue occidental dans la guerre moderne, on saborde d’emblée aux yeux de l’ennemi tout son système protecteur afin d’avoir les meilleures larmes de crocodile du monde, pour accomplir ou plutôt, tenter de le faire, un génocide de 2,3 millions de personnes désarmées sous les yeux du monde et s’emparer de leurs terres.
Mais, soit, c’est le plus foireux de tous les plans stratégiques pour parvenir à un objectif, depuis l’apparition de la vie sur Terre, soit, « l’empire » se l’est faite enfoncée jusqu’à la garde.
Et, c’est la deuxième hypothèse qui tient bien la route, puisque, comme je le disais au début du conflit en Ukraine, face aux nouvelles technologies que sont les drones basiques et autres, observés dans l’utilisation intensive qu’en fait la Russie depuis lors, il fallait conclure à l’obsolescence de toute la conception militaire occidentale.
Ce sont des années de retard que nous avons dans tous les domaines, si bien que, quand l’Amérique a dépêché au secours d’israël une armada navale, certains sont descendus vivre dans leurs caves, sûrs que c’était fini, or, là encore, rebelotte pour « l’empire » de pacotille, énième tournée dans son fondement, même punition, voilà que ses bases et ses navires sont attaqués par des drones manipulés par des groupuscules armés et mobiles, qui lui font un mal terrible, physiquement, comme psychologiquement.
C’est beaucoup plus dur de nos jours d’être maître des airs, avec des gens armés de missiles portables sol-air, qui n’ont pas peur de mourir, donc trois sur la même cible, et top-gun va tutoyer les anges.
Il n’est plus en sécurité nulle part « l’empire » là, et par ailleurs il n’a pas les contre-mesures disponibles pour se protéger.
Il s’agit de nos jours, de ne pas bombarder plus vite qu’on ne produit, puisque, comme on est suprémaciste, les pays qui du matériel guerrier, soit ils nous sont soumis, soit ce sont des voyous avec lesquels seuls les Russes et leurs amis ont une entente, donc, donner une technologie de fabrication comme celle-là, à un pays qui n’en a pas, c’est risqué, parce qu’en ce moment les vieilles rancunes refont surface, et il y en a.
On parle là, de ce plan du laisser le Hamas d’armes basiques mais relativement nombreuses, balancées simultanément sur une cible, que l’exceptionnel moyen de défense ne stoppe pas toutes, puisque saturé, donc, si le potentiel destructif de ces armes venait à être amélioré, bye bye « l’empire ».
Alors, qu’on m’explique comme à un tout p’tit, comment comptent faire nos « superpuissants de l’empire » s’ils veulent faire la guerre?
Là, ils sont morts!
Puisque, les Perses, qui ont déjà fait dame-jeanne « l’empire » en l’expulsant de leurs terres et en se réappropriant sans dédommagements tous les bénéfices de leurs ressources naturelles avec l’arrivée des Mollahs au pouvoir, qui malgré les décennies d’embargo sont devenus des experts recherchés et écoutés de leur contournement, ont hissé à un niveau intellectuel bien supérieur à celui occidental leur société civile et militaire, ont déjà la technologie hypersonique et laser, et certainement bien plus, bénéficient d’un partenariat militaire et pas que, avec la Russie et l’un et l’autre par la mer Caspienne ou autrement peuvent s’alimenter de tout, déjà pour l’Iran, avec des chasseurs russes capables de mettre au bain la meilleure avionique amphibie militaire américaine, à n’en pas douter, des systèmes anti-aériens russes dernier cri, bref, de quoi attendre sereinement l’erreur fatale qui viendrait se faire exécuter par lui.
L’Otan a été créée au temps colonies, qu’est-ce qu’ils ne comprennent pas nos « stratèges », pendant que les abrutis qui constituent l’Otan étaient concentrés sur leur expansion autour de la Russie, celle-ci a travaillé à leur décolonisation effective, alors, à quoi ça sert d’avoir un gros calibre, si ce sont les gens qu’il menace qui savent qu’ils ont toutes les munitions avec eux, à leur faire peur, mais, vu la multiplicité des petits calibres bien approvisionnés eux, qui nous braquent, qui réellement devrait et doit avoir peur?
Quoi qu’en dise la propagande, même bien déguisée comme celle là-haut, nous ne sommes toujours pas menacés par ses « sous-hommes » (puisque nous sommes les civilisés d’après le summum juif de cette « élévation »), qui maîtrisent des technologies et disposent d’intelligences bien supérieures aux nôtres, un exemple simple pour le démontrer, soi-disant nous sommes censés être les plus forts partout, pourtant ce sont nos populations qui vivent dans l’angoisse de la guerre nucléaire et la fin du monde.
Où est la lucidité dans tout ça?
Il est plein fantasme cet auteur, la Turquie n’est qu’un faire-valoir russe, Poutine a utilisé et utilisera encore Erdogan comme le pion qu’il est et en plus tout à fait similaire à Macron, dès qu’il en aura besoin pour faire avancer ses plans, ces gars-là sont des charlots même si ce sont des terreurs pour leurs populations, Macron annonce la guerre avec les Russes au monde entier, un truc à foutre à celui-ci la trouille de sa vie, promet du pognon à l’Ukraine qu’il n’a pas, le lendemain, il reçoit en grande pompe le Qatar, soi-disant pour parler paix à, l’Élysée, en fait, c’est une fête avec, Mbapé, beurette Dati en pompadour des quartiers, les gens du foot, et l’Émir qatarien à qui il tape dix milliards au passage, faites gaffe, on est sur du lourd là, de la menace +++ pour Poutine, il tremble.
Erdogan, le gars qui prétendait aller personnellement rompre le blocus de Gaza il va bientôt y avoir 14 ans en mai, les Palestiniens se font génocider là, devant lui, le pays du califourchon avec son islam et sa loyauté, assure un réétiquettage des produits israéliens pour qu’ils échappent au boycott des Européens, il est certain d’avoir le monde derrière lui s’il voulait honorer sa promesse, mais voilà, un jeune juif américain, Aaron Buschnell s’est immolé par le feu devant les yeux en criant: « Libérez la Palestine! »
Est-ce qu’Erdogan en bon opportuniste a ne serait-ce qu’utilisé sa notoriété mondiale pour donner encore plus de visibilité à ce sacrifice ultime, pas du tout!
La situation politique actuelle lui sert à trouver des accords commerciaux pour nourrir le peuple que sa présence au pouvoir a ruiné, même l’Égyptien Sissi qui menace israël de rompre la paix avec, est devenu plus valeureux que ce branquignol, parce que si israël pousse le bouchon trop loin, effectivement, l’Égypte devra rompre le pacte de paix avec, ils attendent que ça d’ailleurs.
Mais, si on regarde bien la situation Turque, Otan ou pas, si la Russie et ses alliés devaient pour des raisons évidentes de sécurité faire une manœuvre d’asphyxie immédiate de cette Organisation, la Turquie serait l’une des premières nation a se faire conquérir, désolé pour elle, mais son entrée dans les BRICS c’est pas parce qu’elle y serait indispensable, mais parce qu’en la soumettant loyalement à eux, ce serait couper une jambe et un bras à l’Organisation et retirer à israël toute chance de n’être ne serait-ce qu’un micro-État.
Erdogan et Macron, dans cette guerre moderne, ont une fonction entre la Russie et l’Amérique, ce sont des hochets qu’on agite aux opinions pour susciter leur enthousiasme à soutenir le projet d’un camp, comme on le voit, quand un camp a les deux hochets en même temps avec lui, le bruit de leurs grelots font peur aux gens, il est évident que l’Occident a les deux vers lui, le Qatar est dans la place et son jeu n’est franchement pas occidental, il s’impose à lui.
Donc, puisqu’il faut terminer de démembrer ces âneries, c’est une synthèse, tout le vocabulaire de la propagande de pacotille est là, jusqu’à woke, utilisé par toutes sortes d’imbéciles, qui ne savent pas que c’est une expression afro-américaine « If you’re woke, you dig it » Si t’es debout tu captes ou piges.
Encore une fois, pillé par la vermine pour faire une large diffusion de ses vices!
L’éducation depuis le début années 80 s’est impliquée à l’abrutissement des enfants des enfants, de la génération d’après-guerre, quand la racaille au pouvoir aujourd’hui en France, habitait avec leurs parents la ceinture rouge, ces villes communistes qui encerclaient Paris et d’où ils allaient petit à petit prendre le pouvoir en France et nous faire la misère comme ils nous la font nationalement, c’est d’ailleurs aussi pour cela que Mélenchon et les siens sont sévèrement combattus sur le terrain politique et, les banlieues dans la tête des Français, parce que c’est de là que sera issue la relève qui reprendra ultérieurement la France, ça, les racailles veulent l’empêcher, parce qu’elles se feront vite asphyxier.
La politique n’est qu’une messe dont les sermons doivent convaincre les fidèles, c’est un marchepied pour accéder aux caisses du pays, le reste, ils s’en foutent.
Vous voulez que vos enfants fassent des études longues, prêt étudiant si vous êtes pas riche mais avez un quequ’chose. Vous êtes un adepte de la clique, même prêt, mais à taux zéro pour les premiers 100 000 euros… vrai!
Qui a un quequ’chose?
Eh bien, voilà, you dig it, you’re woke!
Donc, le wokisme n’a rien à voir avec les conneries qu’on nous diffuse, c’est un plan communautairement concerté et accompli, dans les années 80 les juifs résidents se réunissaient après le travail dans un appartement des immeubles et suivaient des cours de la pensée juive, ou, comment se balader en baskets au milieu de nous et apprendre à nous niquer.
Bordel, on peut dire que ça a bien marché, parce que c’est pas avec une intelligence supérieure qui n’existe pas qu’ils y sont arrivés, ce qui veut dire, même si Internet venait un jour à être coupé, ça ne devrait rien empêcher à une Résistance, soit dit en passant.
Les gens qui veulent la guerre mondiale aujourd’hui, dans ces années-là faisaient semblant d’être des humanistes préoccupés par le sort des faibles, or ce sont en vérité les pires monstres qui soient.
C’est à ça qu’a servi l’immigration intensive de ces années-là, masquer à la population autochtone sa réalité, plus on voit d’étrangers qui ne nous ressemblent pas, encore moins on voit l’Étranger qui fait semblant d’être une prolongation de soi mais est un vrai un cheval de troie, un vers qui rampe et grignote invisiblement tout ce qui fait sens et cohésion, un ennemi juré qui luttera jusqu’à sa mort ou la notre pour posséder tout, absolument tout, nous-mêmes y compris, comme des biens.
Donc, venir nous raconter, hiérarchie, un leader, une pensée, c’est cohérence… T’entends ça, faut marcher dedans du pied gauche!
Les problèmes se solutionnent bien mieux par la pluralités des solutions et des langages mis à contribution pour le faire, il pense comme un occidental, donc, un loser.
https://archive.org/details/38-l-histoire-secrete-du-petrole-le-temps-des-batailles-pour-l-or-noir
Bon visionnage.