La gouvernance sénile de Joe Biden illustre-t-elle le déclin des États-Unis?

Par Khider Mesloub.

Cet article est disponible en anglais et en italien ici:
Article de Khider Mesloub-anglais-italien du 13 mars 2024

Depuis son élection, le sénile président Biden, aux facultés intellectuelles amoindries, perd la raison. Excepté la raison d’État qu’il n’oublie pas de défendre avec abnégation bourgeoise et dévotion impérialiste. Plus inquiétant pour un président de la première puissance mondiale, en proie à la confusion mentale, il confond les époques, au point de ressusciter des présidents morts qu’il affirme avoir récemment rencontrés.

En tout cas, les confuses déclarations de Biden prouvent sa déficience intellectuelle, sa fragilité psychologique, signes d’une dégénérescence cérébrale avancée.

Le sénile Biden symbolise la décrépitude d’une Amérique en déclin. Le grabataire et génocidaire Biden est l’homme idoine d’une Amérique dégénérative, d’une société américaine en pleine putréfaction. Biden est à l’image de son pays en plein naufrage. De nombre de ses concitoyens aliénés, déphasés, désaxés, déséquilibrés, à la gâchette facile, capables de se transformer en serial killer.

Quoique dégénéré et amnésique, le génocidaire Biden n’oublie pas, en revanche, de se montrer généreux avec la mafia gouvernementale ukrainienne et israélienne qu’il arrose de plusieurs dizaines de milliards pour soutenir leurs efforts de guerre. Sa guerre génocidaire, dans le cas d’Israël.

Dans les périodes de décadence de civilisation, la population livre souvent le pouvoir à des personnalités les plus méprisables. À croire qu’elle n’a plus aucun sens de la dignité, qu’elle a sombré dans le mépris de soi. De là s’explique le choix de ses représentants désignés à son image. Le populisme dégénératif n’est que le reflet de cette société américaine en déclin, de la populace plongée dans le pétrin, baignant dans l’immonde lit politique de purin.

Biden représente la quintessence du capitalisme américain en pleine dégénérescence. C’est le capitalisme américain décadent qui a propulsé Biden au pouvoir. Ce n’est pas Biden qui a précipité le capitalisme américain dans sa phase décadente. À notre époque marquée par l’effondrement économique et l’anéantissement de toutes les valeurs humaines, quelle utilité aurait Wall Street de coopter, comme elle a toujours fait, à la Maison Blanche un homme jeune et équilibré, qui plus est doté d’une érudition scientifique et d’un savoir encyclopédique ? Les intérêts des banques et des entreprises ne s’embarrassent plus de philosophie politique ni de littérature scientifique. Ni de la salubrité morale, de l’hygiène spirituelle et de la santé psychologique de leur candidat.

Ces dernières années, talonnée par l’interminable crise économique qui la poursuit sans répit, la dégénérative oligarchie financière américaine finit immanquablement par jeter son dévolu sur un homme de son dégénéré sérail pour tenter de sauver le capital américain. Apres Trump le fou, Biden le sénile.

Jamais dans l’histoire contemporaine des États-Unis, ce pays aura été gouverné par des dirigeants, au niveau autant parlementaire que ministériel, présidentiel que patronal, aussi irresponsables que dangereux, aussi incapables qu’inutiles, aussi ridicules qu’insignifiants, aussi incultes qu’immatures, aussi cyniques que psychopathes, aussi bellicistes que génocidaires. Jamais ils n’ont sabordé leur pays avec tant de cynisme, précipité leurs populations dans la paupérisation et la détresse psychologique, au nom de l’économie capitaliste irrationnelle, activant principalement au démantèlement de tous les services sociaux et la destruction des moyens de production, exception faite des capitaux financiers des capitalistes en constante augmentation.

Si on devait se livrer à une comparaison historique marquée par le déclin, on peut citer volontiers l’exemple de la Russie tsariste. En effet, à la fin du règne de la dynastie des Romanov, pour tenter de sauver le régime monarchique, le trône a été délégué à un personnage rustre et mystique, l’ineffable moine Grigori Raspoutine, qui a exercé une immense influence sur la couronne tsariste. Ancien truand et violeur (Biden, tout comme Trump, n’a-t-il pas été accusés de viol par quelques femmes ?), Raspoutine est devenu le véritable détenteur du pouvoir tsariste en déclin grâce notamment à ses prétendus pouvoirs thaumaturgiques et surtout thérapeutiques (Trump puis Biden avaient également promis des miracles aux Américains. Au final, les prolétaires américains auront des larmes, de la détresse, du chômage, et surtout la guerre et la famine, et bientôt la répression sanglante policière et militaire pour mater les inévitables révoltes de la faim). Raspoutine prétendait pouvoir soigner l’héritier du couple royal atteint d’hémophilie (hémorragies graves apparaissant au moindre traumatisme : l’hémophilie du fils symbolisait celle du régime monarchique en plein écroulement sanguinaire), par la combinaison d’incantations religieuses, conjurations d’esprits maléfiques (Trump et Biden sont les fils spirituels de Raspoutine, leurs incontinences verbeuses emplies de promesses salvatrices s’apparentent à des incantations byzantines).

Devenu un obstacle pour la noblesse russe exclue du pouvoir, Raspoutine finira par être assassiné en décembre 1916, afin d’éviter la ruine et la chute du régime. Mais son entreprise désespérée n’a pas conjuré l’effondrement définitif de la monarchie tsariste deux mois plus tard, précipitée par la Révolution entamée en février 1917.

Biden, président d’une Amérique sclérosée, parvenue à sa fin, incarne-t-il le dernier président des Etats-Unis ? Sa gouvernance annonce-t-elle le crépuscule de l’Amérique ? Prépare-t-elle l’ultime révolution sociale qui balaiera définitivement la civilisation Disneyland, ce royaume américain décadent?

Khider MESLOUB


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Robert Bibeau

Auteur et éditeur

3 réflexions sur “La gouvernance sénile de Joe Biden illustre-t-elle le déclin des États-Unis?

  • 14 mars 2024 à 4 h 09 min
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    Biden n’est qu’une marionnette. Le vrai pouvoir est exercé par Nuland et Blinken.

    Mais pourquoi Nuland a-t-elle démissionné?

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  • 14 mars 2024 à 5 h 03 min
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    Je ne suis pas d’accord quant à toute cette malveillance prêtée non pas à la, mais, aux populations mondiales, car ce n’est pas vrai d’admettre la contemporanéité entre les différentes époques de l’Histoire humaine et d’y affecter des similarités comportementales aux populations de ces périodes là, comme de la nôtre.
    Ça n’est pas vrai, d’une part, parce qu’au point de vue historique, nul de sensé ne saurait encore tenir pour vraies les aberrations que notre soi-disant connaissance du passé continue de vouloir nous faire avaler, alors que nous vivons une époque où la simultanéité des informations liée aux évènements auxquelles elle se rapporte, a depuis longtemps mis en disgrâce l’intellectualisme occidental, qui a encore la prétention et l’arrogance de vouloir s’imposer comme seul connaisseur et narrateur de l’Histoire de notre monde.
    Il y a gabegie d’âneries de ce que nous sommes tous forcés à admirer de ce charlatanisme intellectuel de cet occidentalisme qui avait mis trois siècles et demis pour se laisser croire à lui-même qu’il est un modèle, universel, et qui en moins de trois ans, à peine plus si on prend l’élection de Macron comme point de référence temporelle, à mis par terre toutes ses prétentions pour nous révéler la totale vacuité de celles-ci.
    En effet, valeurs et traditions politiques occidentales, ne sont plus aujourd’hui que massacres en séries, voles d’absolument tout ce qu’ont les autres (Le muséal occidental en étant la meilleure preuve, la muséographie censée montrer la grandeur de l’occident ne démontre en vérité que sa bestialité et la pauvreté réelle de son intelligence comparée à celle des autres.), mensonges à propos de presque tout, stupidité à concevoir l’avenir pérenne de ses populations, bref, l’Occident, à vrai dire, si l’on se montre honnête avec les réalités auxquelles nous avons facilement accès avec juste un peu de réflexion dégagée d’a priori, n’est qu’une vulgaire rumination de thématiques, avec lesquelles les peuples non-occidentaux sont en train de faire un festival d’annihilation.
    Parce que c’est, cela qui se passe de nos jours et, c’est l’objectif immanquable auquel aboutira le processus guerrier auquel ses adversaires ont forcé, sans qu’il le comprenne au départ, l’occident a se confronter.
    Entendons-nous bien, je ne prétends pas que l’occident est déjà vaincu et va disparaître au fur et à mesure que nous avancerons dans le temps, je l’affirme!
    Encore faut-il savoir ce qui se définit par occident, parce que le concept est vraiment d’une réelle grossièreté aujourd’hui.
    Pour une raison simple, les seules prérogatives de l’occident actuellement, c’est soit admettre totalement sa défaite dans la guerre où il se trouve, et alors donc, fin de l’hégémonie juive dans les affaires du monde, ou, persister à continuer de sécréter ses ulcérations chroniques et finir par, son autodigestion.

    Il n’y a que ces deux options à la suite de l’histoire.
    La plus grande et la plus intéressante faculté des Hommes, normalement, c’est la clairvoyance instinctive présente chez certains et qui être développée chez beaucoup d’autre, voire dans tout le genre humain.
    Or, malheureusement pour lui, ce qu’est devenu l’Homme occidental, au sommet de sa hiérarchie, n’a plus en lui l’esprit commun des Hommes, à cause justement de ce travers traditionnel de la manière dont s’acquièrent les connaissances en occident.
    Les gens formant les populations, sont certes, manipulées, néanmoins, leurs caractéristiques humaines ancestrales demeurent intactes, aussitôt qu’ils ne seraient plus victimes des pressions permanentes subies par leurs cerveaux, ils reviendraient à leur norme.
    Une preuve à ça, le récent refus de la population irlandaise de réformer leur Constitution quant à la volonté de leur pouvoir d’abâtardir en « modernisant » la représentation de la femme dans la société et, en ne laissant pas la volonté de leurs pouvoirs politiques, économiques et sociaux, leur redéfinir ce qu’est une famille.
    Les Irlandais peuvent apprécier avec la distance qu’offre le temps, la vitesse de décadence des sociétés où l’on ne se soucie plus de donner la parole aux peuples.
    Par conséquent, le bon sens populaire demeure tout à fait intact dès lors que l’on sollicite de manière non biaisée et sans tricheries sur le scrutin, l’opinion populaire reste intelligente et pleine de bon sens.
    De sorte que, il faut cesser d’enterrer en permanence l’intelligence citoyenne en ne s’incluant pas soi-même dans la bêtise crasse qu’on lui prête.

    Le citoyen occidental depuis plusieurs années est victime dans certains pays comme le nôtre, où une forte représentation communautaire de la synagogue est présente, de fortes fraudes électorales et, tous les corps législatifs, politiques, économiques, médiatiques, sociaux,-culturels et intellectuels de hauts niveaux, le savent parfaitement et ne feront jamais absolument rien pour y changer quoi que ce soit, tant que les populations concernées par cette mise sous domination totale communautaire, ne prendront pas l’initiative de se révolter contre cette situation.
    Tôt ou tard, certainement plus tôt que tard, ces révoltes vont éclater, puisque, l’idiotie juive contraint cette communauté à la solidarité totale avec des actes génocidaires et montre à tout le monde, que cette crapulerie organisée est l’essence même de tous les racismes.
    Donc, que ce soit, Biden, Macron ou d’autres imbéciles de compétition placés à la tête des États devant exclusivement servir aux intérêts de la juiverie internationale, dorénavant importe peu.
    Car, avouons le nous franchement, nous sommes plus victimes de notre couardise individuelle que de celle collective, puisqu’il nous est bien plus facile d’admettre que nous détiendrions un talent collectif en occident qui nous fait porter à la tête de nos pays respectifs, les pires crétins psycho-sociopathes qui soient, que de s’admettre à soi-même que l’on valide par notre passivité respective, des élections que nous savons truquées en notre défaveur, étant donné que la globalité de la majorité humaine composante sociétale dans ces pays ne figure jamais aux hauts niveaux des pouvoirs, et c’est uniquement ces faits-là qui font la différence entre les pays qui verticalisent, le reste du monde, et ceux qui constatent dorénavant que leur développement normal est perdu maintenant pour plusieurs générations.
    Car, nous n’allons pas revenir dans cette compétition du salut de l’esprit humain, du moins, pas tout de suite, probablement vers la fin du siècle présent, même si nous faisions une guerre, qui sera automatiquement nucléaire dorénavant et, que nous perdrions en quelques heures d’ailleurs.

    Nos pseudo valeurs occidentales sont nues devant le monde entier et, ça change tout.
    Nous sommes clairement devenus aux yeux de tous ceux non-occidentaux, des peuples immondes, apeurés par cette mort qu’ils laissent et suppléent même leurs pouvoirs à distribuer industriellement sur eux.
    Voilà ce que nous devons à la crapulerie organisée contre nous, d’avoir permis aux autres peuples d’accéder à cette faculté infiniment précieuse qui est de comprendre que nous n’avons aucune réelle conscience de notre délabrement intellectuel et de la médiocrité de vie dont nous nous contentons.
    Pourquoi cela, eh bien tout simplement parce qu’on criminalise en nous, l’antisémitisme et que nous nous soumettons très facilement à cette volonté.
    Nos cœurs d’Occidentaux sont révélés là et nous sommes incapables à présent de tromper à nouveau la confiance de quiconque, car à l’évidence, ce sont principalement nos populations qui possèdent depuis déjà longtemps d’ailleurs, des tyrans à leur tête.
    Les injustices que ceux-ci font en notre nom à ces autres peuples marquent notre soi-disant indifférence générale à considérer ces peuples du même genre humain que nous.
    C’est ce que l’on voulait que nous pensions collectivement, qu’il y a une hiérarchie qui nous place au-dessus des autres, c’est une erreur irréparable une fois mise à jour et c’est elle qui nous conduit à notre perte.
    Du moins, à la perte de nos manipulateurs.
    La raison certaine à cela est la suivante, nos pays occidentaux administré par et pour la crapule synagogue, ne peuvent disposer que d’un clergé de politiciens pour mener les projets de l’Ambition qui veut dominer le monde, or, les politiciens ne sont que de simples valets uniquement aptes à seulement se soucier de satisfaire les attentes de leurs partisans ou électeurs, du moins, ça fonctionnait comme cela avant, dorénavant cette valétaille n’a qu’une unique tâche, combattre l’antisémitisme sous toutes ses formes et, Dieu sait si nous lui en avons donné de multiples.
    C’est une gravissime erreur de l’inintelligence organisée pour gouverner le monde, car cette erreur sublime ses adversaires, elle fait se dresser contre elle, des hommes d’État.
    Qui, au contraire des politiciens, sont des gens capables de prendre en compte les aspirations de leurs adversaires et de trouver avec ceux-ci des compromis acceptables pour les deux parties, or, notre camp ne peut plus fournir de ces hommes-là sans risquer la destruction de la synagogue, ce qui fait que nous continuerons dans ce tralala théâtrale jusqu’à ce que nous fassions basculer nous-même le pouvoir et les avoirs de nos pays respectifs, entre nos mains.

    Grâce aux évènements qui se déroulent avec toute leur puissance précisément depuis 2017, nos peuples occidentaux se retrouvent placés face à des contre-valeurs flagrantes.
    Il faut défendre les valeurs occidentales, ne cesse-t-on de nous répéter, mais quelles sont-elles, nul n’ose le dire, puisqu’elles consistent en la fracturation de nos âmes et nos esprits.
    Quand, dans le camp adverse adverse on travaille à l’unification du peuple humain, dans une structure unique qui entend se placer au-dessus des luttes d’influences et des différentes tendances.
    En somme, les différences entre politiciens et les hommes d’État font que les premiers n’ont de reliefs ni à l’intérieur ou l’extérieur de leurs frontières, ce sont certes encore des semeurs de malheurs, mais les temps qui viennent le leur feront regretter.
    Si nous comparons Macron et Modi, ce sont deux égalités dans la médiocrité, leurs pays ont des atouts, ceux de l’Inde sont sa démographie, sa diversité et un potentiel essor économique, potentiel, parce que sans rassembleur à sa tête, ce pays est plus une proie pour quiconque chercherait une déstabilisation immédiate de l’Europe, qu’un prédateur assuré de traverser toutes les périodes politiques et économiques qui viennent en demeurant dans la même équivoque.
    La France quant à elle, livrée à Macron, une et indivisible elle ne va pas le rester indéfiniment, c’est le début de la fin auquel a travaillé si bien toute cette idiotie aux intonations les plus martiales qui soient, mais qui rabougrit tous les jours à vue d’œil.
    Macron veut faire la guerre à Poutine et sa Russie en représailles à ses pertes non encore définitivement complètes en Afrique.
    C’est ne pas voir les conséquences, hors la guerre elle-même, que cela va engendrer à moyen et long terme, mais de façon irréversible, on peut déjà dire que la France va aussi perdre son outre-mer pour ne plus être, qu’un hexagone d’ici quelques années.
    De vraies révolutions sont en marche dans ce pays, elles viennent de ses profondeurs, cette France-là est à jeter ou à curer comme il faut pour la conserver telle quelle, donc, quand dans un dispositif censé importuné l’adversaire, on déplore deux faiblesses comme, la France et l’Inde, très franchement, l’Amérique n’a pas vraiment de quoi regarder son futur en s’imaginant rester la puissance qu’elle est encore, seulement en apparence.
    D’ailleurs, l’élection de Trump n’y changera rien, les biais cognitifs du bonhomme ne sont pas là pour faire ses promesses de grandeur à un pays cabot qui n’a jamais rien gagné d’autre qu’une solide haine des autres.
    Par conséquent, que ce soit Biden ou lui, il faut craindre que la sénilité qui gère le pays ne disparaîtra pas quelque soit l’occupant du bureau ovale.
    C’est l’épilogue d’un spectacle cruel auquel nous assistons, je ne dis absolument pas que c’est la fin des cruautés, non, elles vont encore durer, mais d’autres victimes sont appelées à en faire les frais.
    Parce qu’il faut bien l’admettre maintenant, c’est du jamais vu depuis les échecs guerriers de l’occident au siècle passé, aujourd’hui les administrations militaires et politiques occidentales sont si verrouillées sur la défense des intérêts juifs, que leurs méthodes de combat avec leurs personnels s’en ressentent, que ce soit en israël ou en Ukraine, c’est la même chose, on jette ces personnels dans des batailles, comme on jette des bûches dans un foyer pour alimenter un feu.
    Des effectifs s’y font complètement consumer en quelques heures, ces erreurs n’apporteront jamais les résultats qu’espèrent les imbéciles qui manœuvrent ces personnes, car l’histoire ne raconte pas qu’il se soit jamais vu que quiconque serait parvenu à obtenir militairement une compensation à ses échecs politiques, l’Ukraine comme israël démontrent bien l’inanité des gens qui ont pensé et pensent encore pouvoir y parvenir, c’est même sidérant de constater la vacuité de ce qui est donné comme notre élite.

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