Israël n’est pas habité par le « peuple juif » mais par un magma de colonialistes

Par Khider Mesloub.

L’histoire fourmille de récits confectionnés pour les besoins de la cause. Souvent d’une cause perdue d’avance, tant sa justification tout comme sa légitimité est historiquement infondée. Les récits mythiques, souvent élaborés pour imposer une histoire rapiécée et épicée de contrevérités, emplissent les livres d’histoire.

Malencontreusement, souvent, les mythes s’incrustent, comme les mites dans les literies, dans les mémoires collectives. Or, tout comme il est difficile de se débarrasser des mites qui colonisent une maison, il est malaisé de se défaire des mythes qui polluent l’histoire. Certains mythes ont la vie dure. Ils s’imposent comme vérité historique malgré la flagrance de leur caractère mensonger.

Il est vrai que, comme le disait le ministre de la propagande du régime nazi, Goebbels, « un mensonge, à force d’être répété, finit par devenir vérité ». Et le mensonge une fois enfoncé dans la mémoire collective, il acquiert force de loi. Pis, il n’hésite pas à recourir à la loi de la force pour se perpétuer.

L’histoire est ainsi truffée de ces impostures érigées en vérité. Et de vérités longtemps réduites à des impostures, avant de triompher historiquement. Galilée était fausseté aux yeux des pouvoirs absolutistes royal et ecclésiastique, avant de devenir certitude scientifique aux yeux du savoir universel. « Et pourtant elle tourne », avait-il lancé à ces détracteurs du tribunal de l’inquisition, adepte fanatique de la théorie géocentrique.

La falsification de l’histoire est vieille comme le monde. De nos jours, beaucoup de pays se drapent dans le manteau de l’imposture. De la posture historique frauduleuse. La fraude historique est l’œuvre de pays aux mœurs de voyous. Ils refusent de s’acquitter honnêtement de leurs devoirs de vérité au trésor public de l’Histoire. Ils préfèrent user d’escroquerie historique pour détrousser, avec effraction, le passé, afin de tresser, en totale infraction, des couronnes à leur gloire usurpée présente. Les faussaires de l’histoire agissent en toute impunité pour usurper la mémoire collective, enrôler les annales, piller le passé. Plus gravement, annexer un pays au nom d’une histoire frauduleusement fabriquée dans les ateliers des annales fallacieux de la mythologie. Pour justifier leur projet de création d’un État, imposer leur récit national bâti par la force des baïonnettes, griffonné en lettres maculées de sang des peuples lésés et abusés. Pour légitimer leur colonialisme.

Il en est ainsi d’Israël, ce pays voyou qui a commis le pire hold-up de l’Histoire en accaparant la terre de Palestine. Vol (viol) perpétré au nom d’une mythologie talmudique érigée en vérité historique. En effet, cet État artificiel (sacrificiel du peuple palestinien), construit de toutes pièces (historiquement rapiécées), à l’aide de lambeaux d’individus hétérogènes ramassés dans les ghettos de multiples pays, s’est offert avec l’argent de ses souteneurs un mythique peuple bigarré et bagarreur, qui n’a de commun que la religion judaïque.

Aujourd’hui, tous les historiens honnêtes et consciencieux s’accordent sur cette vérité historique. Comme l’a démontré Marc Ferro, il n’y a pas de « race juive », les juifs, c’est-à-dire les communautés religieuses hébraïques, étant issus de diverses aires géographiques et culturelles. D’une part, les juifs d’Europe descendent des Khazars, tribus établies dans le Caucase, converties tardivement (vers le IXe siècle) au judaïsme. Ces juifs caucasiens, absolument pas sémites, fondèrent un empire prospère, vers lequel plusieurs juifs de Mésopotamie et de Byzance affluèrent massivement. Cet empire s’effondra au XIIIe siècle, sous l’invasion des Mongols et de l’épidémie de la peste noire. Au lendemain de la disparition de l’empire khazar, les juifs khazars se disséminèrent dans toute l’Europe centrale, notamment en Pologne, en Hongrie, en Allemagne. D’autre part, les juifs sépharades. À cet égard, contrairement à la propagande sioniste pour qui ces juifs descendent directement de la Palestine après la destruction du Second Temple de Jérusalem, les Sépharades sont des berbères convertis au judaïsme, comme l’a écrit l’historien français Marc Ferro dans son livre « Les tabous de l’histoire ». De même, cet historien a démontré que les juifs espagnols étaient d’origine berbère et non issus de la diaspora « de la Judée ».

On ne fonde pas une nation sur la seule base d’une croyance à une religion

Ainsi, il n’existe ni de « peuple juif » ni, à plus forte raison, de « race juive ». C’est un mythe forgé par le sionisme. C’est ce que confirment également les travaux scientifiques de l’historien israélien Shlomo Sand. Pour cet éminent chercheur, la validité historique de l’existence du « peuple juif » est illégitime. Par conséquent la légitimité d’Israël, la « nation juive » est illégitime. Pour Shlomo Sand, « il n’existe pas de peuple juif ». C’est une invention de l’Occident (et bien sûr des juifs européens mais manipulés par les machiavéliques dirigeants européens antisémites) pour justifier, leur politique d’éloignement (ou plutôt d’expulsion consensuelle) des juifs de leurs pays respectifs. Pour Shlomo Sand, il n’y a pas de droit historique des juifs sur la « terre d’Israël ». « On ne peut pas avoir de droits historiques sur une terre après 2000 ans », affirme l’historien israélien. « Pas plus que les Serbes ne peuvent revendiquer un droit historique sur le Kosovo au prétexte que leurs ancêtres ont habité sur cette terre il y a plusieurs siècles, les Allemands des droits historiques sur l’Alsace Lorraine, les Arabes sur l’Andalousie. Le mythe du retour à la terre des ancêtres a été la condition sine qua non de la colonisation sioniste », ajoute-t-il. Il n’y a pas d’ethnos juifs. Autrement dit, il n’y a aucun lien génétique qui rattache les juifs du monde entier aux anciens hébreux. Pourtant, les pères fondateurs d’Israël, tous laïcs et athées, ont utilisé la Bible pour justifier la colonisation de la Palestine.

Ainsi, comme le démontre l’historien israélien Shlomo Sand, le « peuple juif » n’existe pas. Il n’y a pas d’histoire commune, pas de langue commune, pas de culture commune entre les différentes communautés juives. Il y a juste une religion commune. Mais une religion ne constitue pas un peuple. De même qu’il n’existe pas de peuple chrétien, de peuple musulman, de peuple bouddhiste, il n’existe pas de peuple juif. On ne fonde pas un peuple sur la seule base d’une croyance à une même religion, à plus forte raison quand ses adeptes sont originaires de multiples pays disséminés aux quatre coins du monde. Qui plus est porteurs de cultures aussi hétérogènes qu’antinomiques.

Qu’ont-ils de communs un juif d’Algérie (un Algérien de confession juive) et un juif de Pologne (Polonais juif) ? Rien. Le juif d’Algérie est plus proche par sa culture, ses traits physiques, sa langue, de son frère algérien musulman que du juif ashkénaze polonais. L’impérialisme et le sionisme en ont décidé autrement. Ils auraient pu continuer à vivre en symbiose sur la terre d’Algérie. Mais le sionisme en a décidé autrement. Car, pour le sionisme, l’existence de communautés religieuses juives autochtones à travers le monde constitue un problème idéologique et existentiel pour Israël. Aussi, depuis plus d’un siècle, orchestre-t-il et encourage-t-il l’aliya (émigration de juifs vers Israël) pour maintenir et pérenniser la colonie suprémaciste israélienne établie en Palestine, formée d’un magma de colons originaires de dizaines de pays appartenant à plusieurs continents, donc à de multiples aires culturelles et cultuelles.

C’est comme si demain, les Témoins de Jéhovah, pourtant constitués d’adeptes originaires de nombreux pays répartis sur tout le globe, décidaient de se constituer en peuple et de créer un foyer national, un État, dans un pays déjà peuplé d’une population autochtone. Cette entreprise aurait-elle une quelconque légitimité historique et ou un fondement juridique au regard du droit international, de la communauté internationale ? Absolument pas.

Pourtant, c’est ce qui s’est produit avec Israël, créé artificiellement par L’ONU en novembre 1947. Des centaines de milliers d’individus de nationalités distinctes, de cultures dissemblables, de langues différentes, de physionomies disparates, de rites cultuels hétérogènes, de conceptions philosophiques et politiques opposées, se sont ligués, à la manière d’une organisation mafieuse, pour se livrer au plus grand hold-up du XXe siècle : le vol de la terre de Palestine. Un vol aussitôt cautionné et légitimé par les mafias gouvernementales de plusieurs pays impérialistes, avalisé par leur infâme institution transnationale, l’ONU.

Quant à la question controversée relative au judaïsme appréhendé comme religion ou nationalité, l’historien israélien Shlomo Sand, dans le sillage d’autres intellectuels, a tranché la problématique : il considère le judaïsme comme une religion aux valeurs universelles et non comme une nationalité. À prendre l’exemple d’un Français de confession juive : il est Français de nationalité et juif de religion. Il n’existe pas de peuple juif, à plus forte raison de « race juive ». La notion de peuple juif est une construction idéologique, elle ne correspond pas à un objet social réel. Les juifs ne sont pas une ethnie, une nation. Il n’existe pas de « peuple-race juif ». Le judaïsme recouvre plusieurs cultures.

Quand la mythologie s’érige en vérité historique, cela signifie que l’irrationalité a phagocyté la raison. On peut disserter sur des faits historiques, mais jamais sur les mythes. Avec les sionistes au cerveau façonnée par les mythes le débat historique est impossible. Ils ont transformé leur mythologie biblique en livre unique d’histoire. Pire, en cadastre, pour justifier l’appropriation de la terre palestinienne.

L’écrivain Jacques Folch-Ribas a écrit : « L’histoire est du vrai qui se déforme, la légende du faux qui s’incarne ». Les sionistes auront et déformé l’histoire et incarné la légende du faux. Le sionisme est l’incarnation de la mystification, l’incarcération de la véracité. Israël est le pays du mensonge déconcertant. Le foyer national de la mythologie. L’épicentre de l’imposture historique.

Sans conteste, l’entité sioniste est consciente de son illégitimité nationale et historique, de sa frauduleuse existence étatique. Aussi cette entité, Israël, est-elle affectée par un syndrome singulier : le syndrome « sionigène », caractérisé par la bellicosité chronique, la pathologie guerrière, l’affrontement permanent, le terrorisme étatique compulsif, la psychopathie collective génocidaire.

Dernier vestige colonial occidental voué à disparaître

Israël est doublement condamné à vivre sur le pied de guerre et les provocations bellicistes répétées. Pour des raisons à la fois exogènes et endogènes. Exogènes : car il est entouré de pays ennemis qui n’accepteront jamais son existence (nous parlons des populations arabes et non de leurs Etats respectifs fantoches, ralliés au sionisme). Ces pays ne font qu’aiguiser leurs armes pour hâter la destruction d’Israël.

Endogènes : car sa « population juive » hétéroclite maintient sa factice cohésion « nationale » que sous le feu de la guerre permanente. Aussi, dans l’hypothèse d’une résolution d’instauration de la paix, plus qu’improbable, l’équilibre fragile interne s’effriterait-il aussitôt. Inévitablement, les dissensions intrinsèques entre les différentes communautés juives hétérogènes et antagoniques éclateraient au grand jour. Car cette prison dorée de « peuple élu » concentre des habitants-geôliers qui n’ont rien de commun, sinon la religion hébraïque, mais surtout leur doctrine raciste : le sionisme. Le sionisme est depuis le 10 novembre 1975 assimilé officiellement par l’Assemblée générale des Nations unies au racisme ; et qualifié depuis le 1 février 2022, par Amnesty international, d’Apartheid.

Nul doute, l’État théocratique israélien, à l’histoire blindée de mythes, se voit obligé, tel un criminel traqué, d’être en guerre permanente pour maintenir et pérenniser sa factice union nationale, faute de quoi il sombrerait par privation d’alimentation belliqueuse. Israël ne se nourrit que de guerres récurrentes et écœurantes. La paix lui est impossible. D’où cette impérative nécessité belliqueuse de transmuer le pays en caserne à ciel ouvert où chaque israélien endosse l’uniforme militaire à vie, où la Polémologie a supplanté l’apprentissage de la Thora.

Se sachant condamné par l’Histoire, l’entité sioniste est acculée à une fuite en avant dans les conflits sanglants et guerres génocidaires contre les Palestiniens, ces autochtones sémites qui rappellent, tous les jours, à chaque colon israélien son illégitimité nationale, son illégalité résidentielle territoriale, son anomalie géographique. En un mot, son immonde et immorale présence sur cette terre palestinienne.

Cela explique pourquoi ces magmas sionistes, assemblage d’individus disparates et antagoniques, constamment mis sous haute pression par la conscience de leur illégitimité historique et illégalité nationale, sont immuablement en ébullition belliqueuse, en éruption militaire pour escamoter leurs sempiternelles discordes identitaires, leurs clivages culturels et cultuels, leurs dissensions ethniques, mais aux dépens des Palestiniens, pris en otage comme boucs émissaires pour pérenniser la factice « nation juive » d’Israël.

Comme l’histoire nous l’enseigne, les États coloniaux ont une durée de vie éphémère. Israël ne fait pas exception. Israël, dernier vestige colonial occidental, formé d’un magma de colonialistes, est voué à disparaître. À plus forte raison depuis qu’il a dévoilé sa véritable essence messianique génocidaire, qu’il commet un crime contre l’humanité à Gaza : depuis le 9 octobre 2023.

Khider MESLOUB

 

Robert Bibeau

Auteur et éditeur

6 réflexions sur “Israël n’est pas habité par le « peuple juif » mais par un magma de colonialistes

  • 29 mars 2024 à 2 h 33 min
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    « Oh, mon peuple ! Ceux qui vous guident vous égarent. » (Prophetesse Isaïe 3:12)
    René Guénon, dans son ouvrage « La Franc-Maçonnerie et le Compagnonnage », écrit : « On a parfois reproché à certains de vouloir trouver partout l’influence des Juifs ; il ne faudrait peut-être pas la voir d’une façon exclusive, mais il y en a d’autres qui, tombant dans un excès contraire, ne veulent la voir nulle part. Il y aurait, du reste, ajoute-t-il, une étude bien curieuse à faire sur les raisons pour lesquelles le juif, quand il est infidèle à sa tradition, devient plus facilement qu’un autre l’instrument des « influences » qui président à la déviation moderne ; ce serait là, en quelque sorte, l’envers de la « mission des juifs », et cela pourrait peut-être menez assez loin… ».
    Rappelons que le Coran utilise deux expressions différentes pour désigner les juifs : soit « fils d’Israël » (banû Isrâ’îl) quand il s’agit des authentiques dépositaires de la tradition hébraïque, soit proprement « juifs » (yahûd) quand il s’agit des représentants de ses formes déviées.
    NB : Au commencement du Moyen Âge, les Israélites dispersés s’étaient répandus sur toute l’Europe. On les appelait Juifs, quoique les vrais Juifs eussent presque tous passé au Catholicisme, et fussent devenus les plus ardents adversaires des anciens représentants des tribus d’Israël. Ce sont les Juifs christianisés, par ironie sans doute, qui donnaient aux Israélites leur nom de Juifs qui était discrédité et détesté partout.
    Aussi, il ne faut pas confondre les Juifs et les Israélites, comme sans doute le faisaient les Romains, et comme le font encore presque tous les historiens modernes. Les Sémites formaient deux partis en lutte. Les Israélites restèrent toujours séparés du monde juif, qui représentait pour eux l’usurpation du pouvoir religieux ; ils gardaient fidèlement leurs principes théogoniques et leur grande loi morale.
    La confusion qui s’établit entre les Juifs et les Israélites commence au premier siècle.
    Les Juifs, qui sont partout méprisés, se font appeler « fils d’Israël », croyant par cette supercherie reconquérir l’estime perdue. C’est ceux-là que Voltaire prend à parti lorsqu’il écrit : « Les juifs ne sont qu’un peuple ignorant et barbare qui allie depuis longtemps la plus répugnante avarice et la plus abominable superstition à une haine inextinguible pour tous les peuples qui les tolèrent et grâce auxquels ils s’enrichissent. ». Pour comprendre la persécution dirigée contre les Sémites, il faut savoir que ce sont les Israélites (féministes) qu’on persécute, et non les Juifs qui les ont renversés pour établir un régime masculiniste. Ces précisions sont susceptibles d’apporter un éclairage nouveau sur certains évènements tragiques de l’histoire, notamment ceux ayant eu lieu au cours de ces trois derniers siècles, et aussi sur l’utilisation abusive, voire la manipulation aujourd’hui, autour de l’argument, devenu l’argutie, de l’« antisémitisme », brandit à tout propos et en toute occasion par l’oligarchie « masculiniste » et toutes ses marionnettes.
    « L’héritage Sioniste avait quelque chose de vicié au départ. » (Eliezer Livneh)
    « Lorsque le Sionisme cherche à faire croire au reste du monde que la conscience nationale des juifs trouverait satisfaction dans la création d’un État palestinien, les juifs dupent encore une fois les sots goïmes de la façon la plus patente. Ils n’ont pas du tout l’intention d’édifier en Palestine un État juif pour aller s’y fixer ; ils ont simplement en vue d’y établir l’organisation centrale de leur entreprise charlatanesque d’internationalisme universel ; elle serait ainsi douée du droit de souveraineté et soustraite à l’intervention des autres États ; elle serait un lieu d’asile pour tous les gredins démasqués et une école supérieure pour les futurs bateleurs. » (Adolf Hitler)
    Lien : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/delisraelismeaujudaisme.html

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  • 29 mars 2024 à 10 h 37 min
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    Un très grand plaisir pris à lire ces lignes.
    Malheureusement pour nous tous, que ce soit l’Église ou la Mosquée, aux plus honnêtes croyants, j’assure de mon respect envers eux, pour autant, les dignitaires de ces deux aristocraties ont leurs parts inaliénables de responsabilités dans tous les massacres perpétrés hier, aujourd’hui etc à venir, à faire vivre un mensonge sans nom, car en ayant préservé l’abrahamisme dans l’Histoire des Hommes, non seulement le Séditieux et le Prophète s’en trouvent eux aussi salis tous deux, mais il n’y a aucun besoin d’être doué en quoi que ce soit, pour affirmer que la correction nécessaire, inéluctable comme irrémédiable à cette tres grande faute, sera porteuse d’un nombre de souffrances, d’ici, incalculables, sur l’humanité.

    L’abrahamisme, est le grand ressort du despotisme et de l’aristocratie, qui ne cessent au fil des siècles de reprendre d’assaut nos libertés, car à chaque fois dans le courant de l’Histoire, nous les Hommes retombons sous l’effet de sa distraction funeste, redevenant alors aussitôt d’esclaves Hommes, car en vérité, c’est le ministère de toutes nos souffrances puisque c’est bien lui qui tient poste ennemi au centre du volcan que constitue depuis des siècles la vie humaine terrestre, d’où il résulte cette hydre impérieuse travaillant sans cesse dans sa forge ténébreuse à repousser l’enfantement de la félicité publique, qui ne demande qu’à naître de l’esprit des Hommes.
    Comment de nos jours, le sémitisme peut-il encore exister dans l’esprit des Hommes alors que toutes traces des autres, soi-disant fils Noé, donc, leurs ancêtres, ont disparues de nos consciences?
    Si, cela doit être mon extrémisme, je l’accepte et même, je m’en honore.

    N’oublions jamais, qu’un mensonge peut en cacher mon un autre, comme celui d’un empire khazar qui là non plus ne laisse pas traces de lui, aucun artéfact, ni aucun moyen de communication commun, nécessaire à tout empire pour transmettre ses directives du haut vers la base.
    Le nomadisme, le colportage, l’itinérance tribale voilà plus prosaïquement l’origine de tous ces racontars que l’Usure et les crapuleries dominantes diverses à travers les pays ayant scellé ententes, ont transformés pour nos aïeux incultes jusqu’à nous, en fables épurées de leurs crasses mais, jamais départies de leurs lamentations injustifiées, car fausses sur leurs causes comme sur leurs conséquences.
    Il existe une quantité de preuves médiévales considérable sur les disputatio entre l’Église et la Synagogue, ce, dès les premiers temps du christianisme, alors non, les manipulations ne viennent pas des christiques des premiers temps, mais des ententes entre ces soues que sont devenues plus tard l’église et la mosquée au contact de cette synagogue satanique qui corrompt, presque tout.
    Les preuves sont encore là et existent dans les archives, n’attendons pas qu’un tragique drame inexplicable les fassent flamber à tout jamais.
    Pourquoi, ne se pose-t-on pas les bonnes questions, comme par exemple, pourquoi les juifs veulent-ils nous voir focaliser nos attentions sur le port de l’étoile jaune, qui n’a duré qu’un bref moment, alors que depuis le treizième siècle leur a été imposé celui de la rouelle (Petit rond de tissus qui s’écrit exactement depuis lors comme la pièce de viande du porc, animal dont la chair est la plus proche de celle de l’homme, hasard?), dans toute l’Europe et même au-delà, au Maghreb, au Maroc, tiens, chez le commandeur des croyants?
    Pourquoi le porc est-il interdit en terre d’islam et, pas un seul musulman ne sait vraiment pourquoi?
    Les juifs médiévaux entaient riches parce que c’était des forains, la Foire, qu’y trouvait-on dans les foires, sinon de quoi se nourrir?
    Il y a eu des grandes famines qui ont tout juste précédé l’imposition de la rouelle aux juifs, à la même époque, là aussi, hasard, complotisme, antisémitisme, et autres?
    Les exemples ne manquent absolument pas or, comme il est impossible pour un profane d’avoir accès à certains ouvrages, pour certains de ceux ci, même des historiens véritables ne le peuvent pas, s’ils ne bénéficient pas de deux parrainages d’universitaires issus de deux entités universitaires différentes, autant dire que c’est un microcosme intellectuel qui connaît vraiment les réalités, dernière question, pourquoi?

    De même que nous ne devons jamais oublier le principe qui établit, qu’un crédit nous engage et qu’il doit être remboursé, dès lors, avoir une entité juive établie n’importe où sur Terre, c’était la garantie d’avoir ses prêts et leurs intérêts remboursés puisqu’il n’y a plus contre soi l’itinérance qui n’octroie aucune espèce de protection juridique permettant de pouvoir poursuivre ses créanciers, puisqu’on peut se faire virer d’un pays à tout moment et devoir « renoncer » (en vrai la dette ne s’éteint pas, elle produit des intérêts, qui un jour sont réclamés, même des siècles après…), à ses prétentions pécuniaires.
    Les choses vues sous ces aspects-là, font que le sionisme n’est qu’un vulgaire instrument entre les mains des juifs, il ne manipule rien en fait.
    Quant au droit historique sur une terre, il existe, autant pour les communautés indiennes en Amérique, que celles Aborigènes et d’autres.
    Ça existe mais il ne faut pas succomber au fallacieux, la communauté « internationale » où le colonialisme fait sa loi sur ce qu’il a dépouillé à d’autres, attention, beaucoup de choses restent à parfaire, rigueur dans tout.
    Après, on voit comme on veut, mais en France, un juif est avant tout juif avant d’être Français, j’en veux pour preuve tous ces faux-culs qui disent que, les institutions et personnalités qui sont toutes debout sur la nuque de la France, ne les représentent pas, pourtant quels que soient leurs crimes et leurs offenses envers la France, personne n’abjure et, le p’tit dernier, au huitième jour sera circoncis comme les autres, alors cessons nos naïvetés.

    Moi, je suis absolument d’accord pour ne pas disserter sur des mythes, mais, comment peut-on être d’accord avec la notion du sémitisme qui est le plus extravagant des mythes et considérer adéquate sa position intellectuellement ?
    C’est pas une critique du tout, d’ailleurs, sur rien jusqu’ici, des questionnements, puisqu’à l’évidence, soit il faut être radical avec le sujet pour ne pas tomber dans les nombreux chausse-trappes qui s’y dissimulent, soit c’est un consentement formulé sur des réflexions que l’on refuse par commodité de faire aboutir, là non plus c’est pas un jugement, d’ailleurs dès qu’on en est là, qui est qualifié pour être juge de ce qui est bon ou mauvais dans la réflexion?
    Parce qu’on est pour beaucoup très intoxiqués par le délire juif que l’on rapporte à soi-même, quelle bible est la bonne si le scripteur prétendument originel est mué original et que ça convient à tout le monde alors que celui-ci sait que tout est absolument bidon, il y a largement de quoi ébranler les fondations sur lesquelles reposent les certitudes de millions et millions d’êtres humains, je sais, mais tant pis, c’est le Mensonge, donc de la Merde, faut combattre.

    L’entité sioniste n’a toujours été qu’un faire-valoir dans le projet de domination mondiale juif, il faut remettre les choses à l’endroit pour les comprendre, je dis depuis le début qu’israël est la cible principale dans cette guerre, parce que cette entité n’est plus utile aux juifs qui contrôlent les pays qui disposaient jusqu’ici des meilleures économies mondiales ainsi que les principaux organismes internationaux, ils n’avaient plus aucun besoin de ce confetti indéfendable mal vu du monde, mais très protégé par eux malgré tout, parce qu’il aurait été complètement fou comme on le voit, de le détruire subitement et de faire apparaître toutes leurs réalités fourbes en même temps.
    Le fait que la Russie et ses alliés devancent tout le projet d’écroulement lent programmé d’israël, a modifié tous les plans et les stratégies, maintenant que Netanyahou et son clan ont compris ce que leurs amis veulent leur faire, c’est Massada pour toute la clique, pas la guerre mondiale entre nous.
    Pogrom mondial pour tout le monde et refaire d’israël, Le refuge.
    C’est pour ça qu’on a mis sur orbite Pacotille-Macron contre la Russie, tenter de mondialiser l’affaire, pour contrer Netanyahou, mais ça veut pas.
    Maintenant, il faut balancer et contre-balancer, puisque personne va lâcher, que le nigaud de Trump fait la danse du ventre aux juifs pour les élections, gagner du temps, empêcher un plus grand carnage des Palestiniens donc, conserver l’endroit sous cloche américaine tout en parvenant à trouver, ne serait-ce qu’une solution pour que cette bombe ne leur explose pas entre leurs mains, ça serait une vraie bonne chose de sortir la Russie ou un de ses subalternes de ses gonds, pour avoir le droit de rugir et d’attaquer en sachant que quoi qu’il arrive, qu’israël n’y survivrait pas.
    Violents entre eux-mêmes, alors contre nous…

    Pour israël, contrairement à il y a quelques mois encore, aujourd’hui il sait que sa survie déprend d’un embrassement régional d’où l’élimination d’un chef du Hezbollah il y a quelques heures, ça monte en gamme là où c’était pas attendu, l’Amérique doit être dans ses p’tits souliers là, la voilà en pleine guerre fratricide indéclarable au peuple, en plus de tout ce qu’elle a sur son paletot en ce moment, il y en a qui regardent son économie pour juger de sa santé, en vérité, c’est les soins palliatifs là.
    Soit elle agresse elle-même israël pour le calmer et, franchement, plus personne ne va traîner avec après, soit elle laisse faire comme un tocarde qui se ferait noyer par un chat mouillé, pareil, mépris général.
    Ils n’ont plus rien à perdre les israéliens, c’est allé trop loin, il y a de fortes chances pour que la Russie temporise le Hezbollah avec l’Iran et d’autres mais, combien de temps avant un autre coup dur, puisqu’il y a toutes les chances pour que ceux-ci se succèdent.
    Mais, si israël tombe, l’occident tombe avec, la grande erreur de ce petit monde intrigant, c’est d’avoir pris le sommeil passager des populations mondiales pour un aveuglement incurable, cela a favorisé les causes et les conséquences d’une contre-révolution populaire mondiale.
    Les jeux sont ouverts, le camp de ceux qui la veulent et qui y ont intérêt, les non occidentaux doivent agir rapidement pour lui donner ses chances, les autres, l’occident, ont besoin de la guerre pour que les plus forts d’entre eux s’en sortent, donc, quoi qu’il arrive, les semaines qui viennent vont être au minimum, tumultueuses.

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  • 29 mars 2024 à 22 h 51 min
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    il y a plusieurs articles similaires de falsification de l’histoire de l’humanité sur le site;
    (unshackledminds.com) en anglais, de 407 pages et environ une vingtaines de vidéos par pages.

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  • 30 mars 2024 à 16 h 23 min
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    Un rappel sur le fond du problème sioniste, ils ont d’abord littéralement VOLÉ l’ensemble d’une région peuplée:
    – de sémites pratiquant un judaïsme ancestral
    – et la Palestine peuplée d’autres sémites pratiquant une autre religion, l’Islam et depuis fort longtemps.
    Ces étrangers venus d’Europe de l’Est n’avaient absolument rien à voir avec les sémites israéliens, leur religion étant très différente. Les sionistes avaient déjà créé une nouvelle version d’un judaïsme totalement épuré et basée sur leurs ASPIRATIONS POLITIQUES et AMBITIONS MONDIALES d’être OFFICIELLEMENT reconnu le PEUPLE ÉLU.

    Par contre, un fait très important à considérer est le rôle jouer par certaines puissances coloniales à l’époque, notamment l’Angleterre ayant un protectorat en Palestine et les USA avec une très importante communauté extrêmement riches de sionistes américains.
    Ce sont ces acteurs qui sont en parti responsables de l’actuelle situation d’extermination des Palestiniens et qui tirent les ficelles au profit du sionisme MONDIAL. Ils arment sans arrêt le bras assassin sioniste, usant d,un discours qui empoisonne le monde entier.

    Les sionistes qui occupent Israël et la Palestine n’auraient jamais du avoir la permission et la facilité de s’installer dans ces régions où ils sont TOTALEMENT ÉTRANGERS. À la fin de la Seconde Guerre Mondiale, ils auraient du tous être réintégrés dans leurs pays d’origine en Europe, mais manifestement, personne n’en voulait…………

    Aussi, le problème sioniste avait déjà gravement infecté la Russie à la fin du 19e début du 20e siècle, menant ce grand pays vers la pire dictature mondiale ayant jamais existé, le BOLCHÉVISME/COMMUNISME, ainsi qu’à une méga ruine économique très éprouvante. Les fondateurs du bolchévisme/communisme étaient en parti des sionistes assoiffés de vengeance envers la Russie qui jadis, les avaient littéralement EXPULSÉS d’Ukraine, pendant la période de l’empire Khazar, les vrais ancêtres génétiques de Netanyahu…………..

    Les problème sioniste est un vrai CANCER pour l’humanité.

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