LE SILENCE DES ÉGLISES SE FAIT AU N.O.M. DE CRIMES DE SOLLICITATIONS

Au deuxième jour du Procès Barbarin et 5 autres mis en cause, à Lyon, qui refusent de répondre, comme cela était prévisible et comme traité dans ce billet du Lundi 7 janvier 2019 ► Le silence des Églises au N.O.M. de dieu pour les siècles et les siècles ?…

Cet article est disponible en anglais et en italien ici :
Article de JBL 1960 du 12 Mai 2024

Jusqu’à présent, au moins deux personnes jugées pour non-dénonciation d’agressions sexuelles, ont choisi de ne pas répondre aux questions du tribunal. Colère des parties civiles, au deuxième jour du procès « Barbarin », qui se tient à Lyon.

Lire l’intégralité de l’article sur Ouest France du 8 janvier 2019 ► https://www.ouest-france.fr/societe/justice/au-proces-barbarin-des-mis-en-cause-refusent-de-repondre-6162815

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Non seulement la vérité doit être tue !

Mais les coupables doivent échappés à la justice des hommes !

Et pourtant la Justice des hommes est déjà bien défaillante…

J’ai choisi de mettre en avant ce document télévisuel du 31 mars 2016 de « COMPLÉMENT D’ENQUÊTES » sur France 2 car il traite, dans sa première partie, du même silence organisé dans l’Éducation Nationale, autre institution, qui protège systématiquement ses ouailles… Et parce qu’on me reproche souvent de ne traiter que de la pédophilie dans l’Église.

Alors, la Ministre de l’époque Najat Valaud Belkacem donne sa vision de l’affaire et fait les propositions d’usage pour, soi-disant, endiguer le phénomène, toussa, toussa… ;

Mais, c’est bien parce que nous pensons qu’il n’y a pas de SOLUTIONS au sein du système, qu’il n’y en a jamais eu, et qu’il n’y en aura jamais, qu’il est nécessaire de s’éveiller par une :

Prise de conscience individuelle ► prise de conscience collective ► boycott et organisation parallèle ► désobéissance civile ► réorganisation politico-sociale ► changement de paradigme

Et que nous avons absolument le choix et le droit d’ignorer l’État et ses institutions obsolètes et c’est pourquoi nous appelons toutes celles et tous ceux, et en n’excluant personne, qui se retrouveraient dans cette idée force pour : Ignorer le Système, l’État, et ses Institutions coercitives ► Créer les bases solidaires de la Société des sociétés organique ► Réfléchir et agir en une praxis commune ► Adapter le meilleur du meilleur de l’ANCIEN au monde d’aujourd’hui…

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Complément d’enquête – Scandales pédophiles : des secrets bien gardés  31 mars 2016

Diffusé sur France 2 le jeudi 31 mars 2016 Au sommaire : L’Église face à la «parole libérée». Enquête sur l’affaire Preynat, ce prêtre de Lyon qui aurait abusé…

Cette vidéo YT a été bloquée pour DDA comme d’hab et je n’ai pas trouvé à la remplacer. Il faut savoir que c’était le seul documentaire qui traitait de la pédophilie dans l’ÉDUCATION NATIONALE !

Voici l’extrait de cette vidéo qui dénonce la pédophilie dans l’Éducation Nationale ;

Et l’extrait qui dénonce les secrets bien gardés sur la pédophilie dans l’Église ;

https://www.francetvinfo.fr/societe/religion/pedophilie-de-l-eglise/video-complement-d-enquete-leglise-face-a-la-parole-liberee_1381775.html

Grâce à La Parole Libérée, le conditionnel n’est plus de mise dans cette affaire ;

Car un 21 mars, cette fois, sur France 3, on a pu voir ce documentaire ;

«Pédophilie, un silence de cathédrale», un documentaire fouillé et bouleversant sur le scandale qui secoue l’Église de France

TÉLÉ «France 3» diffuse ce mercredi soir, en partenariat avec «20 Minutes», un film consacré au scandale des prêtres pédophiles, né à Lyon en janvier 2016…

Des vies brisées ou marquées à jamais, des traumatismes indélébiles, des gestes d’horreurs, des détails sordides ou des odeurs qui, des décennies après les faits, leur sont tout aussi insoutenables. Après des années de silence, François, Pierre-Emmanuel, David, Christian, Bertrand, Alexandre, Claudine, Audrey posent, à visages découverts, au côté de leur photo d’enfance. Une enfance bafouée par les sévices qui leur ont été imposés par des hommes d’Église.

Ce mercredi, leurs témoignages seront à l’honneur de Pédophilie, un silence de cathédrale, diffusé à 20 h 55 sur France 3 (1). Un documentaire de 95 minutes, dans lequel le réalisateur Richard Puech revient sur l’énorme scandale qui, depuis deux ans et quinze après l’affaire de Boston aux États-Unis, secoue l’Église Française. Une tempête qui a éclaté, à Lyon, lors de la révélation de l’affaire Preynat par d’anciens scouts.

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J’ai regardé ce documentaire, et le débat qui s’en est suivi. Et, comme tout le monde, à aucun moment, je n’ai entendu prononcer le terme Crimen Sollicitationis, et pire, à de nombreuses reprises, on laisse entendre que le Pape François, voudrait mettre de l’ordre dans son Église, mais qu’il en serait empêché (et par qui donc ?) la preuve avec le cas de Monseigneur Barbarin qu’il aurait voulu voir démissionner, selon ces propres termes, compte-tenu des ses agissements, comme on l’entend dans le documentaire, pour finalement se rétracter, et pour cause…

Normalement ; Le cardinal Barbarin sera devant la justice en avril pour « non-dénonciation » d’agressions sexuelles – Les juges avaient prévu deux jours de débat. Finalement, trois seront nécessaires pour déterminer la responsabilité de sept prévenus cités à comparaître pour « non-dénonciation » des agressions sexuelles commises par le père Bernard Preynat. Parmi eux, l’archevêque de Lyon, le cardinal Philippe Barbarin. Ainsi en a décidé mardi 19 septembre le tribunal correctionnel de Lyon, qui a renvoyé aux 4, 5 et 6 avril prochains le procès voulu par neuf victimes du père Preynat. Source La Croix

Que ce soit, dans le silence des églises, comme dans celui des cathédrales, aucun prêtre ne pourra être inquiété, jamais ; Puisque tout a été prévu afin que l’homme d’église quoiqu’il fasse ne soit jamais jugé par la justice des hommes. Au nom de la lettre Crimen Sollicitationis ; Et ils le savent bien, tous, dès le départ qu’au nom de leur Dieu, tout leur est permis…

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Crimen sollicitationis (Crime de sollicitation en latin) est une lettre, envoyée en 1962 par le Saint-Office (qui deviendra la Congrégation pour la Doctrine de la Foi à la suite du concile Vatican II), à « tous les Patriarches, Archevêques, Évêques et autres Ordinateurs locaux, dont ceux de rite oriental ».

Le document, rédigé par le cardinal Alfredo Ottaviani, secrétaire de la Congrégation, et approuvé par le pape Jean XXIII, établit la procédure à suivre dans les cas où des clercs (prêtres ou évêques) de l’Église catholique romaine seraient accusés d’avoir utilisé le sacrement de la pénitence (c’est-à-dire la confession) pour faire des avances sexuelles à des pénitents. De plus, il établit que les mêmes procédures devraient être suivies en cas d’accusations contre des clercs pour homosexualitépédophilie et zoophilie. Les abus sexuels commis par des clercs sur des mineurs sont condamnés par ce document, qu’ils aient eu lieu dans le cadre d’une confession ou de tout autre façon1,2.

Cette procédure suit et complète le Code de droit canon alors existant. Elle sera revue en 2001 avec la lettre De delictis gravioribus.

La lettre Crimen sollicitationis

En 1962, le Saint-Office envoie secrètement à tous les évêques la lettre Crimen sollicitationis, qui reprend l’essentiel d’un document similaire déjà adressé confidentiellement en 1922 aux évêques1.

Contenu

Crimen sollicitationis donne les mesures à prendre dans les cas où des prêtres seraient accusés de fautes graves. Parmi ces fautes, le document relève l’utilisation du sacrement de pénitence pour faire des avances sexuelles à des pénitents1. D’après ce document, tout catholique doit obligatoirement dénoncer aux autorités ecclésiales une telle faute commise par un prêtre. Le prêtre peut alors être convoqué devant un tribunal ecclésiastique. En cas de faits avérés, il peut être suspendu de la célébration des sacrements ou même être soumis à la dégradation (démis de ses fonctions et réduit à l’état laïc)3. Tous les cas de pédophilie commis par des prêtres, que ce soit dans le cadre du crime de sollicitation ou dans n’importe quel autre cas, sont aussi condamnés1.

Le secret du procès

La lettre impose un secret absolu, lors du déroulement du procès, même lorsque le verdict, favorable ou non, a été rendu et mis en application (§11). Un serment de silence éternel doit être fait par tous les participants au procès : non seulement les membres du tribunal (formule du serment incluse dans les Appendices), mais aussi le(s) dénonciateur(s) du prêtre, le(s) témoin(s) éventuel(s) et le prêtre accusé lui-même (§13).

« Spondeo, voveo ac iuro, inviolabile secretum me servaturum in omnibus et singulis quae mihi in praefato munere exercendo occurrerint, exceptis dumtaxat iis quae in fine et expeditiones huius negotii legitime publicari contingat. »

« Je promets, fais vœu et jure que je maintiendrai inviolé le secret pour tout ce qui viendra à ma connaissance dans l’exercice de mes fonctions, excepté seulement ce qui pourrait être légalement publié et exécuté lorsque ce procès sera terminé. »

(Crimen sollicitationis, Appendices, Formula A)

Les peines prévues en cas de viol du secret sont (§13) :

  • pour les membres du tribunal : l’excommunication latae sententiae.
  • pour l’accusé : la suspension a divinis.
  • pour les accusateurs et les témoins : un avertissement.

Les raisons du secret

La lettre Crimen sollicitationis traite seulement de la procédure à suivre en cas de dénonciation à une autorité ecclésiastique de la faute de sollicitation en confession par un prêtre. Il n’empêche que l’interprétation de la question du secret est sujet à controverses.

Selon les détracteurs de la lettre

Les détracteurs de cette lettre soutiennent que le serment de silence vise à cacher le scandale provoqué par des affaires aussi graves. C’est par exemple le point de vue présenté par le documentaire de la BBCSex Crimes and the Vatican4 (1er octobre 2006).

Selon les partisans de la lettre

Les partisans insistent sur le fait que le secret est nécessaire pour toutes les parties (accusé, victimes et témoins) tant qu’un verdict définitif n’est pas rendu.

Ils ajoutent que si la lettre impose le secret sur la tenue du procès (en n’autorisant pas, par exemple, la publication des déclarations des accusateurs ou de l’accusé), elle n’impose cependant en aucune manière le silence aux victimes si cela ne gène pas le procès.

« [La confidentialité lors du jugement] n’empêche en aucune manière ces affaires à être portées devant les autorités civiles pour être jugés légalement. Aux États-Unis, La Charte pour la protection des enfants et de la jeunesse (Charter for the Protection of Children and Young People) (juin 2002), approuvée par le Vatican, demande que les accusations d’abus sexuels sur des enfants qui seraient fondées soient rapportées devant les autorités légales. » (Archevêque Joseph Fiorenza, dans le Houston voice) 5.

Le droit canon et les abus sexuels

Droit canon et abus sexuels sur mineurs

Le Code de droit canon de 1917 condamnait explicitement tout abus sexuel commis par des clercs sur des mineurs (canon 2359,2)1,6.

Canon 2359 § 2 – « S’ils ont commis un délit contre le sixième commandement avec des mineurs de moins de seize ans, ou pratiqué adultère, viol, ‘bestialité’, sodomie, excitation à la prostitution ou inceste avec ses consanguins ou alliés au premier degré, ils doivent être suspendus, déclarés infâmes, privés de tout offices, bénéfice, dignité ou charge qu’ils pourraient avoir, et dans les cas les plus graves ils doivent être déposés. »

Le droit canon dans les cas de sollicitation en confession

Le Code de droit canon utilisé lors de la rédaction de la lettre Crimen sollicitationis obligeait toute personne qui avait été sollicitée par un prêtre lors de la confession à le dénoncer avant un mois et condamnait ce prêtre à une sévère punition :

« Canon 904. Ad normam constitutionum apostolicarum et nominatim constitutionis Benedicti XIV Sacramentum Poenitentiae, 1 Iun. 1741, debet poenitens sacerdotem, reum delicti sollicitationis in confessione, intra mensem denuntiare loci Ordinario, vel Sacrae Congregationi S. Officii; et confessarius debet, graviter onerata eius conscientia, de hoc onere poenitentem monere. »

« Canon 2368 §1. Qui sollicitationis crimen de quo in can. 904, commiserit, suspendatur a celebratione Missae et ab audiendis sacramentalibus confessionibus vel etiam pro delicti gravitate inhabilis ad ipsas excipiendas declaretur, privetur omnibus beneficiis, dignitatibus, voce activa et passiva, et inhabilis ad ea omnia declaretur, et in casibus gravioribus degradationi quoque subiiciatur »

« Canon 904. En accord avec les constitutions apostoliques et particulièrement la constitution Sacramentum Poenitentiae de Benoît XIV du 1er juin 1741, un pénitent doit, avant un mois, dénoncer à son Ordinateur local ou à la Sainte Congrégation du Saint-Office tout prêtre coupable de crime de sollicitation en confession ; et le confesseur doit, par une lourde obligation de sa conscience, informer le pénitent de son devoir. »

« Canon 2368 §1. Toute personne ayant commis le crime de sollicitation, tel qu’il est décrit dans le canon 904, qu’elle soit suspendue de célébration de la Messe et de la Confession sacramentelle ; et, selon la gravité du délit, qu’elle soit privée d’y assister, que lui soient retirés tous ses bénéfices et dignités, les droits de vote et d’éligibilité, et qu’elle soit déclarée incapable ; et que dans les cas les plus graves elle soit soumise à la dégradation. »

Le nouveau Code de droit canonique de 1983 établit que :

« Canon. 1387 – Le prêtre qui, dans l’acte ou à l’occasion ou sous le prétexte de la confession sacramentelle, sollicite le pénitent contre le sixième commandement du Décalogue, qu’il soit puni, selon la gravité du délit, par la suspension, le retrait, la privation et, dans les cas les plus graves, la suppression de l’état clérical. »

Révision en 2001 avec De delictis gravioribus

À la suite de la promulgation du nouveau Code de droit canonique de 1983 et du Code des canons des Églises orientales de 1990, la lettre Crimen sollicitationis a été en partie revue par la Congrégation pour la doctrine de la foi, avec la lettre De delictis gravioribus7 de 2001.

Source Wikipédia

Traité en lien avec l’affaire Barbarin/Preynat en 08/2016 dans ce billet INTOUCHABLES

Et dans celui-ci intitulé QUE LA VÉRITÉ SOIT TUE en juin 2016 afin que jamais rien ne soit révélé ! Jamais !

Le Vatican a lui-même organisé, dès 1929, en rédigeant une lettre Crimen sollicitationis (secrètement en 1922) ordonnant les mesures à prendre dans les cas où des prêtres seraient accusés de fautes graves (Et quelles qu’elles soient !) rendant impossibles toutes inculpations et poursuites pénales à partir de cette date et pour des siècles et des siècles…

D’ailleurs, le pape François 1er, aujourd’hui encore, brandit cette lettre du Vatican intitulée « Crimen Sollicitationis » pour empêcher toutes enquêtes de justice, notamment, dans le cadre des prêtes pédophiles, comme en France mais pas seulement…

Puisqu’il fut établi par le Capitaine Richard Pratt, fondateur de l’école pensionnat pour Indiens Carlisles, 1892, qu’il fallait « Tuer l’indien pour sauver l’Homme » ;

Il fut simplement implicitement compris qu’aucune personne indigène traditionnelle ou nation ne devaient être autorisées à survivre en dehors de la chrétienté et de sa nation « blanche ».

Toutes les approches partagèrent le même narratif trompeur qui dépeignait le génocide comme une quête sacrée et un acte de charité profonde envers des êtres inférieurs.

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Voilà pourquoi, le Pape François vient de refuser de seulement s’excuser pour le rôle joué par l’Église catholique romaine, dans les Pensionnats pour Indiens (USA/CANADA) ; Mettons fin au règne de la terreur contre les enfants

La réalité est qu’il (le Pape François) ne peut pas s’excuser, et encore moins laver plus blanc que blanc car s’il le faisait, il reconnaîtrait ouvertement la responsabilité de l’Église catholique gérante du carnage (entre autre certes, mais bien présente dans environs les 2/3 de la gestion des pensionnats…), à partir de là ce serait l’hallali ! Et la porte ouverte à des milliers d’actions en justice. Le jeu de l’oligarchie religieuse et séculière est de continuer coûte que coûte à balayer tout ça sous le tapis, c’est ce qu’a fait la Commission Vérité et Réconciliation du Canada, grande mascarade de blanchiment et de paiements de dommages et intérêts pour s’acheter le silence des survivants…

Pour que cela finisse de leur péter à la figure, soyons des détonateurs supplémentaires et pour mettre fin au règne de la terreur contre les enfants, car rappelons-le, il s’agit d’enfants, parfois même de nouveaux-nés, hier comme aujourd’hui ► Avec le Tribunal International contre les Crimes de l’Église et de l’État (TICEE) pour mettre fin à la terreur contre les enfants ► Opération Rachat ;

1er détonateur ; relayer le Contre-rapport de la Commission Vérité & Réconciliation MEURTRE PAR DÉCRET version PDF en français (essentiel de traduction du CR original, en anglais, de 400 pages Murder By Decree) qui révèle Le crime du génocide dans les Pensionnats pour Indiens (USA de 1820 à 1980) au Canada de 1840 à 1996 ;

2ème détonateur ; dénoncer le Neuvième Cercle qui pratique des sacrifices de bébés nouveau-nés et de jeunes enfants à dates précises chaque année, et ce en toute connaissance du pape et des principaux cardinaux de l’église catholique. Le Neuvième cercle est également utilisé comme moyen de chantage sur des personnalités de la politique, des membres de gouvernements et des chefs d’entreprisedes magistrats et hauts-fonctionnaires de la police, pour les piéger et en faire de loyaux serviteurs du Cercle, et du Vatican.

3ème détonateur ; Rejoindre le MOUVEMENT pour abolir l’Empire pour la répudiation de la Doctrine Chrétienne de la découverte ► Débaptisation, en masse, en récusation de la doctrine chrétienne de la découverte pour FAIRE TOMBER L’EMPIRE

4ème détonateur ; À partir du 15 avril 2018, des gens dans de nombreux pays vont prendre part à une action directe pour mettre fin à ces crimes en frappant à leur source. L’opération Rachat va mettre en marche un mécanisme d’arrestation citoyenne contre des violeurs d’enfants reconnus et leurs protecteurs au sein de l’église, l’opération va organiser une occupation pacifique des églises et dépendances afin de perturber leurs opérations et va aussi mettre fin au financement et à la protection légale qui permettent à ces entités criminelles de fonctionner ► Opération Rachat d’avril

Sinon rien ne changera jamais…

Et au fond, aucune parole ne sera véritablement libérée, tant que les hommes d’églises refuseront de reconnaitre les faits…

Et notre silence sera complice, pour l’éternité, des viols, tortures et crimes commis au N.O.M. d’un Dieu et quel qu’il soit…

6 réflexions sur “LE SILENCE DES ÉGLISES SE FAIT AU N.O.M. DE CRIMES DE SOLLICITATIONS

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