LA CRYPTO MONNAIE MONDIALISÉE POUR LE CONTRÔLE ET LA COMPTABILITÉ DU TRAVAIL SALARIÉ
Par Ephigie. Sur URL : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/
L’ancien président étasunien F. D. Roosevelt (discrètement au courant des manœuvres de « l’État Profond ») disait : «En politique, rien n’arrive par hasard. Chaque fois que survient un événement, on peut être certains qu’il avait été prévu pour se dérouler de cette façon.»
C’est pourquoi, actuellement, nous assistons à de grandes manœuvres géopolitiques consistant en la « démolition contrôlée » (devenue une habitude depuis un fameux mois de septembre et une certaine pandémie de COVID) du dollar par l’entremise, plus ou moins adroite, de remise en cause de la suprématie américaine sur les échanges internationaux.
La Chine et la Russie, qui sont, rappelons-le, membres de la BRI, sont parties prenantes de cette stratégie : la Chine en tant que moteur principal des DTS tandis que la Russie s’est raccrochée aux «wagons du train» de la monnaie mondiale.
Aussi, et sous l’égide de la BRI, la prochaine étape de la stratégie, jusqu’ici gagnante, des « puissances d’argent » sera la mise au point d’une monnaie mondiale. Cette future monnaie, qui chapeautera toutes les monnaies du monde, devra circuler sous forme exclusivement dématérialisée.
C’est précisément pour permettre la validation technique de ce projet que les médias et multinationales ont lancé à partir de mi 2020 (en plein confinement : n’est-ce pas le meilleur moment ?) et en grande pompe, la «Libra», cryptomonnaie dématérialisée initiée par Facebook et consœurs ; elle avait pour fonction politique de permettre la vérification, in vivo, et en grandeur nature, du fonctionnement de telles monnaies, de façon à les perfectionner et à les rendre parfaitement fonctionnelles.
Une fois que les mises au point techniques seront faites, grâce à l’expérience de la «Libra» (appelée aujourd’hui « Diem », curieuse anagramme du mot «dîme»), les DTS en tant que panier de monnaies, pourront circuler sous forme dématérialisée, en précisant que cette monnaie mondiale sera entièrement contrôlée par les élites bancaires globalistes originaires de différents pays ou États.
À propos de la future monnaie numérique mondiale, Nicoletta Forcheri nous informe également que le 26 mars 2020 un brevet intitulé : «Cryptocurrency System using body activity data» («Système de cryptomonnaie utilisant des données d’activité corporelle»), a été publié par «Microsoft Technology Licensing LLC» à l’«U.S. Patent Office» (dossier déposé le 20 juin 2019). Ce brevet concerne un système de «mining» («minage» en français) qui, au lieu d’utiliser les capacités de calcul d’une machine, utilise le «travail» du corps humain comme «sous-jacent» pour créer de l’argent.
Tout comme l’extraction de l’or, le «mining», des cryptomonnaies nécessitent un investissement significatif de ressources dans l’espoir de découvrir une récompense précieuse. Le processus de «mining» désigne le mécanisme de la validation des transactions au sein d’une blockchain et repose sur des calculs mathématiques complexes.
L’activité du corps humain associée à une tâche fournie à un utilisateur peut donc, dorénavant, être utilisée dans un processus de minage» de crypto-monnaies. Un serveur peut fournir une tâche de communication au périphérique d’un utilisateur qui y est connecté. Un capteur fixé ou inclus dans l’appareil de l’utilisateur peut, ainsi, détecter l’activité corporelle de l’utilisateur. Un paragraphe de la description du brevet explique ce que l’on entend par «activité corporelle de l’utilisateur» : radiations émises par le corps humain, activités cérébrales, flux humoraux corporels (par exemple, le sang), activité ou mouvement des organes, mouvement physique ou toute autre activité qui peuvent être détectés et représentés par des images, des ondes, des signaux, du texte, des chiffres, des degrés ou toute autre forme d’information ou de données. Les données d’activité corporelle peuvent donc être générées en fonction de l’activité corporelle détectée par l’utilisateur. Le système de cryptomonnaie de la présente invention, qui est connecté pour communiquer avec l’appareil de l’utilisateur, peut vérifier si les données d’activité corporelle de l’utilisateur remplissent une ou plusieurs conditions définies par le système, récompensant l’utilisateur dont les données d’activité corporelle ont été vérifiées, avec une récompense de cryptomonnaie.
En d’autres termes, il s’agit d’attribuer aux « troupeaux » des tâches qui, au cours de leur exécution, seront contrôlées par un appareil (doté d’un capteur) qui mesurera les paramètres de leur corps : ils ne recevront la cryptomonnaie en récompense que s’ils ont fait le «travail».
Ainsi, ce sera comme avoir une « laisse » permanente autour du cou qui vérifie si notre corps fonctionne, ou être comme une vache branchée en permanence à sa trayeuse automatique, histoire d’«optimiser la production».
C’est le système de la carotte et du bâton affiné avec des capteurs et de la technologie numérique appliquée au «bétail humain».
De plus, rappelons, pour comprendre certaines orientations de la gestion de la récente «pandémie», que Microsoft, l’entreprise de Bill Gates, qui contrôle l’OMC ainsi que l’association GAVI (l’alliance du vaccin), et qui prépare le monde à l’idée de vacciner des milliards de personnes avec, éventuellement, des patchs d’encre spéciaux dotés de capteurs spéciaux, a également financé la simulation de pandémie organisée par la «Bloomberg John Hopkins School of Public Health» en octobre 2019. (Récemment le GAVI s’est proposé pour vacciner les enfants martyrs de Gaza contre (ou pour) la polio : Projet de vaccination contre la polio à Gaza: Bill Gates vient au secours des enfants palestiniens. Peut-on lui faire confiance? | Mondialisation – Centre de Recherche sur la Mondialisation) (sic).
Enfin, notons que le brevet «Cryptocurrency System using body activity data» déposé par Microsoft porte le n°060606. D’aucuns pourraient y voir la «Marque de la Bête».
Parallèlement à cette « évolution monétaire », une autre évolution est menée qui consiste en la suppression de la circulation monétaire sous forme d’espèces dans le monde entier.
Une fois en place, cette monnaie dématérialisée contrôlera parfaitement et définitivement la vie privée de tous ses utilisateurs, alors même que personne ne pourra échapper à cette dématérialisation monétaire pour les échanges nécessités par la vie courante.
«Celui qui contrôle la monnaie d’un peuple contrôle ce peuple.», disait le président des États-Unis, J.A. Garfield, farouche partisan d’un «argent honnête» (sic), élu en 1880… et assassiné en 1881. Par conséquent, celui qui contrôlerait la monnaie du monde contrôlerait le monde. C’est pourquoi l’avènement de cette monnaie mondiale sera le premier pas institutionnel vers le gouvernement mondial oligarchique.
Rappelons que les oligarques à la manœuvre sont précisément ceux qui ont organisé et profité de toutes les formes que l’esclavage a pris ces 400 dernières années. Ils ont aujourd’hui conquis les pouvoirs politiques de la quasi-intégralité des pays du monde par le contrôle qu’ils ont pris sur les monnaies et sur le système économique mondial.
Ce contrôle a pris la forme de la corruption (terme généralement remplacé aujourd’hui par l’expression « politiquement correcte » de «conflit d’intérêts») élevée au rang légal par les Anglo-saxons : le «lobbying» est la transcription juridique, et donc la légalisation, de ce que le droit traditionnel appelait «corruption d’agents publics».
Le Fonds pour l’Environnement Mondial (FEM) est l’un des mécanismes clés dans le cadre du financement de la future monnaie mondiale. Le FEM, «validé» par le biais des Nations Unies en 1992 (grâce à la cooptation des hauts fonctionnaires ministériels de 179 pays), lors de la conférence sur l’environnement et le développement, plus connue sous le nom de «Sommet de Rio», est une organisation financière indépendante gérant le système de financement destiné, soi-disant, à mener des actions pour la préservation de l’environnement, dans le cadre du «développement durable». Il accorde, entre autres, des subsides au projet lié à la lutte contre les effets du pseudo réchauffement climatique. «Pseudo», en effet, car il est avéré que la température, plus élevée dans les temps anciens, s’abaisse graduellement ; le mensonge du «réchauffement climatique» est destiné, en partie, à faire croire que les «élites» actuelles et leurs scientifiques dits «sérieux» peuvent apporter tous les progrès, même ceux du climat. (À propos de «l’urgence climatique», voir les articles : https://les7duquebec.net/?s=climat).
Robert Lattès, membre du Club de Rome (financé par Rockefeller), écrivait (dans Le Nouvel Économiste n°3 du 27/10/1975) que «Sans un nouvel ordre monétaire mondial, il n’y aura pas de nouvel ordre économique, tant le premier commande au second». (En route vers une nouvelle monnaie et la «dédollarisation les 7 du quebec, https://les7duquebec.net/archives/293825 »).
Rappelons que le Club de Rome est cette organisation technocratique fondée en 1968 par Aurelio Peccei (à l’origine de l’émergence du concept de «développement durable»), ancien affilié du Groupe «Bilderberg» et Alexander King, ex-président de l’International Federation of Institutes of Advanced Study (I.F.I.A.S.) et également ancien membre du Groupe Bilderberg.
Soulignons enfin que, à l’origine, le FEM est issu du «4ème Congrès Mondial des Terres Sauvages» (4th World Wilderness Congress) organisé en 1987 par la Banque Rothschild, et le Baron Edmond de Rothschild lui-même. Quelque 1 500 banquiers et dirigeants parmi les plus puissants du monde ont assisté à ce congrès qui était présidé par l’homme politique, membre de la haute finance canadienne et agent de «N. M. Rothschild & Sons» à Londres, Maurice Strong (1929-2015). Co-fondateur du WWF, ancien Secrétaire général de la Conférence des Nations unies sur l’environnement et co-directeur de l’Aspen Institute, Maurice Strong était aussi membre fondateur du GIEC (créé en 1988) et de l’«Earth Council», dont il deviendra le Directeur. (À propos du GIEC et du réchauffement climatique anthropique, voir : Résultats de recherche pour « giec » – les 7 du quebec )
Créé en 1992, au Costa Rica, pour coordonner la réalisation des programmes de l’«Agenda 21», l’«Earth Council» a aussi comme membre fondateur Klaus Schwab, accessoirement «Monsieur Great Reset», mais surtout fondateur du «World Economic Forum», les Symposiums annuels qui depuis 1971 réunissent à Davos, en Suisse, les hommes du «Big Business».
Suite: https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/introduction-livres-de-femmes.html
Versão em Língua Portuguesa:
https://queonossosilencionaomateinocentes.blogspot.com/2024/09/criptomoeda-mundializada-para-controlar.html