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DES PAROLES DE MIEL SUR LES LÈVRES, UN POIGNARD DANS LEURS MAINS

Par Normand Bibeau.

«DES PAROLES DE MIEL SUR LEURS LÈVRES, UN POIGNARD DANS LEUR SEIN».

Comment Erdogan pourrait-il, intelligemment, accorder la moindre confiance à ceux-là même qui ont ourdie le coup d’État militaire de couleur des «terroristes» du mouvement Gülen et de leur chef planqué et protégé aux U$A par la CIA avec pour mission de lui infliger le même sort qu’à son confrère «frèriste» Morsi: l’arrestation, la détention, un procès bidon et son exécution, sort funeste qui lui fut évité de justesse par les services secrets russes?

Qui à part les «fous du pétrole» washingtonnien et leurs va$$aux occidentaux, «les fous de Bruxelles», oseraient imaginer qu’Erdogan soit atteint d’un Alzheimer si puissant qu’il aurait oublié les manœuvres électorales frauduleuses et la campagne de propagande déchaînées auxquels ils viennent de se livrer outrancièrement pour lui faire perdre les élections législatives de 2024 et des accusations de corruption et sa condamnation inéluctable?

Comment Erdogan pourrait-il ignorer que «ses amis OTANO-américains sans limite» lui ont ravi les champs pétroliers et gaziers iraquiens de Mossoul, puis syriens d’Alep et ses champs de blé, voler et piller criminellement par les U$A pour s’en enrichir et financer leurs ennemis héréditaires kurdes?

À cette liste de félonies et de trahisons commises envers Erdogan lui-même, il faut ajouter toutes celles commises envers ses «alliés» circonstanciels, les mercenaires «djihâdistes égorgeurs», dont tous les chefs historiques depuis Ben Laden (2011), au calife Abou Bakr Al-Baghadi ( 2017), en passant par Abou Hassan al-Hashimi al-Qourashi (2022) et dont les soldats furent combattus, massacrés et les survivants emprisonnés à Iblid en Syrie avant d’être recrutés par Erdogan pour servir ses plans de récupérer «ses» champs pétrolifères et gaziers confiés pour pillage aux fantoches irakiens et syriens.

La trahison et la félonie, le pillage et le brigandage, le mensonge et le parjure, sont les marques de fabrique de la «diplomatie démocratique de la canonnière» des U$A et de ses va$$aux et nul personne censée ne peut l’ignorer à moins de vouloir se faire planter un poignard dans le dos aussitôt le service rendu.

Après avoir menti éffrontément sur leur soi-disant «lutte contre Daesh et le califat du Levant» alors qu’en réalité, ils combattaient l’armée syrienne arabe, les américains et leurs sbires occidentaux, une fois la sale besogne des mercenaires djîhadistes égorgeurs terminée ont voulu les exterminer, mal leur en pris, ils réussirent à se réfugier dans la province syrienne d’Idlib où les turques les recrutèrent pour mener à bien leurs projets de détruire l’État kurde offert par les U$A aux mercenaires kurdes et pour récupérer les champs pétroliers et gaziers irakiens et syriens pillés par les U$A et leurs nouveaux «amis sans limites».

L’empire occidental est comme la Rome décadente alors que les armées de mercenaires qu’Elle employait puis trahissait, sont aux portes de la ville, résolus à la mettre à sac et à occire les romains obèses, repus et gavés de la chair et du sang de ses victimes.

LE MÉPRIS NE DURE QU’UN TEMPS.

Robert Bibeau

Auteur et éditeur

2 réflexions sur “DES PAROLES DE MIEL SUR LES LÈVRES, UN POIGNARD DANS LEURS MAINS

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