Ce qu’«ILS» veulent sauver, ce n’est pas la Planète, c’est le CAPITALISME!
Source : https://mai68.org/spip3/spip.php?article2653
Il existe une autre lutte des classes, celle entre les capitalistes et les banco-centralistes. Les capitalistes prétendent vouloir sauver la planète, mais c’est le capitalisme qu’ils espèrent sauver, ou du moins faire durer un peu plus, en interdisant le plus qu’ils peuvent les industries carbonées. Et pour cela il faut extraire des minéraux un peu spéciaux destinés à l’électrification. Extraction qui cause des dégâts allant jusqu’au génocide.
Nous sommes à l’ère du banco-centralisme. Les capitalistes sentent venir leur fin. D’où leur frénésie de destruction et de reconstruction, pour obtenir le plus possible de bénéfices des derniers investissements possibles, avant qu’il ne leur reste plus rien à tirer de leurs vaches à laid de prolétaires, parce que seule l’exploitation des prolétaires (humains) leur rapporte du fric, et qu’avec la robotisation, il n’y aura bientôt plus de prolétaires.
Des villes entières sont refaites à toute vitesse sous prétexte d’écologie, les industries sont décarbonées dans le but de rendre momentanément rentables de nouvelles industries « écologiques » ; mais, l’écologie voudrait bien au contraire qu’on ne détruise pas sans arrêt les villes pour les refaire aussitôt. Qu’on ne détruise pas les industries carbonées sous prétexte de les refaire sans carbone. Il vaudrait mieux payer les ouvriers à ne rien faire. Ce serait plus économique et vraiment écologique.
Mais ce ne serait plus du capitalisme.
Quant aux banco-centralistes, les propriétaires des banques centrales, ils attendent leur heure. Ils savent que le temps joue pour eux. que plus les capitalistes leur empruntent d’argent à investir et plus ils leur offrent de pouvoir.
La frénésie actuelle des capitalistes accélère leur perte aussi sûrement qu’un automobiliste qui, voyant un mur devant lui, se trompe de pédale et appuie à fond sur l’accélérateur au lieu de freiner. Seulement, ils n’ont pas le choix, car le dernier argent qu’il y a à gagner, si ce n’est pas eux qui le prennent ce sera d’autres.
.
Préliminaire 0 – L’« écologie » est génocidaire, mais pas écologique du tout !
https://mai68.org/spip3/spip.php?ar…
Génération lumière, 14 juin 2024 :
Le conflit au Kivu, en République démocratique du Congo (RDC), a tué des millions de personnes et décimé l’environnement. Les auteurs de cette tribune dénoncent le rôle des industries minières et de l’Union européenne. En cause : les minerais nécessaires au déploiement d’une économie verte.
Avec les éoliennes ou les véhicules électriques, la transition énergétique devrait entraîner une explosion de la demande en minerais, alerte l’Agence internationale de l’énergie. Au point qu’il faudrait quadrupler les besoins en minerais pour atteindre les objectifs de l’Accord de Paris.
La guerre des minerais, revers de la transition énergétique ?
François Mitterrand 1 : « La France ne le sait pas, mais nous sommes en guerre avec l’Amérique. Oui, une guerre permanente, une guerre vitale, une guerre économique, une guerre sans mort apparemment. Oui, ils sont très durs les américains, ils sont voraces, ils veulent un pouvoir sans partage sur le monde. C’est une guerre inconnue, une guerre permanente, sans mort apparemment et pourtant une guerre à mort. »
François Mitterrand 2 : « Dans ces pays-là, un génocide, ce n’est pas trop important »
Note 1 de do : Et bien si, il y a des morts. la guerre des minerais au Congo est en fait une guerre entre la France et les USA par milices interposées. Le milices venues du Rwanda étant commanditées par les Américains.
Note 2 de do : C’est la France de Mitterrand qui est coupable du génocide du Rwanda en 1994.
Article complet : https://mai68.org/spip3/spip.php?article2692
Préliminaire 1 – La société de l’arnaque :

La théorie marxiste de la valeur n’a plus cours
Il y a eu le capitalisme (Le capital – Karl Marx en 1867 pour le tome 1, 1885 et 1894 pour les tomes 2 et 3), puis l’impérialisme (stade suprême du capitalisme – Lénine en 1916), puis la société du spectacle (Guy Debord en 1967) et enfin aujourd’hui, et ce depuis un bon moment déjà, nous en sommes à l’arnaque, stade suprême de la société spectaculaire marchande.
Par exemple, aux alentours de l’an 2000, en France, une photocopie noir-et-blanc au format A4 valait 20 centimes de Francs, et même à un moment 10 centimes. Mais oublions le coût à 10 centimes qui n’a pas duré bien longtemps (un an ou deux), même s’il suffirait à montrer que 20 centimes la photocopie était déjà une arnaque, puisqu’au moins deux fois un prix praticable et donc rentable.
Aujourd’hui, en l’an 2017, le coût de la photocopie est toujours de 20 centimes, mais pas 20 centimes de Francs, il est de 20 centimes d’Euros !
Et l’arnaque n’est pas située seulement au niveau des prix des marchandises, elle est partout. Elle est la brique élémentaire à partir de laquelle est construite la société actuelle.
Article complet : http://mai68.org/spip/spip.php?article11966
Préliminaire 2 – L’arnaque de la décarbonation :
Nature Geoscience, 11 octobre 2024 :
Les augmentations de dioxyde de carbone atmosphérique à l’échelle du siècle, appelées sauts de dioxyde de carbone, sont liées aux variations climatiques brusques de l’hémisphère nord.
Dix-huit des 22 sauts identifiés au cours des 500 000 dernières années se sont produits dans un contexte de forte obliquité.
La biosphère continentale apparaît comme la source de dioxyde de carbone dépendante de l’obliquité pour ces événements brusques.
Note de do : contrairement à ce que prétend le pouvoir, ce n’est pas l’accumulation du CO2 qui provoque le réchauffement climatique. Mais le réchauffement climatique qui provoque l’accumulation du CO2.
https://mai68.org/spip3/spip.php?article1683
Réchauffement climatique : L’alternance des périodes froides et des périodes chaudes concerne aussi bien le jour et la nuit, que l’hiver et l’été, ou encore les périodes glaciaires et interglaciaires. La période interglaciaire actuelle est appelée « réchauffement climatique ». Ces diverses alternances ayant des causes astronomiques, on peut se demander ce que viennent faire le CO2 et le méthane là dedans ?
Cette étude est basée sur les mesures du taux de CO2 aux époques glaciaires et interglaciaires antérieures. Le CO2 n’a PAS pu être produit par l’humanité lors des périodes interglaciaires antérieures, mais il était là quand même !
Voyons cela d’une façon scientifique : http://mai68.org/spip2/spip.php?article12631
Le banco-centralisme succède au capitalisme
Le prix d’une marchandise est égal au temps de travail humain nécessaire à sa production. La plus-value est la différence entre ce prix, et le prix qu’est payé le travail humain par le capitaliste.
Comme bientôt toutes lignes de production existeront sans aucun travailleur (humain), la plus-value disparaitra complètement. Donc, l’argent devrait disparaître avec elle.
Seuls les grands-maîtres de la monnaie (les banco-centralistes, ceux à qui appartiennent les banques centrales) peuvent conserver le pouvoir à condition de rendre artificiellement indispensable l’utilisation de l’argent.
Article complet : http://mai68.org/spip2/spip.php?article9492