La guerre de propagande entre les factions politiques aux États-Unis et la soi-disant « liberté d’expression »

par Robert Bibeau  à partir d’une inspiration de  Neutrality Studies

Le déclin des États-Unis n’est pas un phénomène externe ou si l’on préfère le déclin économique systémique n’est pas le résultat d’une subversion des États-Unis  par un puissance étrangère (Chine ou Russie). Ce déclin systémique est un phénomène interne, enraciné dans une économie en débandade, qui produit une idéologie nihiliste  qui fomente des ennemis étrangers (xénophobie), tout en sapant les forces internes de la nation – ses forces économiques – politiques – militaires – diplomatiques et idéologiques.

Toute source de pouvoir est domestique et Washington n’a pas seulement oublié cela, mais continue même à l’ère Trumpiste  à saper activement ses intérêts immédiats. Toute source de pouvoir est interne et c’est la raison pour laquelle nous affirmons que l’ennemi de classe impérialiste est d’abord  interne à l’État-nation bourgeois, petit ou grand, même si cet État est soutenu de multiples façons par une coalition impérialiste puissante (OTAN).

C’est l’analyse de  Cameron Macgregor, un entrepreneur qui a fondé une « plateforme de liberté d’expression », un collègue youtubeur avec une chaîne sur la finance et la géopolitique, et un écrivain sur Substack…sous le titre « L’illusion de superpuissance tue les États-Unis » qu’il nous présente ci-dessous de manière éloquente.

source : Neutrality Studies