7 au Front

Le dilemme qui confronte la « droite » et la « gauche » américaine

Par Robert Bibeau.

J’entends déjà nombre de nos lecteurs se plaindre de notre choix éditorial.  Comment un « trumpiste de droite » américain, fanatique anti-gauchiste de surcroît, peut-il être appelé à la barre pour présenter le dilemme qui confronte le Grand capital mondialisé ? Le dilemme qui confronte le Grand capital Américain (MAGA) * mais aussi le Grand capital français, canadien,  européen, (OTAN), russe, chinois, brésilien, asiatique, BRICS et autres. Car l’hégémon américain, sur son déclin, préfigure très bien, le sort qui est réservé au Capital du monde entier face au prolétariat international en train de se mobiliser.

Soyons franc toutefois… le prolétariat international est encore loin de se douter que le « Rubicon » se présentera à lui un jour et qu’il devra le franchir pour détruire la Rome impériale déchue – « l’American Way Of Live » – décadente. Qui mieux qu’un chantre du « Make America Great Again » pourrait résumer en quelques phrases lapidaires le dilemme qui confronte la droite Républicaine et la gauche Démocrate en cette phase historique ou les capitalistes mondialisés s’apprêtent à nous précipiter collectivement dans une troisième guerre mondiale.  Brandon Smith présente ici un florilège de réflexions pertinentes sur l’état de notre monde désemparé. 

  • « Make America Great Again » (MAGA, États-Unis) est un slogan politique américain et un mouvement plus récemment popularisé par Donald Trump lors de sa campagne présidentielle réussie en 2016. 

Le retour de Trump : Préparez-vous à ce que le chaos se déchaîne et soit imputé aux « trumpiste »


Par Brandon Smith − Le 10 juillet 2024 − Source Alt-Market

Oui, c’est en train de se produire. La dernière moitié de l’année 2024 s’annonce comme l’une des plus folles sur le plan politique depuis un siècle et les étincelles jaillissent déjà. Le plus grand moment d’absurdité jusqu’à présent pourrait être le premier débat présidentiel entre Donald Trump et Joe Biden, au cours duquel il est apparu très clairement au monde entier que Biden est sur la voie rapide de la ville des fous. Cela fait quatre ans que nous disons que ce type n’existe plus, qu’il s’agit d’un cas de démence soutenu et protégé par le DNC et les médias. Aujourd’hui, c’est indéniable : Il y a un légume assis dans le bureau ovale et la nation est en panique.

 

Les gauchistes paniquent parce qu’ils se rendent compte que leur candidat est une farce, que l’empereur n’a pas de vêtements et qu’ils ont misé tout leur argent sur un cheval de course très attardé. Les conservateurs se réjouissent, mais ils paniquent aussi parce qu’ils pensent que Biden, dans sa sénilité, pourrait lancer des bombes nucléaires à tout moment.

Certains réclament même une intervention au titre du 25e amendement pour destituer Biden, car ils pensent qu’il prend des décisions. Ce n’est pas le cas. Biden est un mandataire d’intérêts plus puissants et l’a toujours été. Se débarrasser de Biden plus tôt que prévu ne résoudra pas le problème, et n’empêchera pas une apocalypse nucléaire (si c’est ce qui était prévu au départ). D’autres personnes prennent ses décisions à sa place.

En attendant, de nombreuses surprises pourraient survenir avant le mois de novembre. Comme je l’ai indiqué dans mon article L’art de la jonglerie : 2024 est-elle une année charnière pour les globalistes ?” publié en janvier, l’élection de 2024 est en train de devenir son propre événement Black Swan. J’ai déclaré que :

… Il existe un potentiel d’événements chocs, tels que le retrait de Biden à la dernière minute. Trump est arrêté mais gagne quand même. Ou encore, une crise géopolitique majeure utilisée par les démocrates comme excuse pour “reporter” l’élection …

Il semble de plus en plus qu’au moins l’un de ces scénarios soit sur le point de se réaliser (Biden se retire ou est poussé vers la sortie par le DNC). Il est également de plus en plus probable que Donald Trump retournera à la Maison-Blanche malgré tout. Pour l’instant, il semble que Biden veuille s’accrocher à son poste, mais même s’il est remplacé, il n’y a pas encore de candidat démocrate qui ait les chiffres nécessaires pour l’emporter en novembre. Et si vous pensez que la fraude électorale sera un facteur, n’oubliez pas que les votes doivent être serrés pour que le résultat soit truqué.

La question est de savoir ce que cela signifie pour les conservateurs et les patriotes à l’avenir. Faut-il s’en réjouir ou les Américains doivent-ils se préparer à ce qu’on leur tire le tapis sous les pieds ?

Après la victoire de Trump en 2016 (que j’avais prédite un an avant les élections), j’avais suggéré que Trump pourrait être le prochain Herbert Hoover, le bouc émissaire d’une foule de calamités économiques et sociales causées par des intérêts obscurs et ténébreux. Je me suis également demandé si Trump serait ou non un participant volontaire à ce théâtre.

Gardez à l’esprit que le choix de son cabinet en 2016 était un cauchemar – rempli d’une nuée d’élites bancaires, d’un membre du cartel Rothschild (Wilber Ross), de membres du CFR et d’autres mauvais acteurs. Il avait vraiment certaines des pires personnes qui se tenaient au-dessus de son épaule à l’époque (comme Anthony Fauci, par exemple…). Même si Trump avait de bonnes intentions, ses conseillers n’en avaient certainement pas.

Avec la combinaison des émeutes de BLM, des hausses de taux d’intérêt de la Réserve fédérale, de l’hystérie pandémique, de la relance Covid déclenchant la stagflation, de l’“insurrection” du 6 janvier, Trump a été transformé en paria (la plupart du temps injustement). Les conservateurs en 2020 et au-delà ont été étiquetés comme les méchants ultimes, les “destructeurs de la démocratie”. Trump a été, à bien des égards, catalogué comme un autre Hoover.

Mais il s’est passé quelque chose au cours de ce processus que, selon moi, les globalistes n’avaient pas prévu : le programme de lutte contre la pandémie a échoué. Les passeports vaccinaux ont échoué. Les obligations ont échoué. Le taux moyen d’infection mortelle n’était que de 0,23 % et le public n’était pas suffisamment terrifié. Trop de patriotes refusaient de s’y soumettre. Les chiffres du CDC sur les vaccinations étaient clairement gonflés pour donner l’impression que davantage de personnes se faisaient vacciner. Presque personne ne prenait les rappels.

Il s’agit peut-être de l’une des plus grosses bévues auxquelles les globalistes aient jamais été confrontés. Klaus Schwab, le Dr. Evil lui-même, s’est effacé et a pris sa retraite en tant que président exécutif du WEF. Le grand jeu de la tyrannie médicale a fait l’effet d’une bombe. Que faire maintenant ?

Est-ce une erreur que l’establishment ait continué à soutenir Biden malgré son délire ? Ou bien ont-ils envoyé Biden à ce premier débat en sachant exactement à quel point il allait mal se passer ? S’agit-il d’un stratagème visant à compléter le scénario d’Herbert Hoover ? Cette année, Trump a laissé entendre dans une interview à Fox Business qu’il “ne veut pas devenir le prochain Herbert Hoover” en héritant de Biden une économie en forme de bombe à retardement. Biden a répondu que Trump était DÉJÀ comme Herbert Hoover en raison des emplois perdus pendant la crise.

Il s’agit bien entendu d’une affirmation erronée. Mais le récit est omniprésent: Trump va superviser un krach américain similaire à celui de 1929”.

Réfléchissez un instant au nombre d’éléments différents de l’économie américaine d’aujourd’hui qui sont déformés par des statistiques truquées. Biden a supprimé les statistiques sur l’inflation, comme l’IPC, en déversant des réserves stratégiques de pétrole sur le marché. Ses statistiques sur l’emploi sont un véritable cirque, presque tous les emplois “créés” étant attribués à des immigrants illégaux, ce qui gonfle artificiellement les chiffres du BLS. M. Biden a créé une fausse croissance de l’industrie manufacturière américaine en subventionnant les entreprises d’énergie verte avec l’argent des contribuables. Les médias semblent vouloir ignorer la question de la dette nationale, dont les paiements d’intérêts s’élèvent à plus de 1 000 milliards de dollars tous les trois mois. Enfin, l’augmentation des passages aux frontières se poursuit sans relâche (à l’exception d’une baisse de 74 % au Texas, où l’on installe de véritables murs et des barbelés).

Et que dire de la situation en Ukraine ? Celle qui dégénère rapidement en un conflit plus large ? Mes lecteurs connaissent mes prédictions à ce sujet, mais pensez-y du point de vue de Trump : Biden laisse derrière lui tous les éléments volatils d’une guerre mondiale en gestation. Trump hérite d’un chaudron de nitroglycérine.

Que se passera-t-il lorsque Biden s’en ira ? Tous les trucages économiques disparaissent, et les données réelles apparaissent alors que Trump est au pouvoir. Peut-être que la Troisième Guerre mondiale se déclenchera aussi. Et devinez qui sera blâmé ? Les doigts pointeront vers Trump, mais ils pointeront aussi vers VOUS.

L’ordre du jour consistera à faire le procès des principes conservateurs et du mouvement pour la liberté et à les dépeindre comme des idéaux de calamité. La méritocratie, l’individualisme, l’indépendance, la liberté personnelle, la responsabilité et la discipline, les marchés libres, la propriété privée, tout ce qui constitue les fondements de la civilisation occidentale sera mis sur le bûcher. Donner à Trump une victoire facile contre un déficient cognitif comme Biden (ou tout autre candidat faible) pourrait être un piège ; laisser les conservateurs gagner un moment de pouvoir pour découvrir qu’ils sont assis sur le trône d’un château qui s’écroule.

Suis-je en train de dire qu’il ne faut pas voter pour Trump ? Non. À tout le moins, le fait de voter pour Trump envoie le message que le peuple américain veut ce que Trump est censé représenter, et qu’il rejette ce que Biden est censé représenter. Les candidats sont bien moins importants que les idéaux qu’ils sont censés incarner. Ce que je veux dire, c’est que cette élection pourrait être particulièrement bizarre pour une raison – le fait que Trump soit présenté comme le choix évident est suspect.

Au minimum, il y aura des émeutes organisées par les gauchistes dans les grandes villes des États-Unis. Comme nous l’avons vu en France, la gauche politique n’a pas l’intention d’abandonner le pouvoir et elle est prête à tout pour le conserver, y compris à brûler le quartier. Les libéraux les plus réservés s’allieront aux groupes d’activistes socialistes les plus extrêmes pour gagner à tout prix. La présence de Trump dans le bureau ovale serait le déclencheur parfait pour un défilé sans fin de clowns DEI et de monstres Antifa créant autant de pandémonium que possible.

Je ne parle pas du faux paradigme gauche/droite. Le faux paradigme gauche/droite n’est pas pertinent lorsqu’il s’agit du problème de fond, qui est la prépondérance de l’action ou de l’apathie des patriotes. Si le peuple américain se levait demain en grand nombre et décidait d’un seul coup de faire taire les gauchistes, de chasser les globalistes et de reprendre le pouvoir, nous réussirions et personne ne pourrait nous arrêter. Nous sommes la plus grande population armée du monde et, par extension, la plus grande armée du monde, et de loin.

C’est à nous, et non à Trump, de déterminer le cours de l’avenir de notre nation. Et si lui (ou tout autre dirigeant politique) ne parvient pas à se montrer à la hauteur de nos normes, nous devrons alors faire la chose horrible que tout le monde sait nécessaire, mais dont personne ne veut être responsable. Rappelez-vous simplement que nous serons dépeints comme des méchants, et non comme des combattants de la liberté, lorsque nous franchirons cette étape.

Brandon Smith

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone

Robert Bibeau

Auteur et éditeur

5 réflexions sur “Le dilemme qui confronte la « droite » et la « gauche » américaine

  • Ping : Le dilemme qui confronte la « droite » et la « gauche » américaine | Boycott

  • Jacques Abel

    Les choses se clarifient depuis, et on peut déjà tout à fait observer où le pouvoir sioniste en soins palliatifs exerce ses derniers efforts.
    C’est dans la consolidation d’une image pourtant déjà complètement en feu.
    Qui le CIO a-t-il réélu comme vice-présidents hier, la Marocaine Nawal el Moutawakel et les Argentins Gerardo Werthein; Paula Belén Pareto, une Égyptienne, une Néo-zélandaise, un Britannique, un Américain, Australien… bref, que de gentils animateurs qui n’auront jamais la moelle de virer la délégation israélienne des jeux comme cela a été fait pour l’Afrique du Sud et plus récemment pour la Russie.
    C’est devenu extrêmement difficile en ce moment de s’afficher avec une putridité aux yeux du monde.
    Cela notre auteur ne l’a semble-t-il jamais envisagé dans son esprit « visionnaire », or, ce sont les réalités factuelles du moment.
    Netanyahu n’est pas prêt de faire le tour des capitales après le fiasco auquel donne lieu sa tournée actuelle, même un crétin comme Macron ne s’y risquera pas.
    L’accueil de Netanyahu en Amérique en ce moment est ce qu’il y a de plus encombrant pour des gens qui à une époque pas si lointaine que ça, dansaient sur les tables de voir ce représentant d’un pays étranger qui avait humilié par eux leur propre président en se faisant ovationner devant son Congrès pour marquer le désaccord avec lui, là, les mêmes sont outragés comme pas possible de voir leur peuple brûler devant le même Congrès leur propre drapeau contre la réception du même homme, cette fois-ci, il est là en criminel reconnu et mendiant venu implorer de l’aide pour qu’il réussisse son génocide, autrement se sont lui et les siens qui risquent d’en subir un qui, lui n’aura probablement pas besoin de recherche en motivation.
    Donc, si réellement c’est Obama qui contrôle ce que Biden, il s’est vengé, si ça n’est pas lui, c’est encore plus grave car là, l’accumulation d’erreurs et d’incompétences ne pardonneront pas.

    Brutal changement d’époque et de paradigme visiblement non intégré par l’auteur qui voit toujours Trump débarquer une nouvelle fois dans le bureau ovale, alors que s’il n’y arrivait pas, comme ça sera le cas, la suite pour lui ne sera pas aussi réjouissante que ses fidèles peuvent le croire.
    Quant à sa rivale Harris, elle est mesurée et très maline dans sa réaction et son propos face à cet acte antipatriotique du brûlage d’un drapeau américain par des manifestants, symbole hyper fort et pas habitué quand même à cet endroit, qu’elle qualifie d’abject en faisant le laïus entendu sur l’antisémitisme, la haine et tout le tralala, parce qu’une effigie du Bibi a elle aussi été brûlée avec son drapeau, message sans ambiguïté dune Amérique biberonnée depuis des décennies à… son allié indéfectible.

    Il va tres vite dans ses certitudes le monsieur mais, il m’avait semblé avoir dit que la Russie ferait en sorte que l’idée d’un besoin de paix s’installe véritablement dans les têtes ukrainiennes et celles de leurs alliés cet été, jusqu’ici rien de cela n’est encore fait mais, semble-t-il les choses vont dans le sens d’une désescalade malgré les simagrées qui veulent nous faire croire le contraire, certes, rien n’est fait et la Russie ne fera pas le moindre pas dans ce sens sans une capitulation même aux contours arrangés qui ne lui donnerait pleine satisfaction sur ses attentes.
    Harris n’est pas Biden et a déjà indiqué que le massacre en Palestine doit cesser, contrairement à Trump, je vois mal comment elle irait s’aventurer à mettre au pas israël sans faire comprendre aux Ukrainiens la différence entre pas souhaitable et impossible.
    La tartufferie est en train d’exploser partout, il lui faut dorénavant bien mettre de sérieux arguments sur table ne serait-ce que pour qu’on l’écoute, autrement, elle va faire boum!
    Elle a tout essayé là, rien n’est passé comme ça devait, par contre tout ce qu’on lui a envoyé a été pris en pleine poire par elle.

    Donc, ok, les équipes de Trump et lui-même pourront dire ce qu’elles veulent, Harris va pilonner sur l’arrêt total de l’implication américaine dans les conflits hyper meurtriers et chers que lui imposent ses pseudos amis.
    La guerre par procuration tue l’Amérique encore plus sûrement que quand elle la faisait elle-même, or aujourd’hui ses dirigeants veulent vendre à leur peuple qu’ils ne les impliqueront pas, les récents propos de Biden en ce sens devraient donner des terreurs éveillées aux p’tits caporaux français et polonais qui ont montré leurs crocs à la Russie.
    C’est le grand art de l’Amérique de savoir virer de quelque part quand ça devient vraiment trop puant pour elle.
    C’est proprement ridicule qu’un soi-disant analyste puisse prendre son lectorat avec autant de mépris pour son intelligence, en laissant croire que Trump, le super diplomate-économiste va trouver une situation économique si maquillée, que quoi qu’il fasse avec ce baril de poudre, il explosera, d’autant plus que la situation mondiale qu’on lui laisserait, est celle d’une pré-guerre, alors que c’est justement les décision politiques catastrophiques de cet imbécile durant son mandat qui ont favorisé l’état pré-explosif dans lequel nous nous trouvons, et économiquement il n’est démontré nulle part que sa gouvernance du pays ait été économiquement aussi bénéfique que le dit l’idolâtrie.

    C’est même du vrai caca cognitif que d’expliquer que le macronisme c’est de la gauche politique, le garçon ne sait absolument pas de quoi il parle à moins que son patronyme corresponde à celui d’un communautaire et là, la ruse de ses manipulations sur son lectorat sont toutes expliquées, parce que si cet écrivailleur croit sincèrement que le RN soi-disant français c’est la droite, c’est qu’il est vraiment plus con que celles et ceux pour qui il écrit ses conneries.
    Ce parti totalement enjuivé est une tumeur endocrânienne pour notre peuple qui le fait systématiquement élire les membres de la juiverie en opposition de façade qui lui vendent leur mépris pour lui avec une grande suffisance, ce qui l’impressionne et le désoriente.
    Mais, en réalité tout ce cirque n’est qu’une entente familiale et consanguine sur le dos de gens trop poltrons pour ne pas accepter de se laisser berner.
    Donc, de jouer ou d’être réellement cons eux aussi.
    En vérité, ça semble être aussi le cas en Amérique, sauf qu’ils ont des armes et une liberté d’expression qui leur permet d’avoir une opportunité d’opposition idéologique bien plus dynamique que ce nous pouvons avoir dans nos pays, raisons pour lesquelles les magnats des juiveries investissement beaucoup dans les radicalités, dont ils contrôlent l’influence sur les opinions, jusqu’à ce qu’ils perdent ce contrôle un jour, parce que la conscientisation finit par s’imposer face aux vérités inaliénables elles.

    C’est un révolutionnaire de pacotille qui n’a que l’assurance que lui donne ses armes pour lui, israël en est blindé de ces cons-là, mâles ou femelles, on voit le résultat au final, ce sera aussi la même grande désillusion pour cet abruti si vraiment les choses devaient aussi mal aux USA qu’il est à craindre.
    Les Américains ne sont pas aussi cons pour se précipiter dans une action totalement préparée où on les attend pour tuer les meilleurs d’entre-eux et désarmer tous les autres ensuite, ça va se passer comme ça, l’effet de surprise doit être total, c’est la transition se entre Biden et Harris fera sur un mode démolition populaire de Trump, à la mi-août notre vieillard aura perdu de sa superbe, mi-septembre il ne sera plus qu’une éructation criant au complot contre lui et même certains de ses soutiens se feront neutres dans cette bagarre.
    Quoiqu’il en soit, il ne gagnera jamais plus aucune élection présidentielle, quatre ans de purgatoire ne lui ont rien appris, ce sont les enfers qui ouvrent leurs portes devant lui.

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  • Hervé hum

    Salut Robert

    Personnellement, cela fait disons au moins 5 ans que je décris la situation mondiale comme celle du jeu de la barbichette. C’est à dire, où tous les dirigeants actuels, qu’ils soient russes, chinois, étasuniens ou européens, savent pertinemment que le pire pour leur élite est de se voir accusé de l’effondrement économique et donc, qu’il faut absolument avoir un bouc émissaire à désigner et qu’i soit extérieur. Ceci pour pouvoir canaliser la colère de la population contre cet ennemi extérieur et non pas intérieur qui équivaut à une guerre civile.

    Bref, comme aucun dirigeant ne veut être désigné à la vindicte populaire, c’est le statu quo économique où chacun attend et essaie de faire « rire » l’autre. Tout le monde se prépare, mais personne ne veut faire le premier pas et essaient alors de passer par les proxy.

    quoi qu’il en soit, pour le prolétariat et même pour toute la classe moyenne qui dans sa très grande majorité aspire à vivre du fruit de son travail (qui interdit d’exploiter celui d’autrui comme c’est la règle aujourd’hui), il n’y a pas d’autre salut que dans la mondialisation socio-économique et qui implique de facto la fin de la propriété privé des moyens de productions ainsi que de la monnaie. Sans cela, se sera direct retour à la situation du XIXème siècle tel que le veulent les dirigeants nationalistes, face à ceux qui rêvent d’un monde orwelliens, c’est à dire ceux qu’on nomme par ignorance et manipulation, les mondialistes, alors qu’ils n’en sont pas et font même tout pour interdire la mondialisation tout en affirmant le contraire.

    Appliquent donc la politique du pompier pyromane. Mais chez moi, c’est toujours le pyromane qui manipule le pompier, jamais l’inverse.

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  • Normand Bibeau

    «Celui qui ne connaît pas l’histoire est condamné à la revivre». (Karl Marx et Friedrich Engels,Manifeste du Parti communiste,le plus grand ouvrage de tous les temps, la plus pénétrante analyse scientifique de l’histoire sociale de l’humanité).
    Il est pénible de lire un commentaire où un auteur essaie de convaincre le lecteur que la bourgeoisie qui domine le monde se soucie de l’image quelle donne d’elle-même à ceux quelle exploite, sacrifie et méprise: ses esclaves salariés, le prolétariat.
    Ainsi, s’il faut en croire Brandon, la faction «démocrate» de la bourgeoisie voudrait relayer le pouvoir à la faction «républicaine» afin de lui faire «superviser un crash américain comme celui de 1929» et imputer la banqueroute conjoncturelle du système capitaliste au «conservateur Trump» pour blâmer «la méritocratie,l’individualisme,l’indépendance,la liberté personnelle,la responsabilité et la discipline,les marchés libres,LA PROPRIÉTÉ PRIVÉE,tout ce qui constitue les fondements de la civilisation occidentale» (dixit Brandon) afin d’en dédouaner la faction «socialiste démocrate» à la manœuvre sous Biden, en somme, faire seppuku, ses propres et uniques valeurs capitalistes fantasmées pour satisfaire un narratif Hollywoodien idéaliste puéril d’en accuser les «conservateurs»:«la queue secoue le chien» et «une chatte y perd ses chatons».
    La faction «socialiste démocrate» renoncerait à voler 6,1 trillions de $ U$ des impôts et des taxes des prolétaires américains pour créer l’illusion qu’ils sont innocents de la banqueroute du système.On croirait entendre les idéologues et journalistes bourgeois déconnés en suggérant que les «libéraux» endettent l’État et ruinent l’économie et les «conservateurs» coupent les dépenses, paient la dette et sauvent l’économie, pure démagogie bourgeoise mensongère.
    Tout ce verbiage pseudo-patriotique «objectif» n’est que poudre idéaliste (au sens philosophique, à savoir que ce sont les idées qui créent le monde) aux yeux des lecteurs pour occulter la réalité de la nature même du système capitaliste à l’étape actuelle de son évolution: une «nouvelle» crise de surproduction de marchandises et d’esclaves salariés qui sous le capitalisme ne peut être réglée que par la guerre.
    L’occident totalement désindustrialisé et tiertisé dans l’endettement, occupé dans la finance et les services, ne voit pas les inventaires gigantesques accumulés en Asie, principalement en Chine (ex:les voitures électriques des producteurs chinois) et l’immensité des chômeurs et autres indigents, par conséquent, ignore que l’économie mondialisé croule sur les surplus d’inventaire et de main d’œuvre, conjugué à l’appauvrissement des salariés par l’inflation et le chômage, toutes les conditions d’une crise économique engendrant l’inexorable «baisse tendancielle du taux de profit», prélude aux guerres sont réunies comme l’ont enseigné Marx,Engels et Lénine.
    Le vrai dilemme qui confronte la bourgeoisie mondialiste hormis celui d’offrir au «bon peuple du pain et des jeux», tantôt par le cirque électoral du crétinisme parlementaire, tantôt par des jeux Olympiques pour drogués et ce afin de l’abrutir, pendant quelle choisit son programme de destruction massive des marchandises, de consommation et humaine, se résume à savoir si sa «solution à la crise de surproduction» sera par une guerre «mondiale» ou une série de guerres régionales:option 3ième guerre mondiale sur le modèle 1ière et 2ième Guerres Mondiales ou option guerre en Ukraine, en Palestine,en Iran,en Géorgie, Ouïghours, etc. sur le modèle des 200 guerres régionales et 20 millions de victimes menées depuis 1945?
    Chaque cas de figures comptent ses bailleurs de fond et ses politiciens larbins stipendiés qui dans un brouillard de guerre opaque mènent leur propagande militariste et belliciste, tantôt ouverte, tantôt fermée mais toujours prégnante et occultée par des slogans tous plus démagogiques les uns que les autres:
    «démocratie contre autoritarisme» en occident;
    «multipolarité contre unipolarité» en orient;
    «libres marchés» à l’ouest, «économie planifiée» à l’est;
    «mondialiste» à l’ouest, «nationalisme» à l’est;
    «LGBTQ+DEI» à l’ouest , «religion» à l’est;
    «Make America Great Again» trumpiste par une réindustrialisation «générale» de l’économie U$ ou par une réindustrialisation militariste à la Biden de l’économie U$ et ainsi de suite, ad nauseam mais toujours en prétendant à l’universalité et surtout l’exclusivité de l’unique médaille, gauche-droite, offerte par l’idéologie dominante, celle de la classe dominante qui possède les moyens de production et de communication: la bourgeoisie.
    L’avènement de l’arme nucléaire et des missiles hypersoniques dans l’équation capitaliste tend à favoriser la continuation de l’option «guerres régionales» cependant l’ampleur des surplus à détruire, surtout en esclaves salariés, impose la multiplication considérable des guerres régionales
    et des déplacements d’esclaves salariés gigantesques comme en témoignent les flux migratoires depuis le Moyen-Orient et l’Afrique vers l’Europe de l’ouest et celui de l’Amérique du Sud vers l’Amérique du Nord, principalement U$.
    Qui plus est, l’option des «guerres régionales» exposent le monde à des génocides utiles du point de vue capitaliste mais répugnant et scandalisant comme celui qui à court en Palestine aux mains des fous de Yahvé, les sionazis israéliens.
    Dans «le village global» qu’est devenu la planète, contrairement au temps des colonies, il est presqu’impossible de cacher ces génocides perpétrés par les capitalistes et malgré le travail de propagande mensongère des médias mainstream et les divertissements Olympiques, les honnêtes gens dénoncent et condamnent ces crimes abjectes au nom du profit.
    Quelque soit l’option que choisira la bourgeoisie pour résoudre sa crise de surproduction,guerre mondiale ou multiplication des guerres régionales, principalement à Europe, ce ne sera que «sang,souffrances,larmes et pleurs» pour le prolétariat et profits, richesses et pouvoir pour la bourgeoisie.

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