Après la Nouvelle Calédonie, la Guyane, la Guadeloupe, c’est désormais la Martinique qui est mise à feu et à sang par le pouvoir en place.
Après la Nouvelle Calédonie, la Guyane, la Guadeloupe, c’est désormais la Martinique qui est mise à feu et à sang par le pouvoir en place.
L’aéroport a été envahi par la population pour empêcher des CRS d’atterrir, des gendarmeries brûlées, le leader des contestations a été blessé par les autorités.
La défense urbi & orbi par le gouvernement d’oligarchies héritières des dynasties esclavagistes et coloniales, mais aussi les politiques pénales répressives aberrantes, discriminatoires et arbitraires mises en oeuvre depuis des années, ont poussé les populations à bout.
La réaction du pouvoir est pitoyable. Après avoir disparu une semaine, le préfet vient d’édicter un arrêté d’interdiction de toute manifestation, sur l’ensemble de l’île, pendant quatre jours, ainsi qu’un couvre-feu.
La meilleure façon de jeter de l’huile sur le feu.
La dernière provocation.
L’organisation de l’omerta médiatique sur la situation ne tiendra pas.
Les autorités doivent reculer, démanteler les monopoles békés et permettre à la Martinique d’enfin s’émanciper.
https://x.com/anatolium/status/1844491507165724765?s=12&t=h8KbYJg3JYYL0Z64L1snHw
(tweet de Me Juan Branco)
Via Élisabeth F
Versão em Língua Portuguesa:
https://queonossosilencionaomateinocentes.blogspot.com/2024/10/depois-da-nova-caledonia-da-guiana.html
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A quand en métropole?
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