7 au FrontTrouvailles

L’État capitaliste et la crise de la « démocratie » bourgeoise

Par Robert Bibeau.

En ces temps de crise économique systémique engendrant une crise politique, juridique et idéologique profonde de l’État capitaliste, ou les laquais se hasardent à confronter publiquement leurs suzerains, il est utile de relire l’oeuvre de Lénine « L’État et la Révolution » écrit en 1917, une période historique aussi chaotique que celle que nous subissons présentement. Voici le volume en format Word et PDF et en voilà une présentation vidéo succincte et efficace.

L’État et la Révolution (1917), Lénine, disponible en format PDF:
État et Revolution (Lénine) 

Disponible en format Word:  lenine_Etat_et_revolution (word)


 

 

Robert Bibeau

Auteur et éditeur

5 réflexions sur “L’État capitaliste et la crise de la « démocratie » bourgeoise

  • Petit à petit, les aigles pygargue et bicéphale font le nid du « Nouvel Ordre Mondial »
    Explication :
    « Partout dans le monde occidental, la bourgeoisie est parvenue à s’emparer du pouvoir, auquel la royauté l’avait tout d’abord fait participer indûment ; peu importe d’ailleurs qu’elle ait alors aboli la royauté comme en France, ou qu’elle l’ait laissée subsister nominalement comme en Angleterre ou ailleurs ; le résultat est le même dans tous les cas, et c’est le triomphe de l’« économique », sa suprématie proclamée ouvertement. Mais, à mesure qu’on s’enfonce dans la matérialité, l’instabilité s’accroît, les changements se produisent de plus en plus rapidement ; aussi le règne de la bourgeoisie ne pourra-t-il avoir qu’une assez courte durée, en comparaison de celle du régime auquel il a succédé ; et, comme l’usurpation appelle l’usurpation, après les Vaishyas (caste dont les fonctions propres étaient celles de l’ordre économique), ce sont maintenant les Shûdras (caste la plus inférieure) qui, à leur tour, aspirent à la domination : c’est là, très exactement, la signification du bolchevisme. » (R. Guénon)
    C’est ainsi que la Révolution Française marqua le pouvoir des Vaishyas comme la Révolution Russe marqua celui des Shûdras ; cette dernière, marquant également l’ultime phase d’un certain Cycle historique, puisqu’il n’est plus possible de « descendre » plus bas.
    Après 1789, la France est passée d’une monarchie qui avait pour contre-pouvoirs tous les corps intermédiaires, à une oligarchie financière dénuée de tout contre-pouvoirs, le tout sous le vocable trompeur de démocratie. La démocratie est le vêtement dont se pare le pouvoir sous le prétexte qu’existe une représentation populaire, mais cette représentation est, dans les faits, c’est-à-dire concrètement, non pas populaire mais contrôlée par des partis politiques sous influence des « puissances d’argent ».
    Le Marxisme, lui, paraît défendre les travailleurs parce qu’il semble vouloir tout remettre au pouvoir de l’État afin d’assurer une meilleure répartition des biens et des fortunes, alors qu’en réalité son but est, en conquérant les masses ouvrières par la ruse, de tout accumuler entre les mains (encore et toujours) des « puissances d’argent », dissimulées et camouflées derrière des partis politiques qu’elles contrôlent, qu’ils soient socialistes ou communistes. La doctrine du Marxisme rejette le principe aristocratique observé par la nature, et le remplace par la domination du nombre, autrement dit, Le Règne de la Quantité… et les Signes des Temps.
    De plus, faisons remarquer que d’un point de vue économique, le Capitalisme monopolistique et le Socialisme sont tous deux les ennemis de la libre concurrence, car la concurrence et les forces du marché, lorsqu’elles ne sont pas « concentrées » dans les mêmes mains, permettent à d’autres de prospérer et, surtout, d’être indépendants. Un gouvernement communiste peut organiser le contrôle social de manière à garantir et à protéger la concentration de la richesse ; le gouvernement communiste peut donner à des cartels le contrôle des matières premières et des marchés, et leur accorder de gros contrats et s’endetter à l’infini auprès d’eux. Chaque secteur de l’économie étant, in fine, contrôlé par une poignée de cartels, réalisant ainsi cette « gestion des contraires » très chère aux organisations secrètes globalistes.
    Les principaux éléments du capitalisme libéral, la « Grande Entreprise », n’étaient nullement incompatibles avec le Communisme ou même antipathiques à celui-ci. En effet, le noyau du Manifeste du Parti Communiste de Karl Marx et Friedrich Engels consistait en des politiques capitalistes monopolistiques comme la centralisation du Capital et l’organisation des travailleurs. Marx et Engels ont commencé leur carrière en tant que journalistes travaillant pour des intérêts capitalistes libéraux. Marx travailla plus tard pour le « New York Tribune », dont le propriétaire, Horace Greeley et son éditeur, Charles Anderson Dana, étaient de proches collaborateurs du communiste Clinton Roosevelt, un membre démocrate radical du célèbre Clan Roosevelt, dont les intérêts étaient la banque et la politique.
    Wickliffe B. Vennard, dans son ouvrage « The Federal Reserve Hoax – The Age of Deception », écrit : « Sans l’aide reçue de Clinton Roosevelt, d’Horace Greeley et des financiers qu’ils représentaient, Karl Marx serait resté un obscur obsédé révolutionnaire. Greeley a donné à Marx et à son Manifeste communiste une audience internationale. Ils ont promu leur camarade « Illuminé » en le nommant correspondant et analyste politique pour la New York Tribune, le journal de Greeley ».
    Joseph A Schumpeter, qui a enseigné à David Rockefeller à Harvard, écrit (Capitalism, Socialism and Democracy) : « Les vrais stimulateurs du socialisme n’étaient pas les intellectuels ou les agitateurs qui l’ont prêché, mais les Vanderbilt, les Carnegie et les Rockefeller ».
    Rappelons que la formule suprême et la plus parfaite du Capital est, d’après Marx, l’économie politique libérale anglaise, en particulier la théorie du « libre-échange », du « Marché Universel » d’Adam Smith.
    Les pays se sont ruinés sans s’en apercevoir. Comme personne n’apporte de solution miracle (c’est impossible au niveau actuel du Plan), les hommes qui sont au pouvoir visible tentent de créer l’illusion que tout va bien. C’est la raison pour laquelle tout a été fait pour corrompre la classe politicienne. Et les peuples continuent de flatter, pour le temps qui leur reste, ceux qui donnent l’impression d’écarter d’eux toutes les calamités. Inutile de vous dire que cette espérance est et sera trompée. Tous les accords de paix dont vous avez entendu parler depuis la « guerre du Golfe », tous les évènements de Russie faisant croire à une nouvelle ère où le Communisme serait renvoyé au cimetière sont des « composantes » du Plan. Pensez-vous réellement que cette « Organisation » qui a financé Lénine, qui a donné la moitié du monde à Staline avec la complicité des dirigeants de l’époque accepterait de tout arrêter alors qu’elle est si proche du but ? Croyez-vous sérieusement que tous les montages secrets qui ont permis au Socialisme d’être planétaire vont s’arrêter là ?
    Comprenez que le Communisme ne sera réellement mort que le jour où son « père nourricier », à savoir le Capitalisme ultra libéral de la Haute Finance, ne sera, lui-même, plus de ce monde !
    Avec la grande duperie de la « Perestroïka » (Restructuration) et l’imposture de la « Glasnost » (Transparence), nous assistons depuis quelques temps au « Glissement » mondial (Européen pour commencer) vers une Deuxième « Révolution d’Octobre ».
    Pour faire une révolution, disait Julian Huxley (le frère d’Aldous), l’alternative démocratique est la plus désirable et la plus permanente, la méthode totalitaire s’autodétruit à la longue.
    « En octobre 1917, nous avons rompu avec le vieux monde, le rejetant une fois pour toute. Nous progressons vers un monde nouveau, celui du Communisme. Jamais nous ne retournerons en arrière » (M. Gorbatchev, Discours octobre 1987)
    « Le but de la Perestroïka est de rétablir théoriquement et pratiquement le Léninisme » (M. Gorbatchev, « Le Figaro », 01/07/1988)
    « Quiconque voit dans les mutations en cours un échec des idées socialistes, confond ses désirs avec la réalité. Nous réformons la société en fonction des réalités nouvelles, nous améliorons le potentiel des Systèmes socialistes et nous ne quitterons pas cette voie… la progression de la démocratie est une victoire du bon sens. Pour nous, c’est une victoire du Socialisme » (A. Yakovlev, conseiller de Gorbatchev, dans « La Repubblica » le 16/11/1989)
    « Ce socialisme planétaire est en voie d’achèvement si on écoute l’initié G. Bush qui disait en 1989 : “Les dix prochaines années consacreront le triomphe de la démocratie”. Ce triomphe de la démocratie c’est, bien évidemment, celui de la haute finance qui favorise le mondialisme, c’est-à-dire le socialo-marxisme dans son étape finale. » (J. Delacroix)
    « Le communisme soviétique a été l’œuvre de très hautes sociétés secrètes. Est-ce à dire que ce régime politique constitue leur objectif dernier, l’état définitif dans lequel elles abandonneraient le monde, comme si elles bornaient là leur ambition ? Certainement pas. Malgré la menace de le voir se retourner contre elles, elles ne voient en lui qu’un instrument de désorganisation du vieux monde, et de l’Occident en particulier, pour organiser sur ses ruines leur gouvernement mondial. » (P. Virion)
    « Le monde actuel est en voie d’uniformisation totale. L’aspect le plus patent de l’uniformisation du monde qui sévit aujourd’hui est le Mondialisme. Il se fonde principalement, au premier degré, sur des motivations économiques et idéologiques. En effet, il s’avère plus intéressant pour l’industrie et par là pour le système économique transnational, d’avoir plusieurs centaines de millions de consommateurs uniformes plutôt que des groupes de quelques millions bien différenciés. Le monde n’est plus dès lors partagé entre pays, communautés différentes et irréductibles, mais en zones qui sont des espaces quantitatifs consacrés à la distribution des produits. Quant au point de vue idéologique, il ne peut être dissocié de l’économique, car la primauté accordée à ce domaine est le moteur, l’arme et l’outil de la pensée matérialiste. Mais il s’habille d’une morale, les Droits de l’homme, et d’une fausse alternative, Capitalisme et Marxisme. Nous disons fausse, car ces deux tendances sont rigoureusement identiques quant aux principes et à l’objectif. Ce n’est qu’une question de formes et de modalités. Nous assistons aujourd’hui à une lente fusion des vestiges du Capitalisme et de ceux du Marxisme. La finalité est le Mondialisme. » (C. Levalois)
    « Pour l’élite qui opère au niveau profond du pouvoir, le monde est un terrain d’affrontement où toutes les formes de guerre sont permises. L’information est une arme aussi cruciale que l’argent pour la lutte contre les opposants politiques, mais aussi pour le contrôle de l’opinion publique et la manipulation de la démocratie. Les acteurs profonds font l’histoire (history) en racontant des histoires (stories) au peuple. L’expression « état profond » pourrait donc aussi désigner le sommeil hypnotique dans lequel les vrais pouvoirs maintiennent la masse des citoyens pour gouverner à leur insu et, surtout, les amener à approuver la guerre. » (L. Guyénot)
    Rappelons tout d’abord que la chose la plus lucrative qui puisse arriver aux banquiers c’est la guerre. Car cela oblige les pays à emprunter encore et toujours plus d’argent, ce qui permet de générer encore et toujours plus d’intérêts.
    Dans une lettre datée du 15 août 1871, et connue depuis déjà pas mal de temps par de nombreux et « vilains » complotistes, l’écrivain maçonnique américain, Albert Pike, faisait part au révolutionnaire et patriote italien, Giuseppe Mazzini, d’un plan des « Illuminés de Bavière », ou « Illuminati », qui avaient en vue de conquérir le monde par trois guerres mondiales dans le but d’ériger un « Supergouvernement » mondial unique.
    Suite : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/introduction-livres-de-femmes.html

    Répondre
    • Normand Bibeau

      Annwn, le troll anonyme qui devrait s’appeler Âne, il est dégoûtant pour tout révolutionnaire prolétarien de lire vos amalgames pestilentielles répugnants, associant l’infâme dictature de la bourgeoisie avec le marxisme.
      Pour avoir consulté les chroniques de Karl Marx et de Friedrich Engels dans le New-York Daily Tribune, un quotidien réputé pour ses positions anti esclavagiste et en faveur de l’abolition de l’esclavage, hormis leur profondeur d’analyse exceptionnelle et l’infini pertinence de leur contenu économique, j’ai aussi constaté la place infime qui leur était accordée, sur une étroite colonne, noyées parmi d’autres chroniques d’auteurs souvent éminemment célèbres et progressistes.

      Marx était un économiste exceptionnel et ses opinions révolutionnaires devaient être connues de la bourgeoisie selon la logique qu’il faut connaître son ennemi pour le combattre efficacement.

      Mais plus encore, sous l’impitoyable dictature de la bourgeoisie qui fit perdre son poste d’enseignant au professeur Marx en raison de ses opinions révolutionnaires prolétariennes, le camarade Marx en fut réduit pour survivre et servir la révolution à vendre des articles, chichement rémunérés, à des journaux, principalement étrangers.Je défie quiconque de citer un seul article ou un seul commentaire de Marx ou d’Engels parus dans le New-York Daily Tribune ou le New-York Tribune qui ne soient totalement justes et révolutionnaires.

      Sûrement que vous ignorez que Marx était docteur en philosophie et en économie politique, je suppose quand l’apprenant, vous ajouterez à vos amalgames de stupidités que c’est la preuve que ses études furent payées par Rothschild et qu’aussi bardé de diplômes universitaires, il a vendu son âme et son talent à ses professeurs bourgeois, heureusement que la stupidité et le ridicule ne tue pas.

      J’ai noté qu’au début de votre délire réactionnaire d’obédience féodaliste hindouiste obscurantiste moyenâgeux, vous vénérez la féodalité et la bourgeoisie, en particulier le pouvoir héréditaire conféré aux consanguins incestueux transmis entre tarés dégénérés, tantôt par la naissance, tantôt par la fortune comme pour ceux que vous avez appelé les «Vaihyas» (la caste supérieure) par opposition aux non cosanguins, non tarés et non dégénérés les ««Shûdras» ( la caste la plus basse), 2 désignations originant du système suprémaciste, arriéré, oppresseur et exploiteur barbare des castes hindous qui condamnent 1 milliard et demi d’indiens à la pauvreté et à la misère la plus abjecte aux mains de «brahmanes» à moitié nu, sales, infectes, drogués d’opium et de haschich, abrutis de «Shruti» et de «Veda» datant de 2,500 ans, provenant du délire cosmique de cosmonaute de l’imagination enfumée par la drogue dispensant leur «opium du peuple» au peuple indien abruti de misère, au seul profit des capitalistes compradores et des semis-féodaux indiens et de leurs patrons impérialistes mondiaux.

      Votre système de castes et votre délire en résultant est essentiellement de la même nature de classes sociales que le nazisme et le fascisme le plus exécrable et l’humanité sait où ce système putride a conduit le monde: 60 millions de morts, des centaines de millions de blessés, d’estropiés, d’orphelins et un monde dévastés.

      Votre salmigondis d’amalgames n’a d’équivalent que l’abominable brûlot hitlérien, le «Mein kampft».D’ailleurs qui se surprendra d’apprendre que vos castes des «Vaihyas» et des «Shûdras» qui se réclament d’être «aryens» ont servi à Hitler dans sa théorie de la «race supérieure» et leur sigles du «Rig Vada» a servi d’inspiration à la croix gammée horriblement célèbre du nazisme.

      C’est avec horreur et le plus profond dégoût que j’ai lu votre diatribe nauséabonde et bien que je respecte et comprenne que les 7 du Québec pratique une juste politique de liberté d’expression, vos horreurs fallacieuses dépassent largement la liberté d’expression et sont du domaine de la propagande nazie anti-prolétarienne et mérite amplement d’être jetées dans la poubelle et mieux encore révolutionnairement censurées.Ce genre de torchon putride pollue déjà le prolétariat à travers tous les merdias mainstream des milliardaires, assez, c’est assez.

      Répondre
  • Normand Bibeau

    Camarade Robert, merci d’offrir au prolétariat révolutionnaire un outil idéologique pour son émancipation: le marxisme-léninisme.
    A cet opuscule prolétarien, j’oserais proposer d’ajouter: «Que faire» («Questions brûlantes de notre mouvement»,1902), où Lénine explique que le prolétariat doit s’armer idéologiquement et politiquement afin d’accomplir sa mission historique d’abattre le capitalisme et d’instaurer sa propre dictature, la dictature du prolétariat, in concreto, il conclut en la nécessité pour le prolétariat révolutionnaire de se doter de son propre organe de propagande: l’ISKRA (l’ÉTOILE) comme prélude à la création de son parti politique prolétarien, outil organisationnel indispensable à son émancipation.

    «Les luttes économiques pour l’augmentation des salaires et la réduction du temps de travail» qui mobilisaient le prolétariat du début des années 1900 alors que le capitalisme était encore dans sa phase d’expansion mondiale sont devenues alors que le capitalisme est en pleine décrépitude économique, politique et idéologique, celles pour «la participation aux profits de l’exploitation à travers l’actionnariat»; celles «des prébendes étatiques pour les renégats de l’aristocratie syndicale»; de «l’exploitation à domicile par les emplois en vizio; «de l’égalité des sexes dans l’exploitation des esclaves salariés:femmes, hommes,gais,lesbiennes,trans et non genrés»;de la «protection de la nature sous le poids du gaspillage éhonté du capitalisme» et se résumeront pour l’avenir dans celle de la militarisation des économies capitalistes pour la transformation de «la chair à patrons superflue en chair à canons» pour le pillage, le brigandage, la spoliation, l’épuration ethnique, comme en Ukraine, le massacre et jusqu’y compris le génocide comme en Palestine: la bourgeoisie ouvre les portes de l’enfer du capitalisme et en libère les chevaliers de l’apocalypse du capital pour perpétuer sa dictature mortifère et ultimement génocidaire.

    Ainsi que l’ont savamment démontré Marx et Engels dans le Manifeste du Parti communiste: «[C]elui qui ne connaît pas l’histoire est condamné à la revivre» or, il y a fort à craindre que le prolétariat européen sous le matraquage idéologique déchaîné des merdias mainstream des milliardaires, enfumé, entubé, abruti, trompé et dispersé à travers de fausses luttes et des partis bourgeois déguisés en partis «révolutionnaires», tant de «gauches» que de «droites», voire «communistes», «socialistes», «nationalistes»,«patriotiques», ad nauseam, amen, perde la mémoire des 2 précédentes Guerres «Mondiales» qui ont dévasté son territoire et décimé sa population au seul profit des capitalistes qui avaient transféré leurs capitaux dans le complexe militaro-industriel U$ à l’abri de la guerre car le capital n’a pas de patrie.

    L’examen même superficiel des flux de capitaux mondiaux démontre que les capitalistes européens, allemands en particulier, transfèrent leurs capitaux vers les U$A sous le prétexte fallacieux des coûts de l’énergie prohibitifs en Europe.Ces capitalistes renégats occultent que l’explosion des coûts de l’énergie résulte directement de leurs propres politiques dˆhostilités envers leur fournisseur d’énergie bon marché: leurs «ex-ami Poutine» et cela jusqu’y compris l’attentat terroriste avéré perpétré par les «alliés» U$/norvégiens/danois avec les complicités allemande et française, comme l’a révélé Seymour Hersh et le sabotage scandaleux de l’enquête bidon qui a suivi.Est-il besoin dˆêtre devin pour savoir que lorsque les rats et le capitaine quittent le navire s’est qu’il coule?

    PROLÉTAIRES DU MONDE ENTIER UNISSEZ-VOUS,ORGANISEZ-VOUS ET INSTAUREZ VOTRE DICTATURE PROLÉTARIENNE POUR SAUVER L’HUMANITÉ DE SA DESTRUCTION PAR LE CAPITALISME MORIBOND.

    Répondre
  • Le communisme fait parti des PIRES DICTATURES qu’aient connu l’humanité, c’est une vraie HONTE et un VIRUS, tout comme le NAZISME. Donc en faire l’éloge n’est pas très glorieux.. surtout en matière de CONNAISSANCE de l’histoire et de d’évolution sociale des humains. C’est le contraire que nous devons faire et CONDAMNER cette idéologie auto-destructrice en mettant l’accent sur les abominables atrocités commises en son nom sur le peuple russe et ailleurs également. Les pères fondateurs ont frayé avec les créateurs du sionisme mondial, donc il y a eu contamination intellectuelle. Aujourd’hui comme hier, en faire la propagande se résume à tenter de manipuler ceux qui peinent à survivre. La réalité sur le fond est qu’il s’agit toujours de cette même DOMINATION abjecte concernant à asservir les peuples, ceux-là même qu’ils nommaient jadis les «prolétaires» qu’ils n’ont pas hésité une nano seconde à faire périr dans les goulags.

    Désolé, mais je ne suis pas nostalgique du communisme et je ne peux m’empêcher de réagir, de m’opposer TOTALEMENT à cette interprétation erroné de l’histoire où des millions de vies russes ont été balayé par des ASSASSINS sanguinaires. Ils se sont ensuite érigés en véritables IDOLES et ont toujours avancé MASQUÉS.

    En passant, les USA sont sur le point de s’effondrer avec Trump, laissons lui un peu de temps à s’entêter….une méga crise économique les guettent. Ils s’auto détruisent avec leurs ridicules tarifs et en tant que voleurs, ils s’isolent. C’est ce qui sauvera probablement le reste du monde d’un dangereux engrenage, alors qu’eux mêmes connaîtrons une autre forme de guerre civile..

    Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

En savoir plus sur les 7 du quebec

Abonnez-vous pour poursuivre la lecture et avoir accès à l’ensemble des archives.

Poursuivre la lecture