UTOPIA : Ce court métrage illustre à merveille la société capitaliste dystopique, aliénante et fasciste, de gauche comme de droite, dans laquelle les élites bourgeoises veulent nous embrigader.
Encore et toujours cette subtile gestion des contraires…
Quels sont les deux grands ennemis de la civilisation dont nous nous glorifions d’être les tenants ? Il y en a deux, inégalement redoutables, mais causes certaines et les plus effectives du malaise mondial : la finance ou le capitalisme international d’une part, le bolchevisme ou le communisme de l’autre. Celui-ci n’est souvent que la forme brutale du premier. En tout cas ils se tiennent par les liens les plus étroits, l’un aidant l’autre et le subventionnant. Tous deux créent la panique, prélude à la terreur, par la propagation des fausses nouvelles, la suggestion d’une presse à gages, qui démoralise l’adversaire et qui décourage la résistance. Tous deux soudoient les révolutions, renversent les gouvernements, dépossèdent les souverains. Tous deux organisent la spoliation de l’épargne et de la propriété. Tous deux produisent, ou imposent, l’égalité dans la ruine et dans la misère. Poussé par des instincts de lucre ou de domination, égaré aussi par le rêve impossible de Babels humanitaires, le capitalisme international s’abat brutalement sur le pauvre monde ; il renverse, bouleverse et saccage pour l’assouvissement de la plus grossière cupidité, ou la réalisation des plus creuses chimères. Avec tous ses calculs, il agit comme une force aveugle, qui produit et qui détruit avec l’inconscience de la nature.
Autant le capital est sage, réglé, conservateur, prévoyant dans son principe, autant le capitalisme international est révolutionnaire par essence, insoucieux de la mesure, de la stabilité, comme de l’avenir, ignorant du bien et du mal, amoraliste absolu.
Dans quelle mesure le communisme bolcheviste peut-il se passer de cette finance destructrice, semeuse de révolutions, de guerres atroces et de ruines, c’est ce qu’il faudrait pouvoir examiner de près. Ceux qui jouent ce jeu sinistre ne se montrent pas à visage découvert.
Commençons par citer Pierre Virion qui, dans son ouvrage « Les forces occultes dans le monde moderne », écrit « Le communisme soviétique a été l’œuvre de très hautes sociétés secrètes. Est-ce à dire que ce régime politique constitue leur objectif dernier, l’état définitif dans lequel elles abandonneraient le monde, comme si elles bornaient là leur ambition ? Certainement pas. Malgré la menace de le voir se retourner contre elles, elles ne voient en lui qu’un instrument de désorganisation du vieux monde, et de l’Occident en particulier, pour organiser sur ses ruines leur gouvernement mondial. »
Rappelons que le communisme de Marx est une « image-miroir » du nazisme hitlérien : tous deux ont été créés par le cartel des banques centrales, et tous deux sont socialistes. La seule différence est que l’un exalte la race tandis que l’autre met en avant la classe sociale. On retrouve là, le mode opératoire habituel si caractéristique chez les globalistes : la subtile « gestion des contraires ». Du reste, c’était Goebbels en personne qui, en 1936, devant le congrès du parti national-socialiste proclamait : « Notre bataille contre le bolchevisme n’est pas une bataille contre, mais pour le socialisme ». Tandis que l’économiste libéral autrichien Friedrich von Hayek, prix Nobel en 1944, aimait rappeler ces paroles de Hitler : « Fondamentalement le national-socialisme et le marxisme sont identiques ».
Faisons également remarquer que d’un point de vue économique, le Capitalisme monopolistique et le Socialisme sont tous deux les ennemis de la libre concurrence, car la concurrence et les forces du marché, lorsqu’elles ne sont pas « concentrées » dans les mêmes mains, permettent à d’autres de prospérer et, surtout, d’être indépendants. Un gouvernement communiste peut organiser le contrôle social de manière à garantir et à protéger la concentration de la richesse ; le gouvernement communiste peut donner à des cartels le contrôle des matières premières et des marchés, et leur accorder de gros contrats et s’endetter à l’infini auprès d’eux. Chaque secteur de l’économie étant, in fine, contrôlé par une poignée de cartels, réalisant ainsi cette « gestion des contraires » très chère aux organisations secrètes globalistes.
Les principaux éléments du capitalisme libéral, la « Grande Entreprise », n’étaient nullement incompatibles avec le Communisme ou même antipathiques à celui-ci. En effet, le noyau du Manifeste du Parti Communiste de Karl Marx et Friedrich Engels consistait en des politiques capitalistes monopolistiques comme la centralisation du Capital et l’organisation des travailleurs. Marx et Engels ont commencé leur carrière en tant que journalistes travaillant pour des intérêts capitalistes libéraux. Marx travailla plus tard pour le « New York Tribune », dont le propriétaire, Horace Greeley et son éditeur, Charles Anderson Dana, étaient de proches collaborateurs du communiste Clinton Roosevelt, un membre démocrate radical du célèbre Clan Roosevelt, dont les intérêts étaient la banque et la politique.
Wickliffe B. Vennard, dans son ouvrage « The Federal Reserve Hoax – The Age of Deception », écrit : « Sans l’aide reçue de Clinton Roosevelt, d’Horace Greeley et des financiers qu’ils représentaient, Karl Marx serait resté un obscur obsédé révolutionnaire. Greeley a donné à Marx et à son Manifeste communiste une audience internationale. Ils ont promu leur camarade « Illuminé » en le nommant correspondant et analyste politique pour la New York Tribune, le journal de Greeley ».
Joseph A Schumpeter, qui a enseigné à David Rockefeller à Harvard, écrit (Capitalism, Socialism and Democracy) : « Les vrais stimulateurs du socialisme n’étaient pas les intellectuels ou les agitateurs qui l’ont prêché, mais les Vanderbilt, les Carnegie et les Rockefeller ».
Rappelons que la formule suprême et la plus parfaite du Capital est, d’après Marx, l’économie politique libérale anglaise, en particulier la théorie du « libre-échange », du « Marché Universel » d’Adam Smith.
NB : Les pays se sont ruinés sans s’en apercevoir. Comme personne n’apporte de solution miracle (c’est impossible au niveau actuel du Plan), les hommes qui sont au pouvoir visible tentent de créer l’illusion que tout va bien. C’est la raison pour laquelle tout a été fait pour corrompre la classe politicienne. Et les peuples continuent de flatter, pour le temps qui leur reste, ceux qui donnent l’impression d’écarter d’eux toutes les calamités. Inutile de vous dire que cette espérance est et sera trompée. Tous les accords de paix dont vous avez entendu parler depuis la « guerre du Golfe », tous les évènements de Russie faisant croire à une nouvelle ère où le Communisme serait renvoyé au cimetière sont des « composantes » du Plan. Pensez-vous réellement que cette « Organisation » qui a financé Lénine, qui a donné la moitié du monde à Staline avec la complicité des dirigeants de l’époque accepterait de tout arrêter alors qu’elle est si proche du but ? Croyez-vous sérieusement que tous les montages secrets qui ont permis au Socialisme d’être planétaire vont s’arrêter là ?
Comprenez que le Communisme ne sera réellement mort que le jour où son « père nourricier », à savoir le Capitalisme ultra libéral de la Haute Finance, ne sera, lui-même, plus de ce monde !
Avec la grande duperie de la « Perestroïka » (Restructuration) et l’imposture de la « Glasnost » (Transparence), nous assistons depuis quelques temps au « Glissement » mondial (Européen pour commencer) vers une Deuxième « Révolution d’Octobre ».
En 1964, dans « Humanisme et Culture », Edgar Faure écrit : « Le système capitaliste de l’Occident et le socialisme de la Russie cheminent l’un vers l’autre, vers la solution de synthèse… ».
La « solution de synthèse » dont il est question ici, n’est-elle pas l’aboutissement de cette fausse unification finale dont parle l’Apocalypse, ce processus désagréable qu’aujourd’hui nous voyons bien réellement se mettre en place à marche forcée sous l’appellation de « Globalisation » ou « Nouvel Ordre Mondial » ?
Lien : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/introduction-livres-de-femmes.html
Ânewn, l’anonyme troll nazi, persiste et signe son éternel délire démagogique goebelien qui n’a d’égal que les délires nazis de Mein Kampt et devrait être jeté sans ménagement dans la poubelle de l’histoire et chassé ipso facto des commentaires des 7 du Québec.
Les commentaires de cet agent débile du Capital se prétendant au-dessus de la lutte des classes, comme étant ni bourgeois, ni prolétaire, comparant des incomparables: capitalisme et communisme, lutte des classes et lutte des races en mentant scandaleusement sur qui a déformé qui: les nazis inventant la «lutte des races» pour détourner le prolétariat de la «lutte des classes»; confondant «national-socialisme» et «internationalisme-communiste»;proférant des insanités contre Marx et Engels et leur oeuvre révolutionnaire prolétarienne inestimable selon une réthorique totalement nazie, digne de l’exécrable et abjecte brulot Mein Kampt à vomir et qui jetant à la figure du lecteur des amalgames démentiels s’emploie à tromper, abuser, mystifier et abrutir.
Les 7 du Québec devrait appliquer la DICTATURE DU PROLÉTARIAT à l’ignoble ÂNEWN et supprimer sa propagande nazie et lui interdire toute parution car l’époque n’est plus à la tolérance envers nos ennemis de classe qui ne se gêne pas eux pour nous censurer avant que de nous emprisonner et ultimement nous assassiner.
Ânewn à la poubelle car il n’y a aucune place à la discussion avec les nazis, il n’y a que la DICTATURE DU PROLÉTARIAT.
Versão em Língua Portuguesa:
https://queonossosilencionaomateinocentes.blogspot.com/2025/07/utopia-sociedade-capitalista-fascista.html
Encore et toujours cette subtile gestion des contraires…
Quels sont les deux grands ennemis de la civilisation dont nous nous glorifions d’être les tenants ? Il y en a deux, inégalement redoutables, mais causes certaines et les plus effectives du malaise mondial : la finance ou le capitalisme international d’une part, le bolchevisme ou le communisme de l’autre. Celui-ci n’est souvent que la forme brutale du premier. En tout cas ils se tiennent par les liens les plus étroits, l’un aidant l’autre et le subventionnant. Tous deux créent la panique, prélude à la terreur, par la propagation des fausses nouvelles, la suggestion d’une presse à gages, qui démoralise l’adversaire et qui décourage la résistance. Tous deux soudoient les révolutions, renversent les gouvernements, dépossèdent les souverains. Tous deux organisent la spoliation de l’épargne et de la propriété. Tous deux produisent, ou imposent, l’égalité dans la ruine et dans la misère. Poussé par des instincts de lucre ou de domination, égaré aussi par le rêve impossible de Babels humanitaires, le capitalisme international s’abat brutalement sur le pauvre monde ; il renverse, bouleverse et saccage pour l’assouvissement de la plus grossière cupidité, ou la réalisation des plus creuses chimères. Avec tous ses calculs, il agit comme une force aveugle, qui produit et qui détruit avec l’inconscience de la nature.
Autant le capital est sage, réglé, conservateur, prévoyant dans son principe, autant le capitalisme international est révolutionnaire par essence, insoucieux de la mesure, de la stabilité, comme de l’avenir, ignorant du bien et du mal, amoraliste absolu.
Dans quelle mesure le communisme bolcheviste peut-il se passer de cette finance destructrice, semeuse de révolutions, de guerres atroces et de ruines, c’est ce qu’il faudrait pouvoir examiner de près. Ceux qui jouent ce jeu sinistre ne se montrent pas à visage découvert.
Commençons par citer Pierre Virion qui, dans son ouvrage « Les forces occultes dans le monde moderne », écrit « Le communisme soviétique a été l’œuvre de très hautes sociétés secrètes. Est-ce à dire que ce régime politique constitue leur objectif dernier, l’état définitif dans lequel elles abandonneraient le monde, comme si elles bornaient là leur ambition ? Certainement pas. Malgré la menace de le voir se retourner contre elles, elles ne voient en lui qu’un instrument de désorganisation du vieux monde, et de l’Occident en particulier, pour organiser sur ses ruines leur gouvernement mondial. »
Rappelons que le communisme de Marx est une « image-miroir » du nazisme hitlérien : tous deux ont été créés par le cartel des banques centrales, et tous deux sont socialistes. La seule différence est que l’un exalte la race tandis que l’autre met en avant la classe sociale. On retrouve là, le mode opératoire habituel si caractéristique chez les globalistes : la subtile « gestion des contraires ». Du reste, c’était Goebbels en personne qui, en 1936, devant le congrès du parti national-socialiste proclamait : « Notre bataille contre le bolchevisme n’est pas une bataille contre, mais pour le socialisme ». Tandis que l’économiste libéral autrichien Friedrich von Hayek, prix Nobel en 1944, aimait rappeler ces paroles de Hitler : « Fondamentalement le national-socialisme et le marxisme sont identiques ».
Faisons également remarquer que d’un point de vue économique, le Capitalisme monopolistique et le Socialisme sont tous deux les ennemis de la libre concurrence, car la concurrence et les forces du marché, lorsqu’elles ne sont pas « concentrées » dans les mêmes mains, permettent à d’autres de prospérer et, surtout, d’être indépendants. Un gouvernement communiste peut organiser le contrôle social de manière à garantir et à protéger la concentration de la richesse ; le gouvernement communiste peut donner à des cartels le contrôle des matières premières et des marchés, et leur accorder de gros contrats et s’endetter à l’infini auprès d’eux. Chaque secteur de l’économie étant, in fine, contrôlé par une poignée de cartels, réalisant ainsi cette « gestion des contraires » très chère aux organisations secrètes globalistes.
Les principaux éléments du capitalisme libéral, la « Grande Entreprise », n’étaient nullement incompatibles avec le Communisme ou même antipathiques à celui-ci. En effet, le noyau du Manifeste du Parti Communiste de Karl Marx et Friedrich Engels consistait en des politiques capitalistes monopolistiques comme la centralisation du Capital et l’organisation des travailleurs. Marx et Engels ont commencé leur carrière en tant que journalistes travaillant pour des intérêts capitalistes libéraux. Marx travailla plus tard pour le « New York Tribune », dont le propriétaire, Horace Greeley et son éditeur, Charles Anderson Dana, étaient de proches collaborateurs du communiste Clinton Roosevelt, un membre démocrate radical du célèbre Clan Roosevelt, dont les intérêts étaient la banque et la politique.
Wickliffe B. Vennard, dans son ouvrage « The Federal Reserve Hoax – The Age of Deception », écrit : « Sans l’aide reçue de Clinton Roosevelt, d’Horace Greeley et des financiers qu’ils représentaient, Karl Marx serait resté un obscur obsédé révolutionnaire. Greeley a donné à Marx et à son Manifeste communiste une audience internationale. Ils ont promu leur camarade « Illuminé » en le nommant correspondant et analyste politique pour la New York Tribune, le journal de Greeley ».
Joseph A Schumpeter, qui a enseigné à David Rockefeller à Harvard, écrit (Capitalism, Socialism and Democracy) : « Les vrais stimulateurs du socialisme n’étaient pas les intellectuels ou les agitateurs qui l’ont prêché, mais les Vanderbilt, les Carnegie et les Rockefeller ».
Rappelons que la formule suprême et la plus parfaite du Capital est, d’après Marx, l’économie politique libérale anglaise, en particulier la théorie du « libre-échange », du « Marché Universel » d’Adam Smith.
NB : Les pays se sont ruinés sans s’en apercevoir. Comme personne n’apporte de solution miracle (c’est impossible au niveau actuel du Plan), les hommes qui sont au pouvoir visible tentent de créer l’illusion que tout va bien. C’est la raison pour laquelle tout a été fait pour corrompre la classe politicienne. Et les peuples continuent de flatter, pour le temps qui leur reste, ceux qui donnent l’impression d’écarter d’eux toutes les calamités. Inutile de vous dire que cette espérance est et sera trompée. Tous les accords de paix dont vous avez entendu parler depuis la « guerre du Golfe », tous les évènements de Russie faisant croire à une nouvelle ère où le Communisme serait renvoyé au cimetière sont des « composantes » du Plan. Pensez-vous réellement que cette « Organisation » qui a financé Lénine, qui a donné la moitié du monde à Staline avec la complicité des dirigeants de l’époque accepterait de tout arrêter alors qu’elle est si proche du but ? Croyez-vous sérieusement que tous les montages secrets qui ont permis au Socialisme d’être planétaire vont s’arrêter là ?
Comprenez que le Communisme ne sera réellement mort que le jour où son « père nourricier », à savoir le Capitalisme ultra libéral de la Haute Finance, ne sera, lui-même, plus de ce monde !
Avec la grande duperie de la « Perestroïka » (Restructuration) et l’imposture de la « Glasnost » (Transparence), nous assistons depuis quelques temps au « Glissement » mondial (Européen pour commencer) vers une Deuxième « Révolution d’Octobre ».
En 1964, dans « Humanisme et Culture », Edgar Faure écrit : « Le système capitaliste de l’Occident et le socialisme de la Russie cheminent l’un vers l’autre, vers la solution de synthèse… ».
La « solution de synthèse » dont il est question ici, n’est-elle pas l’aboutissement de cette fausse unification finale dont parle l’Apocalypse, ce processus désagréable qu’aujourd’hui nous voyons bien réellement se mettre en place à marche forcée sous l’appellation de « Globalisation » ou « Nouvel Ordre Mondial » ?
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Ânewn, l’anonyme troll nazi, persiste et signe son éternel délire démagogique goebelien qui n’a d’égal que les délires nazis de Mein Kampt et devrait être jeté sans ménagement dans la poubelle de l’histoire et chassé ipso facto des commentaires des 7 du Québec.
Les commentaires de cet agent débile du Capital se prétendant au-dessus de la lutte des classes, comme étant ni bourgeois, ni prolétaire, comparant des incomparables: capitalisme et communisme, lutte des classes et lutte des races en mentant scandaleusement sur qui a déformé qui: les nazis inventant la «lutte des races» pour détourner le prolétariat de la «lutte des classes»; confondant «national-socialisme» et «internationalisme-communiste»;proférant des insanités contre Marx et Engels et leur oeuvre révolutionnaire prolétarienne inestimable selon une réthorique totalement nazie, digne de l’exécrable et abjecte brulot Mein Kampt à vomir et qui jetant à la figure du lecteur des amalgames démentiels s’emploie à tromper, abuser, mystifier et abrutir.
Les 7 du Québec devrait appliquer la DICTATURE DU PROLÉTARIAT à l’ignoble ÂNEWN et supprimer sa propagande nazie et lui interdire toute parution car l’époque n’est plus à la tolérance envers nos ennemis de classe qui ne se gêne pas eux pour nous censurer avant que de nous emprisonner et ultimement nous assassiner.
Ânewn à la poubelle car il n’y a aucune place à la discussion avec les nazis, il n’y a que la DICTATURE DU PROLÉTARIAT.
BIS AU COMMENTAIRE DE NORMAND BIBEAU
L’histoire de l’humanité est l’histoire de la lutte de classe, notamment contre le fascisme bourgeois dégénéré.
robert