tu connais l’expression, bonnet blanc, blanc bonnet ? ou encore, il ne faut pas choisir entre la peste et e choléra ?
et bien, c’est plus ou moins la même chose entre les médias officiels et les médias officieux ou communautaires, car au final, s’ils se battent sur la forme, la majorité défend le même système de prédation.
Ainsi, peux tu me dire la différence de fond entre Trump ou Harris ?
Je n’en vois pas, seulement une différence de forme.
Bref, je connais pas le gars de la vidéo, mais je suis bien plus critique envers l’idiot utile que l’ennemi déclaré, car le premier est l’ennemi de l’intérieur, celui qui croyant combattre son ennemi, lui sert la soupe. A « l’insu de son plein gré ».
Si chez toi règne le brouhaha, la cacophonie, personne comprend son voisin et dès lors il n’y a pas d’unité possible autour de la seule chose qui doit s’imposer à tous, c’est à dire, la dialectique de la raison pure ou analyse du principe de causalité afin d’en caractériser la relation causale qui permet d’atteindre le but désiré.
Car toute autre option entraîne le plu souvent vers l’échec. Surtout lorsque les options sont très limités, pour ne pas dire unique.
Bref, ce n’est pas parce que tu es en dehors de la pensée officielle de l’élite prédatrice qui a le contrôle de l’appareil médiatique le plus écouté, que tu défend une pensée divergente, pour cela, il n’y a que la réalité pour en fournir la preuve.
Par exemple, dès lors où j’entends ou lis quelqu’un défendre le principe de la souveraineté des nations au niveau international, je sais que j’ai affaire pour le moins à un idiot utile et pour le pire, un manipulateur, donc, quelqu’un qui fait croire défendre un idéal pour mieux le combattre. Ceux qu’on appelle des infiltrés.
Si ceux qui veulent un monde plus juste et en paix relationnelle obéissaient au principe de causalité pour identifier le moyen pour atteindre le but voulu, alors, il serait possible de changer les choses, mais tant que chacun persiste à prendre ses désirs pour la réalité, alors, rien ne peut changer.
Car vois tu, seule l’union universelle des citoyens peut changer le monde actuel, tout maintient de la division entre les peuples interdisant de changer de système.
La réalité obéit au principe de causalité, pas aux êtres, pour qui tout l’art est dans la capacité à manipuler les imaginaires des individus pour leur faire prendre des vessies pour des lanternes, telle que leur faire croire que la souveraineté nationale est celle du peuple et non de l’élite prédatrice.
Car comme le disait le grand Voltaire « un pays bien organisé, est celui où le petit nombre fait travailler le grand, est nourri par lui et le gouverne ».
Et l’état d’urgence, donc menace ou état de guerre permanent est le seul et unique argument pour obtenir la soumission volontaire du grand nombre et d’interdire toute opposition au petit nombre.
oui en effet seul la solidarité de classe = prolétarienne = peut briser l’étau oppresseur – castrateur du Capital.
Les conditions objectives du capitalisme – sa dégénérescence – permettrons cette solidarité antagoniste en opposition Capital – contre travail salarié aliéné…libéré parce que conscient
Ping : La déconfiture du complexe industriel médiatique bourgeois – la dégénérescence mora le du Capital (Ricardo) | Raimanet
Versão em Língua Portuguesa:
https://queonossosilencionaomateinocentes.blogspot.com/2024/11/o-colapso-do-complexo-industrial-da.html
Les vrais medias sont les petits medias alternatifs, tous le reste est bon pour la poubelle.
Bonjour Robert,
tu connais l’expression, bonnet blanc, blanc bonnet ? ou encore, il ne faut pas choisir entre la peste et e choléra ?
et bien, c’est plus ou moins la même chose entre les médias officiels et les médias officieux ou communautaires, car au final, s’ils se battent sur la forme, la majorité défend le même système de prédation.
Ainsi, peux tu me dire la différence de fond entre Trump ou Harris ?
Je n’en vois pas, seulement une différence de forme.
Bref, je connais pas le gars de la vidéo, mais je suis bien plus critique envers l’idiot utile que l’ennemi déclaré, car le premier est l’ennemi de l’intérieur, celui qui croyant combattre son ennemi, lui sert la soupe. A « l’insu de son plein gré ».
Si chez toi règne le brouhaha, la cacophonie, personne comprend son voisin et dès lors il n’y a pas d’unité possible autour de la seule chose qui doit s’imposer à tous, c’est à dire, la dialectique de la raison pure ou analyse du principe de causalité afin d’en caractériser la relation causale qui permet d’atteindre le but désiré.
Car toute autre option entraîne le plu souvent vers l’échec. Surtout lorsque les options sont très limités, pour ne pas dire unique.
Bref, ce n’est pas parce que tu es en dehors de la pensée officielle de l’élite prédatrice qui a le contrôle de l’appareil médiatique le plus écouté, que tu défend une pensée divergente, pour cela, il n’y a que la réalité pour en fournir la preuve.
Par exemple, dès lors où j’entends ou lis quelqu’un défendre le principe de la souveraineté des nations au niveau international, je sais que j’ai affaire pour le moins à un idiot utile et pour le pire, un manipulateur, donc, quelqu’un qui fait croire défendre un idéal pour mieux le combattre. Ceux qu’on appelle des infiltrés.
Si ceux qui veulent un monde plus juste et en paix relationnelle obéissaient au principe de causalité pour identifier le moyen pour atteindre le but voulu, alors, il serait possible de changer les choses, mais tant que chacun persiste à prendre ses désirs pour la réalité, alors, rien ne peut changer.
Car vois tu, seule l’union universelle des citoyens peut changer le monde actuel, tout maintient de la division entre les peuples interdisant de changer de système.
La réalité obéit au principe de causalité, pas aux êtres, pour qui tout l’art est dans la capacité à manipuler les imaginaires des individus pour leur faire prendre des vessies pour des lanternes, telle que leur faire croire que la souveraineté nationale est celle du peuple et non de l’élite prédatrice.
Car comme le disait le grand Voltaire « un pays bien organisé, est celui où le petit nombre fait travailler le grand, est nourri par lui et le gouverne ».
Et l’état d’urgence, donc menace ou état de guerre permanent est le seul et unique argument pour obtenir la soumission volontaire du grand nombre et d’interdire toute opposition au petit nombre.
Cqfd…
oui en effet seul la solidarité de classe = prolétarienne = peut briser l’étau oppresseur – castrateur du Capital.
Les conditions objectives du capitalisme – sa dégénérescence – permettrons cette solidarité antagoniste en opposition Capital – contre travail salarié aliéné…libéré parce que conscient
Robert Bibeau