«La liberté n’est que la compréhension du règne de la nécessité» ( Friedrich Engels).
Promouvoir la «liberté» comme la «finalité souhaitable» de l’activité humaine consiste essentiellement à nier la réalité même de l’existence qui n’en est qu’une de soumission «réfléchie» à la dictature de la nature.
Ainsi, vouloir voler pour réaliser sa «liberté» en se précipitant du haut d’une montagne n’est qu’une condamnation à mort assuré.Accepter la dictature de la matérialité qu’on ne peut voler par sa seule volonté de «liberté » mais qu’on peut y arriver en acceptant le «règne de la nécessité» de la gravité et se doter d’ailes et d’une propulsion adéquate est la seule façon vraiment «libre» de voler.
La «liberté» telle que promue par cette réthorique bourgeoise n’est, en somme, que la dictature du plus fort sur le plus faible, du possédant sur le possédé, du riche sur le pauvre, du capitaliste sur le prolétaire comme l’illustre toute l’histoire de l’humanité depuis l’avènement de la propriété privée, de l’État et des classes sociales.
Lorsque madame accuse le «matérialisme» d’être la cause de tous les maux qui accablent l’humanité, elle confond «matérialisme» et «édonisme», «science» et exploitation.
En effet Normand, la petite bourgeoisie bien intentionnée, mais errantique, enrage de constater que les belles idées – et les sophismes – ne font plus recettes en ces temps de Chaos – de crises – d’effondrement civilisationnelle – de guerres et de macabres exterminations des « classes inférieures » des peuples inféodés.
Nous savons nous que La classe dite « inférieure » – la classe prolétarienne – prépare son retour sur la scène de l’histoire = « Prolétariat is back ».
Versão em Língua Portuguesa:
https://queonossosilencionaomateinocentes.blogspot.com/2025/03/a-burguesia-europeia-parte-para-guerra.html
«La liberté n’est que la compréhension du règne de la nécessité» ( Friedrich Engels).
Promouvoir la «liberté» comme la «finalité souhaitable» de l’activité humaine consiste essentiellement à nier la réalité même de l’existence qui n’en est qu’une de soumission «réfléchie» à la dictature de la nature.
Ainsi, vouloir voler pour réaliser sa «liberté» en se précipitant du haut d’une montagne n’est qu’une condamnation à mort assuré.Accepter la dictature de la matérialité qu’on ne peut voler par sa seule volonté de «liberté » mais qu’on peut y arriver en acceptant le «règne de la nécessité» de la gravité et se doter d’ailes et d’une propulsion adéquate est la seule façon vraiment «libre» de voler.
La «liberté» telle que promue par cette réthorique bourgeoise n’est, en somme, que la dictature du plus fort sur le plus faible, du possédant sur le possédé, du riche sur le pauvre, du capitaliste sur le prolétaire comme l’illustre toute l’histoire de l’humanité depuis l’avènement de la propriété privée, de l’État et des classes sociales.
Lorsque madame accuse le «matérialisme» d’être la cause de tous les maux qui accablent l’humanité, elle confond «matérialisme» et «édonisme», «science» et exploitation.
En effet Normand, la petite bourgeoisie bien intentionnée, mais errantique, enrage de constater que les belles idées – et les sophismes – ne font plus recettes en ces temps de Chaos – de crises – d’effondrement civilisationnelle – de guerres et de macabres exterminations des « classes inférieures » des peuples inféodés.
Nous savons nous que La classe dite « inférieure » – la classe prolétarienne – prépare son retour sur la scène de l’histoire = « Prolétariat is back ».
Robert Bibeau