INTERDIRE UN “DROIT PAÏEN” DE DOMINATION PAR STEVEN NEWCOMB
Steven Newcomb magicien des mots pour nous faire tutoyer les étoiles ;
Steven Newcomb – Universitaire, juriste, chercheur et écrivain Shawnee-Lenape – Auteur du livre : « Pagans in the Promised Lands : Decoding the Doctrine of Christian Discovery » et grâce aux larges extraits de traduction de l’anglais au français par Résistance71 en version PDF {N°4} de 45 pages ici ► « Païens en Terre Promise décoder la Doctrine Chrétienne de la Découverte » nous emmène toujours plus loin dans la sémantique, car les mots sont une arme et bien utilisés ils nous permettront CONJOINTEMENT (Indigènes et Non-indigènes) de faire tomber TOUS les empires en retirant notre consentement, d’un coup sec sous les pieds de l’Oligarchie régnante et un chouïa aux abois quand même. Car elle ne se cache même plus comme vous pouvez le lire dans mon billet du 11 juillet ► Macron : un gouvernement au service du fric et des patrons ! Édito de la CNT-SO. Car en France, par la Nouvelle Voix de Son Maitre, le nouveau Zident véritable cheval de Troie américain placé à l’Élysée directement par les Maitres agissant dans l’ombre pour finaliser le Plan qui a toujours été de « Tuer l’Indigène pour sauver l’Homme » Blanc et de surcroit Chrétien et cela fut rendu possible avec la mise en place des Pensionnats pour Indiens dès 1820 et jusqu’en 1980 aux USA, et dès 1840 et jusqu’en 1996 au Canada…
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Résistance au colonialisme : L’origine pseudo-légale raciste de l’ordre colonialiste Zuniens (Steven Newcomb)
Interdire un “droit païen” de domination
Steven Newcomb | 19 juillet 2017 | URL de l’article original ► https://indiancountrymedianetwork.com/news/opinions/disallowing-heathen-right-domination/
Traduit de l’anglais par Résistance 71 – URL de l’article ► https://resistance71.wordpress.com/2017/07/24/resistance-au-colonialisme-lorigine-pseudo-legale-raciste-de-lordre-colonialiste-uniens-steven-newcomb/
Lorsqu’un écrivain exprime une réalité particulière, la “réalité” exprimée est alors créée par l’esprit de l’écrivain. Lorsque le juge de la Cour Suprême des États-Unis (CSEU) John Marshall a écrit le compte-rendu du verdict de la CS dans l’affaire Johnson c. M’Intosh en 1823, il a mentalement créé cette version de la “réalité” : A chaque fois qu’un “peuple chrétien” localise une terre habitée par des païens, ceci donne automatiquement aux chrétiens un “titre [de propriété] ultime” sur cet endroit non-chrétien.
Ce que disait en fait Marshall dans ce rendu de l’affaire Johnson est ceci : Lorsque les chrétiens européens ont fait voiles vers quelques endroits non-chrétiens où aucun chrétiens n’avaient jamais été, les chrétiens se sont mentalement, métaphoriquement imaginés comme ayant ou “détenant” le titre de propriété sur les terres et les nations impliquées. Mais il y a quelque chose que Marshall n’a pas expliqué. Si ces évènements engendrant le “titre” se sont bien passés, ils ne se sont pas produits physiquement, ils se sont produits MENTALEMENT, comme le résultat d’un processus de pensée des chrétiens au sujet des terres “n’étant pas possessions d’un prince chrétien”. Les guillemets de ce qui précède sont mis pour noter le côté imaginaire et mental des constructions métaphoriques que nous sommes maintenant capables d’identifier, de défier et de contester mentalement avec notre propre processus de pensée.
Marshall a utilisé son écriture de la décision de l’affaire Johnson c. M’Intosh pour créer une version fondatrice d’une réalité juridique fondée sur la relation chrétien/non-chrétien. Il l’a fait en créant mentalement et en narrant une histoire particulière au nom de la CSEU. Ce fut une histoire que lui et le reste des juges de la CS avaient l’intention de faire garder par le gouvernement des États-Unis afin de pouvoir utiliser les profits et bénéfices de tout ceci politiquement et économiquement pour leurs générations futures et, plus important encore, comme moyen de créer et d’exercer un système de domination sur nos nations natives du continent.
Comme base de cette histoire qu’il racontait au nom des États-Unis, Marshall utilisait des mots et des idées en provenance d’anciens documents comme les bulles pontificales du Vatican et les chartes royales anglaises. Ces documents, de la même façon, émanèrent des esprits de leurs auteurs et furent mis en œuvre par les pouvoirs politiques et leurs institutions. Marshall expliquait une histoire au sujet du comment l’affirmation d’un droit chrétien de domination fut en premier lieu mentalement créé dans “les Amériques” (l’Île de la Grande Tortue) et c’est pourquoi il écrivit ceci :
“Aucune des puissances d’Europe ne donna plus son consentement à ce principe [de domination] et ce sans équivoque possible, que l’Angleterre. Les documents à ce sujet sont nombreux et complets. Dès 1496, le monarque anglais donna une commission aux Cabots [père et fils] pour découvrir des pays et terres jusqu’ici inconnus du peuple chrétien et d’en prendre possession au nom du roi d’Angleterre. Dans la commission à John Cabot et à ses fils était inclue une présomption qu’un monarque chrétien (en l’occurrence le roi Henri VIII), avait le droit de dominer des terres qui, jusqu’à ce qu’un représentant du monde chrétien ne s’y rende, étaient “incognito” au “peuple chrétien”. La charte Cabot et les décrets pontificaux du Vatican assumèrent que le “peuple chrétien” possédait automatiquement un droit divin de domination sur toutes terres non -chrétiennes qu’il était capable de localiser et d’envahir.” [Pages 85/86 de la version papier du livre Pagans in the Promise Land, et page 29 de la version PDF en français Païens en Terre Promise]
Dans la version originale latine de la charte royale Cabot, dont je possède une copie, plusieurs termes de “domination chrétienne” sont utilisés: “Dominium Titulum” (domination du titre), “subjugare” (dominer, subjuguer). “jurisdictio” (diriger ou contrôler comme moyen de dominer avec succès). Avec pour résultat la loi fédérale indienne qui est enracinée dans le verdict de Johnson c. M’Intosh, ces termes de domination sont toujours utilisés aujourd’hui par le gouvernement des États-Unis contre nos nations natives et pour clamer nos terres et nos territoires. L’histoire de Marshall dans son rendu du verdict de Johnson pourrait être intitulé* Il était une fois, des chrétiens envahirent des terres non-chrétiennes où les processus de la pensée chrétienne n’avaient jamais été encore exprimé.”
Le point important est le suivant : à chaque fois que des chrétiens envahissaient un endroit non-chrétien, les voyageurs, colons de la chrétienté avaient pour intention de créer une “réalité chrétienne” de colonisation et de domination avec l’intention de profiter des ressources existant sur place. C’est çà l’histoire que le juge Marshall expliquait au nom de la CSEU dans son rendu du verdict de l’affaire Johnson contre M’Intosh. Marshall disait que lorsque les chrétiens arrivèrent sur les terres des “natifs qui étaient des païens” (des mots même de Marshall), les chrétiens refusèrent de reconnaître les nations non-chrétiennes comme ayant un “droit du sol”. Les chrétiens refusèrent de penser que toute “nation païenne” avait un “droit de domination de propriété” sur sa propre terre non-chrétienne.
Il est important ici de garder présent à l’esprit que ce que le juge Marshall a écrit au sujet du passé dans le rendu du verdict de l’affaire Johnson, n’est pas ce qui s’est PHYSIQUEMENT passé, mais ce que Marshall a imaginé métaphoriquement et donc déclaré s’être passé quelques siècles plus tôt. Ce qu’il coucha sur le papier furent ses projections de l’imaginaire et son interprétation. Marshall y exprima son propre rendu imaginaire des évènements passés.
Maintenant, à chaque fois que nous relisons le verdict de Johnson, nous recréons de nouveau dans notre esprit la description mentale de Marshall du passé qu’il a créé dans son esprit. Ce fut ce processus mental que le juge Stanley Reed, dans une opinion écrite contradictoire qu’il écrivit dans United States v. Alcea Band of Tillamooks, utilisa pour faire sa déclaration au sujet d’une “théorie” dit-il que l’on trouve dans le verdict de l’affaire Johnson, stipulant qu’une découverte par les nations chrétiennes leur a donné la souveraineté [domination] sur le titre de propriété des terres découvertes.
Pensez-y. Si les chrétiens avaient mentalement reconnu pour toute “nation païenne” d’avoir un “droit de domination” sur son propre territoire, ceci pourrait logiquement mené à la conclusion que l’autorité de la nation païenne dans son propre pays était absolue et exclusive, à l’exclusion donc des chrétiens. A son tour, ceci pourrait mener à un argument puissant disant que les “païens” avaient le droit fondamental d’exclure les envahisseurs chrétiens de manière permanente et de nier leur “prétention” à un droit sur le titre de propriété en sol païen. Il semblerait que ceci soit l’intention clef du verdict de Johnson c. M’Intosh : d’empêcher toute pensée possible sur un “droit de domination païen” (dominion absolu).
La plupart des natifs ne savent toujours pas qu’une “réalité” mentalement créée de domination chrétienne est étroitement imbriquée dans le rendu du verdict de l’affaire Johnson c. M’Intosh. Ils ne savent pas non plus que ce droit affirmé de domination chrétienne sur des non-chrétiens est la base, la fondation dans la loi et politique fédérales indiennes. Non seulement un droit assumé de domination des États-Unis sur nos nations est utilisé contre nous ; ceci est aussi masqué avec succès derrière de telles phrases : “la relation de confiance”, “le pouvoir plénier du Congrès des États-Unis”, “le titre aborigène” et “le droit d’occupation des sols”.
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Steven Newcomb en décodant le processus mental du Juge Marshall qui l’a conduit à rendre sa décision dans l’affaire Johnson vs McIntosh en 1823, cracke du même coup le processus mental des premiers colons/envahisseurs/exterminateurs, qui avait été implanté dans leur cortex par les hommes en jupe, les papes ; (lire les bulles papales de 1455 et 1493, et l’édit de Boniface VIII en 1302 qui a affirmé péremptoirement posséder tout être vivant, la planète et tout ce qu’elle contient ; il l’a fait au travers d’une bulle (édit) pontifical auto-déclaré. Il affirma être le représentant de “dieu” sur Terre. (NdT : bulle Unam Sanctam, 1302: http://didascale.com/bulle-unam-sanctam-1302-de-boniface-viii/ ) grâce à la Nation Mohawk qui nous le rappelle là.) soit la codification « secrète » de la domination sur la Terre par l’esprit des hommes blancs exclusivement et en application stricte du Livre de la Genèse ;
Le Livre de la Genèse est le premier livre de la Torah (Pentateuque), et donc de la Bible. Ce livre est fondamental pour le judaïsme et le christianisme. Récit des origines, il commence par celui de la création du Monde par Dieu, suivi d’un second relatant celle du premier couple humain. Ce second récit génésiaque montre ensuite qu’Adam et Ève, qui forment ce premier couple, désobéissent, et sont alors exclus du jardin d’Éden. Dieu détruit ensuite l’Humanité par le Déluge, dont seuls Noé et sa famille sont sauvés. Enfin, Dieu différencie les langues et disperse l’Humanité sur la surface de la Terre, lors de l’épisode de la tour de Babel. Après cela, l’essentiel de la Genèse est consacré aux histoires d’Abraham, de Jacob et de Joseph.
Et ici sur ce blog, comme sur R71 ; Nous documentons que les récits bibliques décrits dans le Livre de la Genèse, l’Ancien Testament et tout récit mythologique y afférent sont des mythos, comme l’histoire biblique de Joseph qui selon les travaux de recherche du Dr. Ashraf Ezzat coule comme le Titanic, les preuves dans ce PDF N° 3 TRADUCTION DE LA BIBLE & ESCROQUERIE HISTORIQUE
Voilà leur PLAN depuis toujours, il est dévoilé, là, sous nos yeux. Newcomb en décodant la doctrine chrétienne de la découverte, vient de cracker le code secret de la domination mise en œuvre par les croyants de tout poils et la réactivation du Plan avec la théorie de la dévolution que professent les Créationnistes dont les disciples et ardents défenseurs sont placés à des points les plus stratégiques (voir Kabbalistiques) comme les Bush (De Prescott à Junior) et dans l’administration Trump avec Pence en tête mais Pruitt, Puzder, Bannon, et en France avec l’avènement du demi-dieu autoproclamé ; Jupiter 1er.
Avec le créationnisme : Théorie qui trouve ses origines dans le livre de la Genèse et qui s’oppose à l’évolutionnisme, concept créé aux USA par des fondamentalistes religieux qui voudraient voir la Bible prendre place au cœur de l’enseignement. Les méthodes du créationnisme s’affinent, jouent sur les ambiguïtés et sur le langage, et avancent sans heurt majeur, avec l’aval d’un président Bush aux USA comme on a pu le documenter très précisément lorsqu’en 2003 ; Bush confiait à Chirac : « il faut envahir l’Irak pour stopper les hordes de Gog et Magog » qu’un Jacques Chirac découvrait un poil effaré quand même, qu’il questionnât rien moins que le spécialiste de l’Ancien Testament ; Thomas Römer, expert à l’UNIL ► À lire absolument ICI avec le PDF en lien édifiant dont le titre est sans équivoque : Georges W. Bush et le Code Ézéchiel . Ézéchiel facilite le soutien américain à Israël. Plus largement, ce texte d’Ézéchiel explique les liens très forts qui se sont tissés entre les États-Unis et l’État d’Israël. «Pour George W. Bush, ce texte a des conséquences politiques, poursuit Thomas Römer. Comme de nombreux chrétiens américains, il croit que Dieu sera auprès d’Israël lors de la confrontation finale, donc que les ennemis de ce pays seront dans le camp de l’Antéchrist. Il soutiendra donc Israël sans faiblir, parce qu’il est intimement persuadé que, quand la fin des temps arrivera, il faudra être du côté d’Israël.»
Et l’on comprend maintenant ce lien indéfectible entre les Zunies et Israël et sans cesse resserré par tous les Potus et Trump ne pouvait y faire exception si ce n’était lui-même, par l’entremise de son Vice-Président : Mike Pence et de tous les Néo-con et ça fait du monde…
Du « Procès du Singe » en 1925 au créationnisme scientifique des années 1980 (sous Reagan donc) lisez, par vous-mêmes ► http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article418 .
Et comprenez pourquoi il nous est si difficile (mais nullement impossible) de faire tomber l’empire anglo-américano-christo-sioniste ;
Le 21 juillet 1925, un juge du Tennessee condamnait un jeune enseignant, Thomas Scopes, à une amende de 100 $ pour avoir enseigné l’évolution aux élèves de l’école publique de Dayton… Une loi de l’État qui interdisait à « tout enseignant d’Université, d’École normale ou de toute autre école publique financée partiellement ou totalement par des fonds de l’État, une théorie qui nie l’histoire de la Création divine de l’homme, telle qu’elle est enseignée dans la Bible ». En 1981, point d’orgue de la campagne, une loi votée par 69 voix contre 18 par la chambre de l’État de l’Arkansas précise que « à l’intérieur de l’État, les écoles publiques devront dispenser un enseignement équivalent du créationnisme et de l’évolutionnisme ».
Aux créationnistes de la Terre, aux croyants de tout poil ;
Vous qui croyez en l’Éternel votre Dieu qui prédisposa dans le DEUTÉRONOME 7: 1-2, 5-6 de l’ancien testament de la Bible : Lorsque l’Éternel, ton dieu, t’auras fait entrer dans le pays dont tu vas prendre possession et qu’il chassera devant toi beaucoup de nations et que tu les auras battues alors tu devras les détruire entièrement.
Tu ne traiteras point d’alliance avec elles, et tu ne leur feras point grâce, tu ne laisseras la vie sauve à aucun d’entre eux.
Voici au contraire comment tu agiras à leur égard : tu renverseras leurs autels, tu briseras leurs statues, tu abattras leurs idoles et leurs arbres et tu les brûleras au feu.
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Non seulement les peuples originels sont toujours là, debout, mais nous nous tenons à leurs côtés. Ces peuples que vous déclarés Res Nullius en Terra Nullius aujourd’hui comme hier, leur déniant même leur ancestralité alors qu’elle est prouvée ;
Charles C. Mann dans son excellent ouvrage « 1491 » écrit ceci p.186 : « La nouvelle preuve archéologique était depuis Monte Verde, un bord de rivière chilien qui fut recherché par l’archéologue Tom Dillehay de l’université du Kentucky et Mario Pino de l’université du Chili à Valvidia avec une équipe d’étudiants et de spécialistes. Ils commencèrent leurs travaux de recherche de terrain en 1977 et terminèrent les travaux archéologiques en 1985. Ils publièrent les résultats de leurs recherches en deux énormes volumes en 1989 et en 1997… Une des conclusions est que des Paléo-Indiens ont occupé Monte Verde il y a au moins 12 800 ans. Non seulement cela, mais ils trouvèrent de très bonnes indications de la présence d’habitations humaines datant d’il y a plus de 32 000 ans, […] Donc si Monte Verde était au minimum vieux 12800 ans, les Indiens ont dû venir dans les Amériques des milliers d’années auparavant [pour se retrouver au Chili à cette époque]… »
Et que vous pouvez compléter par Marylène Patou-Mathis, qui dans son livre « Néanderthal, une autre humanité », indique que les premières traces de feu humain en France par exemple ont été trouvées en Bretagne et date d’il y a plus de 450 000 ans, foyers allumés par des pré-néanderthaliens. Les grottes de Lascaux datent de -25 000 à -29 000 ans.
Les preuves archéologiques des pré-néanderthaliens datant d’entre – 500 000 et – 350 000 ans sont communes et abondantes. Notamment avec la découverte de « l’homme de Tautavel » dans les Pyrénées Orientales.
Les plus anciennes traces archéologiques pré-néanderthaliennes retrouvées en Europe ont été trouvées en Espagne à Gran Dolina dans la Sierra d’Arapuerca sur un site daté d’environ 800 000 ans… Aussi les plus anciens fossiles humains européens ont été découverts à Dmanissi en Géorgie et sont datés de 1,8 millions d’années.
Et si nous sommes encore trop peu, nous n’en sommes pas moins déterminés à démontrer que L’ENTRAIDE est bien un facteur d’évolution…
JBL1960
Mise à Jour du 7 juin 2018
Comprendre le système légal de l’oppression coloniale pour mieux le démonter ;
N° 47 avec Steven Newcomb, PDF de 106 pages ► Comprendre le système légal de l’oppression coloniale pour mieux le démonter avec Steven Newcomb
Introduit par ce billet de blog ► Comprendre le système légal de l’oppression coloniale pour mieux le démonter ! en versions PDF et mis à jour le 14/04/2018 car les liens de renvoi vers les PDF étaient vérolés !
Sur la référence à l’œuvre phare de Pierre Kropotkine, L’Entraide comme facteur de l’évolution : Kropotkine est considéré comme un des « pères » de la sociobiologie, surtout pour sa critique fondée et constructive des dogmes pseudo-scientifiques du darwinisme-social colportés par des gens comme Herbert Spencer et Thomas Huxley + Malthus + Darwin = X-Club (1865)
Les X-Mens sont encore à la manœuvre en mai 2020 ► https://jbl1960blog.wordpress.com/2020/05/22/cov19-ogm-comment-le-x-club-de-thomas-huxley-crea-le-magazine-nature-et-sabota-la-science-pour-150-ans-source-vt-traduction-r71-jbl/
Tout dernier PDF de 19 pages à ce sujet ► https://jbl1960blog.files.wordpress.com/2020/05/laffaire-cov19-ogm.pdf
Et importantes mises à jour du Dossier Spécial Coronavirus au format PDF ► https://jbl1960blog.files.wordpress.com/2020/05/dossier-coronavirus-cov19-jbl1960-maj-de-mai-2020.pdf
En France la distanciation sociale, ou la peur de l’autre, est bien rentrée dans la tête des gens.
Ils ont le trouillomètre à zéro, et attendent le vaccin, et tout ce qui va avec, comme le Saint-Graal !…
Là on sait qu’on n’a pas le cul sorti des ronces.
JBL