7 au Front

Les huit étapes de l’arnaque climatique anthropique expliquées et commentées (dossier)

Par Robert Bibeau.

Connaissez-vous les étapes du changement selon John Kotter ? Cette théorie managériale s’applique parfaitement à toutes les manœuvres politiques liées au changement climatique. En appliquant ce modèle aux décisions de la classe au pouvoir liées à cet alarmisme climatique, vous comprendrez ce qui se passe.

Première étape : créer un sentiment d’urgence 

Les acteurs de l’alarmisme ont construit, dès les années 1980, une narration de crise existentielle :
« L’humanité est en danger », « la planète brûle », « il ne reste que dix ans ».

En stratégie du changement, cette étape vise à provoquer une réaction émotionnelle collective (peur, panique, culpabilité) pour forcer la mobilisation.

  • Diffusion d’images de catastrophes naturelles ;
  • Répétition des échéances (« 2020 », « 2030 », « 2050 ») ;
  • Assimilation du scepticisme à une irresponsabilité morale.
Résultat : un état d’urgence permanent qui justifie l’action politique radicale et empêche le débat contradictoire.

Deuxième étape : former une coalition dirigeante

Les institutions internationales, grandes ONG et leaders politiques se sont unis autour de la cause climatique :
ONU, GIEC, Union européenne, grandes multinationales, médias, influenceurs « verts »…

Cette coalition a unifié le discours pseudo scientifique et marginalisé les voix dissidentes
comme celle de Christian Gérondeau.  Voici une dizaine d’articles de Christian Gérondeau
portant sur l’arnaque climatique anthropique: https://les7duquebec.net/?s=gerondeau 

Elle donne au récit climatique une légitimité institutionnelle et morale, s’appuyant sur la science « officialisée/subventionnée » et la vertu politique de larbins corrompus.

C’est une coalition d’influence stipendiée, non une coalition de discussion/débat 
d’opinions contradictoires. Le pouvoir symbolique et économique s’enracine dans la «bonne cause»… vous êtes avec nous ou contre nous… et si c’est le cas vous n’avez pas droit au débat propagande alambiqué.

Troisième étape : développer une vision et une stratégie

Une fois l’urgence et la coalition installées, on formalise une vision dystopique du futur :

  • Une planète « neutre en carbone » (sic);
  • Une économie « verte » et « durable » (sic);
  • Une humanité « responsable » (souvent au prix de restrictions pour la population).

Cette vision s’accompagne d’une stratégie prescriptive :

  • Taxation, subvention aux entreprises,  surveillance énergétique, limitation des libertés, contrôle des comportements individuels, traçabilité, espionnage et répression.

Sous couvert de sauver la planète, on structure un projet de transformation sociale et politique global dont la finalité réelle peut être le contrôle plutôt que la protection.  Ce contrôle visant à assurer l’État et la classe dominante que le système global poursuit sa FINALITÉ ULTIME. 

Quatrième étape : communiquer la vision du changement

La « vision verte » est relayée massivement :
médias, réseaux sociaux, cinéma, école, publicité, institutions publiques.

L’image du « sauveur de la planète » devient une norme sociale et morale.
Les messages sont simples, répétitifs, émotionnels:
«Chaque geste compte», «Sauvez la Terre», «Il n’y a pas de planète B»… culpabilisez.

Les figures médiatiques (Greta Thunberg, Leonardo DiCaprio, Bill Gates, etc.) incarnent le récit.
La répétition constante transforme l’opinion publique en consensus apparent : le doute devient marginalisé, voire interdit.  L’objectif n’est plus la compréhension, mais la conversion.

Cinquième étape : lever les obstacles

Une fois la vision imposée, il faut neutraliser les voix dissidentes:

  • Marginalisation des climatosceptiques, assimilés à des complotistes ou des ennemis de la science et de la nation;
  • Pression académique et médiatique;
  • Censure indirecte via les plateformes médiatiques ou les financements.

L’obstacle principal n’est plus technique mais idéologique: ceux qui doutent.
Le débat scientifique est remplacé par une morale obligatoire.
La peur devient une arme de contrôle.

Sixième étape : générer des victoires à court terme

Les gouvernements et ONG mettent en avant des succès symboliques :

  • Fermeture de centrales à charbon ou au nucléaire… sans alternative;
  • Interdiction des pailles en plastique;
  • Accords internationaux (COP, Accords de Paris);
  • Campagnes de reboisement médiatisées.

Ces victoires, souvent médiatiques plutôt que pratiques, entretiennent la narration du progrès:
« Nous avançons», « Le monde se mobilise».

Elles maintiennent la mobilisation émotionnelle et font taire la fatigue ou le doute.

Septième étape : consolider les gains et produire plus de changement

Une fois la population sensibilisée, programmée et embrigadée et les victoires célébrées, le système se renforce:

  • Création d’organismes institutionnels permanents (Haut Conseil pour le Climat, ministères, agences, programmes de subventions).
  • Intégration du narratif climatique dans toutes les politiques publiques: urbanisme, énergie, agriculture, éducation, santé.
  • Multiplication des contraintes légales: taxes carbone, normes, restrictions de mobilité.

Chaque été est «le plus chaud jamais enregistré», chaque tempête une «preuve du dérèglement».
L’objectif : ne jamais laisser retomber la peur ni la mobilisation.

Le processus devient auto-entretenu : plus la société change, plus elle se convainc qu’elle doit encore changer davantage.

Huitième étape : ancrer les nouvelles approches dans la culture

Le climat devient une religion séculière, un dogme moral et culturel.

  • À l’école, les enfants apprennent à « sauver la planète»;
  • Dans les médias, toute catastrophe est reliée au changement climatique;
  • Dans les entreprises, la «responsabilité environnementale» devient un critère d’image et d’embauche;
  • En politique, les programmes verts sont transpartisans.

Celui qui doute n’est plus simplement en désaccord : il est fautif, dangereux, voire haïssable, condamnable.

Le discours climatique cesse d’être scientifique pour devenir idéologique et totalitaire, au sens où il prétend régir tous les aspects de la vie : alimentation, transport, énergie, logement, natalité.

Par Jean-Yves Le Gallou

Source:  Polémia  28/10/2025  via  https://ripostelaique.com/alarmisme-climatique-les-8-etapes-de-lhysterie-expliquees.html


Gates : le changement climatique apocalyptique est une «fake news»

par Francesca de Villasmundo

Bill Gates vient de reconnaitre que le «canular» du changement climatique apocalyptique exterminateur de l’humanité est une «fake news». Trump s’en réjouit. Et les «complotistes» avaient donc encore raison…

Donald Trump contre la fondation Bill Gates : «Le canular du changement climatique»

Donald Trump, avec un post sur son réseau social Truth, se congratule :

«Je (Nous) viens de gagner contre le canular du changement climatique. Bill Gates a finalement admis qu’il avait complètement tort sur cette question. Il a fallu du courage pour le faire, et pour cela, nous lui sommes tous reconnaissants. MAGA !»

Est-ce la fin du catastrophisme climatique ? Bill Gates, l’un des bonimenteurs du réchauffement climatique anthropique, vient en effet de rétropédaler magistralement sur la «fable» du changement climatique exterminateur de l’humanité.

À l’approche de la COP30, le fondateur de Microsoft a publié sur son site Gates Notes, que le catastrophisme autour de la question du climat n’était plus «une priorité». «Le scénario de fin du monde est faux», a-t-il ajouté :

«Heureusement pour nous tous, cette vision est erronée. Bien que le changement climatique ait de graves conséquences, notamment pour les populations des pays les plus pauvres, il n’entraînera pas la disparition de l’humanité. Dans la plupart des régions du globe, il sera possible de vivre et de prospérer dans un avenir prévisible. Les projections d’émissions ont diminué et, grâce à des politiques et des investissements adéquats, l’innovation nous permettra de réduire encore davantage ces émissions».

Étonnement, cette annonce surprenante de Bill Gates survient 24 heures après l’annonce d’une enquête par le Sénat américain pour investiguer sur quelques 23 millions de dollars qui auraient transité entre la Fondation Bill Gates et le Parti communiste chinois. Rappelons que la Chine est le plus grand pourvoyeur d’éoliennes et de panneaux solaires, nécessaires à la «transition verte» vendue par Gates et ses industries. Ce revirement pourrait s’expliquer par la nécessité de rentrer dans les bonnes grâces de l’administration Trump hostile au «canular du changement climatique» néfaste à l’industrie américaine.

Bill Gates : «Le changement climatique n’entraînera pas la disparition de l’humanité»

Pour répondre à la question précédente, si c’est la fin d’un certain catastrophisme climatique apocalyptique, Donald Trump se réjouit un peu vite s’il croit que Gates va laisser les populations tranquilles : le milliardaire américain n’abandonne pas son chapeau environnementaliste, loin de là ni la casquette sanitaire : «Les problèmes les plus importants restent la pauvreté et la maladie, comme toujours» et la lutte contre «l’empreinte carbone» reste sa priorité.

Quand on lit tout son texte en entier, on comprend bien que l’idéologie, car c’est bien une idéologie, du réchauffement climatique anthropique a encore de beaux jours devant elle. Plus de vaccins, de limitations des naissances via l’avortement et la contraception qualifiés de «santé reproductive», plus de crédit social carbone, plus d’énergie «verte» synonyme d’appauvrissement des nations, etc. sont au menu proposé par Bill Gates.

La «fake news» d’un réchauffement climatique reste la boussole des milliardaires et financiers qui s’enrichissent sur  le fumier de leur fanatisme «green», source de bénéfices pour leurs industries et portefeuille boursier. Et la vision «apocalyptique» de tableaux de maître aspergés de peinture (au pétrole n’est-ce pas ?) par des jeunes énergumènes incultes aux cheveux bleus (si naturels n’est-ce pas ?) se croyant au bord de l’Apocalypse climatique n’est pas prête d’agoniser…

source : Médias-Presse-Info  et  https://reseauinternational.net/gates-le-changement-climatique-apocalyptique-est-une-fake-news/


Énorme rétropédalage de Bill Gates l’arnaqueur milliardaire.

Énorme rétropédalage de Bill Gates sur toute sa propagande climatique et ses discours apocalyptiques . Parallèlement le Sénat américain enquête sur sa Fondation et ses liens avec le PCC. Gates recule pour anticiper la révélation de sa supercherie. N’est-il pas déjà trop tard?
Pour visionner la vidéo, cliquez ici :  

La théorie du réchauffement
climatique est-elle socialiste ?

Par Jean-François Geneste
Cet article est disponible en format PDF :
Le titre est quelque peu provocateur et j’espère que l’humour
qui conclura ce texte sera apprécié. Mais il nous faut
auparavant discuter de ce sujet qui est sérieux.
Tout d’abord, le public pense qu’il y a un débat entre le caractère anthropique ou non du réchauffement
qui a été réglé depuis longtemps et il imagine que le GIEC est un organisme scientifique neutre. Rien
n’est plus faux que cela. Le vrai nom du GIEC est IPCC, qui se lit en anglais : Internal Panel on Climate
Change. Pour ceux qui comprennent la langue de Shakespeare, ils constatent instantanément que c’est
une institution purement politique. Par ailleurs, si vous vous penchez sur les statuts de cette organisation,
vous tomberez dès l’article 2 sur le paragraphe suivant :
Le GIEC a pour mission d’évaluer, sans parti pris et de façon méthodique, claire et objective, les
informations d’ordre scientifique, technique et socio-économique qui nous sont nécessaires pour mieux
comprendre les fondements scientifiques des risques liés au changement climatique d’origine humaine,
cerner plus précisément les conséquences possibles de ce changement et envisager d’éventuelles
stratégies d’adaptation et d’atténuation. Les rapports du GIEC doivent rendre compte des différentes
orientations de façon impartiale, tout en traitant avec objectivité les facteurs scientifiques, techniques
et socio-économiques sur lesquels reposent ces orientations.
Si vous pensiez qu’il y avait eu un débat pour savoir si l’origine du réchauffement était naturelle ou
humaine, vous vous êtes simplement laissé gruger ! Il fait partie des statuts du GIEC que le problème
est anthropique. Dès lors, quelle discussion peut-il y avoir avec des gens qui sont stipendiés pour
propager le dogme ?
Passons à la science elle-même et en particulier à la physique, qui est la seule réelle discipline qui peut
nous guider dans notre appréciation. On nous parle de températures en hausse. Admettons-le pour
l’instant. Mais ce que l’on nous dit, ce n’est pas que la température augmente à Paris ou à Tokyo. Ce
que l’on affirme, c’est que c’est la température moyenne du globe qui croît. Prenons cela à la lettre !
Il y aurait une température moyenne de la planète (aux alentours de 15 °C). Mais si vous mettiez 15 °C
aux pôles ou sur l’équateur, les écosystèmes s’effondreraient ! Cette notion de température moyenne n’a
donc pas de signification physique.
Mais allons plus loin. Lorsque nous mesurons avec un thermomètre en un lieu donné, quelle surface
attribuons-nous alors au dit thermomètre ? Car, si l’on veut une pondération terrestre, il faut calculer un
barycentre affecté, comme coefficients, des aires associées. Que croyez-vous que l’on fasse dans la
réalité ? On n’évalue que la moyenne arithmétique, ce qui, là encore, est un non-sens physique. Et quand
bien même voudrions-nous obtenir ce barycentre, quelle serait la théorie sous-jacente qui permettrait de
déterminer la surface à prendre en compte ? Saurions-nous couvrir la terre ainsi ?
Passons aux mesures elles-mêmes. Ceux qui se sont risqués à demander les informations brutes se sont
fait retoquer. Les organismes officiels refusent de les communiquer. Elles doivent être « retraitées ».
Cela soulève un problème énorme. Quels sont les critères de retraitement ? Sont-ils fiables ? Quelle est
la théorie sous-jacente qui permet de les valider ? Nous n’en savons, bien entendu, rien. C’est aussi clair
que les algorithmes de YouTube !
Regardons également les températures qui datent d’avant 1850 environ, période où l’humanité n’avait
pas de moyens de mesure. Les comparaisons se font entre d’un côté des mesures physiques et, de l’autre
des estimations basées, en général, sur des modèles biologiques qui sont très, très peu fidèles.
Les « réchauffistes » nous disent que, si les températures augmentent, la météorologie sera plus violente.
Rappelons les célèbres expériences de Gibbs dans lesquelles un récipient est séparé par une paroi
étanche et adiabatique. Nous savons que les courants d’air ou d’eau sont créés par des différences de
température. Néanmoins, si, dans la partie 1 du récipient vous avez de l’air à 1 million de degrés et dans
la partie 2 à 1 million + 500 °C lorsque vous enlèverez la paroi pour mettre les deux compartiments en
communication, la brutalité des mouvements sera beaucoup plus faible que si vous aviez 100 °C d’un
côté et 600 °C de l’autre. En effet, en termes mathématiques, ce n’est pas tant le T…

Ce dernier point va sans aucun doute choquer bien des lecteurs alors qu’il est imparable. Mais on peut
ajouter que l’on en a des preuves historiques, car, avec les températures reconstituées et critiquées plus
haut, on constate que l’apogée des civilisations s’est produite dans les périodes les plus chaudes.

Remarquons au passage que le froid, statistiquement, semble tuer 10 fois plus que la chaleur. Ceux qui
attendent donc des événements extrêmes dus au réchauffement climatique pourront patienter longtemps.
Certains esprits chagrins relèveront que les dommages dus à des météos violentes augmentent dans de
fortes proportions. Comme je l’ai déjà écrit à de nombreuses reprises, nous vivons dans la civilisation
de l’optimisation et surtout la maximisation du profit. Cela amène à des constructions humaines faibles,
sous-estimant les éléments extérieurs, voire les négligeant tout court, avec des habitations en zones
inondables, par exemple. Les aménagements du territoire sont souvent aussi fautifs en amplifiant les
phénomènes, etc. Mais si l’on regarde les quantités de pluie tombée, la vitesse des vents, etc., les
composantes climatiques restent étonnamment stables.
Nous aborderons ici un dernier point d’une liste qui ne se veut pas être exhaustive. Le GIEC a décidé
que le climat, en quelque sorte, c’est la météo moyenne sur une période de 30 ans. Ah bon ? Quel est le
critère scientifique qui a permis d’établir cela ? Bien entendu, aucun !
Nous constatons donc une propagande réchauffiste anti-scientifique et avant tout politique qui induit les
citoyens en erreur. Mais puisque nous abordons ce sujet, rappelons que feu Margaret Thatcher était en
délicatesse avec les mineurs de charbon britanniques qui ont fait une grève de plus d’un an avant de
capituler. C’est sous son impulsion que le GIEC a été créé et c’était surtout pour discréditer le charbon
et ainsi régler un problème social définitivement. Voilà pourquoi, dans les « statuts » du GIEC, le
réchauffement est nécessairement d’origine humaine.
Mais, Thatcher n’était pas connue pour être socialiste. Alors pourquoi le titre de cet article ? L’histoire
de France a reconnu deux homonymes contemporains. Joseph Fourier (1768-1830), grand
mathématicien dont les travaux ont une incidence considérable sur notre quotidien. Mais il y en a un
autre, Charles Fourier (1772-1837), philosophe de son état, fondateur, avec quelques compères, du
socialisme utopique et ayant imaginé une société idéale organisée autour du phalanstère.
Il vaut la peine
de le lire pour avoir une idée de ce qu’est le socialisme utopique et de constater que la dégénérescence
intellectuelle en Europe, en France en particulier, ne date pas d’aujourd’hui. Je ne m’étendrai pas ici sur
la thèse de ce Charles Fourier, mais j’en garderai un détail croustillant. Dans son délire, il faut bien
appeler les choses par leur nom, il prévoyait déjà un réchauffement climatique pour l’an 2000 avec la
fonte des pôles et l’homme, un être évolutif, bien entendu, se verrait pousser une queue !
Alors, Margaret Thatcher, bien au fait des déboires de l’URSS de son temps, luttant contre les mineurs,
socialistes à n’en pas douter, a peut-être voulu leur donner une leçon. Quand l’URSS ne fonctionnait
pas, le soviet suprême disait que c’était parce qu’il n’y avait pas assez d’URSS. Vous remarquerez au
passage que, lorsqu’on dit que rien ne marche ici, on nous reprend en affirmant que c’est parce qu’il n’y
a pas assez d’Europe. Toute ressemblance… ! Ainsi, pour punir les mineurs, peut-être a-t-elle voulu les
coincer à leur propre jeu en leur donnant plus de socialisme avec la thèse du réchauffement climatique.
Elle leur a même instillé non seulement du socialisme, mais, de surcroît, du socialisme utopique ! Elle
ne pouvait pas rater son coup ! Pourtant, dans le socialisme, si vous ne réussissez pas, si vous êtes
pauvres, etc., ce n’est pas de votre faute, c’est celle de la société. Avec la thèse du réchauffement
anthropique, ce semblerait être le contraire ! Comment résoudre cette contradiction ? C’est là que l’on
monte les classes les unes contre les autres, à l’instar de ce que faisait Marx. Si vous avez trop chaud,
c’est de votre faute, mais la société ne vous permet pas d’alternative, à cause de ces profiteurs de
capitalistes qui, en plus, vous exploitent et, bien entendu, ne respectent rien. Le problème, avec cela,
c’est qu’une fois que le socialisme a essaimé quelque part, on ne peut plus s’en débarrasser !
Regardez
l’État français, paralysé, car les socialistes ont pris tous les pouvoirs dans l’administration et empêchent
toute réforme qui, immanquablement, supprimerait bien des emplois inutiles et ce n’est qu’un exemple.
Nous voilà rendus à la fin de notre boutade. Je pourrais très largement développer le dernier point abordé
ici et qui est la trame de ce texte. Mais je préfère laisser à chacun le soin d’en tirer ses propres conclusions.

Robert Bibeau

Auteur et éditeur

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